Les blessures


Même si cela n’est pas toujours évident, nos blessures intérieures ne devraient pas dicter notre mauvaise conduite que ce soit, la dureté envers les autres, la haine, la négation
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Les blessures

 

 

 

Ne permettez pas à vos blessures de vous transformer en quelqu’un que vous n’êtes pas

Paulo Coelho

Un lionceau attaque un jeune garçon


Un jeune garçon en Russie a été attaqué par un lionceau tenu au bout d’une laisse. L’enfant n’a pas été sérieusement blessé, le lionceau, lui a été battu. Tout cela pour une photo. Ces jeunes animaux comme les tigres et lionceaux sont utilisés pour de l’argent en interagissant avec des humains et quand ils sont trop grands, on les laissent toutes leur vie enfermés. Ces animaux ne sont pas faits pour être en contact avec l’être humain, ils devraient vivre selon leur nature dans leur propre environnement
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Un lionceau attaque un jeune garçon

Le Saviez-Vous ► Le «salut nazi» est né dans les écoles américaines


Le salut nazi est en fait le salut de Bellamy instauré par les Américains en guise d’allégeance au drapeau. Alors avec Hitler, ce salut est très mal vu, on l’a vu d’ailleurs dans certains rassemblements avec Donald Trump qui avec ce geste donne un message pouvant avoir de lourdes conséquences
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Le «salut nazi» est né dans les écoles américaines

 

Des écoliers américains faisant le salut de Bellamy, le 12 septembre 1915. | New-York tribune via Wikimedia Commons License by

Des écoliers américains faisant le salut de Bellamy, le 12 septembre 1915. | New-York tribune via Wikimedia Commons License by

Histoire d’un salut

D’après Atlas Obscura, le nazisme n’est pas à l’origine de ce salut. Hitler avait lui-même reconnu qu’il n’était pas le premier à l’avoir institué, bien qu’il ait tenté delui trouver des origines germaniques.

Avant lui, cette manifestation d’allégeance avait été utilisée par les mouvements fascistes d’Italie et d’Espagne. Les extrémistes italiens cultivaient le mythe selon lequel ce salut prenait ses racines dans la Rome antique. L’auteur Martin M. Winkler avait expliqué dans son livre, The Roman Salute: Cinema, History and Ideology, comment les partis fascistes s’étaient inspirés d’un geste que la société avait fini par associer à l’Empire romain, symbole d’un État tout-puissant, prospère et représentant un âge d’or. Une figuration de l’histoire, qui n’en reste pas moins erronée.

Cette erreur a été induite pour une grande partie par l’art. Winkler s’appuie sur le tableauLe Serment des Horaces, peint en 1784, représentant, sous l’ère romaine, trois frères jurant, bras droit levé vers leur père, qu’ils protégeront Rome. Il explique qu’à partir du XXe siècle, ce mythe a été très largement diffusé, et a conduit à son adoption par la pensée commune. Des représentations théâtrales ont ainsi mis ce «salut romain» en scène, et on retrouve même ce fameux geste dans le film Ben-Hur, sorti en salles en 1959. Pis encore, ce mythe si largement répandu serait derrière l’adoption du salut olympique, qui fut abandonné après l’émergence du nazisme.

«Salut de Bellamy»

Le «salut romain» n’a donc jamais réellement existé. Et l’origine du geste n’est pas à trouver en Rome antique, mais bien plus tard, outre-Atlantique. Comme l’expliquait CNNen 2013, ce salut est apparu dans les écoles américaines, lorsque le pasteur baptisteFrancis Bellamy, a écrit le Serment d’allégeance au drapeau des États-Unis, que devaient réciter les écoliers le 12 octobre 1892 pour fêter le 400e anniversaire de la découverte des Amériques par l’explorateur Christophe Colomb. Afin d’inspirer le patriotisme dès le plus jeune âge, 25.000 drapeaux sont distribués dans les salles de classe, devant lesquels les élèves, bras levé en leur direction, déclarent:

« Je jure allégeance à mon drapeau et à la République qu’il représente: une nation indivisible, avec la liberté et la justice pour tous.»

De là est né le «salut de Bellamy».

C’est lors de l’émergence du nazisme, que le président américain Franklin Roosevelt, craignant une exploitation des photos du «salut de Bellamy» par les fascistes dans un but de propagande, a décidé, en 1942, de remplacer le «salut de Bellamy» par la main droite sur le cœur durant le serment d’allégeance.

Comme quoi, le plagiat, c’est mal.

http://www.slate.fr/

UKRAINE. Sur la ligne de front, chiens, chats et combattants s’entraident


Dans l’horreur de la guerre, le moral des soldats peuvent en prendre un coup. D’un autre côté, nombre de personnes ont fuit la zone de conflit laissant derrière eux leurs animaux de compagnie. Dans cette misère, animaux et soldats s’entraident à survivre
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UKRAINE. Sur la ligne de front, chiens, chats et combattants s’entraident

Un soldat ukrainien et une chatte à un checkpoint près de Sartana, dans l'est de l'Ukraine, le 29 février 2016. ©ALEKSEY FILIPPOV / AFP

Un soldat ukrainien et une chatte à un checkpoint près de Sartana, dans l’est de l’Ukraine, le 29 février 2016. ©ALEKSEY FILIPPOV / AFP

Dans l’enfer de la guerre, animaux domestiques abandonnés et soldats se rendent mutuellement des services.

MORAL. Le long de la ligne de front dans l’est de l’Ukraine, chiens et chat courent partout : recueillis pour la plupart par les combattants après avoir été abandonnés par leurs maîtres fuyant cette zone de conflit, ils leur apportent un soutien moral indéniable. Et peuvent parfois les aider à combattre l’ennemi. À Sartana, un faubourg du port stratégique de Marioupol, la dernière grande ville de l’Est sous contrôle des autorités de Kiev, deux chattes tachetées vivent aux côtés des soldats ukrainiens non loin de la ligne de front. Elles ont été sauvées des bombes par les militaires alors que les combats faisaient rage pour le contrôle du village avoisinant de Chirokiné. Les animaux avaient été abandonnés par des habitants ayant fui le conflit entre l’armée ukrainienne et les séparatistes prorusses, qui a provoqué la mort de plus de 9.000 personnes depuis son déclenchement, il y a près de deux ans.

Aide inter-espèce

« Avec les chats, on a une relation mutuellement bénéfique : ils capturent les souris, nous on les nourrit. Ils nous réchauffent, et on les réchauffe aussi, raconte Pavlo, un mitrailleur de 28 ans. Le chat est un animal domestique. Là où il y a un chat, tout va bien dans la maison », ajoute ce jeune homme, archéologue de profession.

Pavlo affirme d’ailleurs qu’une fois le conflit terminé, il rentrera à Kiev accompagné d’une des bêtes.

« Un camarade abritait un chiot à Chirokiné, ce chien a vécu les combats avec lui, a grandi auprès de lui. Au final, il l’a ramené à Kiev. C’est comme un membre de sa famille. Je compte aussi ramener un chat avec moi », dit-il. 

Un grand chien noir que les soldats ont baptisé « Guilza » (cartouche) accourt alors à ses pieds dans la tranchée.

« Les chiens sont aussi d’une aide indispensable. En cas de danger, ils sont comme des alarmes, parce qu’ils entendent et voient mieux que les humains. Ils nous avertissent en cas de rapprochement de l’ennemi », explique le soldat. 

Et c’est aussi pourquoi les militaires en prennent grand soin. Chiens et chats y sont traités comme des rois. Un soldat chargé des premiers soins et répondant au nom de guerre de « Rodon » avoue même avoir donné ses propres médicaments à la plupart des chiens sur place.

« On a ramené avec nous beaucoup de chiens qui avaient été abandonnés à Chirokiné par les locaux ayant fui les tirs. On les a soignés et nourris et ils ne voulaient plus partir. Lorsqu’ils sont massivement tombés malades, je les ai traités aux antibiotiques et à la vodka », explique-t-il. 

Le jeune de 27 ans, originaire de Kiev, affirme aussi considérer les chats comme ses confrères en médecine car ils empêchent les rongeurs de propager des virus.

« Comme des antidépresseurs »

Rodon reconnaît que le plus grand atout de ces animaux est l’aide morale qu’ils apportent aux soldats.

« Ils sont comme des antidépresseurs. Le moral grimpe dès qu’on les voit. Tu les appelles, ils courent vers toi et le moral s’améliore », raconte-t-il, en nourrissant des chiens.

Un bénéfice psychologique récemment prouvé par la science et à l’origine de ce que l’on appelle la zoothérapie. De l’autre côté du front, à la périphérie de Donetsk, une unité de la République populaire autoproclamée de Donetsk (DNR) sous le commandement du rebelle « Tourok », 40 ans, est aussi accompagnée de jeunes chiots.

« Un grand berger sympa vivait avec nous. Il s’était rapproché de nous dès le début des combats. Des habitants du village l’avaient abandonné, raconte le chef. Mais il a été tué récemment par une mine. Il ne reste que les chiots », déplore-t-il. 

Pour les protéger de ces mines, qui truffent le sol de l’Est de l’Ukraine et font presque quotidiennement des victimes dans la zone, les rebelles ont dès lors décidé de garder les chiots enfermés.

 « Le roux s’appelle Adjudant et le noir, Major », sourit-il. Pavlo, le soldat ukrainien, de son côté du front, ne veut pas donner de noms associés à la guerre à ses chats.

« Ce n’est pas correct. Quand je ramènerai un chat à la maison, là je lui donnerai un nom », conclut-il.

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Un trafic d’orchidées rares repéré sur les réseaux sociaux


Il existe un marché très fort sur Internet sur des orchidées rares. Malheureusement, beaucoup d’entre elles sont interdites, car cela occasionne un risque accru d’extinction pour ses fleurs
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Un trafic d’orchidées rares repéré sur les réseaux sociaux

 

Les orchidées du genre Paphiopodilum sont les plus recherchées. SUPERSTOCK/SIPA

Les orchidées du genre Paphiopodilum sont les plus recherchées. SUPERSTOCK/SIPA

Par Loïc Chauveau

Des groupes d’échange sur les réseaux sociaux servent à des trafics illégaux d’orchidées sauvages, affirme une équipe de chercheurs britanniques.

EXTINCTION. Internet, une aubaine pour les trafiquants ? C’est le cas pour ceux qui cherchent à revendre des espèces végétales ou animales interdites de commerce en raison de leur rareté ou de leur risque d’extinction, selon les critères de la Convention internationale sur le commerce des espèces en danger (CITES). Si une surveillance des sites de vente en ligne comme Ebay commence à s’ébaucher, aucune évaluation n’avait jusqu’à présent été faite sur les réseaux sociaux dont l’émergence, il est vrai, date de moins de dix ans. Amy Hinsley et David Roberts, chercheurs membres de l’institut Durrell pour la conservation et l’écologie de l’université du Kent (Grande Bretagne) ont tapé le mot « orchidées » dans dix langues différentes (dont le français) sur les moteurs de recherche d’un réseau social (dont ils taisent le nom) afin de savoir combien de groupes échangeaient sur ces plantes recherchées et surtout si des échanges commerciaux informels étaient établis. La réponse positive vient d’être publiée dans la revue Conservation biology.

Des plantes rares convoitées dans le monde entier

Les chercheurs ont débusqué 150 groupes spécialisés fédérant 43.509 individus. 26 de ces groupes interdisent formellement toute activité commerciale. 43 autorisent les échanges financiers et parfois même les encouragent. Les groupes restant se caractérisent par l’absence de règles ne permettant pas de savoir si le commerce est possible ou pas. Ces échanges ne portent évidemment pas sur les espèces commerciales les plus courantes mais bien sur les raretés sauvages dont le prix peut atteindre sur le marché noir plusieurs dizaines de milliers d’euros. Des prix qui incitent les riverains des forêts d’Asie du sud-est principalement à aller collecter ces orchidées sans se soucier d’une possible extinction dans le milieu naturel. Les chercheurs en concluent sans surprise qu’il serait nécessaire de surveiller ces sites qui relient de très petits trafiquants à une clientèle mondiale.

Les chercheurs anglais n’ont pas ciblé les orchidées par hasard. Ce groupe pèse 70% des espèces végétales dont le commerce est interdit ou soumis à autorisation par la CITES. Ce plus grand groupe de plantes à fleurs avec 30.000 espèces sauvages répertoriées est intégralement protégé par la convention. Mais il fait l’objet d’un trafic grandissant selon le rapport remis en novembre dernier par l’ONG Trafic. La surveillance pendant deux ans de quatre grands marchés de plantes de Thaïlande a permis de dévoiler des échanges transfrontiers illégaux avec la Birmanie et le Laos. 348 espèces différentes d’orchidées ont été reconnues sur les étals et au moins 16% des plantes proposées étaient interdites à la vente selon les règles de la CITES. En utilisant les réseaux sociaux, les petits trafiquants évitent le risque d’être dénoncés sur les marchés.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Ce resto suspendu dans le vide va vous donner le vertige


Les projets les plus fous pour attirer les gens entre les murs d’un restaurant suspendus dans les airs en permanence. Cela vous tente de dîner alors qu’à vos pieds, c’est le vide ? De quoi a retourner l’estomac à l’envers
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Ce resto suspendu dans le vide va vous donner le vertige

 

Si vous ne craignez pas le vertige, ce restaurant est fait pour vous. Il s’agit du projet d’une agence d’architecture mexicaine, « Tall Arquitectos », qui a imaginé la construction d’un resto suspendu au niveau d’une des falaises des Barrancas del Cobre.

Les Barrancas del Cobre sont un peu le grand canyon mexicain. Situées au sud-ouest de l’État de Chihuahua, ces falaises atteignent jusqu’à 2500 mètres d’altitude.

Le restaurant, Biré Bitori, aurait droit à un design des plus épurés. Des plaques de verres feraient office d’une partie du sol à tel point que déjeuner dans le vide sera littéralement possible. C’est à faire peur, mais les trois architectes de l’agence Tall semblent plutôt savoir dans quoi ils s’engagent.

Sans compter que plusieurs restaurants suspendus (mais éphémères) ont vu le jour àParis ou Bruxelles et qu’aucun accident n’a été dénombré… On vous laisse découvrir le projet fou dans les photos ci-dessous :

resto air

resto air

resto air

resto air

resto air

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Pis, c’est quoi le bonheur?


Le bonheur, donner une définition au bonheur, au bien-être peut paraitre abstrait. Pourtant, ce sentiment existe vraiment reste à déterminer comment il se manifeste. Un don de soi ? Une question de génétique ? Ou d’être moins présent sur les réseaux sociaux tels que Facebook ? Pour ma part, peut-être un peu de tout et aussi l’attitude devant la vie en générale
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Pis, c’est quoi le bonheur?

 

Pis, c'est quoi le bonheur?

Certains chercheurs avancent que le bonheur pourrait être une question de gênes.Photo Fotolia

En 2012, les Nations Unies ont fait du 20 mars la Journée internationale du bonheur. Le sujet ne cesse de fasciner les chercheurs. Tous veulent apporter un élément de réponse à la même question: «Qu’est-ce qui fait le bonheur?». Certains de leurs résultats les plus récents peuvent paraître surprenants.

DÉPENSER DU TEMPS ET NON DE L’ARGENT

Une étude publiée cette année dans la revue Developmental Psychology a remis en cause l’idée d’une crise de la quarantaine. Menées sur 25 ans par les chercheurs de l’Université de l’Alberta, les recherches ont permis d’observer que le bonheur grandissait avec l’âge et qu’il ne décroissait pas autour de la quarantaine.

Par ailleurs, peut-être sans surprise, une équipe de chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique a confirmé au mois de janvier que ceux qui accordaient la priorité au temps et non à l’argent déclaraient être plus heureux. Ces personnes utilisent leur temps libre pour entreprendre des activités pleines de sens comme le bénévolat pour des œuvres de charité. Cela augmenterait leur bonheur.

UNE AFFAIRE DE BIOLOGIE?

Certains chercheurs avancent que le bonheur pourrait être une question de gênes. Après avoir étudié plusieurs pays du monde, une équipe de la Varna University of Management, en Bulgarie, a observé une corrélation entre un bonheur accru et une haute prévalence de l’allèle A – variant génétique empêchant la dégradation de l’anandamide, une substance naturelle qui accroît les plaisirs sensoriels et diminue la douleur.

Cette forte prévalence a été observée au Mexique, en Colombie, au Venezuela en Équateur, au Ghana et au Nigeria, des pays dans lesquels, en dépit de la violence, les personnes interrogées se déclarent heureuses. En Irak, en Jordanie, à Hong Kong, en Chine, en Thaïlande et à Taïwan, la prévalence de cet allèle A est faible. Les personnes se jugeant heureuses y sont moins nombreuses.

Des chercheurs de l’université de Kyoto, au Japon, ont découvert l’année dernière que ceux qui se sentent plus intensément heureux disposent de plus de matière grise dans la région précunéus du cerveau. Plusieurs études ont démontré qu’on pouvait accroître le volume de cette matière grise en pratiquant la méditation.

LES RÉSEAUX SOCIAUX FAVORISENT-ILS LE MAL-ÊTRE?

Une étude de 2015 mené par le Happiness Research Institute, au Danemark (pays décrit comme le plus heureux au monde), avance que Facebook pourrait rendre malheureux. Après une semaine passée à l’écart du réseau social, les participants ont rapporté être plus satisfait de leur vie. Selon les chercheurs, les utilisateurs Facebook seraient à 39 % plus susceptibles de se sentir malheureux que les non-inscrits.

http://fr.canoe.ca/

Des scientifiques montrent les plus gros rats de New York


J’ai vue des souris plusieurs fois, mais des rats en liberté jamais, juste dans des cages. En tout cas, à New-York, ils sont très prolifiques et probablement bien nourris.
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Des scientifiques montrent les plus gros rats de New York

 

La grosseur des rats de New York est légendaire. Mais grâce à une nouvelle recherche scientifique, on sait maintenant à quel point ils sont énormes.

Matthew Combs, un étudiant au doctorat à l’université Fordham, a amassé avec ses collègues des centaines de rats dans le cadre d’une étude visant à déterminer comment les créatures s’organisent en colonies (beurk!). Leur recherche permet aussi de voir à quel point la grosseur des rongeurs peut varier.

Non, les rats de New York ne sont pas aussi gros que des chats (du moins, pas des chats domestiques bien nourris). Malgré tout, les plus gros spécimens pourraient vous donner des cauchemars!

Combs a récemment montré le plus gros rat qu’il a capturé au Huffington Post États-Unis: un monstre pesant 675 grammes (près d’une livre et demi). Voici la photo pour vous divertir/fasciner/dégoûter:

rat

Il y a de bonnes nouvelles pour les musophobes. Si vous craigniez qu’une quelconque mutation crée des rats d’une grosseur gargantuesque, et bien

«Je ne crois pas qu’il n’y ait de rats de trois livres (1,3 kg) dans la ville», a expliqué Combs au Huffington Post la semaine dernière. «Ils semblent avoir des limitations physiologiques qui les empêchent de grossir au-delà de 2 livres (900 g). J’aurais besoin de preuves concrètes pour croire qu’ils peuvent être beaucoup plus gros.»

Le rat adulte moyen recensé au cours de l’étude pesait environ 225 grammes (une demi-livre), selon ce qu’a expliqué Combs à Alta Obscura. Les plus gros rats ont été attrapés par des chiens, tandis que les plus petits se sont pris dans des pièges.

Des rats bien plus gros – de la famille des cricétomes des savanes – ont déjà été aperçus dans la Grosse Pomme. Toutefois, Combs estime que ceux-ci étaient sans doute des rats domestiques remis en liberté. Il doute qu’une telle population de rats géants se reproduise dans la métropole.

Il se montre même rassurant lorsqu’il est question de rats géants.

 «Les plus gros rats ne sont pas nécessairement plus dangereux», assure-t-il.

Pour ce qui est de la population des rats communs, appelés Rattus norvegicus, elle oscille autour des deux millions à New York, selon une étude de 2014.

Pour éviter de rencontrer un rat géant, mieux vaut se tenir loin des bennes à ordures, qui sont de véritables buffets à rongeurs!

«Les rats les plus vieux et les plus gros peuvent laisser les plus jeunes tester de nouvelles sources de nourriture, ce qui peut les empêcher de s’empoisonner une fois qu’ils atteignent une certaine maturité», explique Combs.

Combs et ses collègues ont fait don de leurs spécimens au musée Peabody de l’université Yale.

Cet article initialement publié sur le Huffington Post États-Unis a été traduit de l’anglais.

http://quebec.huffingtonpost.ca/