Les enfants


C’est tout un exercice de patience avec des enfants .. et petits enfants. Il y a des jours qui sont assez mouvementés
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Les enfants

 

« Les enfants peuvent t’apprendre beaucoup de choses : par exemple, toute la patience que tu as. »

Franklin P.Jones

Un test ADN bouleversant


 

Qui sommes-nous ? Nous avons une nationalité, mais pourtant, nos gènes nous racontent que nous sommes des citoyens du monde. En effet, nous transportons en nous, l’ADN qui provient de plusieurs pays du monde
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Un test ADN bouleversant

 

 

Vous êtes probablement très fiers de vos origines et de votre pays, mais comment réagiriez-vous si vous découvriez que votre héritage familial provenait en fait d’une autre culture?

C’est ce qu’une dizaine de participants de différentes nationalités ont réalisé lors d’une expérience plutôt troublante. En effet, le site de voyage « Momendo » a invité des gens à faire une analyse ADN à partir de leur salive afin de retracer les origines de leurs ancêtres.

Les résultats ont choqué les candidats! Plusieurs sont devenus tellement émus qu’ils avaient peine à retenir leurs larmes.

L’une des participantes a même découvert qu’un cousin proche se trouvait parmi eux!

Le but de cette initiative était de briser les frontières en démontrant que nous sommes tous unis d’une façon ou d’une autre. Mission accomplie!

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Le Saviez-Vous ► Pourquoi les chiens sont-ils obsédés par vos fesses ?


Il vous arrive qu’un chien vienne vous sentir l’arrière-train, c’est gênant, surtout en public. Pourtant, c’est sa manière d’avoir des informations sur les autres chiens, sauf que sur l’homme, ces informations ne correspondent pas à son langage
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Pourquoi les chiens sont-ils obsédés par vos fesses ?

 

Photo : Pixabay

PASSION – Le meilleur ami de l’homme et le derrière des autres, c’est un peu une histoire d’amour. Une telle obsession peut s’avérer drôle, parfois gênante. Mais comment expliquer cette fascination pour les postérieurs ?

 

► Les faits

Le chien de votre ami n’a d’yeux (et de truffe) que pour vos fesses ? Ou a contrario, vous tentez d’épargner ces longues minutes d’esquive aux nouvelles connaissances de votre fidèle toutou ? Rassurez-vous, votre chien ou celui de votre ami n’est pas un obsédé. Et le derrière de ses victimes n’a rien à se reprocher non plus. L’irrémédiable attirance des chiens vers les postérieurs des autres est naturelle – et bien plus complexe qu’on ne le pense.

► Pourquoi

Pour comprendre cette étrange manie canine, il faut tout d’abord savoir que le chien fait honneur à sa réputation de fin limier. Il possède une truffe de compétition, entre 10.000 et 100.000 fois plus puissante que le nez humain, selon The American Chemical Society. Lorsqu’il renifle quelque chose, son « organe voméro-nasal » situé dans le museau lui permet de détecter les hormones et d’adapter son comportement en fonction.

Montre-moi ton anus, je te dirai qui tu es

Quel rapport avec la croupe, direz-vous ? Muni de sa super-truffe, le chien est capable d’identifier tout ce qu’il y a à savoir sur un autre chien en reniflant son derrière : son sexe, son régime alimentaire, son état émotionnel… Ces informations sont livrées par des glandes situées autour de l’anus du chien. Elles lui permettent d’établir une communication chimique avec ses semblables. En somme, les fesses de ses copains sont pour lui comme des profils Facebook.

► Conclusion

Pour mieux vous connaître, le chien a donc le même réflexe qu’avec ses pairs : sentir votre arrière-train. Lorsqu’il vient vous renifler, il pose tout simplement la question : « Qui es-tu ? ». Il n’aura cependant pas les informations escomptées, puisque nous ne disposons pas de ces glandes périnanales qui constituent l’encyclopédie du chien. En revanche, vous savez désormais comment demander Médor en ami, dans son langage.

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De l’urine pour chauffer sa douche ou son repas


L’eau chaude pour 15 minutes de douche, chauffer une cocotte-minute pendant 1 heure voir même donner de l’oxygène pour les astronautes pour les longs voyages avec de l’urine. Il semble que c’est prometteur, mais reste à savoir si cela est rentable
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De l’urine pour chauffer sa douche ou son repas

 

Pour chauffer l'eau de la salle de bain... (PHOTO ARCHIVES AP)

Pour chauffer l’eau de la salle de bain et prendre une douche de 15 minutes, il faut seulement 13 à 21 millilitres d’urine, précise M. Luna-Sandoval. Et pour faire cuire des haricots dans une cocotte-minute pendant une heure, 70 à 130 millilitres sont nécessaires.

PHOTO ARCHIVES AP

 

JENNIFER GONZALEZ COVARRUBIAS
Agence France-Presse
Mexico

Alors qu’il était aux toilettes, il a eu une soudaine révélation. Neuf ans plus tard, Gabriel Luna-Sandoval a créé une technologie permettant d’utiliser de l’urine pour chauffer de l’eau, cuisiner et même faciliter les voyages dans l’espace.

À l’aide d’une électrolyse effectuée sur son urine, ce scientifique mexicain de 41 ans est parvenu à séparer les molécules d’hydrogène et d’oxygène contenues dans le liquide, et utiliser l’hydrogène pour produire du biogaz.

L’oxygène produit pourrait quant à lui servir à respirer en cas d’urgence, notamment pour les astronautes lors des longs voyages spatiaux, qui pourraient emporter avec eux un petit réservoir d’où ils pourraient extraire l’oxygène de leur urine, estime l’inventeur.

Consultée par l’AFP, l’Agence spatiale mexicaine a affirmé que cette découverte était « une grande innovation », « de haute viabilité ».

Mais pour le scientifique de l’Université de Sonora, le principal intérêt de ce travail est de pouvoir utiliser une substance alternative au gaz de pétrole liquéfié (GPL), qui contribue au réchauffement climatique et pollue l’intérieur même des habitations.

Des amis du scientifique, adeptes de « l’urinothérapie », utilisaient ce liquide pour ses prétendues vertus thérapeutiques et lui avaient confié à quel point ce liquide était salé.

« J’ai alors aussitôt pensé : c’est un électrolyte ! » se souvient Gabriel Luna-Sandoval.

Il était donc possible d’effectuer une électrolyse pour en séparer les molécules.

« Liquide vital »

« Combien d’urine se perd au cours des années ? » : voilà la question qui a poussé ce docteur en ingénierie mécanique sur la voie de cette recherche. « Un adulte produit 1,4 litre d’urine par jour », soit 25 550 litres en 50 ans.

À force de travail, le scientifique a réussi à créer un prototype : une petite cuve en acrylique de 20 centimètres carrés équipée d’électrodes métalliques, où est stockée et transformée l’urine produite quotidiennement.

Pour chauffer l’eau de la salle de bain et prendre une douche de 15 minutes, il faut seulement 13 à 21 millilitres « de ce liquide vital », précise M. Luna-Sandoval. Et pour faire cuire des haricots dans une cocotte-minute pendant une heure, 70 à 130 millilitres sont nécessaires.

Le biogaz n’a pas d’odeur. « Ni les haricots ni l’eau de la douche » ne rappelleront à leur utilisateur l’origine du combustible, assure le scientifique en souriant.

Pour réduire les odeurs de la cuve générées par la concentration d’ammoniaque au fil des jours, « nous passons l’urine par un filtre spécial ». Ce filtre pourrait être branché à un tuyau d’arrosage pour être constamment nettoyé, précise-t-il.

L’hydrogène produit dans le réservoir peut aussi être utilisé pour faire fonctionner des moteurs à combustion interne.

« Nous avons même fait des tests pour mettre en route des petits générateurs d’électricité », explique le chercheur.

Pour recueillir l’urine directement dans les toilettes sans avoir à la transvaser manuellement, le scientifique propose d’installer des urinoirs qui seraient reliés au réservoir de transformation par un système de tuyauterie.

Sa technologie a été brevetée il y a un mois, et selon Ulises Cano, membre du Système national des chercheurs du Mexique, et expert en électrochimie, l’invention « n’est pas insensée » et possède « une viabilité technique ». Reste maintenant à déterminer « si elle possède une viabilité économique », indique-t-il.

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Australie : des milliers d’araignées forment un toit de soie sur les arbres pour fuir les inondations


Dans certains pays quand il pleut, et que les rivières sortent de leur lit, il pleut aussi des araignées qui tissent de toiles un peu partout dans les airs
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Australie : des milliers d’araignées forment un toit de soie sur les arbres pour fuir les inondations

 

Les linyphiidae font parties des araignées qui construisent ce genre de toile-cocons.

Photo : ARDEA/MARY EVANS/SIPA

En Tasmanie, un malheur peut en cacher un autre. En proie à de violentes tempêtes le weekend du 4 juin, l’état australien fait face à de fortes crues et autres coulées torrentielles. Un scénario qui devrait vous rappeler quelque chose.

Mais en Australie, terre des vilaines bêbêtes, une inondation peut être synonyme de toiles d’araignée géantes. Pour fuir une noyade assurée, les plus jeunes araignées locales se sont réfugiées au sommet des arbres près de la ville de Launceston, dans le Nord de l’île selon le Sydney Morning Herald. Leur technique (qui va vous glacer) : la « montgolfière ».

Des araignées « volantes »

« Elles se hissent jusqu’à un point en hauteur– au sommet d’un brin d’herbe par exemple – puis elles pointent leur abdomen vers le ciel et sortent un fil de soie », explique Graham Milledge, expert en arachnologie du Australian Museum. « Le vent emporte le fil qui sert de parachute et les entraîne au loin ».

Les araignées s’agglomèrent naturellement dans les branches des arbres, créant cette couverture de soie par-dessus la végétation.

« Les gens ne réalisent pas à quel point les araignées sont nombreuses, jusqu’à ce que ce genre d’évènement se produise », constate Graham Milledge.

Ce phénomène, qui reste rare selon le spécialiste, n’est pourtant pas inhabituel.

Un phénomène normal

En cas de menace, les araignées vivant sur ou sous la terre y ont souvent recours, comme les bébés araignées-loup ou encore les linyphiidae. En mai 2015, et toujours en Australie, les résidents avaient même affirmé qu’il « pleuvait des araignées », alors que celles-ci se promenaient tranquillement dans les airs, en période de migration.

Une araignée-loup porte ses bébés sur le dos. 

Une araignée-loup porte ses bébés sur le dos.

Photo : Newspix / Rex Features/REX/SIPA

En 2011 après des pluies similaires, le même phénomène s’était produit au Pakistan. Les araignées en cocons autour des arbres avaient cependant réduit drastiquement la population de moustiques. Un mal pour un bien.

Au Pakistan, le même phénomène s'était produit en 2011. 

Au Pakistan, le même phénomène s’était produit en 2011. 

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Ces siamois partagent presque tous leurs organes


Des enfants siamois, il y en a plusieurs dans le monde, mais de sexe différent, je crois que c’est plutôt rare. Malheureusement, dans un pays comme l’Inde, pas d’argent, pas de transport, ni de soins spécialisés
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Ces siamois partagent presque tous leurs organes

 

Ces siamois partagent presque tous leurs organes

Les chances de survie de tels siamois sont minces.Capture d’écran YouTub

Des parents indiens vivent dans l’angoisse depuis que la mère a donné naissance à des jumeaux siamois joints à l’abdomen, avec quatre bras mais seulement une paire de jambes, dont les chances de survie sont estimées très minces.

Les jumeaux, qui seraient de sexe différent, sont nés la semaine dernière dans une clinique d’un village du nord-est de l’Inde, a rapporté le quotidien britannique Daily Mail.

«Même s’ils ont quatre mains, ils ont deux jambes attachées à un côté et partagent presque tous leurs organes vitaux», a indiqué le médecin Dr. Ravi Kumar Gupta au tabloïd britannique.

Les parents ont été stupéfaits lorsqu’ils ont découvert leur progéniture. La mère de 24 ans avait fait plusieurs vérifications de routine durant sa grossesse, dont des ultrasons, mais les parents savaient seulement qu’il s’agirait de jumeaux.

Les bébés ont fait l’objet de deux transferts vers de plus grands hôpitaux en ville, en raison de leur état de santé qui se détériorait.

«Leur état est stable mais ils ont besoin de soins spéciaux donc nous les avons référés à un établissement de santé avancé», a expliqué le Dr. Ravi Kumar Gupta.

Un problème toutefois: il faudrait désormais se rendre à Delhi pour soigner les bébés, soit très loin de la région d’origine des parents.

Ceux-ci étant incapables de se permettre le coût prohibitif des traitements ou même les frais de transport, ils se sont dit forcés de simplement retourner à la maison avec leurs enfants.

Les chances de survie de tels jumeaux sont toujours minces – entre 5 et 25 %, selon le Daily Mail.

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Un poisson qui a l’oeil : il reconnaît les visages


Les poissons sont plus intelligents que l’on croit, les chercheurs ont choisi des poissons-archers qui ont une très bonne acuité visuelle pour leurs tests. Ils ont réussi a reconnaitre des visages à 80 %
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Un poisson qui a l’oeil : il reconnaît les visages

 

Pas si bête: un poisson exotique a démontré son talent pour reconnaître les visages, en dépit de son petit cerveau, une première, ont annoncé des chercheurs.

L’auteur de cet exploit ? Le Toxotes chatareus ou poisson-archer, déjà réputé pour les jets d’eau puissants qu’il crache sur ses proies hors de l’eau.

« C’est la première fois que l’on démontre la capacité d’un poisson à reconnaître des visages humains », souligne l’Université d’Oxford, qui a participé à l’étude publiée mardi dans la revue Scientific Reports (Nature).

De quoi regarder d’un autre oeil ce poisson tropical au corps rayé de bandes noires que l’on peut élever en aquarium.

« Je pense que le grand public serait étonné de savoir combien ces poissons sont intelligents », a déclaré à l’AFP Caitlin Newport, du département de zoologie de cette université.

« Etre capable de faire la distinction entre un grand nombre de visages est une tâche étonnamment difficile », ajoute-t-elle.

De ce fait, les scientifiques ont longtemps considéré que cette tâche ne pouvait être accomplie que par des animaux possédant un néocortex, la partie la plus élaborée, la plus étendue et la plus récente du cerveau. Elle est notamment responsable du traitement de l’information sensorielle.

Présent chez les mammifères, le néocortex est particulièrement développé chez les primates. Chez l’homme, il représente 80% du poids du cerveau.

Les chercheurs de l’Université d’Oxford et ceux de l’Université de Queensland (Australie) ont voulu tester les capacités du poisson, qui ne possède pas de néocortex.

Les scientifiques ont choisi le poisson-archer, qui vit dans les mangroves en Asie et possède une très grande acuité visuelle. Il crache sur les insectes qui sont perchés sur des feuilles ou des tiges, avec un jet très précis qui déstabilise ses proies et les fait tomber dans sa bouche grand ouverte.

Ils apprennent vite

Les scientifiques ont entraîné un petit échantillon de poissons-archers à l’aide d’un écran d’ordinateur disposé au dessus de leur aquarium.

Le poisson s’est vu présenter deux visages et a appris à tirer son jet sur l’un d’eux, remportant au passage une récompense.

On lui a ensuite montré le visage connu et une série de nouvelles faces humaines, assez peu différenciées. Le poisson a prouvé qu’il était capable de cracher de façon répétée sur le visage qu’il avait appris à reconnaître.

L’expérience, réalisée avec 44 visages, a marché huit fois sur dix.

Dans une seconde expérience, les poissons devaient travailler sur 18 visages en noir et blanc. Là encore leur taux de réussite a été supérieur à 80%.

« Nous avons été agréablement surpris par la vitesse d’apprentissage des poissons et par le degré élevé de leur exactitude », a relevé Caitlin Newport.

« Il est possible que d’autres espèces de poissons qui utilisent leur vision pour leur survie soient également capables de reconnaître des visages », a-t-elle estimé. Mais il est « hautement improbable » que cette capacité soit partagée par toutes les espèces de poissons, dit elle.

« Le fait que le poisson-archer puisse apprendre cette tâche suggère donc qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un cerveau complexe pour reconnaître des visages », souligne Caitlin Newport.

Il a déjà été montré que des oiseaux pouvaient reconnaître des visages mais ils possèdent des structures qui peuvent s’apparenter à un néocortex.

On sait aussi que les chiens, les chevaux, les vaches et les moutons par exemple sont capables de reconnaître des visages. Ils sont dotés d’un néocortex et ils ont de plus été domestiqués, ce qui laisse à penser que l’évolution les a conduit à apprendre à reconnaître celui qui leur apportait des soins.

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E. coli peut survivre à la cuisson de la viande


Une des souches E.Coli est très résistante à la chaleur, d’ou l’importance de bien faire cuire les viandes hachées , saucisses, à au moins entre 71 et 73 degrés Celsius
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E. coli peut survivre à la cuisson de la viande

 

E. coli peut survivre à la cuisson de la viande

Même une bonne cuisson peut s’avérer insuffisante face à E. coli. Photo Fotolia

Bien qu’ils aient fait cuire du bœuf en suivant scrupuleusement les recommandations de température de Santé Canada pour la cuisson des viandes, des chercheurs de l’Université de l’Alberta ont constaté la présence de la bactérie E. coli dans leurs boulettes de burgers.

«Nous avions une vaste collection de souches de E. coli qui provenaient d’usines de transformation de la viande, et nous avons décidé de faire des tests pour savoir si elles étaient résistantes à la chaleur», a expliqué au «National Post» la biologiste Lynn McMullen.

Mme McMullen n’en revenait pas lorsqu’un des étudiants lui a dit qu’une souche avait résisté à 70 minutes de cuisson à 60 degrés Celsius dans un morceau de bœuf cuit.

La biologiste a mentionné que la vaste majorité des souches de E. coli chauffées à 60 °C sont tuées en moins d’une minute.

Surtout, la bactérie est parvenue à endurer une température de 71 degrés Celsius , soit la température recommandée par Santé Canada pour faire cuire de la viande hachée et des mélanges de viande, comme les hamburgers ou les saucisses.

En étudiant le génome des différentes souches de E. coli en leur possession, les chercheurs ont découvert que 2 % des bactéries seraient aptes génétiquement à mieux supporter la chaleur que leurs semblables.

Les chercheurs ont aussi remarqué que le sel améliore la résistance des bactéries E. coli à la chaleur, bien qu’ils ne comprennent pas pourquoi.

En attendant de savoir quelle est la température appropriée pour éliminer toute trace de E. coli, Lynn McMullen recommande d’utiliser un thermomètre de cuire sa viande entre 71 et 73 degrés Celsius.

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