Réussite


Faire ce que les autres pensent que nous ne sommes pas capables et réussir, c’est de ressentir une grande fierté
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Réussite

 

 

 

«Le plus grand plaisir de la vie consiste à faire ce que les autres vous pensent incapable.»

Walter Bagehot

Dans la vraie vie, les sabres lasers seraient l’arme la plus dangereuse du monde


Dans le film de science fiction Star Wars, l’arme est un sabre laser et dans la réalité, il serait impossible d’utiliser ces armes sans que les deux combattants soient vaporisé. Donc, cet arme n’est pas réaliste enfin, du moins pour le moment
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Dans la vraie vie, les sabres lasers seraient l’arme la plus dangereuse du monde

 

Extrait du film «Star Wars: Le Réveil de la Force» via Allociné

Extrait du film «Star Wars: Le Réveil de la Force» via Allociné

Repéré par Vincent Manilève

Un seul coup et votre corps sera vaporisé.

Dans la saga Star Wars, le sabre laser, arme de prédilection des Jedi, est d’une redoutable efficacité. Il tranche souvent des mains, parfois des corps, détourne les lasers de blasters, et peut même ouvrir des portes blindées.

Mais au-delà de l’univers intergalactique et fictif imaginé par George Lucas, à quoi ressembleraient ces armes légendaires si nous pouvions les construire? Martin Archer, physicien spécialisé dans «l’état plasma», a récemment découvert une propriété de cette arme, et ses conclusions sont assez effrayantes.

Sur le site Quartz, il écrit qu’il «est, en théorie, possible de fabriquer un sabre laser, et il s’agirait de l’arme la plus dangereuse jamais créée, que ce soit pour le meurtrier ou sa victime».

Pour bien comprendre les travaux du physicien, il faut savoir que les sabres lasers de Star Wars sont en fait constitués de plasma, qui est le quatrième état de la matière, derrière les états solides, liquides et gazeux. L’état plasma se distingue par ses particules chargées électriquement, ce qui peut entraîner la création de champs magnétiques.

«Les champs magnétiques sont la clef pour contenir le plasma dans une lame, écrit Martin Archer, ils peuvent neutraliser la pression du plasma chaud qui essaye de s’étendre dans son environnement.»

Dans quelques années, le réacteur ITER sera disponible et permettra de d’avoir une énergie suffisante pour créer, contenir et contrôler le plasma.

Théoriquement donc, contenir le plasma est possible. Il faut maintenant s’occuper de l’émission de lumière. Ceci est par exemple possible si le plasma est suffisamment chaud (Archer précise ainsi que le Soleil est une boule de plasma chaud qui s’alimente grâce à la fusion permanente de son cœur). La couleur dépendra uniquement de la température, la bleue étant la plus «dangereuse».

Si deux sabres se touchent, vous êtes vaporisé

Les moyens nécessaires pour un seul sabre laser sont immenses, mais il existe un plus gros problème: son utilisation, lors de combats par exemple. Martin Archer évoque ainsi le principe de reconnexion magnétique, qui peut surgir lorsque deux champs magnétiques se rencontrent. La configuration des deux champs change et une énorme quantité d’énergie sera alors libérée.

«Quand deux lames de plasma s’entrecroisent, il est presque impossible d’éviter la reconnexion magnétique, et le plasma contenu dans les deux lames va être libéré dans une explosion, conclut le chercheur. Ce qui veut dire que, si vous êtes dans un duel de sabre laser, vous et votre adversaire seraient vaporisés au premier coup de sabre!»

Il y a quelques mois, d’autres chercheurs s’étaient déjà penchés sur la question du réalisme de ces sabres, mais en prenant l’hypothèse d’un laser.

«Actuellement, nous avons des lasers industriels très puissants qui peuvent couper à travers l’acier, par exemple, dans l’industrie des voitures, expliquait alors à Wired Martin Ringbauer, physicien à l’université de Queensland en Australie. Nous avons aussi des armes lasers que des compagnies comme Boeing ont développé pour abattre les drones. Néanmoins, ils font la taille d’un camion pour être capable de générer suffisamment de puissance pour tirer le laser, nous sommes loin de l’arme que l’on peut tenir à une main.»

Ne vous inquiétez donc pas, le jour où les hommes pourront «s’entre-découper» ou se vaporiser mutuellement n’est pas arrivé.

http://www.slate.fr/

Avoir des amis, c’est plus fort que la morphine


Les liens d’amitié ont des effets positifs sur notre santé physique et mentale. Cependant, en vieillissant ce réseau a tendance a diminuer et laisse place à la solitude, la dépression et moins de tolérance à la maladie et aux douleurs
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Avoir des amis, c’est plus fort que la morphine

 

La tolérance à la douleur apparaît comme un indicateur fiable de la taille du réseau social.

Photo : JEROME MARS/JDD/SIPA

DOULEUR – Etre entouré d’amis c’est bon pour le moral. Mais pas seulement. Des chercheurs ont prouvé que ceux qui vivent avec un fort lien social ont davantage de résistance à la douleur.

Explications.

Vos amis sont vos confidents, vos compagnons de soirées et ceux qui vous connaissent le mieux. Ils pourraient être bien plus et agir sur votre santé. Une étude menée par l’Université d’Oxford (Angleterre) révèle que les personnes qui vivent entourées d’amis ont une meilleure tolérance à la douleur que ceux qui vivent seuls.

L’expérience a été faite avec 1100 participants, elle confirme le fait que l’endorphine possède un effet analgésique puissant, plus fort même que celui de la morphine. Dans cette étude, la tolérance à la douleur apparaît comme un indicateur fiable de la taille du réseau social.

L’impact des endorphines

Les endorphines sont des hormones naturelles sécrétées par le cerveau lors des moments d’’efforts, de plaisir ou encore de douleur. Des études précédentes avaient déjà montré que les endorphines favorisaient le lien social chez les humains et chez les animaux.

« Ces résultats sont intéressants car des recherches récentes suggèrent que le système de l’endorphine peut être perturbé dans le cas de certains troubles psychologiques comme la dépression. C’est une raison pour laquelle les personnes déprimées souffrent souvent d’un manque de plaisir et se replient sur le plan social », a souligné Katerina Johnson, auteure principale de l’étude.

Autre apprentissage de cette étude, ceux qui ont des niveaux plus élevés de stress et une meilleure forme ont tendance à avoir les réseaux sociaux les plus petits.

« Des études suggèrent que la quantité et la qualité de nos relations sociales influent sur notre santé physique et mentale et peut même être un facteur déterminant notre espérance de vie », détaille Katerina Johnson dans un article publié par l’Université d’Oxford.

Attention à la solitude

En janvier 2016, une étude américaine montrait que plus on avait de relations sociales et plus on était en bonne santé. C’est à l’adolescence et chez les seniors que l’impact s’avère être le plus important.

L’Inpes confirme cette importance du lien social. Un baromètre santé réalisé en 2010 sur les 55-85 ans a précisé que le fait de vivre seul multiplie la probabilité de survenue d’un épisode dépressif par quatre chez les hommes et par deux chez les femmes. Des précédentes études ont démontré que la solitude pouvait augmenter la tension artérielle et provoquer une déficience du système immunitaire.

http://www.metronews.fr/

Que contient le lait maternel ?


Le lait maternel est l’aliment par excellence pour une nouveau-né, par sa composition et à l’avantage d’évoluer pour les besoins du bébé. Cependant, la femme ne doit être stigmatisée parce qu’elle n’allaite pas. C’est un choix personnel.
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Que contient le lait maternel ?

 

Lait maternel. © PETILLOT/SIPA

Lait maternel. © PETILLOT/SIPA

Par Lise Loumé

Riche en anticorps à la naissance de l’enfant, le lait maternel voit sa composition évoluer un mois après afin de s’adapter à ses besoin

200 : c’est le nombre de molécules de sucre que contient le lait maternel humain, le plus complexe de tous les mammifères (à titre de comparaison, le lait de vache n’en contient qu’entre 30 et 50). Et de manière étonnante, ces molécules ne sont pas toutes destinées à nourrir le bébé. Des chercheurs de l’Université de Zurich (Suisse) font le point sur ce que la science sait de leur rôle, longtemps resté mystérieux, dans une étude publiée dans la revueTrends in Biochemical Sciences. On l’ignore souvent mais la composition du lait maternel évolue un mois après la naissance de l’enfant afin de répondre aux différents besoins liés à son développement…

Un rôle majeur dans le microbiote intestinal

Vitamines, immunoglobulines, oligosaccharides : les molécules de sucre prennent différentes formes et servent à renforcer l’immunité, stimuler la croissance et, même, façonner le microbiote intestinal de l’enfant.

« La première fonction du lait maternel est de favoriser la colonisation de l’intestin par des bactéries capables de digérer les molécules de sucre », explique dans un communiqué Thierry Hennet, co-auteur de l’étude.

Les nourrissons naissent sans bactérie dans leurs intestins, mais en quelques jours, ils en possèdent des millions, et une semaine seulement après leur naissance, des milliards !

« Les nouveau-nés n’ont pas la machinerie nécessaire pour digérer ces sucres, qui sont en fait destinés aux bactéries. C’est comme un terrain d’ensemencement dont le lait maternel serait l’engrais. »

L’engrais du microbiote intestinal donc.

Outre ce rôle, le lait maternel a pour fonction bien connue de poser les premières pierres du système immunitaire du nouveau-né. Dès sa naissance, le lait est riche en anticorps et en molécules ralentissant la croissance de bactéries nocives et coordonnant l’activité des globules blancs. Après un mois, le niveau d’anticorps maternels baisse donc de plus de 90 %, probablement car l’enfant commence à développer son propre système immunitaire. La diversité des sucres est elle aussi en forte diminution, suggérant un recrutement moins important des populations bactériennes. Au contraire, les molécules de graisse et les nutriments augmentent afin de soutenir la croissance de l’enfant.

Allaiter ou pas ? « La décision revient aux familles »

Même si l’allaitement maternel présente de nombreuses vertus, rappelons que l’enfant peut rester en bonne santé sans y avoir été exposé une seule fois. Les auteurs se refusent donc à formuler toute recommandation aux parents.

« Le lait maternel est le produit de millions d’années d’évolution et possède certainement les nutriments optimaux pour le nouveau-né, mais la question est de savoir sur quelle durée le nouveau-né a vraiment besoin de cet apport ? La décision appartient aux familles, pas aux scientifiques », juge Lubor Borsig, co-auteur de l’étude.

Toutefois, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande un allaitement maternel « exclusif » jusqu’à l’âge de six mois et un allaitement partiel jusqu’à deux ans. Selon les chercheurs, les progrès récents des technologies de séquençage génétique devraient permettre d’améliorer davantage notre compréhension du rôle des différentes molécules présentes dans le lait maternel, notamment les hormones.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Les seniors ne devraient pas oublier la musculation


Quand on vieillit, nous sommes peut-être moins enclins aux exercices physiques. Bien sûr, la marche est un bon exercice, mais la musculation est aussi importante et sans être exigeant, avec des séances de 2 fois par semaine …
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Les seniors ne devraient pas oublier la musculation

 

Les seniors ne devraient pas oublier la musculation

Jamais une étude n’avait observé un lien entre musculation et espérance de vie.Photo Fotolia

Une nouvelle étude de grande ampleur menée aux États-Unis montre que pratiquer la musculation seulement deux fois par semaine permettrait aux seniors de vivre plus longtemps.

Si de précédentes études avaient démontré les bénéfices de l’activité physique en général chez les seniors, elles n’avaient pas permis de récolter beaucoup d’informations sur les bénéfices de la musculation. En revanche, certaines recherches avaient permis de vérifier que la musculation était utile à ceux qui souffraient de maladies chroniques comme le diabète, l’ostéoporose, la sciatique et l’obésité. Une plus grande force musculaire est associée à un abaissement du risque de mortalité.

Cette étude est cependant la première à mettre en évidence un lien entre une force musculaire accrue et un risque abaissé de mortalité sur un échantillon si important, si représentatif et sur une période aussi longue.

Menée par des équipes des Penn State College of Medicine, Penn State Health Milton S. Hershey Medical Center et Columbia University, aux États-Unis, l’étude se penche sur des données recueillies entre 1997 à 2001 par la National Health Interview Survey. Elles concernent 30 000 adultes âgés de 65 ans et plus dans chaque état des États-Unis.

L’équipe a observé qu’un peu plus de 9 % des seniors rapportaient faire de la musculation au moins deux fois par semaine. Cela représente une petite partie de la population, mais le chiffre s’avère supérieur à celui auquel s’attendaient les chercheurs. Ceux-ci ont suivi ce groupe pendant 15 ans et se sont appuyés sur des certificats de décès pour savoir qui était décédé en 2011.

Par rapport à ceux qui ne pratiquaient par la musculation, ceux qui le faisaient au moins deux fois par semaine étaient moins exposés aux arrêts cardiaques mortels (-41 %), de cancers fatals (-19 %) et plus largement aux maladies mortelles (-46 %).

Ceux qui pratiquent la musculation bénéficient d’un accroissement de l’espérance de vie plus important que ceux qui font de l’exercice autrement.

Selon l’équipe, ces résultats suggèrent que les bienfaits de la musculation vont bien au-delà du simple accroissement ou renforcement de la masse musculaire. Jennifer L. Kraschnewski du Penn State College of Medicine commente:

«Il est nécessaire d’identifier des façons supplémentaires d’inciter les gens à se muscler, de faire augmenter le nombre de seniors prenant part à ces activités au-delà de 10 %».

Les résultats ont été publiés dans la revue Preventive Medicine.

http://fr.canoe.ca/

Il pensait avoir une varice au pied: c’était une larve


Un bien drôle de varice, qui est un parasite. Le genre de parasite que des selles de chien contaminent le sol et peuvent se retrouver dans le corps d’un être humain
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Il pensait avoir une varice au pied: c’était une larve

 

Il pensait avoir une varice au pied: c'était une larve

La varice avait une particularité: elle se déplaçait.Capture d’écran Gentside

Après avoir passé des vacances au Nigeria, un Chinois de 42 ans a remarqué que l’un de ses pieds présentait une curieuse anomalie qui le démangeait, a rapporté The New England Journal of Medicine, une histoire insolite notamment reprise par le Daily Mail.

Dans un premier temps, il était persuadé d’avoir une varice. Une varice toutefois étrange, puisqu’elle se «déplaçait» de quelques centimètres, chaque jour, sur son pied.

Après un mois sans voir d’amélioration, il a décidé de se rendre chez un médecin à Pékin. Celui-ci lui a alors annoncé qu’un parasite appelé «larva migrans» a en fait pris possession de son pied.

Présent dans les selles animales, cet ankylostome s’attrape généralement lorsqu’une personne marche pieds nus sur un sol contaminé, comme une plage fréquentée par des chiens. Ce serait au cours d’une balade sur le sable nigérian que le patient chinois aurait donc attrapé ce ver à l’origine de l’infection .

Fort heureusement, grâce à un traitement adéquat, l’homme a pu se débarrasser de ce parasite au bout de deux semaines.

http://fr.canoe.ca/