On critique beaucoup les autres, mais que faisons nous pour changer les choses nous-même
Nuage
L’Exemple
C’est votre exemple qui change le monde, pas vos opinions
Paulo Coelho
On critique beaucoup les autres, mais que faisons nous pour changer les choses nous-même
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L’Exemple
C’est votre exemple qui change le monde, pas vos opinions
Paulo Coelho
Sa maitresse veut l’amener son chien en promenade, mais non, il veut rester dans le bain. Na ! Après insistance, ce Husky têtu fini par céder.
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Une robe ou peut-être une chemise a pu traverser le temps, sa conservation est étonnante si l’on considère qu’elle a 5 000 ans.
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Le plus vieux vêtement du monde dont la matière est tissée est la robe de Tarkhan, qui a plus de 5000 ans. Ce vêtement est conservé actuellement au Musée d’Archéologie Egyptienne de Petrie.
Difficile de savoir si c’est une robe ou une chemise car la partie basse de la robe de Tarkhan est manquante. On ne connaît pas sa longueur, ni si c’était pour un homme ou une femme. Elle correspond aux proportions d’un.e adolescent.e ou d’une femme menue.
Elle a été réalisée en lin crème avec une légère bande grise, et présente une coupe à manches longues, col en v et petits plis décoratifs. Cette tunique a été retrouvée retournée sur l’envers, avec de légers froissements aux manches montrant qu’elle avait effectivement été portée.
On serait désolé de sortir un vêtement aussi abîmé de sa machine à laver, pourtant la robe est dans un très bon état de conservation pour son âge. Elle a été montée sur une crêpeline pour être présentée portée sur un mannequin. Cette étoffe fine et serrée sur laquelle elle est cousue permet de ne pas faire supporter le poids du vêtement au tissu ancien lui même.
Si vous savez coudre, vous pouvez trouver le patron pour vous en faire une sur le site du musée.
Franchement, il est prouvé que porter des talons hauts est mauvais pour la colonne vertébrale, des maux de dos et j’en passe. Personnellement, je trouve aberrant qu’on oblige les femmes à porter des souliers à talons hauts pour avoir droit de travailler. Ces hommes devraient en porter, ils verront que le pied dans ce genre de soulier ne peut pas porter le corps naturellement
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Les talons peuvent-ils être obligatoires au travail ?
Photo Sipa
Les escarpins à talons, instruments du sexisme ? C’est la position défendue par une jeune Anglaise, qui a été virée de son job car elle n’était pas venue travailler en talons. Dans la foulée, elle a lancé une pétition sur le site du Parlement britannique, qui cartonne. Son cas ferait-il écho à un problème de société ?
Il est vrai que seules les femmes connaissent ce dilemme : les chaussures à talons peuvent être signe de féminité, d’allure, voire d’affirmation et de pouvoir. Mais les pratiquantes savent aussi que la vie en talons peut être compliquée, nécessitant de bien regarder où l’on met les pieds, de s’interdire certains endroits ou des marches impraticables avec quelques centimètres de hauteur… En tout cas, c’est bien d’avoir le choix de les porter ou non.
« Je devais travailler 9 h par jour. Je ne pouvais pas le faire perchée sur des talons »
Mais apparemment, ça n’a pas été le cas de Nicola Thorp, qui a raconté dans la presse britannique comment, engagée de manière temporaire comme réceptionniste par une agence du cabinet d’audit PwC à Londres, elle a été renvoyée chez elle dès le premier jour parce qu’elle portait des chaussures plates.
« Lorsque je suis arrivée, on m’a interdit de travailler parce que je ne portais pas de talons. J’ai exprimé ma surprise et ils m’ont expliqué que les chaussures plates ne faisaient pas partie du code vestimentaire pour les femmes », a raconté Nicola Thorp, 27 ans, au quotidien Evening Standard. Ensuite, « le superviseur m’a dit que je serais renvoyée chez moi sans être payée si je n’allais pas dans une boutique m’acheter une paire de chaussures à talons de 5 à 10 centimètres. J’ai refusé et il m’a renvoyée », a ajouté la jeune femme.
A la BBC, elle a expliqué : « J’étais supposée travailler neuf heures par jour, à escorter des clients dans des salles de réunions. J’ai dit que je ne pouvais tout simplement pas faire ça perchée sur des talons ». Interrogé par l’Evening Standard, un porte-parole de PwC a expliqué que la société sous-traitait son service de réception. « Le code vestimentaire dont il est question ne fait pas partie de la politique de PwC. Nous sommes en discussions avec notre sous-traitant sur cette politique », a-t-il ajouté.
Après avoir interrogé une association de conseil aux salariés qui lui a expliqué que les employeurs avaient le droit d’imposer un code vestimentaire, Nicola Thorp a donc décidé de faire appel aux législateurs, en lançant une pétition sur le site du Parlement dans laquelle elle réclame l’abrogation de codes « datés et sexistes », et réclame l’interdiction de devoir porter des talons sur les lieux de travail. Lancée le 9 mai, sa pétition atteint ce jeudi les 100.000 signatures sur le site du Parlement britannique. Quand le seuil des 100.000 est franchi, un débat parlementaire peut être envisagé.
Cette cité Maya, qu’un jeune québécois aurait découverte en étudiant les constellations existe-t-elle vraiment ? (Un Québécois de 15 ans découvre une cité maya) Après que la nouvelle a fait le tour du monde, des scientifiques contestent cette découverte. Reste que la seule façon pour savoir la vérité, serait de vérifier sur place, ainsi le doute sera dissiper
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La cité maya de Palenque, dans l’État mexicain du Chiapas PHOTO : ISTOCK
Après avoir fait la manchette dans de nombreux médias du monde, le jeune William Gadoury fait face à la communauté scientifique, qui met en doute le résultat de ses recherches. De Paris à Cancún, ils sont plusieurs à rejeter sa théorie disant que les cités mayas ont été construites en fonction des constellations. Et la cité inconnue qu’il a découverte… ne serait qu’un champ abandonné.
Un texte d’Azeb Wolde-Giorghis
Au cours des derniers jours, William Gadoury, Québécois de 15 ans, a acquis une certaine notoriété. Cela faisait plus de trois ans qu’il faisait des recherches sur la civilisation maya. À l’aide de cartes et d’images satellites, il émet l’hypothèse que les Mayas auraient construit leurs cités en fonction des constellations dans le ciel.
Il va plus loin en affirmant, avec l’aide de l’Agence spatiale canadienne, avoir découvert une cité inconnue qui compléterait le triangle d’Orion.
Mais plusieurs chercheurs et archéologues émettent aujourd’hui des doutes.
Joint au téléphone, le spécialiste de la civilisation maya Claudio Obregon Clairin, de l’Institut des arts et de la culture de Cancún, affirme que les Mayas n’ont jamais formé un empire. Donc, ils ne pouvaient pas se mettre d’accord pour construire des villes en fonction du ciel. Les Mayas n’étaient pas unis, chaque ville avait ses divinités et il y avait beaucoup de cités ennemies, comme Calakmul et Tikal.
C’est dommage, c’est une hypothèse très jolie, très romantique. Claudio Obregon Clairin, spécialiste des Mayas
Claudio Obregon Clairin ajoute par ailleurs que les Mayas suivaient 13 constellations et non pas 23.
Également, selon lui, il est impossible que des cités se soient entendues sur une période de temps de 2470 ans.
« C’est comme dire qu’on construit nos villes aujourd’hui en fonction des projets qu’on aurait eus avec les Romains ou les Grecs. C’est tout simplement impossible. »
William Gadoury PHOTO : RADIO-CANADA
Claudio Obregon Clairin reste touché par le jeune homme et se reconnaît en lui. Comme William Gadoury, il s’intéresse aux Mayas depuis l’âge de 15 ans. À l’adolescence, en route pour l’école, il bifurquait souvent vers le musée d’archéologie. Il ne veut surtout pas que William soit découragé, au contraire.
Selon lui, les photos satellites montrent un champ de culture de maïs, plutôt qu’une cité inconnue. Mais il n’écarte pas l’idée d’aller voir.
« Il faudrait y aller, car tout le monde veut connaître la vérité. Et si on trouve une cité, c’est génial », dit-il.
Éric Taladoire est professeur d’archéologie spécialisé dans la civilisation maya à l’Université Paris 1. Il rejette aussi la théorie de William Gadoury.
Selon lui, les cités n’étaient pas contemporaines, puisqu’il y a sept siècles de différence entre certaines d’entre elles. Il se demande comment elles auraient pu s’entendre sur leurs emplacements. Quant au site découvert, il affirme qu’il représente un champ de cannabis.
Chacun a son argument, mais le moins que l’on puisse dire, c’est que le jeune William aura réussi à remettre la civilisation maya sur la carte et que ses recherches ne laissent personne indifférent.
Selon lui, seules des fouilles archéologiques permettront de connaître la vérité
Ce genre de gars, j’appelle ça un fauteur de troubles !!! Un gars qui vend l’arme qui a tué un adolescent noir soit disant pour se défendre, et précise que cela fait partie de l’histoire américaine et un gars dangereux. Il a été impliqué dans plusieurs cas de violence sans jamais payer le prix, un jour ou l’autre, il s’apercevra qu’il ne peut pas faire sa loi
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Le pistolet qui a été utilisé par George Zimmerman pour tué Trayvon Martin.
PHOTO JOE BURBANK, ARCHIVES AP
Agence France-Presse
Washington
George Zimmerman, un ancien vigile acquitté du meurtre de l’adolescent noir Trayvon Martin en 2012 en Floride, affaire qui avait ravivé les tensions raciales aux États-Unis, a brièvement mis aux enchères jeudi le pistolet utilisé le jour du drame avant de le retirer.
George Zimmerman
PHOTO ARCHIVES ASSOCIATED PRESS
Dans une annonce publiée sur le site GunBroker, spécialisé dans la vente d’armes à feu, George Zimmerman avait décrit le pistolet comme «l’arme utilisée pour défendre (sa) vie et mettre fin à l’agression brutale de Trayvon Martin».
C’est une «occasion d’acquérir un morceau d’histoire des États-Unis», ajoutait-il à l’attention des potentiels acheteurs.
Le pistolet, un Kel-Tec PF-9 9 millimètres, devait être mis en vente au prix de 5000 dollars à 11h00.
Mais en fin de matinée, le lien avait disparu et l’arme n’était plus référencée parmi celles mises aux enchères.
Contacté par l’AFP, GunBroker n’a pas donné suite.
Le 26 février 2012, George Zimmerman faisait une ronde dans son quartier de Sanford en Floride lorsqu’il a abattu Trayvon Martin, un adolescent noir de 17 ans, qui n’avait pas d’armes sur lui.
L’affaire avait ravivé les tensions raciales aux États-Unis et s’était envenimée en 2013 après l’acquittement de George Zimmerman, parvenu à convaincre un jury populaire qu’il avait agi en état de légitime défense.
Depuis, l’ancien vigile a eu plusieurs démêlés avec la justice, à chaque fois pour des affaires de violence, mais n’a jamais été poursuivi faute de dépôt de plainte.
Même les animaux peuvent souffrir de vitiligo. Cette dépigmentation de la peau, donne un air assez spécial au labrador
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Rowdy est probablement le toutou le plus heureux de tout l’Oregon. Et pour cause, atteint de vitiligo et déjà passé deux fois à une patte de la mort, il savoure désormais la vie plus que quiconque…
Avec ses incroyables tours d’yeux décolorés qui lui confère des airs de panda inversé ou encore, de Spawn, Rowdy le labrador noir est d’une beauté aussi rare qu’incroyable. Et si son étonnante pigmentation n’est pas due à la peinture mais au vitiligo, rassurez-vous : il ne souffre pas !
Le vitiligo ? C’est une dermatose qui cause justement une dépigmentation. Mais celle-ci est loin de l’empêcher d’être heureux !
Il profite de la vie
Et pour cause, il sait mieux que quiconque la valeur de cette dernière. Du haut de 14 ans, qu’il a fêté ce 5 mai, il a déjà échappé deux fois à la mort : une première fois en s’empoisonnant avec l’eau d’une rivière et la seconde fois, ce sont des policiers qui lui ont accidentellement tiré dessus lors d’un braquage !
Par Deborah Koslowski
Crédits photo : Instagram – @white_eyed_rowdy
C’est une découverte qui relance le début de la hache. Celle en Australie serait plus vieille de 10 000 ans pour un total d’environ 49 000 ans, c’est beaucoup pour une hache qui est sortie du passé
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Australie : identification de «la plus ancienne» hache au monde
Fragments de la hache qui a été retrouvée à Kimberley, la plus vieille du monde. ANU
Par Joël Ignasse
Elles est datée de 49 000 ans et elle rajeunit de plus de 10 000 ans l’utilisation de cet outil.
KIMBERLEY. C’est dans la région de Kimberley, en Australie occidentale, que les archéologue de l’université nationale d’Australie ont déterré ces morceaux de hache qui appartiennent au plus vieil outil de ce type jamais découvert. Elle daterait de 46 000 à 49 000 ans soit très peu de temps après l’arrivée des premiers humains en Australie.
« Nulle part ailleurs dans le monde vous ne trouverez des haches datant de cette époque », se réjouit Sue O’Connor, de l’ANU principale auteure d’une publication concernant cet objet dans le journal Australian Archaeology.
Jusqu’à présent, les plus anciennes haches retrouvées provenaient du Japon et elles étaient datées de 35 000 ans environ et l’outil semble s’être popularisé beaucoup plus tard, il y a environ 10 000 ans avec l’essor de l’agriculture.
Les fragments découverts. © ANU
Une technologie autochtone avancée
La hache retrouvée, dont des premiers fragments ont été mis au jour au début des années 90, est faite en basalte, elle a été façonnée et polie contre une roche plus tendre comme du grès. Il s’agit d’une « hache emmanchée » , c’est-à-dire dotée d’une poignée fixée.
« Les objets en pierre australiens ont souvent été considérés comme étant simples. Mais il est clair que ce n’est pas le cas lorsque vous voyez des haches emmanchées plus tôt que partout ailleurs dans le monde », corrige Sue O’Connor.
Pour la scientifique, les premiers habitants d’Australie ont inventé ces haches emmanchées peu de temps après la colonisation de l’île, il y a environ 50 000 ans.
« Il n’y avait pas de haches dans les îles au nord de l’Australie, leur point de départ. Cette découverte prouve que les humains qui sont arrivés ici ont commencé à expérimenter de nouvelles technologies et à inventer de nouvelles façon d’exploiter les ressources qu’ils ont rencontrées », précise Peter Hiscock de l’Université de Sydney.
Ce type de haches a pu servir pour la chasse (au lancer), pour abattre des arbres ou en prélever l’écorce, supposent les experts.
« La question de savoir où et quand les haches ont été inventées restait en l’air depuis des décennies. Puisque les archéologues ont déterminé que les haches d’Australie étaient beaucoup plus âgées qu’ailleurs nous avons maintenant une découverte qui semble répondre à la question », conclut Peter Hiscock.
Différents types de haches préhistoriques. Crédit : ANU.