Une goutte dans l’océan


Chaque personne, chaque geste a un impact sur notre vie et la vie des autres
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Une goutte dans l’océan

 

“Nous réalisons que ce que nous accomplissons n’est qu’une goutte dans l’océan. Mais si cette goutte n’existait pas dans l’océan, elle manquerait.”

Mère Teresa

Le Saviez-Vous ► Devenez pauvre en 7 étapes faciles


On devrait apprendre aux enfants l’importance des finances personnelles pour que plus tard, ils puissent vivre sans trop de gènes. Et de bien gérer lorsqu’ils sont en couple pour ne pas se retrouver dans le néant
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Devenez pauvre en 7 étapes faciles

 

Essais_finance

Illustration: Marie Mainguy.

Financièrement, tout se joue entre 15 et 30 ans: en raison des intérêts composés, un endettement élevé à cet âge ou un manque d’investissements génèrent des conséquences permanentes. Voici sept comportements à éviter pour ne pas s’«autopeluredebananiser» avec l’argent.

1.  Se fier au voisin!

Un des plus grands sophismes en finance est de se dire : mon voisin a un revenu équivalant au mien, il se paie du luxe, donc je me paie ce luxe. Au Canada, ledit voisin a une dette de consommation moyenne de 21 312 $ (en excluant l’emprunt hypothécaire) et son taux d’endettement frôle les 164 % (en incluant le financement de la résidence). Comme modèle, on a vu mieux.

2. Négliger les «petites dépenses»

Que ce soit le café de la pause ou le repas de midi à la foire alimentaire, aucune dépense ne doit être prise à la légère. Chaque décision comporte une renonciation future. La pause-café à 3 $ représente 720 $ par année (3 $ x 240 jours de consommation), soit possiblement plus de 150 000 $ à 65 ans (en se basant sur un rendement annuel de 6 % sur une période de 45 ans).

3. Associer l’épargne à la privation

Lorsqu’on épargne, on ne se prive pas ; on décale dans le temps la satisfaction de consommer. Le bénéficiaire futur, c’est soi-même. Alors qu’en assouvissant sur-le-champ sa pulsion de consommer, on peut hypothéquer son avenir : une privation à long terme.

4. Mépriser l’argent

On entend souvent dire : moi, je ne suis pas à l’argent. Façon polie de dire qu’on ne maîtrise pas ses dépenses, qu’on néglige ses investissements et qu’on ne maximise pas sa stratégie. Peut-être que l’argent ne fait pas le bonheur, mais la pauvreté non plus ! L’argent n’achète pas le bonheur, mais il contribue à le favoriser.

5. Attendre d’«avoir les moyens» d’épargner

Épargner n’est pas une option dans la vie. Ce n’est pas comme les arachides sur une coupe glacée. On devra tous, un jour, arrêter de travailler et vivre de ses économies. Attendre d’avoir les moyens d’épargner revient à attendre de ne plus avoir de désirs. Si, à 35 ans, on n’a pas l’équivalent de deux ou trois années de salaire brut en investissements, on incarne probablement l’image du Québécois moyen ayant un taux d’épargne inférieur à 5 %.

6. Consommer à crédit

La règle de base de la santé financière veut que l’on réserve le crédit à l’investissement, car on peut obtenir un rendement grâce à l’argent emprunté. Si l’on doit s’endetter pour acheter un bien, mieux vaut alors se tourner vers le marché des biens usagés. La consommation de biens neufs est un luxe, pas un droit syndical acquis dans la convention collective de la vie contemporaine.

7. Négliger la nature de ses  investissements

Un jeune travailleur qui met ses économies uniquement dans des placements garantis — rebaptisés à la blague « certificats de pauvreté garantie » (CPG) — fait fausse route. Un placement à 2 % de rendement rapporte en fait 0 % par année si l’inflation est aussi de 2 %. Après 25 ans, un placement de 50 000 $ vaudra 100 000 $ si le taux de rendement est de 2 % et 384 000 $ si celui-ci est de 6 %.

Pierre-Yves McSween est comptable professionnel agréé, professeur au cégep régional de Lanaudière et chroniqueur au 98,5 FM.

http://www.lactualite.com/

Le quagga, sous-espèce du zèbre disparue il y a 130 ans, ressuscite grâce à la science


Le titre me laissait septique, mais ce n’est pas par manipulation génétique ou croisement entre deux espèces différentes, mais plutôt une sélection sélective qui fait revivre une sous-espèce de zèbres. Ils n’ont donc pas été contre nature
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Le quagga, sous-espèce du zèbre disparue il y a 130 ans, ressuscite grâce à la science

 

Ils ressemblent à des zèbres qui auraient perdu une partie de leurs rayures : les quaggas ont disparu il y a plus d’un siècle, victimes des chasseurs, mais des scientifiques font désormais revivre l’espèce en Afrique du Sud.

Dans une vallée spectaculaire à deux heures du Cap, les visiteurs peuvent croiser ces animaux tout droit sortis des livres de contes : des zèbres, rayés noir et blanc du museau au ventre, mais brun clair uni sur le postérieur.

En apparence, ce sont des quaggas, une sous-espèce du zèbre, qui broutent au pied des montagnes escarpées du Cap occidental. Pourtant les quaggas ont disparu au XIXe siècle, massacrés par les chasseurs de l’ère coloniale – le dernier est mort dans un zoo à Amsterdam en 1883.

Ce petit troupeau semi-rayé est le fruit du travail d’une poignée de scientifiques qui, depuis 30 ans, font se reproduire des zèbres des plaines moins rayés que les autres, pour concentrer les gènes « sans rayures ». La cinquième génération est en tout point semblable au quagga.

Mais pourquoi tenter de le ressusciter ?

« Il s’agit d’essayer de réparer, à petite échelle, un dégât écologique », explique Eric Harley, un professeur de biochimie clinique à la retraite. « Et aussi de pouvoir de nouveau voir ce bel animal qui vivait autrefois en Afrique du Sud ».

Le projet a été lancé par feu Reinhold Rau, un spécialiste d’histoire naturelle sud-africain né en Allemagne, qui avait fait analyser des échantillons de peau de quagga au South African Museum du Cap.

Il avait alors découvert que l’ADN de cet animal était le même que celui du zèbre des plaines, à quelques rayures près – comme une différence de couleur des yeux chez les êtres humains. Sa décision était prise : il allait faire revenir le quagga.

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Des quaggas au Karoo National Park, Afrique du Sud, juillet 1998

Pas de zébroïdes

Les critiques n’ont pas tardé. Certains experts de la biologie y voient une opération de marketing et une interférence inutile avec la nature.

« Nous ne faisons pas de génie génétique », se défend le professeur Harley. « Nous ne faisons pas du clonage, pas de transferts sophistiqués d’embryons… Il s’agit d’un simple projet de reproduction sélective. S’il s’était agi d’une espèce différente, l’idée n’aurait eu aucun sens et n’aurait pas pu se justifier », dit-il.

Pour apaiser le débat, ces nouveaux animaux ont été formellement nommés des « quaggas de Rau », afin de les distinguer de leurs ancêtres disparus.

Mais quand le soleil se lève dans la réserve privée de l’Elandsberg, et quand les troupeaux traversent la vallée de Riebeek, le guide les montre du doigt pour le visiteur en énumérant simplement :

« Voici les gnous… là-bas, des springboks et des élands (grandes antilopes, ndlr)… et là, des quaggas ».

En kaki des pieds à la tête, le guide Mike Gregor, directeur du programme et manager de la ferme, dénombre 100 zèbres en tout dans le projet, dont 6 individus de la quatrième et cinquième génération considérés comme de vraies représentations de l’animal éteint.

« Il y a toujours des polémiques avec ce genre de projet. Vous n’aurez jamais tous les scientifiques qui se mettent d’accord sur la bonne marche à suivre », relativise-t-il.

La différence entre le quagga et le zèbre des plaines ? Le premier n’a pas de rayures sur l’arrière-train et sa robe est plus brune, affirme Eric Harley. Une différence d’apparence, pas de code-barre génétique.

« En tout état de cause, les quaggas sont de retour. Le projet est un succès complet », se réjouit-il.

Et qu’on ne lui parle pas des éleveurs qui font de la reproduction pour obtenir des impalas à flancs blancs ou des gnous dorés – animaux qui se vendent plus cher sur le marché du gibier rare.

« Nous ne sélectionnons pas des zèbres qui auraient des couleurs amusantes ou originales. D’autres le font ailleurs, où on observe des mutations attrayantes, mais la plupart des défenseurs de l’environnement n’ont que du mépris pour ces pratiques », dit-il.

Les quaggas qui broutent de nouveau dans la vallée de Riebeek n’ont pas été soumis aux traitements qui permettent de donner naissance à des zébroïdes (croisement d’un zèbre avec un autre équidé, jument ou âne par exemple), qui sont des créatures hybrides en général infertiles. Les quaggas du XXIe siècle, eux, vont se reproduire.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Floride : il jette un alligator dans un fast-food pour «faire une blague»


Il y a des gens qui ont un humour plus que douteux. Vous imaginez ! Si l’alligator aurait attraper un client, ou un employé du restaurant ?
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Floride : il jette un alligator dans un fast-food pour «faire une blague»

 

Joshua Jones, arrêté pour avoir jeté un alligator dans un fast-food. - Capture d'écran WPTV

Joshua Jones, arrêté pour avoir jeté un alligator dans un fast-food. Capture d’écran WPTV

Joshua Jones semble avoir un sens de l’humour assez particulier. Cet Américain âgé de 24 ans a été arrêté en début de semaine par la police pour avoir… jeté un alligator dans un fast-food. Mis en garde à vue, le jeune homme a déclaré avoir voulu « faire une blague stupide » à un ami qui travaillait dans le restaurant.

Il lance la bête par la fenêtre

Joshua Jones se rendait au fast-food Windy, à Palm Beach (Floride, États-Unis), lorsqu’il a aperçu un alligator de plus d’un mètre de long sur le bord de la route. Pris d’une soudaine inspiration, il a capturé le saurien et l’a embarqué dans sa voiture. En arrivant au drive, il a profité de ce que le serveur avait le dos tourné pour jeter l’animal par la fenêtre, déclenchant une panique générale.

« Il fait toujours ce genre de choses parce qu’il croit que c’est drôle », a expliqué la mère du farceur. « Il voulait faire une blague à un des employés avec qui il s’entend bien ».

Joshua Jones a désormais interdiction de s’approcher d’un animal ou de pénétrer dans un fast-food Windy et va être jugé pour agression avec arme mortelle, vol et possession illégale d’un alligator.

http://www.ladepeche.fr/

DES MÉDECINS SUSPECTENT UN PRODUIT CHIMIQUE DE MONSANTO


On a associé le virus Zika et la malformation crânienne des bébés, mais jusque-là, il n’y a pas de preuves scientifiques. Des médecins en Amérique du Sud, eux croient qu’il y a une coïncidence entre le produit chimique Monsanto ajouté à l’eau pour enrayer les moustiques qui donnent la dengue. Donc le virus Zika serait moins grave que la transmission de la dengue
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DES MÉDECINS SUSPECTENT UN PRODUIT CHIMIQUE DE MONSANTO

 

Des médecins suspectent un produit chimique de Monsanto

Au Brésil, un bébé de 4 mois atteint de microcéphalie, une grave malformation crânienne que les autorités du pays attribuent à l’infection des mères par le virus Zika.© Nacho Doce/Reuters

Le 12 février 2016
VANESSA BOY-LANDRY
@boylandry

Des médecins argentins et brésiliens écartent le virus Zika dans l’apparition de graves malformations crâniennes chez les nouveaux-nés au Brésil. Et mettent en cause l’utilisation d’un insecticide de Monsanto censé protéger de la dengue.

Le virus Zika ne serait pas à l’origine de la dramatique augmentation d’atrophies crâniennes et cérébrales des nouveaux-nés en Amérique du Sud. C’est ce qu’avance un groupe de chercheurs argentins, dans unrapport coordonné par le Dr Avila Vazquez, pédiatre spécialisé en néonatalogie, le 3 février dernier. Pourtant, avec 1,5 million de microcéphalies en quelques mois, le Brésil avait lancé l’alerte en novembre dernier, incriminant le virus transmis par les moustiques dans l’apparition de graves malformations congénitales et de troubles neurologiques.

« La détection de milliers de cas de malformations congénitales chez des enfants dont les mères, enceintes, habitent dans des zones où le gouvernement brésilien a ajouté du pyriproxifène à l’eau potable, ne relève pas d’une coïncidence, bien que le ministère de la Santé mette en cause le virus Zika dans ces dommages », commentent les médecins.

Le pyriproxyfene est un inhibiteur de croissance des larves de moustique, dont l’emploi est recommandé par l’OMS pour lutter contre la prolifération de la dengue. Les moustiques contaminés par l’insecticide disséminent eux-mêmes le poison qui, en provoquant chez eux des aberrations morphologiques ou fonctionnelles (malformations), les tue ou les rend stériles. Soit une technique d’autodissémination.

POUR LES CHERCHEURS ARGENTINS, LES MALFORMATIONS SONT APPARUES AVEC L’INSECTICIDE DE MONSANTO

Le pyriproxifène, insecticide fabriqué par une filiale japonaise de Monsanto (Sumitomo Chemical), et utilisé depuis dix-huit mois au Brésil, est donc mis en cause par le groupe de chercheurs qui notent par ailleurs que les précédente épidémies de Zika, maladie relativement bénigne (et moins dangereuse que la dengue) n’avaient pas causé jusque-là de malformations congénitales chez les nouveaux-nés, y compris dans des zones où 75% de la population étaient infectée. Ils font la corrélation entre l’emploi récent de ce produit chimique et le phénomène nouveau des microcéphalies dans le pays. Et rapportent que « sur 404 microcéphalies au Brésil, seulement 17 (4,2 %) étaient positifs sur le virus Zika ». 

 UNE ASSOCIATION BRÉSILIENNE POINTE LE DANGER ET L’INEFFICACITÉ DU CONTRÔLE CHIMIQUE DES MOUSTIQUES

Des conclusions que rejoignent les chercheurs d’Abrasco, une association scientifique sur l’évolution des politiques de santé publique au Brésil. Son rapport pointe la responsabilité probable du pyriproxifène dans l’apparition de microcéphalies. Et condamne la stratégie de contrôle chimique des moustiques qui, expliquent les chercheurs, pollue tant l’environnement que les personnes sans diminuer le nombre de ces insectes.  

L’Oms saura d’ici à quelques semaines si le virus Zika est responsable des microcéphalies et des troubles neurologiques (syndrome de Guillain-Barré), la preuve scientifique n’a pour l’heure pas encore été apportée.

http://www.parismatch.com/

Levez-vous…avec le soleil


Personnellement, je suis convaincu que se lever tôt donne du positif à la journée. On peut faire tout (ou presque) dans une journée et être plus relaxe le soir et puis, voir le lever du jour donne un regain, surtout quand les journées rallongent
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Levez-vous…avec le soleil

 

Les personnes dont l'horloge biologique est débalancée auraient... (PHOTO IVANOH DEMERS, ARCHIVES LA PRESSE)

Les personnes dont l’horloge biologique est débalancée auraient intérêt à se lever tôt.

PHOTO IVANOH DEMERS, ARCHIVES LA PRESSE

CATHERINE HANDFIELD
La Presse

Les gens ont intérêt à se lever tôt le matin, particulièrement ceux dont l’horloge biologique semble débalancée, indique Manon Tessier, ostéopathe et directrice de l’école HESTM.

« Cela peut nous aider à reprendre un rythme énergétique plus équilibré, afin de nous permettre de dormir la nuit d’après », explique-t-elle.

Quand nous nous levons tôt, nous nous couchons aussi plus tôt : nous augmentons alors nos chances de passer toutes les étapes d’un sommeil réparateur, ce qui aide à prévenir les grands coups de fatigue, en après-midi. Selon la médecine chinoise, les heures de sommeil les plus importantes sont celles comprises entre 23h et 3h.

http://www.lapresse.ca/

Comment éviter qu’un contact visuel ne devienne trop flippant


Cela vous est arrivé de sentir un regard persistant sur vous ? Il semble qu’il y a un temps précis qui détermine une certaine gène face à un regard soutenu. Dépendant comment nous le percevons, cela peut être dérangeant ou non. Quoiqu’il en soit, le regard est important pour établir des contacts avec les autres
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Comment éviter qu’un contact visuel ne devienne trop flippant

 

Baby Rose 3 | Tim Douglas via Flickr CC License by

Baby Rose 3 | Tim Douglas via Flickr CC License by

Repéré par Vincent Manilève

Le chronométrage, très précis, a été établi par des scientifiques.

C’est peut-être l’une des pires moments en soirée ou lors des repas de famille: la tradition nous pousse à fixer son voisin dans le blanc des yeux lorsque l’on trinque. De ces quelques secondes ressortent bien souvent des moments gênants, où notre regard crispé peut vite, s’il se prolonge trop longtemps, devenir oppressant pour l’autre convive comme pour nous. De manière générale, que ce soit dans la rue, au bureau, ou dans les transports en commun, le jeu de regard qui s’établit parfois avec un inconnu peut vite devenir une source de stress. Souvent bref, il se transforme parfois en duel dominant/dominé lorsqu’il s’agit de ne pas baisser les yeux face à l’autre. Et pourtant, regarder l’autre dans les yeux représente la base de toute relation sociale.

Des scientifiques ont donc cherché à déterminer le temps idéal du regard. Le site Vocativ explique que, lors de la conférence Vision Sciences Society l’année, des chercheurs de l’université Collège de Londres ont présenté les résultats de leurs travaux sur la question. Ils estiment qu’un la longueur du regard idéal est de 3,2 secondes. Pour en arriver là, ils ont demandé à 400 volontaires de regarder des clips vidéos d’acteurs en train de les fixer du regard. Après interviews, les auteurs de l’étude ont réalisé que les participants étaient le plus confortable quand le regard durait 3,2 secondes.

«À moins qu’ils n’estiment que les acteurs semblent dignes de confiance et non-menaçants, précise le site, auquel cas ils étaient plus à l’aise avec un regard plus long.»

Le regard, miroir de l’âme

Dans le magazine Scientific American début janvier, le psychologue Alan Johnston, co-auteur de l’étude, explique que «le regard fait comprendre que vous êtes un objet d’intérêt, et l’intérêt est lié à l’attention».

 D’où l’important de la posture que l’on prend lorsque l’on croise le regard de quelqu’un: une attitude menaçante sera retranscrite immédiatement dans le contact visuel. Et les résultats montrent également que notre réaction aux regards prolongés en dit beaucoup sur nous même.

«Jonhston et ses collègues ont trouvé que plus les gens étaient convaincus d’être coopératifs et chaleureux, et plus ils aimaient maintenir un contact visuel», écrit la revue américaine.

Ces résultats viennent confirmer ce que l’on savait plus ou moins sur l’art du contact visuel car, comme le souligne Vocativ, il s’agit d’un sujet qui passionne les chercheurs. Par le passé, de nombreuses études ont, par exemple, montré que le manque de contact visuel chez les jeunes enfants peut être un signe précurseur d’autisme, ou encore que les bébés portent leur regard plus facilement chez les adultes qui établissent un contact visuel direct avec eux. Se regarder dans le blanc de yeux, aussi gênant soit-il, est donc primordial pour établir une connexion sociale. Mais attention à ne pas transformer cela en fixation flippante.

http://www.slate.fr/