Le silence est souvent plus explicité que la parole pourtant, très peu sont capables de lire le non-verbale
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Le silence
Celui qui ne comprend pas ton silence n’arrivera jamais à comprendre tes mots
Sam Ya…
Le silence est souvent plus explicité que la parole pourtant, très peu sont capables de lire le non-verbale
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Le silence
Celui qui ne comprend pas ton silence n’arrivera jamais à comprendre tes mots
Sam Ya…
Des vers luisants donnent un spectacle magnifique dans des grottes souterraines en Nouvelle-Zélande.
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N’importe qui avec la piqûre du voyage est probablement familier avec lesglowworms (littéralement les vers lumineux) de Waitomo, en Nouvelle-Zélande.
Des milliers de minuscules, brillants, vers habitent ces cavernes souterraines, et le spectacle lumineux qu’ils offrent vaut le détour. Les voyageurs peuvent embarquer dans un tour guidé en barque à l’intérieur des cavernes, mais les lumières de ces créatures luminescentes sont bien difficiles à capturer sur pellicule (et encore plus sur Instagram).
Le photographe Shaun Jeffers a passé une année entière à visiter et à revisiter lesWaitomo glowworm caves pour immortaliser le tout, a-t-il dit à Bored Panda. L’éclairage dans les caves exigeait une exposition de la caméra allant de 30 secondes à six minutes, avec Jeffers qui nageait parfois dans les eaux froides ou en Kayak pour obtenir le meilleur cliché.
Le résultat est une série d’images qui va vous donner des frissons d’émerveillement.
Une maladie génétique rare, permet de courir des heures, voir des jours sans arrêter. Il peut donc faire des marathons de longues distances sans que ses muscles se fatiguent
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La plupart des athlètes seraient d’accord pour dire que l’acide lactique qui s’accumule dans les muscles est le fléau de tous les coureurs de longue distance – mais pas pour le coureur américain Dean Karnazes. L’homme de 53 ans a une maladie génétique rare qui traite rapidement l’acide lactique de son système, lui permettant d’exercer indéfiniment sans jamais éprouver une crampe ou une contraction musculaire. Le coureur extrême a terminé un marathon au Pôle Sud à -25°C, et effectuer 50 marathons complets en 50 jours. Il a également fait du jogging sur une distance de 560 kilomètres en seulement 80 heures et 44 minutes, sans dormir !
Quand les gens font de l’exercice, le glucose est transformer en énergie et un sous-produit de cette réaction est l’acide lactique. Comme il s’accumule dans les muscles, il provoque des crampes, la fatigue, et signale au cerveau d’arrêter. Mais dans le cas de Dean, il ne reçoit jamais ces signaux, car l’acide lactique ne s’accumule pas dans ses muscles. Donc, il est capable de rester « normal »pendant de longues distances sur de très longues périodes de temps, en lui donnant un avantage dans certaines des plus difficiles compétitions d’endurance au monde.
« À un certain niveau d’intensité, je sens que je peux parcourir un long chemin sans me fatiguer », a déclaré Dean à The Guardian. « Peu importe combien je pousse, mes muscles tiennent le coup. C’est plutôt une bonne chose si je prévois de courir un long parcours. Pour être honnête, ce qui arrive finalement est que je deviens somnolent. J’ai couru à travers trois nuits sans dormir et la troisième nuit de course blanche était un peu psychotique. En fait, j’ai eu des épisodes de «sommeil alors que je courrais», où je m’endormais en mouvement, et j’ai juste voulu continuer. »
Dean a couru depuis son enfance, après avoir découvert son extraordinaire capacité d’endurance à un âge très précoce. Il a couru un total de 105 tours autour de la piste de son lycée lors d’une collecte de fonds, alors que la plupart de ses camarades de classe ont abandonné après 15. Mais il arrêté de courir après l’école secondaire, reprenant l’activité seulement après son 30e anniversaire. Malgré l’écart dans son entrainement, il a été en mesure de reprendre simplement là où il s’était arrêté, parcourant 50 kilomètres pendant sa première course. Bien sûr, il a souffert à cause des cloques, mais ses muscles ne montraient aucun signe de fatigue. Depuis, Dean a réalisé des exploits incroyables tels que l’achèvement du « 200-mile Relais » de Calistoga à Santa Cruz par lui-même. Il l’a fait pas moins de 11 fois.
Stupéfait par ses capacités physiques, les médecins ont effectué des tests de lactate sur Dean pour savoir combien de temps il lui faut pour atteindre son seuil d’acide lactique. Le test se termine généralement en 15 minutes pour la plupart des athlètes, mais dans le cas de Dean, les médecins ont tout simplement abandonné après une heure. D’autres coureurs développent un meilleur seuil d’acide lactique après des années de pratique, mais dans le cas de Dean, il semble avoir été né avec la capacité de le débusquer de son système.
« J’ai été envoyé dans un centre de dépistage dans le Colorado », a expliqué Dean. « D’abord, ils ont effectué un test de la capacité aérobie dans lequel ils ont trouvé mes résultats cohérents avec ceux des autres athlètes hautement qualifiés, mais rien d’extraordinaire. Ensuite, ils ont effectué un test de seuil de lactate. Ils ont dit avoir besoin de 15 minutes, au maximum. Finalement, après une heure, ils ont arrêté le test. Ils ont dit qu’ils n’avaient jamais vu quelque chose comme ça avant. »
Dean, père de deux enfants, croit que d’autres facteurs sont en jeu ici aussi, comme son faible pourcentage de graisse corporelle et son régime paléo hautement alcalin. Il se concentre presque toujours sur l’endurance et non la vitesse.
« Je ne me soucie pas à quelle vitesse je vais », dit-il.« Je me soucie de savoir jusqu’où je vais. »
La jalousie ne serait pas juste un sentiment humain, il semble que les moineaux mâles qui soupçonnent une infidélité de leur partenaire deviennent des très mauvais pères
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Les moineaux forment habituellement des couples monogames | Tony Alter via Flickr CC License by
Repéré par Claire Levenson
Les moineaux mâles qui soupçonnent leurs partenaires d’infidélité se vengent en étant de mauvais pères.
Les moineaux mâles donnent moins de nourriture à leurs enfants s’ils savent que leur partenaire est infidèle, selon une étude publiée dans la revue American Naturalist. Pendant douze ans, des biologistes de l’Imperial College London ont étudié la population de moineaux de l’île de Lundy en Angleterre. Et ils ont trouvé que les mâles changeaient de comportement s’ils soupçonnaient les femelles d’avoir eu des petits avec d’autres moineaux, rapporte le Washington Post.
Selon Julia Schroeder, l’auteure principale de l’article, les mâles observent probablement le comportement des femelles pendant leur période de fertilité et, si elles passent beaucoup de temps hors du nid, ils en déduisent qu’elles sont infidèles.
Impression d’infidélité
Les moineaux forment habituellement des couples monogames et les chercheurs ont pu observer la création de 300 couples parmi les 400 oiseaux étudiés. Et il s’avère que certains mâles trompent les femelles aussi, pour des raisons différentes:
«Les biologistes pensent que les oiseaux mâles sont infidèles pour assurer qu’ils engendrent autant de petits que possible, alors que les femelles trompent les mâles avec des partenaires de meilleure “qualité génétique” –ceux qui sont en meilleure santé et peuvent engendrer des petits plus robustes.»
Pour savoir à quel point les femelles et les mâles étaient infidèles, les chercheurs ont étudié les génotypes de chaque moineau et ont retracé leurs arbres généalogiques.
L’étude a aussi permis de montrer que les mâles ne savent pas reconnaître si des petits sont les leurs ou pas. C’est l’impression que sa partenaire femelle est fidèle (ou pas) qui détermine le comportement du mâle.
«Si les petits étaient échangés dans un nid où la femelle était fidèle, alors le père du nid continuait à travailler dur pour nourir les petits, ce qui suggère qu’ils n’ont aucun moyen de déterminer quels petits sont les leurs» explique Schroeder.
Le papa prétend avoir tout essayé pour arracher une dent de lait sauf le dentiste. Ce n’est pas un peu exagéré de sortir un hélicoptère pour une dent ?
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Le petit garçon s’est fait enlever sa dent de lait, accrochée à du fil dentaire relié à un hélicoptère Capture écran Youtube
On a tous essayé lorsqu’on était petit, d’arracher une dent de lait sur le point de tomber. Le père de ce petit garçon a eu une idée que peu pourront essayer : attacher la dent de l’enfant à un fil puis l’arracher grâce à un hélicoptère.
Les techniques sont variées : la dent qu’on relie à la poignée de porte qu’on claque d’un seul coup est la plus classique. Mais ce papa a eu une idée bien singulière pour retirer la dent de lait de son fils, Carson. Il l’a attachée à un fil dentaire qu’il a relié à un hélicoptère ! Pilote depuis 15 ans, Rick Rahim n’a pas hésité à se mettre aux commandes de son hélicoptère, un Augusta A109 de 1000 chevaux ! Des balles de tennis ont été accrochés le long du fil pour l’alourdir et amortir la traction. Puis, à bord de l’engin, le père recule doucement, et en quelques secondes, la dent est arrachée. La petite souris viendra-t-elle aussi en hélicoptère ?
L’incendie à Fort McMurray continue dans des zones non peuplés, il y a même des renforts des pompiers sud-africains, mais les cendres et la poussière à voyager au-delà des océans.
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Photo Cole Burston / AFP
GENÈVE – Des cendres et de la poussière générés par les immenses incendies qui frappent l’ouest du Canada depuis un mois ont atterri en Suisse, selon des météorologues suisses.
«Les feux ont injecté une quantité énorme de poussière dans l’atmosphère» dont la présence «est actuellement mesurée au-dessus de la Suisse», indiquent les autorités météorologiques suisses dans un rapport publié sur son site et repris dans la presse suisse vendredi.
MetéoSuisse affirme avoir déterminé, notamment grâce à des images satellite, que des particules observées à la station de mesure de Payerne, à l’ouest de Fribourg, les 24 et 25 mai, avaient été émises dans l’ouest du Canada les 19 et 20 mai.
Les concentrations mesurées en Suisse ne posent pas de risque sanitaire, souligne l’organisme.
Près de 100 000 personnes avaient évacué en toute urgence la région de Fort McMurray début mai en raison d’un gigantesque feu de forêt. Le feu, qui s’est déplacé à l’est de la ville vers des zones non peuplées, reste hors de contrôle.
Les fumeurs qui veulent éteindre leur cigarette dans un pot de fleurs, c’est une très mauvaise idée. Ce genre de comportement est responsable de plusieurs feux de balcon pouvant détruire toute une maison, un immeuble. Le pire c’est que le feu peut prendre quelques heures avant de se déclarer, voilà l’importance de changer cette mauvaise habitude
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Non, les pots à fleurs ne font pas de bons cendriers. Une douzaine d’incendies ayant pris naissance sur des balcons et terrasses ces dernières semaines dans la métropole inquiète le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM) qui lance un appel à la vigilance. Le risque peut sembler peu élevé, mais certains de ces brasiers ont causé d’importants dégâts.
PIERRE-ANDRÉ NORMANDINLA PRESSE
DOUZE INCENDIES EN QUELQUES SEMAINES
Depuis le retour du beau temps, le SIM a recensé pas moins de 12 incendies provoqués par des cigarettes que des fumeurs ont tenté d’éteindre dans des pots à fleurs. Ce nombre d’événements est suffisamment important pour inquiéter le corps de pompiers, qui prépare une campagne pour sensibiliser les Montréalais à ce risque.
« Oui, il y a une flambée de ces événements, pourrait-on dire. Plusieurs incendies ont débuté dernièrement sur des balcons ou des terrasses et l’origine était chaque fois des articles de fumeur déposés dans des pots ou bacs à fleurs », explique Louise Desrosiers, chef de section à la division de la prévention du SIM.
TERRE QUI BRÛLE
En théorie, la terre ne brûle pas. Voilà, celle des pots ou bacs à fleurs est souvent remplie d’engrais et de matière organique afin de favoriser la croissance des végétaux.
« Les citoyens s’imaginent que la terre est inerte, donc que ça va s’éteindre. Mais malheureusement, ce type de terre est composé de beaucoup d’engrais et de matières organiques hautement inflammables », souligne Louise Desrosiers.
DES HEURES AVANT DE SE DÉCLARER
Ce type d’incendie est particulièrement traître puisque le feu peut couver quelques heures avant de se déclarer.
« Les gens ont l’impression d’avoir éteint leur cigarette, mais ça peut prendre un peu plus de trois heures avant qu’on voie l’apparition de la première flamme », explique Mme Desrosiers.
Ces feux ressemblent en quelque sorte à ceux déclenchés lorsqu’une personne échappe sa cigarette sur un canapé en s’endormant.
« Même si le feu débute à l’extérieur, ça peut avoir des conséquences à l’intérieur parce qu’il peut se propager dans le logis, plus encore l’été alors que les fenêtres sont ouvertes », dit Louise Desrosiers.
CONSÉQUENCES FÂCHEUSES
Les feux qui prennent naissance dans des pots à fleurs peuvent avoir des conséquences majeures. En mars, un triplex de l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie a été lourdement endommagé quand un incendie s’est déclenché au beau milieu de la nuit sur le balcon arrière de l’immeuble. L’enquête sur l’origine du brasier a démontré qu’il avait pris naissance dans un pot à fleurs où une cigarette avait été éteinte. Les dégâts à l’édifice de la rue de Normanville ont été évalués à 150 000 $ et 12 personnes ont été jetées à la rue.
« Ça peut avoir un gros impact sur la vie des citoyens », souligne Mme Desrosiers.
RISQUE LIÉ AU BEAU TEMPS
Cette vague d’incendies semble être liée au retour du beau temps et à la tendance des gens à fumer de plus en plus à l’extérieur.
« Les gens vont fumer de plus en plus à l’extérieur à cause de la fumée secondaire. Et plus il fait beau, plus les gens fument à l’extérieur. Mais parfois ils n’ont pas de cendrier à portée de la main et se disent que c’est correct d’éteindre dans de la terre », expose Mme Desrosiers.
IMPORTANCE DU DÉTECTEUR DE FUMÉE
Louise Desrosiers insiste, ce type d’incendie vient souligner l’importance de disposer d’avertisseurs de fumée fonctionnels. Comme les flammes peuvent prendre des heures avant d’apparaître, elles peuvent naître en pleine nuit, alors que les gens dorment. Et loin de se confiner à l’extérieur, le brasier peut rapidement pénétrer à l’intérieur du logis.
« Peu importe où débute l’incendie, à partir du moment où c’est à l’intérieur, il devient problématique pour l’évacuation », dit Mme Desrosiers.
En plus d’un avertisseur par étage, les gens ayant l’habitude de dormir la porte fermée devraient aussi avoir un détecteur dans leur chambre.
Ces petits vont être débrouillards dans la vie malgré leur handicap. Ils ont pu contacter le 911 et malgré leur peur, ils ont obéi aux indications de la répartitrice pour sauver leur maman
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Le garçon de 6 ans et sa sœur de 7 ans ont immédiatement appelé le 9-1-1.Capture d’écran YouTube
Une Américaine victime d’un arrêt respiratoire doit vraisemblablement la vie à ses deux enfants aveugles qui ont su la réanimer rapidement.
Mitchel Copeland et sa sœur Cora Copeland étaient seuls avec leur mère, Laura Copeland, lorsqu’elle a été victime d’une attaque à Hannibal, au Missouri.
Le garçon de 6 ans et sa sœur de 7 ans ont immédiatement appelé le 9-1-1, selon WGEM, une station locale affiliée au réseau NBC.
Sous les indications de la répartitrice, les deux enfants ont commencé à pratiquer les manoeuvres de réanimation cardiorespiratoire (RCR).
«J’ai vraiment été surprise de voir qu’elle [Cora Copeland] se débrouillait aussi bien et qu’elle en savait autant», a indiqué Laiken James, la répartitrice du service de police du comté de Marion/Lewis.
Cette dernière, mère de deux filles, a dit à la station WGEM qu’elle leur expliquait quoi faire comme si c’était ses enfants. Elle a expliqué qu’elle était claire dans ses instructions tout en tentant de calmer les petits.
«Nous étions calmes, mais effrayés», a de son côté confié Cora Copeland à la station.
Selon des membres de la famille, les enfants ont fourni des informations cruciales aux premiers répondants qui ont pu prendre le relais et transporter leur mère à l’hôpital.
«Ce sont mes petits héros, a dit la mère. Je me suis réveillée après avoir arrêté de respirer, ne me souvenant de rien, et mes enfants étaient devant moi.»
Laura Copeland a toutefois soutenu qu’elle n’était pas surprise de la réaction de ses enfants, puisqu’elle leur avait montré quoi faire en cas d’urgence. La mère a affirmé qu’il n’est jamais trop tôt pour informer ses enfants des urgences qui peuvent se produire.
«Quelque chose peut toujours arriver tout d’un coup», a-t-elle souligné.
Elle espère que sa mésaventure sera une leçon pour d’autres parents.