Les différences


Si seulement on regardait les autres au-delà des apparences et des différences qu’ils soient physiques, idéologiques ou autres, la vie serait pour tous plus facile
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Les différences

 

 

Quand les différences sont acceptées, elles ne se voient plus

Gonzalez Theracoach

Cette maquilleuse de 19 ans est incroyablement douée.


Saida Mickeviciute est une maquilleuse autodidacte de 19 ans originaire de Lituanie. Cette jeune femme a vraiment beaucoup de talent, même si c’est oeuvre sont assez glauque, à cause de ses penchants pour les films d’horreurs. Elle réussit avec seulement du maquillage
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Cette maquilleuse de 19 ans est incroyablement douée.

N° 1 : Le paresseux.

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N° 2 : La poupée de porcelaine brisée.

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N° 3 : Sur l’origine des gnomes.

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N° 4 : Inspiré par le Labyrinthe de Pan.

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N° 5 : Caroline.

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N° 6 : Un baiser n’est pas toujours la façon de devenir une princesse.

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N° 7 : Une pilote steampunk.

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N° 8 : Sans peau.

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N° 9 : Le visage essuyé.

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N° 10 : Casse-Noisettes

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http://bridoz.com/

Le Saviez-vous ► Pourquoi les chiens grattent le sol après leurs besoins?


Les chiens comme les chats grattent le sol après leurs besoins, mais la raison de ce rituel n’a pas du tout la même signification pour le chien
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Pourquoi les chiens grattent le sol après leurs besoins?

 

Pourquoi les chiens grattent le sol après leurs besoins?

Le chien gratte ses pattes arrière sur le sol.Capture d’écran Gentside Découverte

Les propriétaires de chiens pourront en témoigner: le quotidien de leur fidèle compagnon est parsemé de petites manies. Aussi étranges soient-elles, celles-ci ont pourtant une explication logique et rationnelle qu’il convient de connaitre pour mieux respecter.

C’est le cas par exemple du rituel autour des besoins. Beaucoup d’entre vous auront peut-être remarqué que la plupart des chiens grattent le sol avec leurs pattes arrière après s’être soulagé. Ce comportement ne se limite d’ailleurs pas au gazon puisqu’on l’observe également sur des étendues de gravier et même sur les trottoirs en béton.

UN MOYEN DE MARQUER LE TERRITOIRE

En répétant systématiquement ce geste, le chien ne cherche pas à couvrir ses besoins, comme certains pourraient le penser. Contrairement au chat, celui-ci ne s’importe pas de les enfouir, au contraire. Les fèces et l’urine sont un moyen de marquer son passage et le geste instinctif qu’il fait avec ses pattes ne fait que renforcer ce marquage.

Tous les chiens possèdent en effet des glandes situées au niveau de leurs coussinets arrière. Lorsqu’ils frottent leurs pattes sur le sol, les animaux laissent non seulement une trace visuelle sous la forme de sillons dans le sol mais libèrent également des phéromones, substances chimiques qui agissent comme une sorte de signature olfactive.

De cette façon, le chien signale à ses congénères mais aussi aux autres animaux qu’il est passé par là.

UN COMPORTEMENT PRIMITIF

D’après les spécialistes, ce comportement pourrait remonter à une époque plus primitive où les loups et les chiens non domestiqués tentaient de mettre en garde les autres animaux et éventuels concurrents en laissant leur odeur pour marquer leur territoire.

Encore aujourd’hui, leurs descendants ont le sens de l’odorat extrêmement sensible. Le nez de nos compagnons à quatre pattes contient jusqu’à 300 récepteurs qui leur permet d’identifier tout ce qu’ils doivent savoir sur leur homologue simplement à partir de ces signaux olfactifs.

http://fr.canoe.ca/

Un gigantesque champ d’hélium est découvert en Tanzanie


L’hélium est un gaz important en médecine, il est aussi utilisé les vaisseaux spatiaux, pour des ballons Cette découverte est surprenante par sa quantité et que personne ne cherchait a cet endroit. Espérons que cela profitera a l’économie du pays
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Un gigantesque champ d’hélium est découvert en Tanzanie

 

Des chercheurs ont trouvé un gigantesque champ d’hélium en Tanzanie, dans l’est de l’Afrique.

Ce gaz précieux est essentiel aux vaisseaux spatiaux, aux appareils d’imagerie par résonance magnétique et à l’énergie nucléaire, selon un communiqué de l’université britannique Oxford.

Les ballons gonflables sont aussi remplis d’hélium.

Le communiqué ajoute que c’est la première fois qu’on trouve de l’hélium intentionnellement. Le gaz est habituellement découvert en petites quantités, lors de forage d’hydrocarbures.

Des experts indépendants ont calculé que ce champ contient environ 54 milliards de pieds cubes d’hélium. La consommation mondiale annuelle est d’environ huit milliards de pieds cubes.

Le communiqué explique que l’hélium emprisonné dans des roches anciennes a été libéré par l’intense chaleur volcanique de la région, formant des champs pétrolifères relativement peu profonds.

L’hélium a été découvert à l’aide d’une nouvelle technique qui pourrait maintenant être utilisée ailleurs.

La quantité d’hélium trouvée serait suffisante pour 1,2 million d’appareils d’imagerie par résonance magnétique.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Une tortue soignée après avoir été battue pour des selfies


Pour des selfies, une tortue d’une espèce menacée a été blessée par des plagistes. A quoi pense les gens, tout cela pour partager dans les réseaux .
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Une tortue soignée après avoir été battue pour des selfies

 

Après avoir été maltraitée, cette tortue a été sauvée puis soignée par une association de protection des animaux. © Facebook / Animals Lebanon

Après avoir été maltraitée, cette tortue a été sauvée puis soignée par une association de protection des animaux. © Facebook / Animals Lebanon

Par Anne-Sophie Tassart

Après avoir été maltraitée, cette tortue a été sauvée puis soignée par une association de protection des animaux.

 

BÊTISE. Cette tortue de mer femelle a frôlé la mort. Mi-juin 2016, alors qu’elle nage au large d’une plage de Beyrouth (Liban), cette Caouanne (Caretta caretta) est sortie de l’eau de force par un groupe de plagistes qui s’amusent ensuite à monter sur sa carapace afin de prendre des photos.

La cruauté de la foule ne s’arrête pas là. Une fois les selfies pris, la tortue est frappée à l’aide de bâtons. Heureusement, l’animal est secouru à temps par l’association de protection des animaux Animals Lebanon. La pauvre bête se retrouve blessée à de nombreux endroits. Notamment à la tête où elle souffre de nombreuses fractures.

Selon l’association : « Les dommages sont visibles et évidents : les traces des coups et les traumatismes des os au sommet de sa tête, et puis de l’eau de mer a atteint les cavités de ses sinus ».

 Aujourd’hui l’animal se rétablit lentement grâce aux soins apportés par l’association et des vétérinaires. La Caouanne est une espèce considérée comme menacée depuis 1978.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Mexique: les autorités abusent des femmes arrêtées


Quand les forces de l’Ordre abusent, violent des femmes pour des aveux, qu’ils torturent devant elle son frère, son mari, et que peu des agents sont accusés de leurs actes, on voit que la justice n’est pas pour tout le monde
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Mexique: les autorités abusent des femmes arrêtées

 

Mexique: les autorités abusent des femmes arrêtées

Photo Fotolia

MEXICO – Les forces de sécurité mexicaines font régulièrement subir des abus sexuels aux femmes arrêtées afin d’obtenir des «aveux», révèle Amnesty International dans un rapport publié mardi.

L’ONG basée à Londres a enquêté sur les cas de 100 femmes incarcérées dans des prisons du Mexique. Toutes ont déclaré avoir subi des formes de harcèlement sexuel ou d’abus psychologiques lors de leur arrestation et de leur interrogatoire.

Selon Amnesty, «72 ont dit avoir été agressées sexuellement pendant leur arrestation ou dans les heures qui ont suivi. Trente-trois affirment avoir été violées».

«Quand on parle de violence contre les femmes, la méthode préférée de l’État (mexicain) est la violence sexuelle. Ca a été une découverte effrayante», commente à l’AFP Madeleine Penman, auteure du rapport.

«Ce que décrivent ces femmes donne un aperçu choquant de la prévalence de la torture contre les femmes au Mexique», estime Erika Guevara-Rosas, directrice pour les Amériques d’Amnesty International. Selon elle, «la violence sexuelle utilisée comme forme de torture semble s’être banalisée durant les interrogatoires».

Selon l’ONG, la plupart des femmes incarcérées ont déclaré avoir subi «des agressions sexuelles, des coups, des décharges électriques, des palpations et des attouchements en détention et durant les interrogatoires».

Sur ces 100 femmes interrogées, soixante-dix d’entre elles ont signalé les agressions à un juge ou à d’autres représentants de l’État, «mais des enquêtes n’ont été ouvertes que dans 22 cas», indique le rapport qui précise que «personne n’a été poursuivi».

La grande majorité de ces femmes a été accusée d’infractions en liaison avec le crime organisé ou les stupéfiants.

«Beaucoup d’entre elles viennent de familles pauvres, ce qui les rend moins susceptibles de pouvoir s’offrir une défense digne de ce nom», souligne Amnesty.

LE CAS «MONICA»

Parmi les cas présentés figure celui de Monica, 26 ans, mère de quatre enfants, «qui a été violée par six policiers, a reçu des décharges électriques sur les parties génitales, a été asphyxiée à l’aide d’un sac en plastique et a eu la tête plongée dans un seau d’eau» à Coahuila (nord) en 2013.

Selon l’ONG, les forces de l’ordre l’ont ensuite obligée à regarder son frère et son mari être torturés.

 Sur le trajet vers la justice générale, son mari a succombé «dans ses bras des suites des actes de torture qu’il avait subis».

Cette femme aurait ensuite été obligée de signer des «aveux» selon lesquels elle appartenait à un cartel de drogue, ajoute le document.

Malgré un rapport de la Commission nationale des droits humains (CNDH), d’août 2014, confirmant les actes de tortures infligés à cette jeune femme, aucun des auteurs présumés de ces abus n’a été inculpé, indique l’ONG.

Sur les milliers de cas de tortures dénoncés au Mexique depuis 1991, seuls 15 ont abouti à des condamnations, dénonce Amnesty.

En 2012, année de l’accession au pouvoir du président Pena Nieto, 287 cas de tortures avaient été recensés dans le pays. En 2014, ce chiffre s’élevait à 2403 cas, selon des chiffres obtenus par l’ONG auprès des autorités judiciaires mexicaines.

Au Mexique, les forces de sécurité font régulièrement l’objet d’accusations de violations des droits de l’Homme depuis le lancement de la guerre contre le narcotrafic lancée par l’ex-président Felipe Calderon (2006-2012).

http://fr.canoe.ca/

Pourquoi ne voit-on jamais de bébés pigeons?


On sait que les oiseaux de villes fondent des nids pour leurs petits et quelque temps après les oeufs éclos, les petits vont vivre leur vie. Le pigeon, c’est différent, quand ils quittent le nid, ils ressemblent beaucoup aux adultes que seul les plus avertis peuvent faire la différence
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Pourquoi ne voit-on jamais de bébés pigeons?

 

Pourquoi ne voit-on jamais de bébés pigeons?

L’amour version pigeon.Capture d’écran Gentside Découverte

Il est très rare d’observer des bébés pigeons tant dans la vie citadine que dans la vie rurale. Et cela pour une très simple raison, le pigeon fait partie des espèces nidicoles. Autrement dit, les jeunes individus sont, à la naissance, incapables de se nourrir et de se déplacer seuls car ils sont en général aveugles et recouverts d’un fin duvet.

Ces caractéristiques les rendent particulièrement vulnérables aux dangers et au froid. Les pigeonneaux restent donc dans leur nid, caché dans les hauteurs des bâtiments, le temps de grandir suffisamment pour pouvoir survivre et se confronter au monde extérieur. Mais le futur pigeon est l’un des volatiles qui restent le plus longtemps dans le nid des parents.

En effet, il reste un mois voire six semaines pour les individus les plus lents alors que certains oiseaux quittent le nid dès la naissance comme le vanneau huppé.

UN LONG DÉVELOPPEMENT

Le développement des jeunes pigeons compte plusieurs phases. La première est la période de lactation où les parents produisent du lait de Jabot pour leur progéniture pendant environ deux semaines. Une période durant laquelle ils grandissent très vite, le lait étant très nourrissant.

Ensuite les jeunes pigeons se nourrissent des graines apportées par leurs parents et restent sous leur garde jusqu’à ce que leur plumage, leurs muscles et leur poids soient proche de ceux d’un adulte. À la sortie du nid, les individus sont donc très semblables à des adultes, au niveau de la taille comme du plumage. C’est pourquoi il est difficile de les identifier.

Cependant, les plus observateurs pourront repérer les jeunes pigeons par la couleur noire de leurs yeux alors que les adultes arborent une teinte plutôt rouge-orangé. Mais aussi par leur couleur de plumes un peu plus terne. La plupart des pigeons des villes appartiennent à  l’espèce du pigeon biset (Columba livia). À l’état sauvage, ils ont une longévité moyenne de 6 ans.

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La pollution s’attaque aussi à notre cerveau


La pollution est-elle vraiment ce que nous voulons donner en héritage à nos enfants. En plus de l’environnement qui en souffre, on sait que la pollution est responsable des troubles respiratoires et cardiovasculaires, sauf que c’est pire que l’on pensait, le cerveau peut en souffrir terriblement, et ce, à plusieurs niveaux
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La pollution s’attaque aussi à notre cerveau 

 

La pollution s'attaque aussi à notre cerveau

 

Il est temps de partir respirer l’air pur et de se mettre au vert car la pollution est néfaste pour notre cerveau. De plus en plus d’études attestent des effets de différents polluants sur le déclin cognitif, le QI et les troubles du comportement des enfants.

Notre cerveau davantage exposé à la pollution

« On connait le lien entre la pollution et les maladies respiratoires et cardiovasculaires mais ce que l’on sait moins, c’est qu’elle altère aussi le cerveau. Le nombre de publications scientifiques sur ce sujet augmente chaque jour davantage », affirme le Dr Véronique Narboni, vice-présidente de Sustainable Brain Health Institute.

Cette association, créée l’année dernière et située à Bruxelles, s’est donnée comme objectif de sensibiliser le grand public européen sur la nécessité de protéger nos neurones.

« Le cerveau est un organe clé, il faut prendre soin de lui tout au long de notre vie et pas seulement quand on commence à perdre la mémoire, souligne-t-elle. D’autant que l’espérance de vie s’accroit et qu’il est donc exposé plus longtemps à de nombreux polluants ». 

La pollution atmosphérique en cause

Aux États-Unis, une étude, réalisée dans la région de Boston sur des seniors, montre une baisse des performances cognitives chez les plus exposés aux particules fines émises par les gaz d’échappement des voitures. Une étude suédoise note également que les riverains de zones d’intense trafic routier ont 40% de risques supplémentaires de déclarer une démence de type Alzheimer. Selon toute hypothèse, la pollution pourrait provoquer une réaction inflammatoire. Des chercheurs ont, en effet trouvé, des traces d’inflammation sur l’hippocampe de souris soumises à un air pollué qui présentaient, par ailleurs, des troubles de la mémoire et des signes anxiodépressifs. Les particules fines pourraient aussi accélérer le vieillissement du cerveau en réduisant sa substance blanche. Autre nouvelle inquiétante : une vaste étude* vient de révéler que la pollution de l’air est responsable de 10,2% des AVC dans les pays développés et 33% dans les pays pauvres.

Attention au cerveau des enfants

D’autres polluants s’attaquent à notre matière grise. C’est le cas des substances chimiques dont certaines peuvent être très toxiques pour le cerveau.

En 2009, l’Inserm a reconnu que « l’exposition aux pesticides double le risque de maladie de Parkinson chez les agriculteurs ».

La maladie figure désormais sur la liste des maladies professionnelles. Mais si, aujourd’hui, tout le monde est en contact avec des polluants, à commencer par l’air intérieur des maisons, les plus vulnérables sont les enfants à cause de leur cerveau en développement.

« Notre cerveau n’a qu’une seule chance de se développer. Les dégâts subis par le cerveau d’un fœtus ou d’un enfant seront probablement irréversibles », écrit Philippe Grandjean (2). Dans son dernier livre, ce professeur de médecine environnementale à Copenhague et Harvard, reconnu comme l’un des plus éminents spécialistes internationaux du sujet, n’hésite pas à parler de « fuite chimique des cerveaux ». 

Trop de pollution : baisse du QI, trouble de la mémoire, autisme…

Des chercheurs, ayant mesuré les taux de deux phtalates (plastifiants utilisés partout) dans les urines de 328 New-Yorkaises pendant leur troisième trimestre de grossesse, ont suivi ensuite leurs enfants.

Résultat : à l’âge de 7 ans, chez les bébés dont les mamans avaient les concentrations les plus hautes, le QI était inférieur de 7 points à celui des enfants exposés in utero à des doses moindres. En France, un travail de l’Inserm a noté que les enfants qui présentaient les plus forts taux de pyréthrinoïdes (produit antipoux et antimoustiques) avaient plus de difficultés dans  compréhension verbale et la mémoire de travail que ceux qui en avaient moins. D’autres travaux montrent que des substances, désormais interdites mais très persistances dans l’environnement comme les PCB (utilisés dans les équipements électriques) et que l’on retrouve dans la chaîne alimentaire -à travers les poissons notamment- peuvent entraîner une baisse de la mémoire dès l’âge de 4 ans et des difficultés de concentration à l’âge de 11 ans lorsqu’ils sont décelés en quantité importante dans le cordon ombilical et, en proportion moindre, dans le lait maternel (3). En outre, ces expositions prénatales à de nombreux perturbateurs endocriniens pourraient être en cause dans les maladies neurocomportementales : troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDHA) et du spectre autistique.

Philippe Grandjean : « La prévalence de certains de ces troubles paraît en hausse, ce qui tend à exclure une origine génétique. Les facteurs environnementaux font partie des suspects »

 

Article publié par Brigitte Bègue journaliste santé

Sources :

Conférence de presse « Pensez à votre cerveau ! », organisé par Substainable Brain Health Institute, (Institut pour la santé durable du cerveau), 3 juin 2016, Paris

www.substainable-brainhealth-institute.com

(1) « Global burden of stroke and risk factors in 188 countries, during 1990–2013 », The Lancet Neurology, juin 2016.

(2) « Cerveaux en danger », Philippe Grandjean, Buchet Chastel.

(3) « Polluants chimiques, enfants en danger : les gestes qui sauvent », Anne-Corinne Zimmer, éditions de l’Atelier.

http://www.e-sante.fr/