La naissance d’un bébé loutre a pu être filmée


Une loutre de mer qui devait mettre bas, s’est réfugiée dans un aquarium après avoir été chassée par une tempête. Une rare occasion de voir la naissance de bébé loutre
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La naissance d’un bébé loutre a pu être filmée

 

Les visiteurs présents au Monterey Bay Aquarium le dimanche 6 mars ont eu la chance d’assister à un phénomène auquel il est rare de pouvoir assister: la naissance d’un bébé loutre.

Chassée de son habitat naturel par une tempête, une loutre de mer était venue se réfugier dans un des bassins de l’établissement, où elle a été prise en charge par les employés de l’aquarium. Les chercheurs ont suivi cet accouchement avec intérêt, eux qui n’avaient pas eu l’occasion d’observer ce phénomène d’aussi près depuis des années.

En effet, les loutres de mer ont la particularité de pouvoir donner la vie aussi bien dans l’eau que sur la terre, ce qui complique fortement les études des scientifiques à ce sujet.

Dans la vidéo de l’accouchement partagée par l’aquarium de Monterey – que vous pouvez visionner en tête d’article-, on peut voir la maman commencer le toilettage de sa progéniture, procédé qui permet de la tenir au chaud et de faciliter la circulation de son sang.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ►Le mal du pays était autrefois une maladie très sérieuse


Le mal du pays a déjà été une maladie reconnue par nos ancêtres. Le traitement, laisser le temps agir, sortir, voir des gens. Si c’est pour des soldats, des médecins pouvaient prescrire une permission d’aller visiter les siens … Avec le va et viens de la population mondiale, cette maladie semble refaire surface et revenir une maladie qui se doit d’être traitée
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Le mal du pays était autrefois une maladie très sérieuse

 

 Au XVIIIe siècle, les soldats pouvaient obtenir une permission s'ils souffraient de mal du pays.  | fdecomite via Flickr CC License by

Au XVIIIe siècle, les soldats pouvaient obtenir une permission s’ils souffraient de mal du pays. | fdecomite via Flickr CC License by

Jusqu’au XXe siècle, les symptômes dépressifs causés par un déracinement étaient traités médicalement.

Erasmus et échanges universitaires, WWOOFing, travail au pair, couchsurfing,programmes Vacances Travail Nous voyageons aujourd’hui beaucoup plus que nos ancêtres (et plus tôt). La popularisation des études à l’étranger, la réduction du temps et du coût des transports et la diversification des modes d’hébergement incitent les gens à élargir leurs horizons, et parfois même à s’expatrier pour une plus ou moins longue durée. Un aspect n’est pas nouveau, néanmoins: le mal du pays.

Dès 1553, un Joachim du Bellay isolé pendant quatre ans à Rome exprimait ses Regrets et son amour pour sa région natale. Si le mal du pays est aujourd’hui pris un peu à la légère, traité avec des conseils à l’emporte-pièce comme «Tu verras, tu vas t’habituer» et «Sors, rencontre des gens, ça va passer», ces symptômes étaient traités avec beaucoup plus de sérieux jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, rappelle le New York magazine. Les médecines européenne et américaine traitaient, en effet, le mal du pays comme une vraie maladie, qui pouvait même être fatale si elle n’était pas traitée.

Dans son livre The Book of Human Emotions (Le livre des émotions humaines), la philosophe Tiffany Watt Smith évoque notamment le cas de soldats suisses au XVIIe siècle qui, aspirant à rentrer chez eux, furent frappés de léthargie et de tristesse à l’évocation de leur pays natal. Certains se privèrent même de nourriture, et moururent sur place. En 1688, relate Smith, le médecin suisse Johannes Hofer publia un rapport sur cette étrange épidémie, la nommant «nostalgie», contraction des termes grecs nostos, le retour, et algos, la douleur.

Le mal du pays à l’origine du terme «nostalgie»

Jusqu’au début du XXe siècle où le terme a commencé à changer de signification, la «nostalgie» était un terme médical utilisé pour décrire un désir fort, potentiellement dangereux, de retourner dans son pays natal.

Même si tous les médecins n’étaient pas d’accord sur les symptômes, nuance Susan Matt, historienne à la Weber State University,«plusieurs descriptions concordent: essoufflement, palpitations cardiaques, dysenterie, fièvre, problèmes pulmonaires».

«Cela pouvait aussi se traduire par un désir ardent, puis le corps commençait à se renfermer sur lui-même.»

En comparaison, seul un soldat durant la Première Guerre mondiale a succombé à la «nostalgie». La mobilisation de l’Ouest, la multiplication des voyages et un goût de l’aventure dans l’air du temps sont un début d’explication, selon le New York Magazine. Pas sûr non plus que le mal du pays ait été une excuse suffisante pour échapper à la bataille de Verdun, malgré une indubitable envie des soldats de rentrer chez eux. Dans son livre Homesickness: An American History (Le mal du pays: une histoire américaine), Susan Matt évoque aussi la tolérance des médecins pendant la guerre de Sécession. Il n’était pas rare qu’un soldat obtienne une permission car sa maison, ses proches lui manquaient. Plus de 5.000 soldats ont ainsi été diagnostiqués de nostalgie, et 74 soldats de l’Union en sont morts. 

Le mal du pays pourrait de nouveau être considéré comme un sujet plus sérieux qu’une déprime passagère ressentie lors de la première quinzaine de son Erasmus. Une étude publiée en 2011, menée sur des immigrants latino-américains à Barcelone, présente le stress engendré par une expatriation comme un facteur de risque pour l’anxiété et la dépression. Le mal du pays est traité de plus en plus sérieusement et parfois mêmeconsidéré comme un état clinique, pouvant être soigné grâce un suivi psychologique ou des antidépresseurs.

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Tondre ou pas?


Les gros chiens ne devraient pas être tondus, sauf en cas de nécessité. Sinon, un bon bain, séchage et une bonne séance de brossage est sans doute mieux que le tondre le chien au printemps
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Tondre ou pas?

 

Les gros chiens à poil long, comme le... (PHOTO TIMOTHY A. CLARY, AFP)

Les gros chiens à poil long, comme le golden retriever, n’ont pas besoin de passer sous la tondeuse, sauf en cas d’hygiène douteuse ou de problème de santé.

PHOTO TIMOTHY A. CLARY, AFP

 

MARIE-FRANCE LÉGER
La Presse

La mue du printemps va bientôt commencer chez les chiens. Pour les propriétaires d’animaux à poil long, la question revient annuellement : faut-il faire raser pitou ?

Certes, afin d’éviter les chutes de poils trop abondantes dans la maison, le propriétaire sera tenté de lui faire faire une « petite coupe ». Mais est-ce bénéfique ou nécessaire pour l’animal ? Non, pas forcément, répondent toiletteurs et vétérinaires.

Parmi les 10 chiens les plus populaires, le top 3 est composé de gros chiens à poil long : le labrador, le berger allemand et le golden retriever. Or, ces chiens n’ont pas besoin de passer sous la tondeuse, sauf en cas d’hygiène douteuse ou de problème de santé.

« Ce n’est vraiment pas obligatoire, souligne la vétérinaire Marie-Hélène Tétreault, de la Clinique vétérinaire DIX30 et de la Clinique vétérinaire Griffintown. Les gens le font davantage pour des problèmes de poils. Mais s’il y a des problèmes de peau, là, c’est indiqué. C’est bon de faire aérer la peau pour des infections superficielles. »

Cette question, Valérie Dickson se la pose chaque année. Son chien, un labrador croisé husky de 9 ans, a souffert de problèmes de démangeaisons et de rougeurs au cours de l’été 2014. L’an dernier, et pour la première fois, elle l’a fait raser, sous les conseils de son vétérinaire. Et les problèmes de peau ne sont pas réapparus l’été dernier.

Mais ce n’est pas parce qu’elle l’a fait raser que les ennuis de peau ont cessé, précise Samuel Leblanc, toiletteur depuis plus de 15 ans. C’est parce qu’il a été soigné.

«En général, on ne devrait pas raser les gros chiens. On affecte la texture des poils», mentionne Samuel Leblanc, toiletteur.

« Dans ce cas-ci, un chien croisé labrador-husky – ou un husky – possède deux couches de poils pour le protéger. Ça garde davantage l’humidité prisonnière. Ce qu’il faut pour éviter les problèmes, avant tout, c’est plutôt de donner un bon bain et surtout un bon séchage avec le souffleur. »

UN BROSSAGE PLUTÔT QUE LE RASAGE

Samuel Leblanc, qui travaille à la Clinique vétérinaire DIX30, note que les problèmes de peau sont effectivement de plus en plus fréquents chez les chiens. Il y voit entre autres une augmentation de la présence des allergènes, plus nombreux avec les changements climatiques.

En général, si le chien est en bonne santé, il vaut mieux s’en tenir à un bon brossage à la période de mue. Les gros chiens, comme les labradors, les golden, les huskies, les bergers allemands, même les colleys, ne devraient pas être tondus, croit également Yvan Besner, propriétaire du salon Pour chien et chat seulement, à LaSalle.

« Il n’est pas nécessaire de tondre. Après, parfois, le poil va changer de texture ou pousser différemment ou moins bien. Et si c’est trop court, des plaques de poils peuvent ne pas repousser du tout », souligne Yvan Besner, qui organise des événements et des compétitions avec des dizaines de toiletteurs au Québec.

Les poils de ces gros chiens finissent par arrêter de pousser, contrairement aux races comme le caniche ou le bichon, dont le poil bouclé est à croissance continue. De plus, la robe de ces grands chiens très populaires est peu propice aux noeuds ou à l’emmêlement. Raison de plus pour bien réfléchir avant de faire tondre pitou !

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Rarissime cas de jumeaux de pères différents


Ce n’est pas la première fois que j’entends parler de jumeaux n’ayant pas le même père. L’histoire ne dit pas, comment les parents ont pris la nouvelle
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Rarissime cas de jumeaux de pères différents

 

Des jumeaux ayant des pères différents? C'est possible... (Photothèque: La Presse)

Des jumeaux ayant des pères différents? C’est possible lorsque deux ovocytes de la mère sont fécondés par deux hommes différents, lors de rapports sexuels survenus lors de la même période d’ovulation.

PHOTOTHÈQUE: LA PRESSE

 

Agence France-Presse
Hanoï

Un cas extrêmement rare de jumeaux nés de pères différents a été révélé mardi par les autorités sanitaires du Vietnam.

La découverte a été faite suite à un test ADN réalisé sur ces jumeaux dans un laboratoire de Hanoï, à la demande de leurs parents, dont l’identité n’a pas été révélée.

«Notre centre d’analyses génétiques a effectué des tests et découvert que ces jumeaux avaient deux pères», a déclaré à l’AFP Le Dinh Luong, président de l’Association de génétique du Vietnam, travaillant sous l’égide du ministère de la Santé.

Il a souligné la «rareté» de ce phénomène, qui se produit quand deux ovocytes de la mère sont fécondés par deux hommes différents, lors de rapports sexuels survenus lors de la même période d’ovulation.

Le nombre de paires de jumeaux identifiés comme étant nés de pères différents est estimé à une dizaine à travers le monde.

Selon le quotidien Tuoi Tre, tout est parti d’une demande de test de paternité du père officiel, soucieux de vérifier s’il était bien le père biologique de deux jumeaux de sa femme, dont l’un lui semblait n’avoir pas d’air de famille.

Les tests ont montré qu’il était le père d’un seul des deux bébés, alors que sa femme est bien la mère biologique des deux enfants, aujourd’hui âgés de deux ans.

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Fukushima : le nombre de cas de cancer bondit chez les enfants au Japon


Tout le monde se souvient de la catastrophe nucléaire qui a touché Fukushima, il y a 5 ans. On voit une remontée du cancer chez les enfants, spécialement le cancer de la thyroïde qui serait dû aux radiations selon plusieurs spécialises, choses que le gouvernement Japonais remet en cause
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Fukushima : le nombre de cas de cancer bondit chez les enfants au Japon

 

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Photo :  ICI Radio-Canada

Un texte d’Yvan Côté

Les problèmes de santé se multiplient à Fukushima, cinq ans après la catastrophe nucléaire. Selon les derniers chiffres du gouvernement japonais, 116 jeunes de moins de 18 ans ont contracté un cancer de la thyroïde.

Comme des centaines de milliers d’autres parents, Minami Shioda est inquiète. Sa fille Airu est née deux ans après la catastrophe nucléaire de Fukushima.

Pendant des mois, elle a pu limiter son exposition aux radiations en gardant son enfant à l’intérieur de la maison. Mais dorénavant, cette stratégie ne fonctionne plus. Airu a aujourd’hui trois ans, et elle a besoin de jouer à l’extérieur.

« Je suis effrayée tout simplement parce que ma fille joue dehors. Ce n’est pas normal. Je suis obsédée par tout ce qu’elle touche et par les mares d’eau. Tout peut être radioactif ici. » — Minami Shioda

C’est pourquoi elle a décidé, il y a quelques jours, de se rendre dans l’une des seules cliniques de dépistage du cancer de la région de Fukushima, où on effectue toujours des tests cinq ans après la catastrophe.

À l’intérieur de l’hôpital d’Isikakwa, elle a rencontré d’autres parents alarmés, des enfants malades, des citoyens à la recherche de réponses. Des familles qui angoissent depuis que le gouvernement a annoncé la découverte de 116 cas de cancer de la thyroïde depuis la catastrophe nucléaire. Un nombre anormalement élevé si on le compare à ceux publiés avant l’accident de la centrale de Daiichi en mars 2011.

20 à 50 fois plus de cancers

En fait, selon Toshihide Tsuda, un chercheur de l’Université Okayama, les cas de cancer de la thyroïde chez les enfants vivant à proximité de la centrale nucléaire de Daiichi sont 20 à 50 fois plus nombreux que chez les autres jeunes dans le reste du pays. Et ce qui impressionne le plus ce chercheur, c’est la rapidité avec laquelle ces cas sont apparus.

Selon ces données, les tumeurs chez les enfants seraient apparues en moins de cinq ans à Fukushima. Beaucoup plus rapidement qu’à la suite de l’accident nucléaire de Tchernobyl, où les premiers cas ont été décelés après sept ou huit ans.

La recherche du professeur est cependant loin de faire l’unanimité au Japon. Elle est remise en cause par le gouvernement du premier ministre Shinzo Abe et par plusieurs professionnels de la santé dans le pays.

« Bien des gens disent que c’est relié aux radiations, mais ce n’est pas du tout la réalité. L’exposition après Tchernobyl au Bélarus était de 1100 millisieverts, alors qu’ici elle n’a été que de 4 millisieverts. On ne peut tout simplement pas relier l’accident nucléaire à ces nouveaux cas », affirme le Dr Tsubokura Masaharu.

Le médecin explique plutôt cette recrudescence des cas de cancer de la glande thyroïde par de meilleures campagnes de dépistage dans le pays. À son avis, il est impossible que ce soit relié à la centrale de Daiichi pour trois raisons :

  1. Les enfants touchés à Fukushima sont en moyenne plus âgés qu’à Tchernobyl;
  2. L’exposition ici a été moins grande;
  3. Une tumeur met de 5 à 10 ans avant de se développer.

Cette évaluation dérange le groupe Greenpeace, qui se penche sur l’impact de l’explosion des trois réacteurs à Fukushima depuis 2011.

« C’est inacceptable de dire des choses pareilles, parce qu’il y a encore de nombreuses incertitudes sur la relation entre le niveau de radiation et les cas de cancer. On ne sait toujours pas dans quelle mesure la population sera véritablement touchée. »— Jan Vande Putte, de Greenpeace

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Photo :  ICI Radio-Canada

Un seul travailleur indemnisé

L’autre controverse médicale à Fukushima touche les travailleurs. Des milliers d’hommes et de femmes se sont relayés depuis cinq ans pour nettoyer la centrale nucléaire. Jusqu’à maintenant, le gouvernement n’a reconnu qu’un seul cas de leucémie relié à l’exposition aux radiations. Des dizaines d’autres dossiers d’ouvriers atteints de cancer ont été écartés par Tokyo.

« Ce qui nous fâche, c’est que les autorités n’apprennent pas et continuent à nier qu’il y a probablement un effet. De dire qu’il n’y a pas d’impact n’est manifestement pas scientifique; c’est politique et ce n’est pas respectueux pour les gens qui sont touchés », affirme Jan Vande Putte.

Après plusieurs heures à la clinique d’Isikawa, Minami a finalement reçu la réponse qu’elle espérait : tous les tests effectués sur sa fille Airu indiquent qu’elle est en pleine santé.
Un soulagement pour la mère, même si ses craintes sont loin d’avoir disparu. Elle limite toujours les sorties de la fillette et s’abstient de lui servir toute nourriture qui a été cultivée dans la région de Fukushima.

 

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Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier


Même chez les animaux, il peut arriver qu’un malheur entraîne un heureux dénouement. Ce Pitt Bull, brulé lors d’un incendie, puis abandonné à cause des coûts pour le soigner et adopté pour devenir un membre à part entière de l’équipe de pompiers qui l’avaient sauvé
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Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier

 

Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier

Il n’avait que trois semaines lorsqu’il fut retrouvé prisonnier des flammes dans un cabanon. Sauvé in extremis, ce chien officie aujourd’hui au sein de la caserne de pompiers de la ville d’Hanahan (Etats-Unis)…

Il arrive parfois que la vie soit une épreuve dès son commencement. Et pour cause, Jake n’était qu’un petit chiot âgé de tout juste trois semaines lorsqu’il s’est retrouvé pris au piège des flammes qui s’étaient emparées du cabanon dans lequel il vivait.

Sauvé in extremis par un pompier du voisinage dépêché sur place par sa famille, il a finalement été abandonné par cette dernière. La raison ? Elle ne pouvait pas financièrement assumer les dépenses médicales nécessaires au toutou pour se remettre sur pattes.

Mais suite à cet enchaînement de malheurs, sa vie a basculé.

Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier

Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier

Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier

Le jeune Pitt Bull était brûlé à 75% suite à l’incendie. Même ses coussinets n’avaient pas été épargnés. William Lindler, le pompier qui lui avait sauvé la vie de justesse, était d’ailleurs très inquiet pour lui. Si inquiet qu’il a fini par appeler le vétérinaire où avait été amené le chiot pour avoir de ses nouvelles.

Et qu’elle ne fut pas sa surprise d’apprendre par le spécialiste que le petit avait été abandonné par ses maîtres en raison de ses blessures, jugées trop coûteuses.

Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier

Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier

Avec les siens, il a alors pris une décision qui leur a changé la vie à tous : adopter le malheureux.

Et Jake a très vite récupéré de ses blessures ! S’il est tout de suite devenu le toutou le plus aimé au monde par sa nouvelle famille, il s’est également offert (officiellement) le poste de mascotte dans le cœur des pompiers locaux.

Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier

« Moi, Jake le chien pompier, en tant que Mascotte de la caserne de pompiers de la ville d’Hanahan, promets par la présente d’aider à faire sourire les enfants avec ma personnalité attachante et les aider à connaître les règles de sécurité liées aux incendies et savoir quoi faire en cas d’urgence. A travers mes efforts, j’aiderai à promouvoir la Mission, la Vision et les Valeurs du service de pompiers de la ville d’Hanahan. Aucun travail n’est trop ou pas assez important quand il y a des enfants impliqués », stipule en effet le « contrat » sur lequel le toutou a apposé sa patte.

Aujourd’hui, il honore vraiment sa mission puisque accompagné d’autres sapeur-pompiers, il intervient dans les écoles.

Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier

« J’aimerais bien lui faire obtenir une certification pour qu’il devienne un chien de thérapie pour les enfants brûlés », a par ailleurs écrit son nouveau papa.

Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier

Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier

Toutefois rien est arrêté pour l’heure.

« Il s’entraîne pour devenir un chien détecteur d’incendies criminels », a en effet fait savoir le pompier qui a fait de son nouveau compagnon, une petite star du Web.

Jake, le chien victime des flammes devenu sapeur-pompier

Par Deborah Koslowski

Crédits photo : Facebook – Jakes Page

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Le perçage buccal et les bijoux dentaires


Je n’aime pas tellement les piercings sur la langue ou sur les lèvres, d’autant plus que cela n’est pas sans risque pour la santé dentaire
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Le perçage buccal et les bijoux dentaires

 

Le perçage buccal se veut une pratique de plus en plus populaire. On retrouve des perçages buccaux sur la langue, les lèvres et quelques fois dans la joue, le frein de la langue ou de la lèvre et, dans de rares cas, sur la luette. Or, cette procédure est loin d’être sans risques.

La bouche est un endroit humide contenant de nombreuses bactéries. Ce milieu est donc idéal au développement d’infections. La bouche comporte également plusieurs vaisseaux sanguins et nerfs importants, en plus de présenter une muqueuse beaucoup plus fragile qui s’endommage plus facilement que la peau.

Les risques et complications liés au piercing des lèvres et de la langue vont de l’usure dentaire anormale et fracture de dents à la récession gingivale et infections systémiques sévères.

La pose de bijoux dentaires doit être réalisée dans un environnement approprié qui respecte les règles d’hygiène et d’asepsie, en plus d’être précédée d’un examen dentaire complet par un professionnel.  De plus, il faut s’attendre à devoir enlever le bijou pour certains traitements dentaires. Si le bijou reste en place, il dérange et limite le travail des professionnels. De plus, la présence de métal peut fausser les radiographies.

Il est préférable d’être informé adéquatement afin de poser un choix éclairé. N’hésitez pas à consulter un professionnel qui pourra vous informer de tous les risques et complications, des précautions et des effets à long terme.

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