La nature


Combattre la nature comme on le fait en polluant, changeant l’ordre naturel, le gaspillage des ressources, nous en subissons les conséquences. Ce n’est pas la nature à s’adapter à nous, mais nous à s’adapter à la nature
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La nature

 

 » La nature n’est pas POUR nous, elle fait PARTIE de nous.  Elle fait partie de votre famille. »

Sagesse Amérindienne

Les peintures super-réalistes de Joel Rea ne sont pas des illusions


Cet homme a vraiment du talent, c’est exceptionnel de pouvoir manier les couleurs de la sorte et rendre ces toiles plus vivantes
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Les peintures super-réalistes de Joel Rea ne sont pas des illusions

Ils sont tout simplement le résultat d’une personne extrêmement patient.

Regardez les superbes photos ci-dessous!

Joel Rea peint les peintures les plus réalistes que nous ayons jamais vu.

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Joel Rea

Il suffit de regarder les détails du pied. C’est presque impossible de voir que c’est une peinture et pas une photographe.

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Joel Rea

Les détails de ses œuvres sont stupéfiants.

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Joel Rea

Probablement notre préférée, nous avons l’impression de nager dans les profondeurs de l’océan avec elle.

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Joel Rea

Un thème récurrent dans ses peintures est l’interaction entre l’homme et la nature, qui donne un résultat surréaliste.

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Joel Rea

L’homme contre la nature.

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Joel Rea

http://incroyable.co/

Le Saviez-Vous ► Quand vos oreilles bougent!


Certains sons font bouger nos oreilles ! Ils ne se dressent pas comme un chien, loup, ou autre, mais ils bougent
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Quand vos oreilles bougent!

 

Faites entendre un son familier ou inattendu à un chien, et vous verrez ses oreilles se dresser. Mais saviez-vous que le muscle qui lui permet de faire ça est également présent chez nous?

Si nos oreilles ne se dressent pas, c’est parce que le muscle en question n’est pas assez fort pour les faire bouger. Mais il réagit bel et bien. Une étude parue récemment dans la revue Psychophysiology décrit les réactions, de l’ordre du millimètre, qui se produisent dans ce coin-là en réponse à certains sons : exactement le réflexe auquel on s’attendrait d’un animal qui oriente son oreille dans la direction du son.

Les auteurs émettent l’hypothèse qu’il s’agit du vestige d’une habileté perdue il y a 25 millions d’années — sachant que les grands singes ont eux aussi perdu ce réflexe.

http://www.sympatico.ca/

Les Babyloniens calculaient les mouvements de Jupiter 1.400 ans avant les Européens


On croyait à tort que les Européens avaient découvert la manière de calculer la position de Jupiter au XIVe siècle, alors qu’en fait, ce sont les savants de la Mésopotamie qui l’ont fait quelques centaines d’années avant JC
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Les Babyloniens calculaient les mouvements de Jupiter 1.400 ans avant les Européens

 

REUTERS/NASA/ESA and E. Karkoschka/Handout via Reuters

REUTERS/NASA/ESA and E. Karkoschka/Handout via Reuters

Repéré par Claire Levenson

Un historien de l’astronomie a déchiffré les inscriptions de quatre tablettes.

Entre l’an 350 et 50 avant JC, les scientifiques babyloniens utilisaient déjà des calculs géométriques pour déterminer la position de Jupiter, près de quatorze siècles avant les savants européens.

C’est un historien de l’astronomie, Mathieu Ossendrijver, qui a fait cette découverte en examinant plusieurs tablettes babyloniennes en argile, rapporte le Washington Post. Les résultats de son étude, publiée dans la revue Science, montrent que les scientifiques de Mésopotamie, l’actuel Irak, utilisaient des calculs géométriques pour décrire la position de la planète à soixante et cent vingt jours.

À l’écoute du dieu Marduk

Jusqu’ici, on pensait que des savants européens à Oxford et Paris avaient découvert cette technique au XIVe siècle, mais le travail d’Ossendrijver montre que les Babyloniens avaient été précurseurs.

Comme le rapporte le site de la radio NPR, ces savants babyloniens voulaient connaître les mouvements de Jupiter pour comprendre les volontés de leur dieu Marduk, afin de prévoir des événements comme les récoltes à venir.

Cela faisait plusieurs années qu’Ossendrijver, qui est historien à l’université Humboldt à Berlin, essayait de comprendre les inscriptions sur quatre tablettes recouvertes d’écriture cunéiforme exposées au British Museum de Londres.

«Un espace complètement abstrait»

Il voyait qu’il s’agissait de géométrie –les inscriptions évoquaient des trapézoïdes– mais les stèles demeuraient incompréhensibles. Lorsqu’un archéologue à la retraite lui a donné des photos d’autres stèles, Ossendrijver en a remarqué une avec des abréviations de calcul qu’il a immédiatement reconnues, et cela lui a permis de faire le lien avec les autres, et de confirmer qu’il s’agissait des positions de Jupiter.

«C’est de la géométrie, ce qui en soi est très ancien, mais c’est appliqué d’une façon complètement différente, pas à des champs, ou à quelque chose de réel dans l’espace, mais à quelque chose qui existe dans un espace complètement abstrait.»

http://www.slate.fr/

Détecter un cancer ou une infection en 30 minutes, chez soi


Quand ce test sera complètements accessible, cela pourra probablement résoudre quelques problèmes qu’on les patients de voir un rendez-vous avec un médecin et pourrait aussi désencombrer les urgences
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Détecter un cancer ou une infection en 30 minutes, chez soi

 

Des chercheurs de l'Université McMaster.

Des chercheurs de l’Université McMaster. Photo :  CBC

Un texte d’Alex Boissonneault

Un échantillon de salive, un papier-buvard et 30 minutes : bientôt, c’est peut-être tout ce dont vous aurez besoin pour savoir si vous êtes atteints d’à peu près n’importe quelle maladie.

Ce scénario, qui semble tout droit sorti d’un film de science-fiction, est sur le point de devenir une réalité, selon des chercheurs de l’Université McMaster, à Hamilton.

Le secret est dans le papier. Un papier-buvard capable à lui seul de reproduire le travail de tout un laboratoire.

Voici comment ça fonctionne en 4 étapes.

Étape 1 : Prendre un échantillon de salive

Prendre un échantillon de salive ou de sueur

Prendre un échantillon de salive ou de sueur Photo :  CBC

« Chaque virus, maladie ou agent infectieux a sa propre signature génétique. Ils laissent donc une trace qu’il est possible d’identifier » explique le directeur du Biointerfaces Institute, John Brennan.

Le problème, c’est que le matériel génétique en question se retrouve en quantité si négligeable qu’un processus complexe est actuellement nécessaire pour l’interpréter. En gros, il faut parvenir à multiplier ces traces infimes d’ADN pour pouvoir savoir de quelle maladie il s’agit. Jusqu’à maintenant, il fallait l’expertise d’un laboratoire pour y arriver.

Étape 2 : Mettre la salive sur un papier buvard

Mettre une goutte de sueur ou de salive sur le papier buvard

Mettre une goutte de sueur ou de salive sur le papier buvard Photo :  CBC

Les chercheurs de l’Université McMaster affirment qu’un bout de papier arrive maintenant à faire le travail d’un laboratoire.

« Tous les éléments chimiques essentiels pour amplifier la signature génétique se trouvent maintenant sur une languette de papier. »— John Brennan, directeur du Biointerfaces Institute.

Le résultat peut se comparer à un simple test de grossesse. Le patient n’a qu’à mettre sur une bande de papier éponge une goutte de sueur ou de salive et le tour est joué.

Étape 3 : Attendre 30 minutes

John Brennan et Meng Liu du Biointerfaces Institute.

John Brennan et Meng Liu du Biointerfaces Institute. Photo :  CBC

Il suffit de 10 minutes à une demi-heure pour que le papier réagisse à la présence de l’ADN suspect. Jusqu’à maintenant, le test mis au point par les chercheurs de l’Université McMaster est parvenu à découvrir la signature génétique de l’hépatite C et de cellules cancéreuses mammaires.

En théorie, toute maladie, infection, virus ou bactérie dont le code génétique est connu peut être détecté de la même façon.

Étape 4 : Lire le résultat

Les résultats : bleu ou blanc

Les résultats : bleu ou blanc Photo :  CBC

Blanc est la couleur que vous voulez voir. Si la goutte laissée sur la languette devient bleue, c’est mauvais signe : vous êtes porteurs du matériel génétique suspect. Vous êtes malade.

Le test est extrêmement précis, explique Meng Liu, étudiant postdoctoral en biochimie et auteur d’un article scientifique sur la découverte.

« C’est très simple. Tout le monde peut le faire, à la maison ou ailleurs. C’est aussi très rapide, et selon le résultat du test, une personne peut obtenir de l’aide médicale sans attendre. » — Meng Liu, étudiant postdoctoral en biochimie.

Patience

« Il a fallu trois ans de recherches pour en arriver là » dit John Brennan, et il faudra encore être patient avant de voir ces tests faire leur entrée sur le marché.

« Il faut que tout soit approuvé par Santé Canada, ce qui implique des études cliniques et des contrôles de qualité. Il faut aussi trouver la meilleure façon de fabriquer et de vendre ce type de test, en plus de trouver quelle compagnie pourra le faire. » John Brennan, directeur du Biointerfaces Institute.

La bonne nouvelle, ajoute le scientifique, c’est que les languettes sont faciles à imprimer. L’appareil utilisé par le laboratoire de l’Université McMaster est capable d’imprimer à lui seul des milliers de tests par jour.

Avec des informations de CBC

http://ici.radio-canada.ca/

Éviter la dépression ménagère


Je crois qu’on a tous des moments qu’on pourra se reconnaître dans la dépression ménagère, car nos modèles sociales sont trop souvent irréalisable, car on nous montre la perfection et cette perfection est souvent éphémères que ce soit dans notre environnement immédiat ou sur notre propre personne
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Éviter la dépression ménagère

 

Bénédicte Régimont

Pourquoi parler de dépression ménagère? À certaines étapes de notre de notre vie, nous pouvons nous sentir totalement débordés par notre environnement immédiat. Le désordre s’accumule, on en a conscience mais il nous est impossible de réagir. Au contraire, la culpabilité nous envahit et on a l’envie de tout lâcher et de partir loin de la gestion prosaïque du quotidien qui nous ennuie et finit par nous envahir.

Pourquoi s’est-on laissé submerger comme ça alors que les médias nous montrent pléthore d’intérieurs impeccablement rangés, d’enfants souriants et de familles épanouies? Pourquoi les autres y arrivent-ils et pas moi?

Les signes avant coureurs de la dépression ménagère

Au moment de glisser la clé dans la serrure, vous voici prise d’une angoisse. La gorge se noue, l’estomac gronde. La sérénité de se retrouver chez soi laisse place à une litanie de micro-angoisses. Prises séparément elles n’ont que peu d’impact, le lave-vaisselle encore rempli, le frigo vide, le linge non repassé, les jouets des enfants éparpillés… Après une journée de travail, vous n’avez pas envie de faire face à cela. Non, juste l’envie de retarder le moment fatidique, tourner les talons, trouver un échappatoire.

Un modèle de vie idéal

En fonction de l’âge, nous sommes confrontés à des modèles sociaux auxquels nous ne pouvons pas nous identifier. Temps, connaissance de soi, lâcher-prise sont indispensables quand on a tendance à se comparer à ce que les médias nous (sur)vendent. Vous n’êtes pas grande, châtain clair, se glissant aisément dans un petit 36, avec des enfants à la mèche impeccable. Votre intérieur n’est pas baigné de lumière du sud, votre cuisine ne fait pas 25m² et les placards ne s’ouvrent pas sur des étagères impeccablement ordonnées où tout est étiqueté? Non?

Alors bienvenue dans la vie réelle! Bienvenue dans votre vie! Celle qui peut vous offrir le confort et le plaisir au quotidien, loin de tout stéréotype.

Refuser la perfection

Lorsque l’on a une estime de soi dépréciée, on recherche l’apaisement dans la perfection. Un modèle nous fait rêver, nous le fantasmons et imaginons que tout se résoudra par magie une fois que l’on aura atteint ce graal. Face à l’ampleur de la tâche, la procrastination surgit sournoisement et vous fait douter:

«Ce n’est pas pour moi, je n’y arriverai pas». ou «Je le ferai à fond quand j’aurai le temps. Je ferai tout d’un coup, ça sera mieux.»

Cet envie de tout faire parfaitement nous prive d’objectifs intermédiaires dont le rôle est de nourrir notre autosatisfaction.

Si votre chambre est en désordre, vous pouvez attendre d’avoir le temps (difficile à évaluer) l’envie (qui s’amenuise) les ressources, la motivation… de vous en occuper.
OU, vous pouvez choisir de commencer par un petit pas. Ranger les chaussures dans leur placard.

En réalité cela ne prend que 2 minutes. Certes, le lit n’est toujours pas fait, le fauteuil est encore plein de linge… MAIS, vous avez enclenché le processus. Et cela suffit déjà à y voir plus clair.

La dépression ménagère apparaît quand l’idée de l’ampleur de la tâche nous submerge. Notre cerveau droit, sièges des émotions prend l’ascendant sur notre cerveau gauche relié à l’action concrète.

En résumé, si vous vous sentez débordés à la maison, ou même dans votre vie professionnelle. Apprenez à déconnecter votre cerveau droit pour moins penser et agissez.

Quand on a perdu l’envie

Si votre maison est source de stress et que le désordre vous angoisse, il sera toujours une bonne copine pour vous dire: Lance-toi, je ne comprends pas pourquoi tu n’y arrives pas, c’est si simple. La réalité est plus complexe. Ce n’est pas simple, parce que l’idée que l’on se fait de la tâche est disproportionnée par rapport à la réalité de l’action.

Quand on n’a pas envie de faire le repassage, on a l’impression que cela nous prendra 3 heures et il est plus simple de trouver un réconfort immédiat dans une action qui nous sollicite moins, comme faire une sieste dans le canapé. Une fuite qui ne résout rien, mais qui nous donne l’illusion immédiate d’un apaisement. Le retour à la réalité est tout aussi angoissant. Durant le sommeil, les lutins magiques ont oublié de ranger le linge, pire, ils en ont ajouté.

Déconnecter son cerveau droit, même pour 5 minutes peut vous apporter le meilleur des bienfaits. Voici quelques actions concrètes à réaliser sans pression et qui s’appuient sur des mantras du quotidien.

Si vous êtes fidèles de ce blogue, vous savez que je ne suis pas une fée du logis. Mais, jour après jour, je fais une foule de petits gestes que je ne ressens pas comme du ménage mais qui concourent à ce que ma maison soit toujours dans un ordre acceptable.

– Si cela prend moins de 5 minutes je le fais tout de suite

Cette petite phrase que je me répète comme un mantra me permet de me débarrasser des petites tâches qui monopolisent mon esprit et sollicitent plus d’énergie lorsque j’y pense 3 ou 4 fois par jour qu’à être réellement réalisées. Ce matin, j’ai remplacé une ampoule dans le couloir, le joint de la bonde du lavabo, rangé mes chaussures d’été.

– Je le fais bien ou je ne le fais pas

Ceci oblige à clôturer définitivement une tâche. Si par exemple je laisse traîner le matériel de bricolage après avoir remplacé le joint, je n’ai fait que déplacer une pensée parasite qui mute le «Il faut change le joint» en «il faut ranger les outils». Opération nulle.

Attention, cela ne doit pas renforcer votre recherche de perfection à travers la procrastination. Non, cela suppose que vous terminiez la tâche pour ne plus avoir à y penser.

– Ce qui est fait n’est plus à faire

Mon attention ne se monopolise pas sur l’action en elle-même, mais sur le résultat final. Si je pense au plaisir d’avoir un évier qui se vide normalement, je passe outre l’idée de mettre mes mains dans une accumulation de résidus.

Si je sais que je n’aurai plus à y penser, mon esprit se libère naturellement.

– Préparez-vous

Comme pour une recette où vous réunissez tous les ingrédients, vous pouvez préparer ce qui est nécessaire pour passer à l’action. Et ce ne doit pas être une excuse à l’inertie!
Faites une liste de ce qui vous est nécessaire pour mener à bien votre tâche.

Si je poursuis l’exemple du joint de lavabo: un joint, un desserre-joint, une bassine, un chiffon et du détergent pour nettoyer la bonde. Une fois que tout est réuni, je passe à l’action avec le sentiment que tout est fluide, je n’ai pas à me relever 3 fois parce qu’il me manque quelque chose.

– Associez les tâches entre elles.


Ranger le linge n’est pas une chose qui vous met en joie. Associez cette action avec une autre qui vous fait plaisir. Avant un café réconfortant, en écoutant de la musique que vous aimez, avant une promenade au grand air…

Le seul risque? Vous dire: je le ferai quand j’aurai pris mon café, cela me remotivera. Au contraire, avoir réalisé votre tâche vous permet de vous récompenser.

– Acceptez de ne pas tout maîtriser


Si une tâche ne relève pas de vos compétences, faites ce qu’il faut pour mobiliser quelqu’un dont c’est le métier. N’attendez pas inutilement. Rares sont les plombiers qui sonnent spontanément à votre porte.

Si vous décrochez votre téléphone, si vous sollicitez vos amis, vous êtes actifs au regard de la tâche. Vous ne la subissez plus.

– Soyez bienveillant envers vous-mêmes

En réalité, la seule pression est celle que l’on s’impose. Apprenez à lever le pied. À regarder votre intérieur avec le recul nécessaire pour qu’il ne vous envahisse plus.

Apprenez aussi à passer à l’action. Car la dépression ménagère commence par le manque d’envie, par les petites choses qui s’accumulent insidieusement.

– Refusez de tout faire d’un coup


QUI a dit que votre maison devait ressembler à une page de magazine?
Vous ne ressemblez pas à la fille de la couverture, vous savez que cette fille n’est pas réelle, il en est de même pour les intérieurs. Ils sont savamment mis en scène. Ce ne doit pas être votre modèle référent. Alors, inspirez-vous de ces magazines mais faites à votre envie, une chose après l’autre. Dans la sérénité et le plaisir de ce qui a été accompli. Demain est un autre jour.

Être fatigué, découragé, ne pas avoir envie font partie de la vie de tous les jours. Le burn-out survient quand on n’a pas écouté son corps, que l’on subit une pression sociale qui nous pousse à la perfection.

Utilisez la méthode du Kaizen (du petit pas), de la petite action qui ajoutée aux autres petites actions vous libérera l’esprit. Et qui sait… vous deviendrez peut-être adepte de la méditation ménagère. Si ce n’est pas le cas, faites-vous aider par un organisateur d’intérieur.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Les Européens ont fait disparaître les Indiens brutalement, mais pas tout de suite


Les Amérindiens ont vu leur population baissée drastiquement 100 ans plus tard après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb. Bien sûr que les épidémies venant de l’Europe n’ont pas aidé, mais avec le temps, la forte majorité d’Amérindiens sont devenus une minorité
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Les Européens ont fait disparaître les Indiens brutalement, mais pas tout de suite

 

Un chef Sioux en 1899 | Boston Public Library via Flickr CC License by Creative Commons

Un chef Sioux en 1899 | Boston Public Library via Flickr CC License by Creative Commons

Repéré par Fatma-Pia Hotait

Une nouvelle étude s’intéresse au processus d’extinction des indiens au nord du Nouveau Mexique.

En 1492, Christophe Colomb découvre l’Amérique. Les Européens partent à la conquête du Nouveau Monde et leur arrivée s’accompagne de plusieurs vagues d’épidémies. Ces maladies, mêlées aux mauvais traitements infligés aux tribus et aux famines, entraînent la quasi-disparition des populations autochtones. Une nouvelle étude publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences vient toutefois apporter un nouvel éclairage sur la durée et la mise en place de cette extinction, rapporte Phys.org.

Sur ce sujet, deux hypothèses s’opposent. Certains chercheurs soutiennent que la disparition des Amérindiens s’est faite dès les premiers contacts avec les Européens. D’autres défendent l’idée d’une extinction progressive sur plusieurs années. Pour en savoir plus, une équipe de chercheurs a donc étudié dix-huit villages situés dans ce qui serait aujourd’hui le nord de l’État du Nouveau Mexique. Leurs conclusions révèlent deux facteurs importants. Sur le territoire étudié, le nombre d’Amérindiens a chuté brutalement, mais cette disparition s’est produite dans les années 1620: après près d’un siècle de présence européenne en Amérique. La date coïncide avec le début des missions catholiques, et notamment la création de la Congrégation de la Propaganda Fide par lePape Grégoire XV.

Conséquences environnementales et sociales

Selon l’étude, 87% de la population amérindienne de la région meurt alors en soixante ans. Dans ces dix-huit villages, les Indiens Pueblos passent de 6.500 personnes à moins de 900. Ce changement brutal bouleverse l’environnement. Avec la disparition des populations, la forêt reprend ses droits. On assiste alors à de nombreux incendies et à une augmentation du taux de CO2. Ce phénomène a eu un tel impact que certains chercheurs considèrent cette période comme le début d’une nouvelle ère où l’homme commence à avoir un impact notable sur l’environnement: l’Anthropocène.

Les dégâts sociaux, eux aussi, continuent de frapper l’Amérique. La condition des Indiens y est déplorable, dénonce le journaliste Stéphane Trano dans Marianne.

 2.1 millions d’Amérindiens, «soit l’écrasante majorité», vivent largement sous le seuil de la pauvreté. Alcoolisme, chômage et maladies sont très fréquents dans des campements qui tiennent«purement du bidonville». Bien que les indiens aient obtenu la citoyenneté américaine en 1924; l’accès au système de santé est rare et le taux de suicides «crève le plafond des statistiques».

http://www.slate.fr/

Réparer l’ADN contre le développement du cancer


Je ne sais pas si nous allons guérir facilement le cancer de notre vivant, mais des pistes semblent intéressantes pour stopper la prolifération des cellules cancéreuses
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Réparer l’ADN contre le développement du cancer

 

Réparer l'ADN contre le développement du cancer

Un ADN endommagé ouvre la porte à de graves maladies. Photo Fotolia

Des médicaments qui «réparent l’ADN» pourraient bloquer le développement des cellules cancéreuses, ont découvert des chercheurs canadiens.

Une étude dirigée par Hugo Wurtele, chercheur à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont, à Montréal, a démontré l’efficacité de nouveaux médicaments pour réparer l’ADN et empêcher ainsi la croissance des cellules cancéreuses.

En effet, si l’ADN est endommagé, certains gènes deviennent inactifs ou fonctionnent mal, ouvrant ainsi la voie au développement de maladies graves, tel que le cancer. Voilà pourquoi la recherche s’intéresse de près aux mécanismes qui conduisent à réparer les dégâts.

L’expérience des scientifiques montre que de «nouveaux médicaments du type inhibiteurs […] sont prometteurs pour le traitement du cancer». Ces médicaments bloquent «fortement la prolifération des cellules [cancéreuses] en prévenant le fonctionnement normal de divers facteurs impliqués dans la réponse aux dommages à l’ADN générés de façon spontanée par le métabolisme cellulaire».

Les chercheurs ont utilisé la levure comme «système modèle» avant d’en arriver à ces conclusions. Il reste à comprendre dans le détail comment ces médicaments parviennent à bloquer la croissance des cellules cancéreuses.

L’étude a été menée en collaboration avec des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique, de l’Institut de recherche en immunologie et cancérologie et du Centre hospitalier universitaire de Québec.

Les résultats de ces travaux ont été publiés, cette semaine, dans la revue scientifique britannique Nucleic Acids Research.

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