Le bonheur une condition ?


Si j’avais ceci ou cela, je serais plus heureuse? Vraiment ! Pourtant, la vie nous montre bien souvent que le bonheur est souvent inattendu, des surprises qui arrivent tout bonnement
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Le bonheur une condition ?

 

“La plupart des hommes font du bonheur une condition. Mais le bonheur ne se rencontre que lorsqu’on ne pose pas de condition. ”

Arthur Rubinstein

L’avaleur de sabre et acrobate, Alex Magala, donne des frissons sur le plateau de «L’Angleterre a un incroyable talent»


D’abord, juste, le fait d’avaler une lame d’un sabre est un exploit mais de faire des acrobaties donne vraiment froid dans le dos. C’est un jeune homme de 26 ans venant de Moldavie. Il a déjà été vainqueur en Russie et en quart de finale aux États-Unis en 2013
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L’avaleur de sabre et acrobate, Alex Magala, donne des frissons sur le plateau de «L’Angleterre a un incroyable talent»

 

Le Saviez-Vous ► Les mains dans la grotte des Bêtes ne seraient pas humaines…


Cette grotte est un énorme abri rocheux naturel partagé entre l’Égypte et le Libye. Ce sont les représentations de mains qui seraient irréelles, mais avec une hypothèse plus que probable serait logique et toute simple.
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Les mains dans la grotte des Bêtes ne seraient pas humaines…

Crédit photo: Emmanuelle Honoré

Vanessa Hauguel

À qui pouvaient bien appartenir les petites mains sur le mur de la grotte des Bêtes? Contrairement à ce que plusieurs ont pu croire suite à la découverte du site en 2002, il ne s’agirait pas d’empreintes humaines…

Parmi les figures peintes sur la paroi rocheuse de Wadi Sura II, mieux connue sous le nom de la grotte des Bêtes, se trouve en effet plusieurs traces négatives de petites mains aux longs doigts. Mains de bébés humains? Que nenni. D’après de plus récentes observations, ces 13 petites mains peintes il y a 8000 ans, auraient sans doute été réalisées avec des… pattes de lézards, ou les pattes avant du varan du désert pour être plus précis.

« Elles étaient beaucoup plus petites que des mains de bébé humains, et les doigts étaient trop longs », explique d’ailleurs Emmanuelle Honoré de l’Institut McDonald pour la recherche archéologique, la chercheuse principale, au National Geographic.

Crédit photo: Emmanuelle Honoré

Ce sont des recherches menées sur des crocodiles en Zambie, qui auraient d’abord soulevé l’idée que les empreintes puissent être celles de bébés crocodiles ou de reptiles. Finalement, la façon dont les « mains » sont positionnées, ainsi que les doigts longs et souples comme le mentionne Honoré, semblent renforcer l’hypothèse selon laquelle il s’agirait de l’oeuvre de pochoirs basés sur les pattes de ce reptile du désert… du moins, jusqu’à la prochaine preuve du contraire.

http://www.sympatico.ca/

Des scientifiques trouvent le monstre du Loch Ness… mais pas celui qu’ils cherchaient


Serait-ce la fin de Nessie ? La science a pourtant trouvé le monstre du Loch Ness, enfin presque, car après avoir sondé grâce à la technologie de pointe, il ne semblerait pas que ce monstre va rester qu’une légende qui continuera probablement à attirer le tourisme
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Des scientifiques trouvent le monstre du Loch Ness… mais pas celui qu’ils cherchaient

 

Cette photo très contestée est devenue une « preuve » de l’existence du monstre, il y a plus de 80 ans.

Photo : MARY EVANS/SIPA

SCOOP – En bouclant la plus grande enquête scientifique jamais menée dans le mystérieux Loch Ness en Ecosse, des chercheurs prouvent que le célèbre monstre n’existe pas. Ils sont en revanche tombés sur le mannequin géant de Nessie utilisé dans un film de 1970.

 

Serait-ce la fin d’un mystère planétaire ? Après des années de chasse au monstre, visiblement vaines, la plus grande sonde du Loch Ness jamais effectuée vient de prouver que Nessie, la célèbre et insaisissable créature aquatique qui squatte les eaux douces d’Ecosse, n’existe pas. Ou du moins, aucune trace du monstre dans ces iconiques profondeurs. Toutefois, les chercheurs ne sont pas rentrés bredouille, selon leurs conclusions publiées le 13 avril.

L’enquête la plus précise du loch faite par un robot

Le lac profond de près de 230 mètres et connu pour ses reliefs compliqués à observer, a été passé au crible par un robot très précis, baptisé Munin, précise Kongsberg Maritime, la société de technologie marine qui a mené l’enquête, associée à l’office de tourisme VisitScotland sur le « projet Loch Ness ». Le robot équipé d’un sonar en forme de torpille a nagé sous l’eau à des profondeurs encore jamais explorées dans le fameux point d’eau, prenant des photos en haute définition.

Le robot Munin a photographié le mannequin de Nessie à 130 mètres sous la surface depuis 1970.

Le robot Munin a photographié le mannequin de Nessie à 130 mètres sous la surface depuis 1970.

Photo : Kongsberg Maritime

Et Munin a bien ramené un cliché de Nessie (le nom affectueux donné au monstre) à 180 mètres sous la surface. Sauf que cette créature-ci est en carton-pâte – ou presque. Il s’agit du mannequin taille réelle qui avait servi au tournage du film La Vie privée de Sherlock Holmes en 1970. Les techniciens de l’équipe s’était débarrassé de cette imposante statue en la rejetant… dans son habitat « naturel ».

Le mannequin du monstre a été construit pour le film "La Vie privée de Sherlock Holmes".

Le mannequin du monstre a été construit pour le film « La Vie privée de Sherlock Holmes ».

Photo : Phalanx Productions / Mirisch Films Limited / Sir Nigel Films

Point de nid pour Nessie

Mais la vraie Nessie aurait très bien pu s’en faire un doudou et rien n’empêche l’existence d’un véritable monstre, direz-vous. Là encore, la science va vous décevoir. Après avoir sondé le lac avec son matériel en janvier, un pêcheur passionné par le mythe affirmait qu’une crevasse profonde de 40 mètres supplémentaires se cachait dans les profondeurs du Loch Ness. Un nid douillet pour notre légendaire Nessie ?

Un pêcheur avait analysé les fonds du Loch Ness avec sa propre sonde et pensait avoir trouvé une crevasse.

Un pêcheur avait analysé les fonds du Loch Ness avec sa propre sonde et pensait avoir trouvé une crevasse.

Photo : Peter Jolly/Shutterstoc/SIPA

Le robot tranche : il n’existe apparemment  « aucune fissure particulière », selon Adrian Shine, chef du projet interrogé par Sky News.

Encore plus loin, vous souvenez-vous du monstre observé deux fois dans la Tamise à Londres fin mars ? Contrairement aux spéculations hasardeuses, cette créature filmée (et vue plus de 4 millions de fois sur YouTube) n’aurait donc rien à voir avec le monstre du Loch Ness.

Un mystère bon pour le tourisme

Rappelons toutefois que la mystérieuse créature attire chaque année des centaines de milliers de visiteurs. Le mystère autour de Nessie représenterait plus de 75 millions d’euros dans l’économie écossaise. Malcolm Roughead de VisitScotland ajoute :

« Peu importe ce que révèle l’équipement de pointe, il y aura toujours une part de mystère et d’inconnu autour de ce que se cache réellement sous la surface du Loch Ness ».

Qui sait, le monstre est peut-être passé maître en camouflage ?

Le Loch Ness.

Le Loch Ness.

Photo : REX/REX/SIPA

http://www.metronews.fr/

Il y a plus de tigres chez des particuliers aux États-Unis que de tigres sauvages dans le monde


C’est une bonne nouvelle que le nombre de tigres augmente en milieu sauvage, mais qu’au USA, il y a plus de tigres en captivité pour des propriétaires privés dans un milieu non adapté pour eux. Un tigre dans un appartement est vraiment une idée stupide et irresponsable. Des lois devraient interdire toute personne de posséder un animal sauvage
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Il y a plus de tigres chez des particuliers aux États-Unis que de tigres sauvages dans le monde

 

Un Tigre domestiqué, mais dans un zoo | Rene Schwietzke via Flickr CC License by

Un Tigre domestiqué, mais dans un zoo | Rene Schwietzke via Flickr CC License by

Bonne nouvelle tout de même, le nombre de tigres sauvages a enfin augmenté.

L’organisation de protection de la nature WWF vient d’annoncer que, pour la première fois après un siècle de déclin, la population mondiale de tigres vivant à l’état sauvage est en augmentation. Environ 3.890 tigres vivent désormais dans leur espace naturel (les forêts d’Asie et de Russie) contre 3.200 en 2010.

Mais, comme le rappelle Foreign Policy, il y a aussi une mauvaise nouvelle: aux États-Unis, au moins 5.000 tigres domestiques vivent actuellement dans des jardins, maisons et appartements privés. Seuls 350 vivent dans des zoos. Depuis 1990 aux États-Unis, des félins «domestiques» (tigres, mais aussi léopards et lions) ont tué 23 personnes et blessé 259, selon l’organisation Big Cat Rescue.

Comme l’explique Gavin Shire, un porte-parole de l’agence fédérale américaine de gestion de la faune, les propriétaires de fauves ne sont pas obligés de les déclarer (sauf s’ils veulent les vendre) et le nombre de tigres vivant en captivité dans le pays est donc probablement plus proche de 10.000.

Le tigre de Harlem

Dans six États américains –la Caroline du Nord et du Sud, le Wisconsin, le Nevada, l’Alabama et la Virginie occidentale–, il n’y a aucune régulation concernant la possession de fauves. Dans quatorze États, un permis est nécessaire et, dans trente, ces animaux sont interdits.

C’est notamment le cas à New York. Pourtant en 2003, un tigre vivant dans un appartement du quartier de Harlem avait fait la une des journaux. Il avait apparemment vécu dans ce logement pendant plus de deux ans, durant lesquels de nombreux voisins étaient au courant de sa présence. Certains s’étaient tout de même plaints d’une forte odeur d’urine et le tigre avait fini par blesser son propriétaire. Après une intervention de la police, le tigre avait été transféré dans sanctuaire animalier de l’Ohio.

«Il s’agit de gens qui adorent les fauves et se prennent d’affection pour un bébé qui devient vite sauvage, et la situation est alors incontrôlable, expliquait au New York Times une représentante de l’organisation International Fund for Animal Welfare. Les animaux sont souvent abandonnés ou gardés dans des conditions déplorables et dangereuses.»

http://www.slate.fr/

Des textes de la Bible pourraient être plus vieux que ce que l’ont croyait


Il semble qu’on parle de l’Ancien testament vue que ces manuscrits datent avant JC. Cependant, j’aimerais bien voir les différences entre hier et aujourd’hui sur ces écrits, car je ne crois pas que la Bible d’aujourd’hui, soit tout a fait la même qu’il y a 2 mille ans
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Des textes de la Bible pourraient être plus vieux que ce que l’ont croyait

 

Des lettres inscrites sur de la poterie ont... (PHOTO DAN BALITY, ASSOCIATED PRESS)

Des lettres inscrites sur de la poterie ont été découvertes lors d’une fouille dans une ancienne forteresse à Arad, en Israël.

PHOTO DAN BALITY, ASSOCIATED PRESS

Associated Press
JÉRUSALEM

Des mathématiciens et des archéologues israéliens affirment qu’ils ont trouvé des preuves suggérant que des textes bibliques clés pourraient avoir été écrits plus tôt que certains universitaires le croient.

À l’aide de technologies d’analyse d’écriture comparables à celles utilisées par les agences de services secrets et les banques pour analyser les signatures, une équipe de recherche de l’Université de Tel-Aviv a déterminé qu’un célèbre ensemble d’inscriptions anciennes en hébreu, qui daterait d’environ 600 avant Jésus-Christ (av. J.-C.), a été rédigé par au moins six auteurs différents.

Même si les inscriptions ne sont pas de la bible hébraïque, leur découverte suggère une alphabétisation répandue en Judée à cette époque, ce qui pourrait soutenir la théorie de la composition d’ouvrages bibliques au même moment.

La découverte, dévoilée lundi par The Proceedings of the National Academy of Sciences, une revue scientifique américaine, contribue à un débat de longue date sur le moment où les textes bibliques ont commencé à être compilés pour la première fois : est-ce que cela a eu lieu avant ou après le siège de Babylone et la destruction de Jérusalem en 586 av. J.-C. et l’exil de ses habitants vers Babylone?

Au cours des dernières années, plusieurs chercheurs ont attribué la composition d’un groupe de textes bibliques, du Livre de Josué au second Livre des Rois, à la période suivant le siège, selon l’archéologue israélien Israël Finkelstein, qui a participé à l’étude. Cette théorie veut que les textes bibliques aient été écrits comme résultat de l’exil à Babylone, quand leurs rédacteurs ont commencé à réfléchir à leur passé, et ont couché leur histoire sur du parchemin.

L’équipe – composée d’étudiants au doctorat en mathématiques appliquées, de professeurs de mathématiques, d’archéologues et d’un physicien – a examiné 16 inscriptions à l’encre sur des morceaux de céramique découverts sur le site d’une ancienne forteresse militaire à Arad, dans le sud d’Israël.

Ils ont utilisé de l’imagerie multispectrale pour reconstituer des lettres hébraïques qui ont été partiellement effacées avec le passage du temps, et ont ensuite utilisé un algorithme informatique pour analyser les écritures pour relever des différences dans la méthode d’écriture.

Vaste maîtrise de l’écriture

Les inscriptions ne sont pas des textes bibliques. Elles détaillent plutôt les mouvements des troupes et les dépenses pour des provisions indiquant que des personnes à différents niveaux de la chaîne de commande militaire étaient capables d’écrire.

Le ton des écritures, qui suggère qu’elles n’étaient pas rédigées par des scribes professionnels, combiné à la localisation éloignée de la forteresse, indique une vaste maîtrise de l’écriture à l’époque.

Un haut niveau de littératie soutiendrait l’idée que les textes bibliques auraient déjà été écrits à cette époque.

L’on croit que les manuscrits de la mer Morte, la plus ancienne collection de textes bibliques, auraient été écrits des siècles plus tard.

http://www.lapresse.ca/

Une pieuvre s’enfuit d’un aquarium pour regagner l’océan


Quelle belle évasion, la liberté n’a pas de prix ! Et tant mieux si cette pieuvre s’est fait la belle pour retrouver son milieu naturel et nager ou bon lui semble
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Une pieuvre s’enfuit d’un aquarium pour regagner l’océan

 

Une pieuvre s'enfuit d'un aquarium pour regagner l'océan

Une pieuvre du National Aquarium of New Zealand. Photo National Aquarium of New Zealand / Facebook

Une pieuvre s’est enfuie d’un aquarium de la Nouvelle-Zélande et a vraisemblablement réussi à regagner le Pacifique, a rapporté cette semaine le site stuff.nz.co.

Inky, un mâle qui résidait à l’aquarium de Napier depuis 2014, serait parvenu à se faufiler par un petit interstice situé dans le haut de son bassin, à glisser jusqu’au plancher et à trouver l’entrée – minuscule – d’un drain menant à l’océan.

Le personnel du National Aquarium of New Zealand a repéré au sol les traces gluantes du fugitif, qui nage sans doute dans le Pacifique en ce moment.

Les pieuvres, explique-t-on dans l’article, peuvent se faufiler sans problème dans des ouvertures beaucoup plus petites qu’elles.

Inky a laissé derrière lui la pieuvre avec qui il partageait son bassin.

Selon stuff.co.nz, l’évasion s’est déroulée plus tôt cette année.

http://fr.canoe.ca/

Les plastiques, «premiers prédateurs des océans»


Chaque jour, 8 millions de tonnes de déchets finissent dans l’océan d’après les analyse fait sur 5 sites choisi en Europe. Ces déchets sont surtout du plastique et du polystyrène, mais il y a aussi d’autres déchets dont l’être humain est responsable. C’est trop !
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Les plastiques, «premiers prédateurs des océans»

 

«Chaque jour, 8 millions de tonnes de déchets... (PHOTO GEMUNU AMARASINGHE, ARCHIVES AP)

«Chaque jour, 8 millions de tonnes de déchets finissent dans l’océan. 80 % de la pollution qui touche nos mers est d’origine terrestre et issue de l’activité humaine, avec des répercussions terribles sur la biodiversité et l’ensemble de notre environnement», souligne le président de Surfrider Foundation Europe, Gilles Asenjo.

PHOTO GEMUNU AMARASINGHE, ARCHIVES AP

Bouteilles, sacs et bouchons en plastique, cotons-tiges… : les plastiques sont «les premiers prédateurs des océans», affirme mardi l’association Surfrider qui publie un rapport détaillant la pollution sur cinq sites français et espagnols, situés en Bretagne et au Pays basque.

Avec l’aide de centaines de bénévoles, l’ONG a mené en 2015 ce premier recensement des déchets qui polluent plages, littoraux, océans et fonds marins, dans le cadre d’une initiative visant à collecter et à analyser des données à l’échelle européenne.

«Chaque jour, 8 millions de tonnes de déchets finissent dans l’océan. 80 % de la pollution qui touche nos mers est d’origine terrestre et issue de l’activité humaine, avec des répercussions terribles sur la biodiversité et l’ensemble de notre environnement», souligne le président de Surfrider Foundation Europe, Gilles Asenjo, dans un communiqué.

Le plastique constitue «plus de 80 %» des déchets sur la plupart des cinq sites analysés, constate l’ONG.

Sur la plage de Burumendi, à Mutriku (Espagne) par exemple, 96,6 % des 5866 déchets collectés sont du plastique et du polystyrène.

À Anglet (Pyrénées-Atlantiques), sur la plage de La Barre, le plastique et le polystyrène représentent 94,5 % des 10 884 déchets collectés.

Le plastique et le polystyrène sont aussi massivement présents sur la plage de Porsmilin, à Locmaria-Plouzané, dans le Finistère (83,3 %) sur laquelle l’association a collecté 2945 déchets au cours de ses quatre campagnes de prélèvements.

Sur la plage de Murguita à San Sebastian (Espagne), en revanche, le plastique et le polystyrène ne représentent que 61 % des déchets (18 % de verre).

Sur celle d’Inpernupe, à Zumaia (Espagne), près de la moitié des déchets sont du verre (47,9 %), contre 29,1 % pour le plastique/polystyrène.

Outre des morceaux de plastique, les bénévoles ont ramassé sur ces différents sites des cordages et filets, des mégots, des emballages alimentaires, des couvercles et bouchons, des bouteilles en verre et en plastique, des emballages de confiserie, des sacs plastiques, des «déchets sanitaires» (couches…)…

Pour chaque site, Surfrider a dressé une liste des dix principaux déchets collectés.

«À ce stade, il s’agit de premières indications qui nous donnent un aperçu des statistiques européennes», souligne M. Asenjo. «De la Bretagne au Pays Basque, les déchets plastiques humains sont clairement les premiers prédateurs de l’océan», ajoute-t-il. Car à la différence du bois ou du carton, «les matières plastiques mettent plusieurs centaines d’années avant de disparaître».

«Et quand elles ne sont pas sous nos pieds à la plage, elles sont ingurgitées par les animaux marins qui s’en étouffent, sans parler des substances toxiques qu’elles déversent et dans lesquelles nous nous baignons ou de leur possible intégration au sein de la chaîne alimentaire», ajoute-t-il.

http://www.lapresse.ca/