Tout a pourtant été dit


Si on lit un peu, l’histoire de l’humanité, c’est un fait avéré, que malgré les multiples exemples, nous faisons quasi toujours les mêmes erreurs que se soient en temps que personne, qu’en temps que pays
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Tout a pourtant été dit

 

“Toutes choses sont dites déjà; mais comme personne n’écoute, il faut toujours recommencer.”

André Gide

Elle a trouvé l’astuce pour empêcher son chien de fuguer


Une américaine ne voulant plus que son chien fugue par un trou dans son portail a décidé de régler le problème d’une bien drôle de façon qui a mon avis n’aide en rien au comportement du chien. Elle aurait pu réparer le trou et chercher à comprendre son chien au lieu de lui installer une tige pour l’empêcher de fuguer
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Elle a trouvé l’astuce pour empêcher son chien de fuguer

 

Le Saviez-Vous ► Ces aliments à tenir loin de votre animal


Nos animaux ont parfois envie de goûter à ce que nous mangeons, cependant, ils n’ont pas le même métabolisme que nous et certains aliments sont nocifs peur eux
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Ces aliments à tenir loin de votre animal

 

ANIMAL TREAT

Two year old beagle hound dog about to help himself to a French fancy cake | James A. Guilliam via Getty Images

OWN  |  Par Lisa Capretto

La diète d’un animal de compagnie consiste généralement à manger de la nourriture qui lui est spécialement dédiée, mais les propriétaires ont parfois tendance à modifier cette habitude et à offrir de la nourriture de table. La vétérinaire Barbara Royal vous demande d’être prudent. Voici quelques aliments de table qu’elle suggère à ses clients de tenir loin des petites bêtes poilues.

Le beurre d’arachide

arachide

Plusieurs animaux que traite la docteure Royal ont des allergies ou des problèmes chroniques. C’est en observant ces cas qu’elle a constaté un lien entre cette gâterie que les propriétaires donnent à leurs animaux de compagnie.

«J’ai découvert que certains de mes clients faisaient passer les médicaments à l’aide du beurre d’arachide, dit-elle. Une fois qu’ils ont cessé cette méthode, tout redevient généralement normal.»

Les croutes de pizza

pizza

Vous devriez jeter directement vos restes de pizza au lieu de les donner à vos animaux. Et ce n’est pas le seul met que la vétérinaire suggère de retirer de la diète.

«Ceci vient sous la liste d’une tonne de choses qui ne sont pas bonnes pour les animaux : pas de maïs, pas de blé, pas de soya, pas de pomme de terre dans l’alimentation de ceux-ci. Ces aliments viennent généralement avec la peau et celle-ci est une substance toxique pour eux», explique-t-elle.

Les collations salées et sucrées

bretzel

«Gardez les bretzels et les croustilles pour vous», dit la vétérinaire.

«La nourriture salée provoque des inflammations chez les animaux, ajoute-t-elle. Vous ne voulez pas donner ce type de collation à votre animal.»

Elle précise que les sucreries, comme les biscuits ou les bonbons, doivent aussi être éliminées.

Donc, avec quoi devriez-vous nourrir vos animaux?

«Restez avec ce qui a du sens dans leur évolution», suggère la spécialiste.

«Les viandes ou les gâteries qui sont bonnes pour eux – les chats encore plus que les chiens. Les animaux de compagnie sont des carnivores, ils ne devraient donc pas manger autre chose que de la viande. Ils doivent avoir une alimentation forte en protéines, importante en gras, mais très faible en carbohydrate. Il ne devrait pas y plus de 5 à 10 % de cet élément dans leur alimentation.»

Cet article initialement publié sur le Huffington Post États-Unis a été traduit de l’anglais.

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Les salades McDonald’s plus grasses que les hamburgers?


Manger santé dans les restaurations rapides est une réalité ? Il semble que non, en tout cas pas chez Mcdo. Choisir une salade grecque au lieu de Big Mac serait en fait un mauvais choix
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Les salades McDonald’s plus grasses que les hamburgers?

Les salades McDonald's plus grasses que les hamburgers?

Les informations données par McDonald’s ne seraient pas complètes.Photo RelaxNews

Certaines salades proposées par la chaîne de restauration rapide McDonald’s sont plus caloriques qu’un double hamburger Big Mac, selon des experts en nutrition canadiens interrogés par le site CBC News.

Des experts de santé canadiens viennent de casser l’image «santé» que le groupe McDonald’s cherche désormais à se donner, en intégrant par exemple des légumes vitaminés tendance comme le Kale dans ses wraps ou ses salades.

Contre toute attente, un double Big Mac est moins riche en calories et beaucoup moins gras que la fameuse salade César. D’après les propres chiffres de l’entreprise, avec 730 calories, 53 g de graisses et 1,4 mg de sel, la salade César bat le hamburger (680 calories).

«En mangeant cette salade, vous obtenez votre dose de sel pour la journée», dénonce le Dr Lindzon.

Au Canada, les autorités de santé recommandent aux adultes de ne pas excéder 2,3 mg de sel par jour et de viser idéalement 1,5 mg.

LA SALADE GRECQUE: 420 CALORIES

Selon cette experte en diététique, les gens devraient savoir exactement ce qu’ils mangent. Les Canadiens n’ont pas accès au détail des ingrédients et des calories sur les menus comme aux États-Unis depuis décembre dernier.

Également scrutée par les experts, la salade grecque: en ajoutant des morceaux de poulet grillés et du sel, l’apport calorique explose: 420 calories, l’équivalent d’un double cheeseburger. Le dessert, façon muesli avec flocons d’avoine et érable, malgré ses 5 g de fibres, contient quant à lui 33 grammes de sucre, l’équivalent d’une canette de soda.

Les experts, après recherches, ont bien trouvé des informations nutritionnelles sur le site internet de McDonald’s, mais seulement celles liées aux salades ou desserts de base sans les ingrédients possibles à intégrer pour composer son menu (feta, poulet frit, sucre brun, etc.).

Les diététiciens préconisent de faire attention à la teneur en gras et en sel des ingrédients sans même regarder s’il s’agit d’un burger ou d’une salade. Ils rappellent qu’en cuisinant soi-même, on limite les risques d’être dupés par les différents types de restauration.

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Johnny Cash a maintenant une espèce d’araignée à son nom


Une nouvelle araignée, une tarentule noire des États-Unis a été identifiée. Nouvelle ? Enfin pas vraiment, mais elle était confondue avec une autre espèce
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Johnny Cash a maintenant une espèce d’araignée à son nom

Johnny Cash a maintenant une espèce d'araignée à son nom

Des entomologistes américains ont fait le choix insolite de donner le nom du chanteur de musique country Johnny Cash à une nouvelle espèce d’araignée.Photo AFP

Des entomologistes américains ont fait le choix insolite de donner le nom du chanteur de musique country Johnny Cash à une nouvelle espèce d’araignée, une tarentule noire récemment découverte.

La créature à huit pattes baptisée Aphonopelma johnnycashi est entièrement noire, tout comme s’habillait l’artiste disparu en 2003 quand il chantait avec sa guitare notamment «l’Homme en noir», l’un de ses succès.

«Je suis un grand fan de Johnny Cash», explique Chris Hamilton, de l’Université d’Auburn (Alabama), le principal auteur de l’identification de 14 nouvelles espèces d’araignée dans le sud-ouest des États-Unis, dont l’Aphonopelma johnnycashi.

Ces travaux sont publiés dans la revue scientifique ZooKeys.

Le biologiste et plusieurs de ses collègues à l’Université Auburn et au Millsaps College dans le Mississippi ont minutieusement examiné des tarentules trouvées dans le sud des États-Unis, à l’ouest du Mississippi.

Pendant une dizaine d’années, ils ont examiné et collectionné près de 3000 spécimens dans plusieurs États.

Ces chercheurs ont constaté que l’espèce de tarentule portant désormais le nom de Johnny Cash était répandue mais avait été longtemps considérée comme une autre espèce dite A. iodius.

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Le bruit des bateaux double la mortalité de poissons par prédation


Le bruit des bateaux en moteur dérange certains poissons alors qu’il serait un atout d’autres. Et cela est une question de survie pour les poissons qui sont désavantagés par ces bruits
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Le bruit des bateaux double la mortalité de poissons par prédation

 

En laboratoire, les poissons-demoiselles (pomacentrus amboinensis) ont utilisé... (PHOTO SALLY POLACK, FISHWISE PROFESSIONAL)

En laboratoire, les poissons-demoiselles (pomacentrus amboinensis) ont utilisé «20 % d’oxygène de plus en 30 minutes» quand ils ont été exposés à une bande-son comprenant le bruit d’un bateau à moteur.

PHOTO SALLY POLACK, FISHWISE PROFESSIONAL

Agence France-Presse
PARIS

 

Le bruit des bateaux à moteur stresse tellement certains poissons qu’ils réagissent moins souvent et moins rapidement aux attaques de leur prédateur, ce qui double leur taux de mortalité par prédation, indique une étude publiée vendredi.

Une équipe de chercheurs du Canada, du Royaume-Uni et d’Australie a étudié en laboratoire et en mer l’impact du bruit sur le comportement de poissons-demoiselles face aux attaques d’un autre poisson vivant dans les récifs coralliens, le pseudochromis fuscus, dont ils sont une des proies préférées.

Les poissons-demoiselles «étaient plus facilement capturés par leur prédateur naturel quand ils étaient exposés au bruit d’un bateau à moteur» que quand ils se trouvaient dans leur environnement sonore habituel, relèvent les scientifiques dans la revue Nature communications.

Le simple bruit d’un bateau à moteur tout comme le fait d’être dérangés par des bateaux «augmentent leur stress et réduisent leurs réactions face aux prédateurs»: ils sont alors «plus de deux fois plus nombreux» à en être victimes.

En laboratoire, les poissons-demoiselles (pomacentrus amboinensis) ont utilisé «20 % d’oxygène de plus en 30 minutes» quand ils ont été exposés à une bande-son comprenant le bruit d’un bateau à moteur.

Un stress similaire a été observé lorsque l’expérience a été menée en mer, avec des bateaux à moteur passant à proximité: ils ont eu besoin de 33 % d’oxygène supplémentaire.

«Il est possible que le stress provoqué par le bruit réduise la probabilité que la proie détecte l’arrivée de prédateurs», notent les chercheurs. Elle risque alors de ne pas réagir correctement.

Quand des bateaux à moteur passent à proximité, les poissons-demoiselles ont six fois moins de chances de réagir à une attaque de leur prédateur. Et parmi ceux qui réagissent, le délai de réaction est augmenté de 22 %.

De son côté, le pseudochromis fuscus est plus efficace lorsque la bande-son comprend le bruit d’un bateau: il a besoin de 74 % d’attaques en moins pour capturer sa première proie.

Résultat: en laboratoire, avec une bande-son diffusant le bruit d’un bateau à moteur, le nombre de poissons-demoiselles capturé par ce prédateur est multiplié par 2,9. En mer, lors du passage d’un bateau, il est multiplié par 2,4.

L’étude «démontre l’existence d’un impact direct» du bruit fait par l’homme sur les relations entre une proie et son prédateur, et «quantifie pour la première fois ses conséquences négatives pour la survie de la proie», soulignent les chercheurs.

Dans les zones de récifs coralliens où le bruit d’un bateau à moteur est fréquent, par exemple la Grande Barrière de corail, il «pourrait affecter la démographie des populations impactées», ajoutent-ils.

Reste à déterminer si, exposés de manière répétée au bruit d’un bateau, les poissons-demoiselles le supporteraient davantage avec le temps, ajoutent-ils.

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9 choses que les gens qui font une thérapie aimeraient que vous compreniez


Est-ce que suivre une thérapie pour des troubles mentaux ou simplement pour nous aider surmonter une mauvaise période est si tabou pour la majorité des gens ? Si on le souligne ici, c’est probablement que nous avons des idées préconçues face aux aides psychologiques que nous pourrions avoir besoin, un jour ou l’autre. On va voir un médecin pour une maladie du corps, alors pourquoi pas un psy pour les maux du mal-être ?
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9 choses que les gens qui font une thérapie aimeraient que vous compreniez

 

The Huffington Post | Par Lindsay Holmes

Le mot «thérapie» est fortement connoté. Les idées reçues sur les problèmes psychologiques font que ce traitement, qui aide des millions de personnes, est parfois stigmatisé, ce qui peut nuire à la guérison.

Alors, voici un message d’intérêt public destiné au monde entier : la thérapie peut être utile.

Aller voir un professionnel de la santé mentale devrait aller de soi, comme on consulte un spécialiste pour toute autre maladie. Des études montrent que la thérapie est une des meilleures façons de soigner les troubles psychologiques. C’est aussi simple que ça. Et pour ceux qui n’ont pas de pathologies mentales, c’est un moyen très efficace de travailler sur les problèmes de la vie quotidienne qui génèrent un état de stress récurrent.

Les thérapeutes peuvent vous fournir les outils dont vous avez besoin pour gérer efficacement vos symptômes. Il est tout à fait naturel de consulter un médecin pour une maladie physique. Pourquoi cela ne s’appliquerait-il pas aussi aux spécialistes de la santé mentale? Après tout, l’idée, c’est d’être en bonne santé, y compris en prenant soin du mental. Afin de démystifier le processus, Le HuffPost a dressé la liste des choses que tout le monde devrait savoir sur la thérapie.

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Une thérapie ne ressemble pas forcément à ça! | Trina Dalziel via Getty Images

1. Il n’y a strictement rien de honteux à suivre une thérapie

Tout le monde traverse des moments de stress ou de déprime. Mais quand ces sentiments nous débordent, la thérapie peut aider à reprendre le contrôle. Il n’y a absolument rien de honteux à demander de l’aide.

«Exprimer à voix haute ce qui nous tracasse peut être très utile», expliquait récemment Gregory Dalack, directeur du service de psychiatrie de l’Université du Michigan, au HuffPost.

«En parler avec quelqu’un qui est formé pour traiter l’anxiété et la dépression peut être encore plus utile pour gérer ces symptômes, canaliser certaines pensées négatives et nous ramener dans un état [mental] où nous sommes capables de gérer ces difficultés.»

Même les gens qui paraissent «tout à fait équilibrés» ont parfois besoin d’un petit coup de pouce. Des personnalités comme Kerry Washington, Howie Mandel, Kate Middleton ou Demi Lovato ne tarissent pas d’éloges sur les bénéfices de la thérapie.

2. Les thérapies sont entourées d’a priori négatifs

Les thérapies peuvent non seulement être mal vues, mais les clichés véhiculés empêchent même les gens d’y recourir. Des études montrent que beaucoup de personnes dépressives ne cherchent pas à se faire soigner.

Ça vaut donc la peine de le répéter : il n’y a strictement rien de honteux à demander de l’aide.

3. Chaque cas est différent

Il n’existe pas de solution universelle quand il s’agit de traiter les maux de l’esprit. Il existe différentes méthodes, de la psychothérapie cognitivo-comportementale à la thérapie de groupe. Ce qui fonctionne pour l’un peut être inefficace pour l’autre.

4. Il n’y a pas de «durée maximale»

La durée de votre thérapie dépend des circonstances, comme votre niveau de stress, votre histoire ou un diagnostic de maladie mentale.

«Si certaines formes de thérapie n’ont pas de durée prédéterminée, d’autres peuvent se concentrer sur tel ou tel problème ponctuel au cours d’une période relativement courte», ajoute le Dr Dalack.

5. Non, on ne s’allonge pas forcément sur un divan

Beaucoup de gens ont une idée préconçue de la manière dont se déroule une séance chez le psy, fondée uniquement sur ce qu’ils ont lu ou vu à la télé ou au cinéma. Ils pensent notamment qu’il faut obligatoirement s’allonger sur un divan, tandis qu’un homme aux cheveux gris avec des lunettes couche vos secrets les plus intimes sur un bloc-notes. Le plus souvent, la réalité ne s’accorde pas du tout avec cette image.

6. Trouver le bon thérapeute prend parfois du temps

Consulter différents professionnels de santé ne signifie absolument rien. Pour reprendre un cliché, la thérapie s’apparente à un premier rendez-vous : ça ne fonctionne pas toujours avec le premier venu. L’important, c’est de trouver la bonne personne pour se faire aider.

7. Tous ceux qui vont voir un psy ne souffrent pas nécessairement de troubles mentaux

La thérapie peut aider à y voir plus clair dans les moments éprouvants, qu’il s’agisse d’un sentiment de stress handicapant lié au travail ou aux études, d’un souci familial, ou de problèmes dans le couple. Il n’y a pas de mauvaise raison de consulter.

8. Votre thérapeute ne partage pas ce que vous lui racontez

En tout cas, pas de la manière dont vous l’imaginez. La thérapie repose sur le développement personnel. Elle peut passer par des discussions entre thérapeutes sur la façon dont certaines personnes se sont forgé une image déformée de la réalité, mais ça n’a rien à voir avec les potins que l’on s’échange à la machine à café.

9. Entamer une thérapie ne passe pas forcément par un traitement médicamenteux, mais c’est une option tout à fait normale

Toutes les personnes qui suivent une thérapie ne prennent pas de médicaments, mais certaines ont besoin d’un soutien chimique afin de complémenter leur travail avec un psy.

Comme la plupart des traitements médicaux, chaque méthode dépend des symptômes et des circonstances. Le ou la thérapeute se mettra d’accord avec vous sur le traitement qui semble le mieux adapté, avec ou sans médicaments.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

 

Il y a enfin une excuse génétique au fait de se lever tard


Il semblerait que les lève-tôt et les couches tard serait une question génétique, cependant est-ce qu’on peut simplement prendre des bonnes habitudes pour remettre les pendules à l’heure ?
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Il y a enfin une excuse génétique au fait de se lever tard

 

Good ******* morning mate! / Stepan Vrany via Flickr CC License By

Good ******* morning mate! / Stepan Vrany via Flickr CC License By

Repéré par Jean-Laurent Cassely

Notre patrimoine génétique pourrait déterminer en partie notre capacité à être apte tôt le matin ou pas.

L’excuse génétique que vous attendiez depuis longtemps pour justifier votre incapacité à vous lever tôt est enfin recevable. Le Guardian signale qu’une équipe de l’entreprise américaine de biotechnologies 23andMe, spécialisée dans la vente de décryptages de génome, a analysé le patrimoine génétique de près de 90.000 individus et comparé ces résultats aux réponses un questionnaire en ligne adressé aux mêmes personnes, portant sur leur rythme quotidien: plutôt lève-tôt ou plutôt couche-tard.

Les résultats, publiés dans Nature Communications, établissent une corrélation entre quinze variations génétiques et le fait de se sentir au mieux de ses capacités en matinée. Sept de ces quinze parties du génome humain sont associées à la régulation du rythme circadien, c’est-à-dire aux processus biologiques qui ont un cycle de 24 heures (à commencer par l’alternance veille/sommeil), note le site The Verge.

Ces matinaux sont aussi moins sujets aux insomnies, à la dépression et ont un IMC moins élevé que les couche-tard, mais les chercheurs précisent qu’ils n’ont pas identifié de relation de cause à effet entre ces associations.

L’année dernière, une précédente étude avait déjà identifié 80 gènes qui influençaient le fait que les mouches de fruit soient plus ou moins actives en fonction du moment de la journée. L’étude réalisée par 23andMe présente des limites et la méthode manque de rigueur sur certains points. Les chercheurs n’ont pas pris en compte la localisation des répondants ni la saison au cours de laquelle ils ont répondu en ligne. Mais vous n’êtes pas obligé d’évoquer ces réserves à votre patron si vous souffrez d’une panne de réveil. Sachez qu’il existe aussi des études qui expliquent les retards compulsifs.

http://www.slate.fr/