Face à soi-même


Si une personne qu’on ne peut pas mentir, c’est bien à soi-même, malgré que parfois, on essaie de se donner de fausses excuses. Quoiqu’il en soit cela est important de se retrouver face à soi-même pour faire une rétrospection
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Face à soi-même

 

La solitude est utile. Il faut parfois ne parler qu’avec soi-même. On entend alors de dures vérités ou d’agréables mensonges selon qu’on s’analyse ou qu’on s’imagine.

Henri de Régnier

Le Saviez-Vous ► Les 9 commandements de l’alimentation d’un chat choyé


L’alimentation des chats n’est pas compliquée, sinon, c’est nous qui la compliquons. Le menu équilibré pour une boule de poils carnivore est monotone et cela le satisfait
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Les 9 commandements de l’alimentation d’un chat choyé

 

Pour bien nourrir son matou adoré, il faut tenir compte de ses habitudes alimentaires. Et savoir ces 9 petits secrets à ce sujet devrait beaucoup vous aider…

Non, nourrir son félin d’amour n’est pas nécessairement compliqué. En respectant quelques règles très simples vis-à-vis de lui, vous verrez que le contenter est vraiment… un jeu d’enfant !

1. Oublier les repas à heure fixe pour votre chat, vous devrez

Un chat ne fonctionne pas comme un chien : bien que domestique, il a conservé ses habitudes de chasseur. Aussi, il mange plus souvent en prenant à chaque fois de petites quantités de nourriture. Sauf contre-indication médicale, il faut alors lui laisser de quoi manger en libre-service, il se rationnera de lui-même.

2. Oublier les repas sur la griffe, il faudra

A l’image des illustrations réalisées par Catsass pour Wamiz, les chats peuvent être gourmands et/ou gourmets. Toutefois, ils ne mangent jamais rapidement : possédant en effet moins de 500 récepteurs dans leurs papilles gustatives (contre 9000 pour l’Homme), ils prennent (parfois !) plus le temps de savourer leur menu…

3. Oublier les repas froids, essentiel il sera

Ce point concerne davantage les matous nourris à la pâtée. De base prédateurs, ils sont habitués à chasser et manger de petites proies dont la température se situe autour de 38°C. Aussi, vous comprendrez qu’un petit plat sortant du réfrigérateur ne l’attire pas… par ailleurs, le froid peur irriter leur estomac donc n’hésitez pas à réchauffer leur repas quelques secondes au micro-ondes avant de leur donner !

4. Oublier de le disputer lorsqu’il grignote, nécessaire il sera

Comme dit plus haut : les chats chassent et mangent plusieurs fois par jour. Aussi, sachez que – même bien nourris – 30% d’entre eux continuent de céder à leur instinct primaire d’après une étude menée par les chercheurs de l’Université de Géorgie aux Etats-Unis et la plupart du temps, ce n’est que pour le plaisir : ils ne dévorent en effet qu’un tiers du corps de leur proie.

5. Oublier les menus variés, vous devrez

S’il est difficile pour nous de manger tous les jours la même chose sachez qu’il n’en est pas de même pour nos amis félins ! En effet, en raison de la fragilité de leur système digestif, ces derniers sont plutôt adeptes du menu unique à vie.

6. Oublier d’oublier d’hydrater votre chat, il faudra

Les félins lèchent la paroi de la baignoire ou plongent la tête la première dans la cuvette des toilettes et ça vous surprend ? Sachez que c’est normal : ces derniers préfèrent l’eau courante à l’eau stagnante. Aussi, pensez à changer quotidiennement l’eau de sa gamelle afin que celle-ci l’attire toujours. Les matous ont besoin d’au moins 85ml d’eau par jour et par kilo de poids pour rester en bonne santé.

7. Oublier le nettoyage de gamelle au produit vaisselle, important il sera

Et pour cause : ces poilus possèdent des centaines de millions de capteurs olfactifs à l’intérieur de leur cavité nasale ce qui les rendraient au moins 100 fois plus sensibles aux odeurs que nous. Donc pour éviter de potentiellement leur couper l’appétit, préférez un lavage de gamelle à l’eau chaude (et placez-la loin de la litière) !

8. Oublier de céder à tous ses caprices, vous devrez

Priorité est faite à l’alimentation recommandée par le vétérinaire. Et de fait, celle-ci est complète et correspond aux besoins nutritionnel de vos petits compagnons. Mais parfois, une fois de temps en temps, vous pouvez leur autoriser quelques entorses en leur accordant un peu de lait ou un morceau de viande. Toutefois restez prudent : le surplus d’aliments «inhabituels» peut leur causer des ennuis de santé.

9. Oublier de lui donner des sucreries, penser impérativement il faudra

Comme pour tous les animaux, le sucre n’est pas nécessairement bon pour les matous. De plus, à l’image de leurs cousins tigres et guépards, ces derniers ne disposent pas des gênes pouvant leur permettre de percevoir le goût du sucre. Inutile donc de leur en donner… surtout lorsque l’on sait qu’ils ont une préférence pour tout ce qui est acide et/ou salé !

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30 ans plus tard, il se souvient de sa véritable identité


Après 30 ans, retrouvés un enfant disparu, cela doit être très rare. Cette disparition est due à une perte de mémoire, mais retrouver grâce à une travailleuse sociale
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30 ans plus tard, il se souvient de sa véritable identité

KITCHENER, Ontario – Un homme originaire de Kitchener en Ontario, et disparu depuis près de trois décennies, s’est soudainement souvenu de son identité.

Edgar Latulip, qui vit avec un retard de développement, avait 21 ans en septembre 1986 lorsqu’il a été aperçu pour la dernière fois par sa mère dans sa ville natale.

Mercredi, la Police régionale de Waterloo a finalement confirmé que l’homme a été retrouvé à St. Catharines, à 130 kilomètres de Kitchener.

«Mardi, un policier de Waterloo nous a appelés pour nous demander de retirer la photo d’un enfant disparu de notre site web et il nous a appris que c’était Edgar Latulip», a expliqué à TVA Nouvelles Pina Arcamone, directrice générale d’Enfant-Retour Québec.

Selon l’enquête, M. Latulip se serait rendu dans le secteur de Niagara Falls il y a 30 ans. À cet endroit, il aurait subi une blessure à la tête qui lui a fait oublier qui il est. Ce n’est qu’en janvier dernier, que l’homme aurait eu un premier souvenir.

«PUR HASARD»

«C’est un pur hasard, a indiqué Mme Arcamone. Ce jeune homme était avec sa travailleuse sociale qui lui donnait un coup de main pour remplir des formulaires. Et quand il lui a donné un nom – je ne sais pas lequel il a donné – la travailleuse sociale a fait des recherches et découvert que ce nom n’existait pas.»

«Et c’est là qu’il s’est rappelé de son nom de famille Latulip, a ajouté Mme Arcamone. La travailleuse sociale a fait une autre recherche et elle a découvert plein d’avis de recherche pour ce jeune homme. Elle lui a alors demandé s’il y avait un lien, s’il se souvenait de quelque chose à ce sujet.»

Elle a contacté les policiers de Waterloo et par la suite, un test d’ADN a confirmé l’identité de l’homme puisque son dossier de disparition contenait un échantillon d’ADN de sa mère.

«À ma connaissance, c’est le seul cas où nous avons pu retrouver quelqu’un qui était porté disparu depuis aussi longtemps», a indiqué à CTV le constable Duane Gingerich, de la Police régionale de Waterloo.

Sa famille a été mise au courant de la bonne nouvelle et les procédures sont en cours pour permettre à tous de se retrouver.

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Pourquoi le grand air nous fait-il du bien ?


Oui, sortons de nos murs de maisons, des rues de bétons et cherchons ce qui est naturel. Ce que j’aime ou j’habite, je suis assez près de la rivière, d’un grand parc fourni d’arbres, d’oiseaux, il y a beaucoup d’espace vert dans la ville .. Donc, il n’y a aucune raison pour ne pas faire une bonne balade
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Pourquoi le grand air nous fait-il du bien ?

Bactéries, huiles essentielles, ions négatifs : la nature sait nous gâter !

Photo :  SUPERSTOCK/SIPA

NATURE – On a souvent tendance à penser qu’une balade au grand air nous sera bénéfique et c’est vrai. Pendant longtemps on croyait que la nature avait une fonction apaisante mais il semblerait que cette explication soit à compléter par un phénomène tout ce qu’il y a de plus scientifique.

C’est dimanche et vous prévoyez une grande promenade dans la nature. En famille, entre amis vous ne pourriez sacrifier pour rien au monde ce rituel. Figurez vous que vous avez raison car ce moment de détente est aussi un geste santé incontournable.

Selon deux chercheurs australiens la nature nous veut du bien et nous aurions tort de nous priver de son pouvoir énergisant. C’est ce qu’ils ont démontré dans un long article rédigé à l’attention de nos confrères du site The Conversation.

Dépaysant et vivifiant

Comme l’avancent les auteurs, cela fait longtemps que nous savons que la proximité d’une forêt ou du bord de mer a tendance à nous remettre d’aplomb. Sans pouvoir bien expliquer le mécanisme d’une telle amélioration sur notre santé, la communauté scientifique était tentée de croire, à juste titre, que la nature avait des pouvoirs apaisants sur nos esprits de citadins stressés. Dépaysant et vivifiant le grand air fait des miracles sur les organismes fatigués.

Mais des chercheurs japonais ont voulu en savoir plus et sont allés mener des expériences sur le terrain, où le fait de profiter de la biodiversité porte même un nom : shinrin-yoku (littéralement le bain de nature). Ces derniers se sont rendus sur l’île nippone de Yakushima sur laquelle la nature est particulièrement luxuriante.

Respirer des bactéries bénéfiques

Selon eux tout résiderait dans la qualité de l’air que nous inspirons en pleine nature. Jusque-là, vous vous dites, rien de plus logique. Mais encore ? Au regard de leurs recherches, trois éléments rendraient l’air de la forêt et du bord de mer aussi intéressant sur le plan sanitaire :

Les bonnes bactéries ⇒ Loin des atmosphères polluées des centres-villes, au grand air, les bonnes bactéries prolifèrent et entretiennent celles que notre organisme abrite. Que ce soit sur notre peau ou dans notre système digestif, par exemple, nous avons besoin d’elles de notre naissance jusqu’à notre mort.

Les huiles essentielles ⇒ Produites par les plantes et les bactéries présentes sur ces dernières, elles viennent à bout de micro-organismes nocifs pour notre organisme. 

Les ions négatifs ⇒ C’est la charge électrique de l’air et traditionnellement près des côtes et dans les milieux sauvages l’air est plus chargé en ions négatifs, or ces derniers participent à l’oxygénation des cellules et donc de l’organisme.

Mais si l’on vit en ville, nous direz vous ? Pas de panique, selon les chercheurs quelques gestes simples peuvent faire la différence. Ainsi, pensez au parc pour aller faire votre jogging ou effectuer une balade. Sortez de votre bureau à l’heure du déjeuner pour faire une pause sous un arbre. Enfin prévoyez de petites escapades au bord de l’eau. Si vous pouvez vous rendre à la mer, c’est tant mieux, mais pour les autres essayez de marcher le long d’une rivière vous y ferez également le plein de toutes ces bonnes choses !

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Le nombre de tortues marines atteintes de tumeurs explose


En Floride, ils ont réussi à augmenter la population de tortue marine, sauf que la moitié sont malade de tumeurs qui ne sont pas toujours guérissables. Les causes ? On pointe la pollution, les changements climatiques et les déchets agricoles
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Le nombre de tortues marines atteintes de tumeurs explose

 

Cette tortue verte photographiée le 14 janvier 2016 à l'Hôpital pour tortues de Floride présente des tumeurs. ©Pablo Cozzaglio / AFP

Cette tortue verte photographiée le 14 janvier 2016 à l’Hôpital pour tortues de Floride présente des tumeurs. ©Pablo Cozzaglio / AFP

Par Sciences et Avenir avec AFP

En Floride, la population de tortues marines menacées d’extinction croît. Mais la moitié des animaux serait en mauvaise santé. L’hôpital spécialisé dans le sauvetage de ces reptiles est saturé.

PAPILLOMAVIRUS. Le jeune patient se débat sur la table d’opération. L’équipe médicale le retourne, révélant un bas-ventre saturé par des tumeurs, certaines de la taille d’une balle de golf. Un hôpital vétérinaire de Floride aux Etats-Unis tente de faire face à l’explosion du nombre de tortues marines malades. Cette tortue verte (Chelonia mydas), qui doit avoir deux ans, si jeune que l’on ne peut pas encore déterminer s’il s’agit d’un mâle ou d’une femelle, est atteinte de fibropapillomatose, une forme de papillomavirus proche de l’herpès et potentiellement mortelle. La population de ces tortues vertes s’accroît très rapidement dans les environs des îles Keys, à la pointe sud de la Floride (sud-est), et avec elles ces maladies, au point que les reptiles malades remplissent le plus vieil établissement dédié de secours et de soins aux Etats-Unis, le Turtle Hospital (« Hôpital pour tortue »).

Plus de tortues mais en moins bonne santé

« Quand j’ai commencé ici il y a 20 ans, je faisais six à huit de ces (opérations) par mois », se souvient le vétérinaire Doug Mader, en pratiquant une anesthésie locale puis en retirant au laser des excroissances qui ressemblent à des morceaux de choux-fleurs.

« Désormais, nous en pratiquons six à huit par semaine », explique-t-il, tandis que se dégage dans l’air une odeur mêlée d’eau salée, d’alcool et de chair brûlée.

Plusieurs opérations peuvent être nécessaires pour chaque tortue afin de retirer toutes les tumeurs qui recouvrent leur nuque, leur bas-ventre et leurs yeux, les aveuglant et rendant de fait délicate leur recherche de nourriture. Les spécialistes peinent à déterminer ce qui cause cette maladie et comment elle se répand, même si certaines études pointent du doigt les déchets agricoles, la pollution ou encore le réchauffement climatique.

Les tortues de mer avaient été placées en 1976 sur la liste des espèces en danger, mais elles se reproduisent aujourd’hui à un rythme record : 28.000 nids ont été répertoriés en 2015 en Floride, là où ils n’étaient même pas 500 quelques décennies auparavant. De fait, elles pourraient changer de statut dès le mois de mars 2016 et devenir une espèce « menacée ». Une bonne nouvelle accompagnée d’inquiétudes pour les écologistes, qui mettent en garde contre l’environnement de plus en plus pollué et chaud dans lequel évoluent les tortues.

« J’ai ce sentiment terrible qu’à mesure que les océans se réchauffent, nous allons constater de plus en plus de maladies », déplore Doug Mader.

La moitié des tortues marines serait malade

Installé dans un motel vert dont les bâtiments sont reliés par un chemin de galets, l’hôpital pour tortues a ouvert ses portes en 1986, accueillant 12 patients la première année. L’an dernier, 173 tortues y ont été soignées, dont 119 pour une fibropapillomatose, souligne Bette Zirkelbach, la responsable de l’établissement qui connaît aujourd’hui une affluence sans précédent. Son équipe de 18 personnes et ses ambulances oranges peuvent être dépêchées à tout moment pour secourir des tortues blessées.

« En 2012, il était rare de voir une tortue avec des tumeurs aux deux yeux. Mais à l’automne 2013, presque chaque tortue admise avec ce virus avait les deux yeux couverts de tumeurs », regrette Mme Zirkelbach, estimant que près d’une tortue marine sur deux serait malade.

Généralement, après avoir passé un an dans les piscines de l’hôpital et une fois débarrassées de leur tumeur, elles sont relâchées. Mais si la maladie atteint les reins ou les poumons, rien ne peut les guérir. Et seule une tortue marine sur cinq qui a été atteinte de fibropapillomatose s’en sort une fois de retour à la vie sauvage, regrette Bette Zirkelbach. Lors d’une journée classique de janvier, Doug Mader enchaîne les patients, des tortues souvent percutées par des bateaux, qui ont avalé un hameçon ou qui se sont étranglées avec un filet de pêche. Un « spectacle » que les touristes payent pour voir.

FINANCEMENT. Visiter le Turtle Hospital coûte 22 dollars et permet d’assister, derrière une large fenêtre vitrée, à une opération de tortue. Si l’agence américaine de protection de la nature (US Fish and Wildlife Service) délivre à l’hôpital son permis, c’est bien l’argent de ce tourisme qui permet au service de fonctionner, explique le propriétaire, Richie Moretti. Quelque 75.000 personnes l’ont visité l’an dernier, finançant entièrement l’hôpital dont le coût de fonctionnement annuel est d’1,5 million de dollars. Certains ont, par exemple, pu assister aux soins prodigués à un mâle de 70 kg, percuté par un bateau et qui ne s’alimentait plus. Après radiographie, l’équipe médicale tente d’extraire pendant 45 minutes un crochet de sa bouche, enfoncé profondément dans les tissus. Avant de décider de le laisser à sa place, optant plutôt pour une thérapie pour sa mâchoire.

« C’est frustrant« , lance Doug Mader. « On voudrait réussir à tous les soigner…« 

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Trop de chips: l’obésité des animaux de compagnie inquiète


Il y a des maitres de chien et de chat qui ont de drôle d’idée d’offrir une nourriture riche en gras, sel, voir même de l’alcool. Ces animaux ne sont pas faits pour une telle nourriture (ni l’être humain d’ailleurs)
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Trop de chips: l’obésité des animaux de compagnie inquiète

 

Trop de chips: l'obésité des animaux de compagnie inquiète

Photo Fotolia

Chips, plats à emporter et même alcool: l’obésité chez les animaux de compagnie inquiète de plus en plus au Royaume-Uni où ils sont plus de cinq millions en surpoids, a averti mercredi une association de défense des animaux.

Les chiens, les chats et les lapins sont les premières victimes d’un régime trop gras et trop sucré, s’alarme l’association PDSA (People’s Dispensary for Sick Animals) qui, pour lutter contre le fléau, a organisé un concours de minceur pour animaux.

«Tout en étant riches en calories, les plats à emporter, les gâteaux, le fromage ou les chips sont saturés en gras et en sucre. C’est mauvais pour la ligne et pour les dents de nos animaux. Certains propriétaires ont même avoué leur donner du chocolat et de l’alcool, deux poisons qui peuvent mettre leur vie en danger», a insisté une vétérinaire de l’association, Vicki Larkham-Jones.

Mal nourries, les bêtes risquent de contracter des maladies cardio-vasculaires, des cancers et d’avoir du diabète, a-t-elle ajouté. L’arthrose aussi les guette.

Pour les aider à retrouver la forme, l’association a donc pris l’initiative d’une compétition dans le cadre de son Pet Fit Club.

«L’obésité des animaux peut être jugulée avec le bon régime et de l’exercice», a assuré Vicki Larkham-Jones.

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La Bible est plus violente que le Coran selon un logiciel d’analyse de texte


Beaucoup ont de préjugés face aux livres religieux, enfin, disons-le surtout envers le Coran. Il faut dire qu’avec les actes terroristes et les menaces envers l’Occident, il est facile de porter des jugements alors que ces personnes ne savent pas vraiment ce que contient le Coran, et même la Bible. Sachez bien, qu’un livre religieux ne se lit pas comme un roman, il y a l’histoire à tenir compte ainsi que le contexte.
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La Bible est plus violente que le Coran selon un logiciel d’analyse de texte

 

Le Coran parle plus souvent de joie que la Bible, qui elle, parle davantage d’amour.

SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

ÉCRITURES – Un ingénieur développeur américain a utilisé son logiciel d’analyse de textes sur l’Ancien Testament, le Nouveau, et le Coran. Selon ses résultats, la Bible est légèrement plus portée sur la destruction et le meurtre que le livre de l’islam.

 

« Le Coran est-il vraiment plus violent que la Bible ? » Tout est parti de cette question, que Tom Anderson, un ingénieur développeur de New-York s’est posée. En analysant la Bible complète et le Coran grâce à son logiciel comparatif, l’ingénieur en données informatiques s’est rendu compte que le livre chrétien contenait davantage d’allusions au « meurtre » et à la « destruction » que son homologue coranique.

En janvier dernier, Tom Anderson a constaté que, dans les débats, les récents épisodes terroristes étaient souvent associés à un « islam fondamentaliste », qui serait un foyer de violences exploité par les extrémistes. Selon certains, le Coran encouragerait davantage les actes brutaux comparé aux autres textes religieux.

Or « pour comprendre une religion, il est tout à fait logique de commencer par examiner sa littérature », pose l’ingénieur dans son étude.

Quand l’informatique s’en mêle

Et ça tombe bien, Tom Anderson a conçu un logiciel d’analyse, OdinText, destiné à aider les chercheurs dans leur étude de documents. L’outil scanne froidement le contenu d’une œuvre et révèle des tendances dans le vocabulaire utilisé, en fonction de mots-clés choisis : le nombre de fois où le mot a été utilisé, ses synonymes, les termes liés au même champs lexical, ou encore sa proximité avec les autres vocables recherchés.

 

Sont donc passés sous l’œil mécanique du logiciel : l’Ancien Testament (dont les cinq premiers livres sont communs à la Torah, le livre sacré du judaïsme), le Nouveau Testament (associé à l’Ancien, il constitue la Bible chrétienne) et enfin le Coran (le livre sacré de l’islam). Pour comparer les trois livres, Tom Anderson a utilisé des repères autour des émotions humaines (et non, il ne s’agit pas d’un remake de Vice Versa) : la joie, l’attente, la colère, le dégoût, la tristesse, la surprise, la peur/l’anxiété et la confiance/croyance. OdinText a analysé 886.000 mots au total… le tout en deux minutes.

Bible en « colère », Coran plein de « joie »

Résultat de ce battle : la notion de « colère » est davantage utilisée dans la Bible (les deux Testaments) que dans le Coran, qui lui obtient un score plus élevé côté « joie » et « confiance/croyance », mais aussi pour ce qui est de la « peur/anxiété ». La surprise, la tristesse et le dégoût se retrouvent à parts égales dans les deux textes, précise l’analyste. La Bible se défend toutefois grâce à « l’amour » présent à 3% dans le Nouveau Testament, à 1,9% dans l’Ancien, contre 1,26% dans le Coran.

La Bible est plus violente que le Coran selon un logiciel d'analyse de texte

Photo: Odintext.com

Mais la question demeure : la Coran est-il plus violent ? Le « meurtre » et la « destruction » constituent 2,1% du livre des musulmans, contre 2,8% du Nouveau Testament et pas moins de 5,3% de l’Ancien Testament, soit plus du double par rapport au Coran. En regardant le concept « d’ennemis », c’est encore le plus vieux des textes chrétiens qui bat le record. 1,8% de son contenu en fait mention, suivi du Coran (0,7%) et du Nouveau Testament (0,5%). Dans le Coran toutefois, l’ennemi est légèrement plus souvent un concept, comme le « Diable » ou le « mal » (0,2%), que dans le Nouveau Testament (0,1%).

La Bible est plus violente que le Coran selon un logiciel d'analyse de texte

Le Coran évoque par ailleurs plus souvent « le pardon/la grâce » (6,3%) que les Nouveau (2,9%) et Ancien (0,7%) Testaments. Tom Anderson note toutefois que ce rapport est en partie dû à l’épithète « miséricordieux » fréquemment assorti au nom d’ « Allah »

. « Certains pourraient exclure ce mot, considérant qu’il n’est qu’une étiquette ou un titre, mais nous pensons qu’il est signifiant, parce que la miséricorde a été préférée aux autres attributs comme ‘tout-puissant' », nuance-t-il.

Pour lui, il n’est pas question de prendre parti, et il reconnaît n’avoir « fait que gratter la surface ». Il conclut toutefois :

« Il semble juste d’en déduire que certains préjugés communément admis sur la perception de ces textes ne sont pas forcément porteurs de vérité ».

Ce qui nous donne furieusement envie de dire… amen.

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