Ils n’ont pas la même mère mais ….


Même si ces animaux ne sont pas de la même espèce et donc, évidant qu’ils n’ont pas non plus les mêmes parents, ils se ressemblent beaucoup
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Ils n’ont pas la même mère mais …

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Le Saviez-Vous ► 6 maladies que vos mains peuvent prédire


À noter que ceci n’est qu’un billet qui ne prétend pas de diagnostiquer quoique ce soit. Ce sont seulement des indices. Sachez que seul des examens et un médecin en chair et en os, peuvent diagnostiquer s’il y a un problème de santé
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6 maladies que vos mains peuvent prédire

BELORY4KA/ISTOCK

De la longueur de vos doigts en passant par leur force de préhension, les mains peuvent être des indicateurs de facteurs de risque pour plusieurs maladies.

PAR THE PHYSICIANS OF THE DOCTORS

1. La longueur des doigts pour révéler des signes d’arthrite

Les femmes qui possèdent un annulaire plus long que l’index, un trait typiquement masculin, sont deux fois plus sujettes à souffrir d’arthrite aux genoux, d’après une étude publiée dans la revue scientifique Arthritis & Rheumatology. Un niveau peu élevé d’oestrogène dans le corps pourrait en être la cause. Ce même trait physique a été associé à une meilleure propension aux sports, et ce, pour les deux sexes. Chez les hommes, un annulaire plus long que la normale est associé à une plus grande capacité d’avoir des enfants. Par contre, l’homme au long annulaire risque davantage de souffrir d’un cancer de la prostate.

2. Des mains tremblantes pour révéler des signes de maladie de Parkinson

Avoir les mains tremblantes peut signifier quelque chose de tout à fait banal, comme une trop grande consommation de caféine ou un effet secondaire de certains médicaments contre l’asthme ou des antidépresseurs. Il est toutefois recommandé de consulter votre médecin sans tarder si vos mains tremblent souvent. Le tremblement d’une seule main pourrait être le premier symptôme de la maladie de Parkinson, ou indiquer le tremblement essentiel, une condition physique causant des tremblements incontrôlables qui peuvent se traiter à l’aide d’une thérapie et de médication.

PEARLEYE/ISTOCK

3. La couleur des ongles pour révéler une maladie du foie

Lorsque des chercheurs indiens ont étudié 100 patients souffrant de maladies chroniques du foie, ils ont observé que 36 % des candidats avaient des ongles moitié blanc et moitié couleur (le bas de l’ongle est blanc et le haut est brun). Cette condition de l’ongle pourrait être causée par une augmentation de la concentration de certaines hormones ainsi qu’une anémie chronique, deux traits typiques des maladies du foie. Consultez votre médecin sans tarder si vous remarquez avoir des ongles « moitié-moitié » ou des stries verticales et foncées à la base de l’ongle. Cela pourrait être un signe de mélanome, une sorte de cancer de la peau.

4. La force de préhension pour révéler l’état de la santé de votre cœur

Un manque de force de préhension dans vos mains pourrait révéler un risque plus élevé d’ACV. C’est ce que révèle une étude publiée dans la revue scientifique anglaise The Lancet et menée auprès de 140 000 adultes dans 17 pays. La force de préhension serait même un meilleur indicateur de la mort que la pression artérielle. Les chercheurs disent que la force de préhension est un marqueur de force des muscles de tout le corps et de son état de santé. Ils recommandent un entraînement complet pour augmenter la force physique de tout le corps ainsi que des exercices aérobiques pour réduire les risques de maladie du cœur.

5. Des mains moites pour révéler des signes d’hyperhidrose

Des mains moites peuvent être liées à la ménopause ou aux problèmes de glande thyroïde, mais aussi à l’hyperhidrose. Les glandes sudoripares sont alors trop actives, causant ainsi plus de transpiration que nécessaire. La plupart des gens avec cette condition ne suent que d’une partie du corps ou deux. Parmi celles-ci, les aisselles, les paumes et les pieds. Un médecin peut alors prescrire un antisudorifique fort pour diminuer la production de sueur.

Shutterstock

6. Les empreintes digitales pour révéler une hypertension artérielle

Des chercheurs britanniques ont étudié 139 empreintes digitales. Les patients possédant un motif de spirale dans l’empreinte d’un ou de plusieurs de leurs doigts avaient un point en commun. Ces derniers semblaient plus propices à avoir une tension artérielle plus élevée que ceux ayant un motif d’arche ou de boucle : plus le participant avait de motifs de spirales sur les doigts, plus il avait un haut risque d’hypertension. Des spirales sur le bout des doigts constituent un marqueur de problèmes de développement du foetus durant certaines étapes de la grossesse, ce qui peut affecter la pression artérielle plus tard dans la vie.

http://selection.readersdigest.ca/

Un étrange phénomène inquiète les scientifiques


Les changements climatiques émettent de plus de signes à travers le monde. Nous allons nous transporté en Sibérie reconnu pour ses températures froides. Le dégel exceptionnel du pergélisol laisse des gaz de méthane remonter à la surface et change la densité du sol
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Un étrange phénomène inquiète les scientifiques

 

 

Les effets du réchauffement climatique inquiètent les scientifiques en Sibérie (Russie) où des bulles de gaz se forment sous la surface du sol et modifient l’élasticité de la terre…

Lors d’une expédition scientifique sur l’île Bely (péninsule du Yamal, Sibérie, Russie), les chercheurs ont fait une étrange découverte. Le sol sous leurs pieds s’apparentait en effet davantage à un trampoline ou un matelas gonflé d’eau qu’à une prairie ordinaire (voir vidéo ci-dessus).

« Je travaille ici depuis 20 ans, et je n’avais jamais vu ça », confie d’ailleurs Alexander Sokolov, de l’Institut d’écologie des plantes et des animaux (source: Siberian Times, viaSlate). 

En réalité, ces « bulles » de méthane trouvent leur origine dans le dégel exceptionnel du pergélisol sous l’effet du réchauffement climatique: une véritable « bombe à retardement », selon la communauté scientifique. En effet, la fonte inhabituelle de cette couche terrestre gelée en permanence pourrait libérer des émissions de méthane en quantités massives et engendrer un phénomène d’effet de serre beaucoup plus nocif que le gaz carbonique.

http://www.7sur7.be/

Derrière le café le plus cher du monde, le cauchemar d’un petit mammifère


Drôle de coïncidence, cette semaine, je me disais que si on m’en offrait, je goûterais au café le plus cher au monde, mais après avoir lu l’article, il faudrait me prouver que ce café est fait de façon artisanale. Malheureusement, il y a de fortes chances que le café viennent d’animaux maltraités
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Derrière le café le plus cher du monde, le cauchemar d’un petit mammifère

 

Parmi les excréments de ce mammifère indien, des grains de café vendus à prix d’or | Kaffiend via Wikipedia Commons License by

Parmi les excréments de ce mammifère indien, des grains de café vendus à prix d’or | Kaffiend via Wikipedia Commons License by

Repéré par Cyril Simon

Les grains de café récoltés dans les excréments des civettes asiatiques valent une fortune à travers le monde. Sauf que les civettes en question sont en cage et sont maltraitées.

Tony Wild s’en mord les doigts. En 1991, c’est lui qui importait le premier en Europe les kopi luwak, ces grains prisés des connaisseurs de café. Deux décennies plus tard, le consultant reconnaît dans le Guardian être complice d’un «commerce absolument absurde et absolument hideux». Le site Quartz revient sur la maltraitance animale à l’origine de ce café de luxe, qui peut coûter plus de 100 dollars dans certains restaurants et bars occidentaux (le prix de vente au kilo des grains oscillant entre 200 et 400 dollars).

Ce café est réalisé à partir de grains issus des selles de la civette palmiste commune ou luwak, une espèce vivant en Asie du Sud-Est. À la base, cette pratique ne met en aucun cas en danger la santé du mammifère. Il suffit de laisser cette espèce inoffensive, entre la belette et le chat sauvage, rôder librement la nuit autour des plantations de café et manger les fruits du caféier. Comme le luwak digère leur pulpe mais pas leur noyau, ces fèves, devenues très peu acides et ayant acquis un arôme proche du caramel lors de leur passage dans son système digestif, se retrouvent dans ses excréments, prêtes à être récoltées, soigneusement lavées et séchées au soleil, avant d’être légèrement torréfiées.

Seulement, aujourd’hui, la récolte n’a plus rien d’artisanal ni de sauvage. La production s’est industrialisée.

«La tendance au café de civette “en cage”, où les civettes vivantes sont retirées de leur milieu sauvage et élevées en captivité, est de plus en plus forte», selon une étude de mai 2016 de l’Institut Animal Welfare. 

Suralimentés, ces civettes deviennent claustrophobes, certaines se rongent les jambes et en viennent à se battre entre elles. Des situations de stress à l’origine de nombreux décès.

Selon cette étude, seize plantations de café ont émergé, ces cinq dernières années, sur l’une des voies touristiques les plus fréquentées de l’île indonésienne de Bali. Deux d’entre elles ne produisent d’ailleurs aucun grain de café et se contentent d’exposer les bêtes comme des attractions touristiques.

«Quand les touristes les voient en cage, cela les convainc qu’ils boivent un café parfaitement authentique au point parfois de faire une photo et de la partager sur les réseaux sociaux», déplore le docteur coauteur de l’étude Neil D’Cruze dans un communiqué de l’association Worl Animal Protection.

La majorité de la production se situe en Indonésie mais d’autres pays sont concernés, la Thaïlande, la Chine, les Philippines et le Vietnam notamment. S’il est difficile de quantifier cette production, et encore plus de distinguer les grains issus de la maltraitance animale de ceux issues de civettes sauvages, ce commerce s’avère très lucratif. Entre mars et mai, Rustico Montenegro et sa femme récoltent chaque jour près de huit kilos de grains, rapporte Le Point.À 1.200 pesos le kilo, cinq fois le prix de grains classiques, ce couple philippin empoche environ 9.000 pesos (190 dollars) par journée de travail. Un Graal dans ce pays où un habitant sur cinq subsiste avec 1 dollar par jour.

http://www.slate.fr/

Environnement: un sondage inhabituel


Un des meilleurs sondages que j’ai vu. Bon, même si c’est quand même fictif du fait que les sondés sont des poissons, les environnementalistes relatent réellement de la situation de la faune marine qui est critique et que le gouvernement ne fait pas grand chose pour les protéger
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Environnement: un sondage inhabituel

 

Désespérés de l’attitude des fonctionnaires du ministère de l’Environnement et de leur ministre, des écologistes ont réalisé un sondage inhabituel pour illustrer l’état réel de la situation au Québec. Ils ont en effet questionné la faune sur sa perception de nos espaces humides, de nos lacs, de nos rivières et du fleuve.

Écœurés d’être traités comme des poissons que l’on retourne dans la poêle ou que l’on roule dans la farine, ces défenseurs de la nature ont tiré une ligne à l’eau pour recueillir l’opinion des habitants de nos plans d’eau. Ils comptent aujourd’hui sur les médias pour diffuser les résultats de cette étude dont les conclusions se veulent claires comme de l’eau de roche.

Les brochets ont répondu à forte majorité que le fleuve devient annuellement de plus en plus pauvre en nourriture pour eux. Ils mentionnent à 82 % ne plus retrouver les petits poissons dont ils ont tant besoin pour se nourrir. Ils avancent que c’est comme si les déchets rejetés dans le fleuve brochaient leur nourriture au fond du fleuve parmi les sédiments.

On n’a pas pu obtenir l’opinion des ménés dans le cadre de ce sondage parce qu’ils demeuraient introuvables parmi les saletés transportées par les flots. Même si on lui tendait la perche, la perchaude frustrée a aussi refusé de répondre aux questions des environnementalistes. Ayant entendu par le passé beaucoup de beaux discours de politiciens promettant une préservation et une amélioration de la qualité de l’eau, la perchaude ne ferait plus confiance à la gent humaine. Y aurait-il vraiment anguille sous roche dans ces belles promesses? Ça barbote dans ce coin-là.

«De Beauharnois à Cacouna, les poissons nous disent qu’il serait temps que les fonctionnaires et politiciens ne se comportent plus comme des mollusques face aux intérêts financiers.»

Les crapets réputés pour être laids se plaignent d’être devenus une cible recherchée des pêcheurs qui n’ont pas autre chose à se mettre sous la dent. Le doré jaune proclame qu’il existe encore même si les gens le confondent avec le doré noir à cause de l’impact de la qualité de l’eau sur sa couleur. Cette situation aurait empiré depuis le «flushgate», ce déversement de tonnes d’eaux usées à Montréal que l’on a retrouvées jusqu’à Sorel.

L’esturgeon se plaint, semble-t-il, de ne plus trouver d’endroits propres pour la ponte de ses œufs si recherchés par les gourmets. Les déchets odorants qui recouvrent les endroits de ponte habituels ne permettent pas le développement de sa progéniture et n’attirent pas les chercheurs d’œufs.

Le maskinongé et l’achigan affirment vouloir quitter la Mauricie pour la Rive-Sud, mais leurs vis-à-vis de la rivière Yamaska qui auraient pu les en dissuader ont péri par milliers récemment lors du débordement d’eaux usées à Saint-Hyacinthe. Encore là, le fleuve a reçu les effets secondaires de cette catastrophe.

Même si les carpes semblent occuper la majorité de l’espace sur la carte aquatique québécoise, on ne les sent pas heureuses de leurs nouveaux habitats. Le poulamon, longtemps perçu comme le poumon du fleuve ressemble de plus en plus aux photos sur les paquets de cigarettes et ne veut pas sortir de l’eau, honteux de son apparence.

Les éperlans roulent encore à l’occasion en bancs de poissons poussés vers la berge par les vagues, mais ils sont moins nombreux et plus petits parce que la nourriture de qualité se fait rare pour eux aussi. Cachée à des endroits insoupçonnés, la lotte rit pour le moment, mais a-t-elle choisi le bon numéro? Sa cachette est-elle vraiment sécuritaire pour assurer la survie de son espèce? Nous le saurons dans quelques générations.

La truite qui a depuis longtemps été la fierté de nos pêcheurs n’est pas fière de ce que deviennent nos cours d’eau et les saumons d’Anticosti auraient bien voulu avoir l’occasion de se prononcer avant que le ministre Heurtel autorise l’utilisation de 30 millions de litres d’eau de leur rivière pour effectuer trois tests de forage pour la prospection de pétrole de schiste.

Les rejets des eaux usées vont aussi affecter la santé des poissons. On sera loin de l’eau douce. Même les bélugas ont de la difficulté à se dire: «m’a m’y faire».

De Beauharnois à Cacouna, les poissons nous disent qu’il serait temps que les fonctionnaires et politiciens ne se comportent plus comme des mollusques face aux intérêts financiers. Depuis le temps que cela dure, on devrait avoir développé une carapace et se comporter comme des crustacés en défenseurs de nos richesses naturelles.

D’ailleurs, les rainettes faux-grillons de Laprairie et de Saint-Bruno de Montarville unissent leurs cris à ce sondage en demandant à être relocalisées dans un environnement propice à leur survie si le Québec veut continuer à développer des complexes immobiliers et autres.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Les malades de Parkinson auraient une odeur reconnaissable


Quelques fois, les recherches sur des maladies commencent étrangement, comme cette dame qui semble être capable de distinguer une odeur particulière chez les malades de Parkinson
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Les malades de Parkinson auraient une odeur reconnaissable

 

La maladie de Parkinson aurait une odeur, c’est en tout cas ce qu’affirme une écossaise de 65 ans. Joy Milne, qui vit à Perth en Ecosse, a déclaré avoir « senti » cette maladie neurologique dégénérative chez son mari. 

Avant l’arrivée les premiers symptômes comme des tremblements et une lenteur dans les mouvements, elle aurait relevé un changement d’odeur corporelle qu’elle décrit comme « très subtil et un parfum légèrement musqué ». Sa capacité à détecter cette odeur si particulière s’est confirmée lorsqu’elle a senti les vêtements de personnes malades.

Ces révélations ont donné lieu à la création cette semaine d’un projet de recherche à la fondation Parkinson UK pour établir si un lien entre la maladie et cette odeur existe véritablement.

La modification du sébum chez les personnes malades pourrait expliquer cette découverte. Cette femme, veuve depuis cette année, participera activement à ces recherches avec une équipe d’experts de l’odorat dédiée.

Arthur Roach, directeur de recherche de la fondation explique que si un lien était prouvé, le diagnostic pourrait être plus facile et rapidement posé chez les personnes atteintes…

http://www.femmeactuelle.fr/