Parole d’enfant ► Trouver son prince


Ah les contes de fées, cela fait rêver les enfants, heureusement que maman est un exemple d’une femme de carrière
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Trouver son prince

Maman raconte :

Ana finis d’écouter le dessin animé Aladin
Elle me dit tristement

– Mais maman, moi, je ne sais pas comment trouver un prince

Pour la consoler, on lui a dit que Pascal et moi, on allait faire passer des entrevues et des examens pour lui trouver un prince

Ana-Jézabelle, 4 ans/ 31 janvier 2016

Dessins en 3D


Stefan Pabst est un artiste russe qui a vraiment beaucoup de talent. Il dessine en 3D et sa technique d’illusion est vraiment bluffant. Voici une compilation de quelques oeuvres de ce génie du dessin
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Dessins en 3D

 

Le Saviez-Vous ► Un jour, Charlie Chaplin perdit un concours de sosies de lui-même


En fait, il a fini 27 ème, faut croire que les juges préféraient une copie que le Charlie original. Autre chose, ont dit que dans les pays de langue française, on l’appelait Charlot, à ma connaissance au Québec, il a toujours été connu comme Charlie .. Bon, le Québec est une province française dans un pays anglais …
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Un jour, Charlie Chaplin perdit un concours de sosies de lui-même

 

 

Concours de sosies de Charlie Chaplin
Concours de sosies de Charlie Chaplin costumé en Charlot (1922)

 

En 1915, Charlie Chaplin raconta à un journaliste du Chicago Herald qu’il s’était présenté à un concours de sosies de lui-même, organisé dans un théâtre de San Francisco. Il se costuma en « Charlot » et participa au concours incognito. Il ne fut même pas sélectionné pour aller en finale.

Charlie Chaplin
Le personnage principal incarné par Charlie Chaplin (1889-1977) est surnommé « Charlot » dans les pays francophones. En anglais, il est connu sous l’appellation « the tramp » (« le vagabond »), d’après le film du même nom réalisé en 1915.

http://www.jesuiscultive.com/

Que veulent vraiment dire les derniers mots des condamnés à mort?


On croit que les dernières paroles d’un condamné à mort seraient des pensées positives dans le but de mieux contrôler la mort imminente. Et pourtant, il serait plus vraisemblable qu’un condamné soit sur le bord du désespoir. Est-ce la peur, ou le fait de se sentir appuyer dans un cheminement inévitable ? Les dernière parole de suicidé est-elle plus réaliste vue que la peur n’est pas au même degré qu’un condamné ?
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Que veulent vraiment dire les derniers mots des condamnés à mort?

 

Chambre d'exécution de Karla Faye Tucker, exécutée le 3 février 1998, à Huntsville (Texas) | REUTERS

Chambre d’exécution de Karla Faye Tucker, exécutée le 3 février 1998, à Huntsville (Texas) | REUTERS

Repéré par Emeline Amétis

Pour les psychologues qui étudient la peur et la mort, les derniers mots de condamnés représentent une inestimable source d’information.

«Imaginez que vous êtes sur le point d’être exécuté et que l’on vous donne l’opportunité de prononcer vos derniers mots. Quels seraient-ils?», s’interroge Science of us, le blog scientifique du New York Magazine.

Pour une étude publiée en janvier dernier par le journal Frontiers in Psychology, les docteurs Sarah Hirschmüller et Boris Egloff ont analysé 407 déclarations finales de condamnés à mort au Texas –rendues publiques par le Département de la justice criminelle texan en 2014–, afin de vérifier la théorie de la gestion de la peur.

La gestion de la peur par les pensées positives

Selon cette théorie développée dans les années 1970, «les humains usent d’un large registre d’efforts cognitifs et comportementaux pour contrôler l’angoisse que suscite une mort imminente», l’objectif psychologique étant de «maintenir une certaine estime de soi et de trouver un sens à la vie».

 Une théorie qui expliquerait pourquoi un individu n’exprime pas forcément des sentiments de tristesse ou de peur face à une mort imminente.

«Le cerveau serait capable, en un sens, de travailler sans qu’on en ait conscience pour nous protéger de la peur suscitée par une situation terrorisante. Il nous encouragerait à être positifs», éclaire Science of us.

Et effectivement, au vu de certaines déclarations de condamnés, les scientifiques ont constaté des preuves qui soutiennent cette théorie. Comme dans cette dernière déclaration d’un détenu exécuté:

«J’aimerais remercier mes parents pour avoir été mon pilier tout au long de cette épreuve. Remercier mes frères et sœurs et tous les membres de ma famille qui m’ont soutenu et qui m’ont aimé malgré mes fautes et imperfections. J’aimerais remercier le Pasteur Williams pour m’avoir conseillé et guidé. J’espère que (mon exécution) apportera la paix à la famille de la victime. (…) Ça a été un long voyage, un voyage de lumière. Ce n’est pas la fin, ce n’est que le commencement.» 

Comparées à plus de 23.000 contenus écrits et oraux —comme ceux produits par des étudiants en psychologie, qui se sont exercés à imaginer leur mort— et à de véritables lettres de suicide, les dernières déclarations des condamnés à mort contenaient une proportion nettement plus importante de mots positifs.

D’autres facteurs à prendre en compte

Une conclusion qui laisse toutefois Jesse Singal, le journaliste de Science of Us, perplexe.

«Est-ce vraiment logique de comparer les derniers mots de condamnés à mort à un gigantesque corpus de contenus aléatoires? On doit s’attendre à ce qu’un tel corpus contienne un mélange confus d’émotions différentes. Donc la conclusion de cette étude –selon laquelle les dernières déclarations des condamnés sont plus positives– n’est pas irréfutable.»

Même s’il est plus légitime de les comparer à des lettres de suicide, selon Jesse Singal, il faut prendre en compte que si quelqu’un décide de mourir, cet individu ressent probablement moins le manque de contrôle des détenus attachés à un fauteuil. Ce qui signifie que l’influence de la gestion de la peur est probablement moindre.

Le journaliste souligne aussi l’importance de la dernière phrase de l’étude:

 «Malgré un protocole très standardisé, l’influence possible de caractéristiques situationnelles (par exemple, la présence ou l’absence de proches du condamné ou de la victime) pendant l’exécution n’a pas pu être examinée.»

On peut en effet imaginer qu’il y a d’autres facteurs tout aussi importants que la gestion de la peur.

«Si vous faisiez face à une situation terrible et difficile à vivre émotionellement, n’y a t-il pas une chance que vous soyez empli d’émotions positives à la vue ou à la pensée d’un être cher?», se demande Jesse Singal.

De quoi nuancer l’incidence de la gestion de la peur. Il y a encore beaucoup à apprendre des derniers mots des condamnés. 

http://www.slate.fr/

Chat disparu et retrouvé obèse dans un entrepôt de nourriture


Ce chat a devait penser qu’il était au paradis des chats avec toute cette nourriture à la porter de la patte
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Chat disparu et retrouvé obèse dans un entrepôt de nourriture

 

Chat disparu et retrouvé obèse dans un entrepôt de nourriture

Le chat nommé Clive avait été porté disparu il y a 14 mois par sa famille de Toton. Photo Fotolia

TOTON, R.-U. – Un chat disparu depuis plus d’un an a été retrouvé, mercredi, vivant la vie de pacha dans un entrepôt de nourriture pour animaux, près de Stapleton, au Royaume-Uni.

Le chat nommé Clive avait été porté disparu il y a 14 mois par sa famille de Toton, en Angleterre. Après avoir observé des évidences de la présence du félin dans l’entrepôt, les employés de Kennelgate Pet Superstores ont dû travailler une semaine pour mettre la main sur la bête.

Grâce à une puce électronique, Clive, de race norvégienne, a pu retrouver sa famille, non sans avoir pris un peu de poids.

«Nous pensons qu’il n’aurait pas pu terminer sa route dans un meilleur endroit, avec toute la nourriture pour chat dont il pouvait rêver!» a commenté la compagnie, par voie de communiqué.

La maîtresse du chat, Tanya Irons, en entrevue avec BBC, a indiqué avoir cru après quelque temps que Clive avait trouvé une nouvelle famille, et est très heureuse de le retrouver.

«Je ne peux pas croire qu’il est si gras!» a-t-elle affirmé.

La femme en a aussi profité pour mentionner l’importance de doter les animaux de compagnie d’une micropuce et a invité tous les maîtres à faire le même geste.

http://fr.canoe.ca/

Virus Ebola: le profit avant le vaccin


La recherche pour les vaccins coûte extrêmement cher et s’il n’est pas rentable pour ceux qui la finance, la suite est mise en veilleuse alors quand il arrive une épidémie comme l’Ebola, c’est la catastrophe. Il est certain qu’il faut trouver une autre façon de procéder
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Virus Ebola: le profit avant le vaccin

 

Un texte de Chantal Lavigne

En juillet dernier, la nouvelle fait le tour du monde : un vaccin canadien se révèle efficace contre le virus Ebola. Mais l’épidémie est déjà presque terminée et a déjà fait des milliers de victimes en Afrique de l’Ouest. Pourtant, ce vaccin avait été découvert il y a dix ans. Le parcours du vaccin VSV-Ebov démontre que lorsqu’il n’y a pas de profits à faire, des traitements prometteurs peinent à arriver sur le marché.

Le virus Ebola a été découvert en 1976, mais la recherche de médicaments et de vaccins contre la maladie ne commence vraiment qu’après les attentats du 11 septembre 2001, lorsque la crainte du bioterrorisme s’empare des gouvernements occidentaux. La Défense canadienne verse 7 millions de dollars au fil des ans pour la recherche autour du virus Ebola.

En 2005, les chercheurs du Laboratoire national de microbiologie du Canada annoncent avec fierté qu’un vaccin contre Ebola est efficace dans des essais sur des primates.

Mais pour la suite des choses, les tests sur les humains et la commercialisation du vaccin, il faut trouver une entreprise privée. « La fonction primaire d’une agence gouvernementale n’est pas de mettre en marché des produits », explique le Dr Pascal Michel, porte-parole de l’Agence de la santé publique du Canada, dont relève le laboratoire.

Une industrie pharmaceutique peu intéressée

Il faudra cinq ans pour trouver un partenaire commercial. Il s’agit d’une petite compagnie de biotechnologie basée en Iowa, NewLink Genetics. L’entreprise a entendu parler du vaccin par un ancien chercheur du laboratoire de Winnipeg, Ramon Flick, qu’elle vient d’embaucher. En 2010, sa filiale BioProtection Systems verse 205 000 $ au Canada pour la licence de son vaccin.

Au sommet de l’épidémie, elle empochera 50 millions de dollars dans le cadre d’un accord avec le géant pharmaceutique Merck.

Le contrat signé entre le Canada et NewLink stipule que la compagnie doit déployer « des efforts commercialement raisonnables » pour faire avancer le vaccin.

Quel était le plan d’affaires, quel suivi a été fait auprès de la compagnie? Toutes nos demandes d’accès à l’information auprès de l’agence sont demeurées sans réponse.

Selon Ramon Flick, qui a été chef des vaccins de Biodéfense chez NewLink jusqu’en 2013, « avant l’épidémie, le vaccin était plutôt en veilleuse, en raison de son faible potentiel de profits ».

Biren Amin, analyste pour la firme d’investissement Jefferies à New York, confirme que le vaccin contre Ebola n’était pas la priorité de la compagnie, spécialisée dans les traitements contre le cancer.

« Les investisseurs recherchent des marchés attrayants. »— Biren Amin, analyste pour la firme d’investissement Jefferies à New York

Dans un courriel, NewLink Genetics affirme avoir fait un travail considérable sur le vaccin en collaboration avec l’Agence de la santé publique du Canada. Elle ajoute qu’elle avait amorcé des démarches auprès du gouvernement américain, et qu’elle était « presque prête » à faire des essais cliniques lorsque l’épidémie est survenue.

Mais selon l’ex-employé Ramon Flick, la compagnie peinait à obtenir des subventions du gouvernement américain.

Chose certaine, il ne semblait pas y avoir de sentiment d’urgence. Lorsque l’épidémie éclate, aucun essai sur les humains n’avait été réalisé. De précieux mois sont perdus.

La vallée de la mort pharmaceutique

Sans l’épidémie, le vaccin se serait-il rendu sur le marché? Le Dr Ahmed Mahmoud, qui a dirigé l’unité des vaccins chez Merck de 1998 à 2006, en doute. Selon lui, seules quelques grandes pharmaceutiques ont la capacité de développer un vaccin, un parcours qui coûte jusqu’à 1 milliard de dollars. Mais il le dit franchement, un vaccin contre Ebola n’est pas assez rentable. Le marché pour ce produit ne permettait pas de couvrir les dépenses.

Le cas du vaccin canadien est loin d’être un cas unique. Le SRAS, MERS, les fièvres Marburg et Lhassa, le chikungunya, le virus du Nil : ce sont toutes des maladies pour lesquelles il existe des traitements prometteurs, mais pas assez lucratifs. Des médicaments qui languissent dans ce qu’on appelle la vallée de la mort pharmaceutique, cette étape coûteuse entre la découverte et la commercialisation.

Course contre la montre

Au moment où l’épidémie d’Ebola survient, aucun des traitements et vaccins identifiés par l’Organisation mondiale de la santé n’a dépassé le stade des tests sur les animaux. En septembre 2014, la communauté internationale se mobilise pour accélérer les essais cliniques et tenter de freiner l’épidémie.

Mais la plupart des essais cliniques n’ont démarré qu’en 2015, alors que l’épidémie commençait à décliner. Les résultats sont peu concluants pour plusieurs traitements.

Le vaccin canadien VSV-Ebov est le seul dont on a pu prouver l’efficacité, selon des résultats provisoires.

Pour Joanne Liu, la présidente internationale de Médecins sans frontières (MSF), c’est un succès doux-amer.

« Si on avait fait notre boulot en amont, on aurait peut-être prévenu des milliers de décès », dit-elle.

La dernière épidémie d’Ebola a fait plus de 11 000 victimes, dont quelque 500 dans le personnel soignant.

« Pour nous, MSF, la crise d’Ebola aura été l’une des crises les plus difficiles à vivre humainement et l’une des crises où l’on a perdu le plus de personnel. » — Joanne Liu, présidente internationale de Médecins sans frontières

Besoin d’un fonds mondial pour la recherche?

L’épidémie d’Ebola a été un électrochoc. L’un des constats : on ne peut plus continuer à se fier au marché pharmaceutique pour développer des médicaments qui ne sont pas rentables. C’est la responsabilité de la santé publique.

Plusieurs experts suggèrent de créer un fonds international de recherche et développement. Il permettrait de financer les premières phases des essais cliniques de traitements ou de vaccins, de façon à ce qu’on puisse les déployer rapidement sur le terrain en cas de crise.

L’électrochoc aura-t-il été suffisant pour que la communauté internationale passe à l’action?

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Une boulette de viande créée in vitro


Cela fait un bout qu’on n’a pas entendu parler de la viande in vitro. Après la boulette pour hamburger, voila la petite boulette qui ressemble vraiment à de la viande tel qu’on la connaît.
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Une boulette de viande créée in vitro

 

La viande artificielle, le retour. Plus de deux ans après l’exploit du biologiste Mark Post de créer le premier steak artificiel, une start-up américaine, Memphis Meats, affirme avoir créé la première boulette de viande in vitro.

Dans une vidéo (à voir en tête d’article), le créateur de la société, Uma Valeti, explique avoir réussi à créer cette viande sans tuer d’animal et en polluant bien moins que pour la production d’une boulette de viande normale. Mieux, selon une testeuse : cela aurait le même goût que du vrai boeuf. Si on a du mal à croire sur parole la vidéo promotionnelle, visuellement, le pari est plutôt réussi :

Dans le Wall Street Journal, le PDG dévoile sa recette. Isolez des cellules de porc ou de vache qui peuvent se renouveler. Donnez à ces cellules des nutriments et de l’eau. Rajoutez du sucre et des minéraux. Faites revenir le tout dans un bioréacteur (un fermenteur) pendant 9 à 21 jours. Dégustez!

S’il est possible de créer cette viande à partir de cellules d’animaux sans avoir à les tuer, la start-up a également utilisé du sérum de fœtus de bœuf, pour faciliter le processus. À terme, précise le quotidien, Memphis Meats voudrait remplacer ce sérum par une alternative à base de plantes.

Viande de luxe

Uma Valeti est optimiste. La société envisage de vendre de la viande produite en laboratoire dans trois à quatre ans. Pourtant, le chemin à parcourir reste énorme. Pour produire 1 kg de viande in vitro, il faut compter 40 000 dollars. Ça fait cher la boulette. Et le frankenburger créé en 2013 avait coûté encore plus cher : 450 000 dollars.

Pour autant, Memphis Meats comme Mosa Meat (à l’origine du fameux burger) y croient. De même que Modern Meadow, une start-up américaine qui envisage même d’imprimer de la viande en 3D.

Il faut dire que les enjeux sont là. Rien qu’aux États-Unis, le marché de la viande représente 186 milliards de dollars par an. Surtout que si le problème du prix finit par être résolu, l’avantage écologique serait énorme. Selon Uma Valeti, la boulette de viande in vitro a un bilan carbone très intéressant : 90 % inférieur à celui d’une boulette classique. Quand on sait que l’élevage représente tout de même 5 % des émissions mondiales de CO2 et 40 % de celles de méthane, un autre gaz à effet de serre, on comprend mieux l’intérêt d’une viande in vitro.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Les chirurgies esthétiques sur les animaux seront désormais interdites


Enfin, une sage décision pour enfin interdire les chirurgies esthétiques sur les animaux sans qu’il y ait une bonne raison sur la santé de l’animal, même s’il faut attendre qu’en 2017, c’est un grand pas de fait
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Les chirurgies esthétiques sur les animaux seront désormais interdites

 

Avec les informations de Boualem Hadjouti

L’Ordre des médecins vétérinaires du Québec interdit à ses membres la pratique de chirurgies esthétiques sur les animaux. L’interdiction, qui entrera en vigueur en janvier 2017, concerne l’ablation de la queue ou la coupe d’oreilles chez le chien, le chat et chez certains bovins aussi. Une décision qui ne plaît pas à certains éleveurs.

L’ablation sur des animaux a diminué au fil du temps dans la province. Malgré ce constat, l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec l’interdira à ses membres. Pour le président Joël Bergeron, l’Ordre a le souci du bien-être animal.

« C’est dans une volonté qui touche le bien-être animal, qui touche la santé animale. Ç’a vraiment été la préoccupation centrale actuellement dans l’évolution des réflexions que la profession a faites », explique-t-il.

« Ça pourra donner un outil à nos membres pour dire « non seulement je refuse de la faire, mais mon Ordre me prévient de la faire ». »
— Joël Bergeron, président de l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec

 

La présidente de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de Val-d’Or, Mylène Marenger, salue cette décision.

« C’est très bien, au Québec, de faire le pas dans cette direction-là. C’est sûr que la SPCA approuve ».

Selon Stéphanie Dubé, propriétaire de la Clinique vétérinaire de Val-d’Or, cette pratique n’est pas répandue en Abitibi-Témiscamingue. Elle admet ne l’avoir jamais pratiqué, car selon elle, elle est injustifiable.

« L’animal vient au monde avec une queue, ça sert à quelque chose, les oreilles c’est la même chose », commente-t-elle.

De son côté, le président du Regroupement des éleveurs de chiens champions du Québec, Benoit Bouchard, croit, au contraire, que certaines ablations servent le bien-être de l’animal.

« Il faudra qu’ils démontrent si c’est purement esthétique ou si c’est pour éviter des problèmes futurs, comme les otites externes ou les cassages de queues ».

Les ablations pour des raisons médicales restent toutefois autorisées par l’Ordre.

http://ici.radio-canada.ca/