Le Saviez-Vous ►Le plus grand téléphone du monde mesure 7 mètres de long et il fonctionne


De vieux records Guinness sortie des oubliettes. Le plus grands téléphone en 1988 et le plus petit en 1996. Même s’ils fonctionnent, ce n’est vraiment pas pratique, donc des records qui selon moi, sont inutiles
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Le plus grand téléphone du monde mesure 7 mètres de long et il fonctionne

 

 

RECORD – Le livre Guinness des records dévoile la vidéo du plus grand téléphone du monde, conçu en 1988 aux Pays-Bas. L’engin mesure 7 mètres de long et 2,50 mètres de hauteur.

 

Vous en avez assez de chercher votre portable dans les méandres de votre sac pendant des heures ? Imaginez maintenant qu’il fasse la taille d’une maisonnette et pèse le poids d’un petit éléphant. Une vidéo exhumée des archives par le livre Guinness des records et postée sur YouTube le 6 juin, présente cet énorme engin, construit en 1988 par une compagnie d’assurance aux Pays-Bas.

Une grue pour soulever le combiné

Le combiné de 7 mètres de long repose sur un socle de 6 mètres, à 2,50 mètres de hauteur. Le mieux ? Ce téléphone, dans le design des appareils de l’époque, fonctionne parfaitement. Le site Guinness précise toutefois qu’il faut une grue pour soulever l’énorme dispositif, ce qui a dû être fait pour authentifier le record, il y a près de 30 ans.

A l’autre extrémité dans le monde des grandeurs, le site rappelle que le téléphone le plus petit au monde a été créé en 1996 aux Etats-Unis et mesure 5 cm par 2 cm, soit à peu près la taille d’une phalange. Petit comme grand, pas sûr en revanche que ces téléphones soient les plus pratiques du monde.

Le plus petit téléphone du monde mesure 5 cm de longueur. 

Le plus petit téléphone du monde mesure 5 cm de longueur.

Guinness World Records

http://www.metronews.fr/

Une Terre Neuvienne appelle le 911 parce que sa pizza n’a pas assez de fromage


Si un numéro d’urgence a été instauré dans les pays, ce n’est pas pour des pacotilles. C’est drôle de lire comment certaines personnes utilisent les urgences, comme le 911 au Canada et États-Unis, mais c’est une perte de temps pour ceux qui ont de vraies urgences, que leur vie est en danger, ou qu’ils sont vraiment blessés, perdus ….
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Une Terre Neuvienne appelle le 911 parce que sa pizza n’a pas assez de fromage

 

Une Terre-Neuvienne en colère a appelé le 911 pour se plaindre que sa pizza n’avait pas assez de fromage.

L’agent Geoff Higdon de la Force constabulaire royale de Terre-Neuve a pris l’appel effectué vendredi par une résidante de la région de Saint-Jean.

Il a expliqué que la dame était fâchée de la réponse offerte par le restaurateur qui lui avait vendu la pizza après qu’elle l’eut informé du problème et semblait s’attendre à ce que la police fasse quelque chose.

M. Higdon a plutôt suggéré à la femme de communiquer avec le gérant du restaurant.

Selon l’agent, le corps policier terre-neuvien reçoit fréquemment des appels farfelus.

Il n’est pas le seul puisque, partout dans le monde, les services d’urgence doivent composer avec des plaintes qui n’ont rien à voir avec leur mission.

Le mois dernier, un service d’incendie de Las Vegas avait organisé une conférence de presse afin d’aviser le public de ne pas téléphoner pour des « orteils foulés ou des maux de gorge ». En février, les forces de l’ordre du Kentucky avaient révélé que des gens appelaient souvent pour leur demander comment se rendre à un endroit donné.

En décembre 2015, E-Comm911, le plus important centre d’appels 911 de la Colombie-Britannique, avait dressé la liste des pires raisons pour communiquer avec les services d’urgence en s’appuyant sur des appels faits par des membres du public durant l’année.

Parmi ces motifs: demander le numéro du vendeur de pneus local, rapporter un problème avec une distributrice, demander le numéro de la ligne pour les situations non urgentes, se plaindre qu’une voiture est stationnée trop près de la leur, signaler un enfant qui refuse de mettre sa ceinture de sécurité, informer la police qu’un café n’a pas voulu leur offrir un remplissage gratuit, demander s’il était permis de se stationner dans la rue, rapporter que leur colocataire avait utilisé leur brosse à dents, réclamer de l’aide pour récupérer un ballon de basketball coincé dans un arbre et se plaindre que le bruyant système de ventilation de leur immeuble les empêchait de dormir.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Les femmes et les enfants d’abord, c’est toujours valable


Je suis aussi du même avis que la conclusion. Théoriquement, il se peut très bien qu’on pense à sauver les femmes et les enfants, mais en cas de réalité, face à une mort, une souffrance imminente, les normes sociales ont s’en balance et c’est chacun pour soi
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Les femmes et les enfants d’abord, c’est toujours valable

 

Une gravure du naufrage du Titanic, le 14 avril 1912. AFP.

Une gravure du naufrage du Titanic, le 14 avril 1912. AFP.

Repéré par Peggy Sastre

Que ce soit par altruisme ou par égoïsme, les hommes ont toujours théoriquement plus de risques d’être sacrifiés en premier.

Que ce soit par altruisme ou par égoïsme, nous serions toujours plus enclins à sacrifier la vie d’un homme que celle d’une femme, estime une équipe de chercheurs en psychologie expérimentale dont l’étude a été publiée fin mai dans la revue Social Psychological and Personality Science.

Une étude qui tend à montrer que, malgré des décennies de féminisme et de progrès en matière d’égalité des sexes, les normes sociales nous poussent encore à considérer comme «normale» la mort ou la souffrance d’un homme et de voir dans celles d’une femme un phénomène «moralement inacceptable», explique Dean Mobbs, maître de conférences en psychologie à l’Université de Columbia, l’un des coauteurs de l’article.

Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques ont mené trois expériences, dont la première impliquait le dilemme du tramway –un classique des recherches en psychologie sociale et en philosophie morale expérimentale. Ses 202 participants (98 femmes, 104 hommes, d’une moyenne d’âge de 34,8 ans) devaient choisir entre un homme, une femme ou une personne de genre neutre à sacrifier pour en sauver cinq autres. Résultat, les hommes comme les femmes étaient significativement plus susceptibles de vouloir précipiter un homme ou une personne neutre sur les rails.

Dans une seconde expérience, 57 personnes (dont 32 femmes, d’une moyenne d’âge de 25,21 ans) recevaient 20 livres (un peu plus de 25 euros) et on leur disait que leur gain pouvait être multipliée par 10 s’ils acceptaient (en pensée) d’électrocuter un tiers. Comme dans la première expérience, les femmes avaient moins de risques de se faire électrocuter, qu’importe que cela soit financièrement désavantageux pour les cobayes. A noter que si les hommes, comme les femmes étaient plus réticents à électrocuter une femme pour de l’argent, les femmes l’étaient d’autant moins.

Dans une troisième et dernière expérience, les chercheurs allaient soumettre 350 personnes à divers questionnaires visant à évaluer les normes sociales à l’œuvre dans ces biais psychologiques favorables aux femmes (ou défavorables aux hommes, question de point de vue). Les participants devaient répondre à des questions du style

«Lors d’un naufrage, qui sauvez-vous en premier?» (les hommes/les femmes/personne/tout le monde sans ordre particulier); «Est-il socialement plus acceptable de faire souffrir un homme/une femme pour de l’argent?»; «Quel sexe supporte mieux la douleur?», etc.

Ici encore, les réponses des participants accréditaient la thèse des scientifiques, à savoir qu’il est plus acceptable de sacrifier un homme et de protéger une femme. Détail intéressant: le phénomène n’avait rien à voir avec l’émotion, vu que les volontaires considéraient la souffrance infligée à un homme ou à une femme comme parfaitement équivalente sur le plan de la répulsion affective.

Là où on peut se rassurer (ou pas), c’est en se rappelant l’étude publiée dans les PNAS en 2012 par deux chercheurs de Berkeley et qui passait au crible le bilan humain réel de dix-huit catastrophes maritimes courant sur trois siècles d’histoire. Les chercheurs n’avaient observé aucun biais sexuel ni genré particulier dans les personnes sauvées ou noyées et en avaient conclu que, face à un véritable dilemme de vie ou de mort, la seule règle appliquée demeurait le «chacun pour soi».  

http://www.slate.fr/

Qui était vraiment Lucy l’australopithèque ?


Qui est vraiment Lucy l’australopithèque, qu’on croyait être une arrière-arrière… grand-mère. D’autres découvertes, on croit que maintenant qu’elle serait une cousine lointaine. Grâce à ses os, ils ont aussi appris plus de chose sur Lucy : sa manière de se déplacer, de se nourrir, de son alimentation.
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Qui était vraiment Lucy l’australopithèque ?

 

Le paléontologue français Yves Coppens pose dans le cadre de l'exposition "Lucy à Carnac", le 10 juillet 2004 près d'une reconstitution de Lucy, australopithèque dont les ossements originaux sont conservés au musée d'Addis Abeba. © FRED TANNEAU / AFP

Le paléontologue français Yves Coppens pose dans le cadre de l’exposition « Lucy à Carnac », le 10 juillet 2004 près d’une reconstitution de Lucy, australopithèque dont les ossements originaux sont conservés au musée d’Addis Abeba. © FRED TANNEAU / AFP

C’est LA star incontestable d’il y a -3,2 millions d’années. Elle ? Lucy, ce pré humain dont les ossements ont été découverts dans les années 70 par une équipe internationale de paléontologues dont le célèbre Yves Coppens.

Des os à l’australopithèque Lucy

En 1974, Yves Coppens, Donald Johanson et Maurice Taieb, en fouillant le site d’Hadar, au nord-est de l’Ethiopie, découvrent des ossements de pré-humain. Ce qui aurait pu n’être qu’une relativement banale découverte se révélera un trésor lorsque les paléontologues réaliseront que tous ces os (52 exactement) ont la même couleur, les mêmes proportions et ne peuvent donc qu’appartenir à un seul être. Avec 40% des os que nous possédons tous, ce squelette de 3,2 millions d’années est le plus complet jamais découvert. Cette créature venue du fond des âges, nommée Lucy en écho à la chanson des Beatles « Lucy in the sky with diamonds » que les archéologues écoutaient au moment de la trouvaille, sera, en 1978, rattachée à l’espèce des Australopithecus afarensis.

Lucy aimait grimper dans les arbres et savait couper sa viande

Un peu comme une carte d’identité profonde, les os permettent d’en savoir beaucoup sur leur propriétaire : sa taille bien sûr, son poids approximatif, son régime alimentaire (en étudiant ses dents) et même ses gestes via l’étude des articulations… Alors, ceux de Lucy, que nous disent-ils ? Qu’elle mesurait entre 1,10 m et 1,20 m pour 25 kg, possédait un visage prognathe et un petit cerveau d’environ 400 cm3. D’autres crânes d’Australopithèques afarensis découverts ensuite, plus volumineux, suggèrent qu’il existait un fort dimorphisme sexuel dans cette espèce : aussi, du fait de son petit gabarit, Lucy serait donc une femelle. S’il est peu probable que Lucy ait été une chasseuse, son faible volume cérébral ne l’empêchait pas de découper la viande avec des outils, comme le laissent penser des ossements retrouvés bardés de traces de pierre. D’abord imaginée végétarienne, Lucy serait donc plus vraisemblablement, une charognarde. Parmi les os de Lucy, fémur et bassin en disent long sur sa façon de se déplacer : Lucy était bipède lorsqu’elle marchait -de manière chaloupée-, mais elle préférait sans doute grimper dans les arbres, comme en témoignent ses membres supérieurs un peu plus longs que ses membres inférieurs. Ces caractéristiques la classent donc, entre nos ancêtres purement grimpeurs et nos ancêtres essentiellement bipèdes.

Lucy, notre arrière arrière arrière (…) grand-mère ? Pas tout à fait…

Du fait de sa bipédie, Coppens et ses collègues ont cru qu’A. Afarensis était un de nos ancêtres direct. Mais de nouvelles découvertes sont venues ébrécher cette idée notamment lorsque l’on a trouvé Toumaï, un squelette de pré humain âgé de 7 millions d’années, déjà bipède. On pense donc aujourd’hui qu’il y a 8 à 10 millions d’années, lorsque les lignées des grands singes et celles des humains ont pris des chemins séparés, une sorte d’embranchement évolutif a permis l’émergence de nombreuses lignées de pré humains « dont Lucy est une fleur », pour citer le paléontologue. Aujourd’hui, il est admis que les Australopithèques afarensis se situent sur une branche déjà séparée de celle du genre Homo. Lucy serait donc, non pas une grand-mère mais une très ancienne cousine éloignée.

Pourquoi Lucy est elle si célèbre ?

Depuis Lucy, d’autres A. afarensis ont été découverts. Divers ossements, attribués à des individus aux noms tels que AL 200-1 ou AL 444-2 ont été mis à jours en Ethiopie et au Kenya. On a même trouvé les ossements d’une famille de 13 individus en 1975. Puis a été exhumée une jeune australopithèque, Selam, en décembre 2000, à quatre kilomètres du lieu où Lucy a été découverte. Mais tous ces ancêtres n’ont pas été si « incarnés » que Lucy, sur qui on pouvait projeter une silhouette et presque un visage, pour la première fois.

Selon Coppens, « le fait que ce soit une femme a beaucoup joué. On l’a présentée – à tort – comme la mère de l’humanité. Elle est devenue le symbole de la naissance de l’homme. »

Par Marina Lena

http://www.sciencesetavenir.fr/

Le guide ultime pour bien caresser votre chat !


Si je me fis à ma Fripouille, qui ne se gène pas du tout pour dire qu’elle aime ou n’aime pas, le visage et la tête est en effet des zones qu’elle adore et peut même en redemander
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Le guide ultime pour bien caresser votre chat !

 

On le sait tous, caresser un chat de la mauvaise manière, c’est s’exposer un coup de griffes bien senti ! Après la lecture de cet article, vous ne risquerez plus rien :

Nombre de propriétaires de chats affirmeront ne pas avoir besoin d’une quelconque étude pour parfaitement savoir comment caresser et gratouiller leur chat bien-aimé. Les félins ne savent-ils pas nous demander à leur façon de continuer ou bien au contraire de les laisser tranquilles ?

Toujours est-il que des chercheurs de l’université britannique de Lincoln ont mené une très sérieuse étude sur le sujet. Leurs conclusions ? Elles tiennent en un dessin : celui d’un chat dont le corps est divisé en trois zones.

D’après ce fort simple schéma, si vous souhaitez faire plaisir à votre chat,papouillez-lui la tête sans complexe en insistant sur le contour des lèvres, le menton et les joues, où les chats ont des glandes odoriférantes.

Evitez en revanche la queue, chose que vous saviez certainement déjà. Quant aux caresses sur le reste du corps ? Cela le laisserait de marbre.

Cette étude publiée dans le journal Applied Animal Behaviour, a été menée auprès de 54 chats, et la plupart d’entre eux ont refusé d’être caressés à la base de leur queue. Il s’agirait d’une zone particulièrement érogène hyper stimulée par les caresses.

L’ordre dans lequel vous papouillez votre cher et tendre compagnon n’aurait quant à lui aucune importance. Cela tendrait à prouver qu’ils ressentent et réclament les caresses comme quelque chose d’apparenté au toilettage.

Ce n’est pas la première fois que des chercheurs de l’Université de Lincoln se penchent sur le sujet. En 2013, le professeur Daniel Mills et son équipe affirmait que les caresses pouvaient devenir une source de stress pour les chats qui pour la plupart les toléreraient plus qu’ils ne les apprécieraient.

http://wamiz.com/

L’arthrite et le suicide, un lien inattendu


Un lien qui n’avait pas été envisagé entre les tentatives de suicide et l’arthrite. Et cela peut augmenter selon ce qu’à vécu la personne ou dans le milieu qu’elle vit
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L’arthrite et le suicide, un lien inattendu

 

L'arthrite et le suicide, un lien inattendu

© Thinkstock

Selon une nouvelle étude menée par l’Université de Toronto (au Canada), les personnes qui souffrent d’arthrite auraient 46 % de risques supplémentaires de faire une tentative de suicide au cours de leur vie.

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs canadiens ont travaillé pendant 4 ans (à partir de 2012) avec un panel de plus de 20 000 volontaires : 4885 adultes souffrant d’arthrite et 16 859 adultes en bonne santé.

Conclusion ?

« Il existe un véritable lien entre l’arthrite et la tentative de suicide », explique Natasha Ramzan, co-auteur de ces travaux, publiés dans la revue spécialisée Rheumatology International . « Même en tenant compte de certains facteurs, comme l’âge, la situation sociale, la douleur ou les troubles psychologiques… on observe une augmentation de 46 % environ par rapport aux sujets sains. »

Un facteur de risque aussi sérieux que la dépression

« Par ailleurs, chez les adultes qui souffrent aujourd’hui d’arthrite mais qui ont connu des maltraitances et/ou des abus sexuels au cours de leur enfance, ce chiffre est encore multiplié par 3. Et lorsque le patient est jeune ou issu d’un milieu social précaire, cela joue également. »

Les scientifiques estiment même que l’arthrite serait un facteur de risque aussi sérieux que la dépression…

L’arthrite (ou « rhumatisme inflammatoire chronique ») recouvre de nombreux problèmes articulaires : tendinite, bursite, polyarthrite rhumatoïde ... Elle survient lorsqu’il y a une inflammation de la membrane synoviale, le tissu qui tapisse l’intérieur d’une articulation. En France, les experts estiment que 650 000 personnes souffriront d’arthrite au cours de leur vie. Des patients qui mériteraient peut-être un suivi psychologique…

*Source : Observatoire national du suicide, rapport annuel de 2014.

http://www.topsante.com/