Le regard d’un enfant


Ce que j’aime entre autres, d’être une grand-maman, c’est de voir à travers les yeux de mes petits-enfants le monde qui n’est pas compliqué et plein d’émerveillement pour toutes les choses l’adulte peut trouver cela anondine
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Le regard d’un enfant

 

Pour les enfants, le monde – et tout ce qui s’y trouve – est quelque chose de radicalement neuf, ils n’en reviennent pas. Il n’en va pas de même pour tous les adultes, puisque la plupart d’entre eux trouvent que le monde n’a rien d’extraordinaire.

Jostein Gaarder

Des enfants goûtent du café pour la première fois


Moi, je prends mon café avec un nuage de lait et sans sucre, mais j’ai commencé à prendre du café instantané (Sanka) très jeune avec 2 sucres et lait, le matin avec mon petit frère Je crois que ces enfants, on goûter à du café noir, c’est normal que la majorité sauf 1 n’ont pas aimé. Cependant, le café, à mon avis n’est pas pour les jeunes enfants
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Des enfants goûtent du café pour la première fois

 

Le Saviez-Vous ► Sherlock Holmes Baffled : Le premier film de Sherlock


Ce serait le premier Sherlock Holmes dans un film muet en noir et blanc. Heureusement pour nous, Sherlock a évolué depuis pour les amateurs des romans d’Arthur Conan Doyle
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Sherlock Holmes Baffled : Le premier film de Sherlock

 

 

Sorti en 1900, Sherlock Holmes Baffled est le plus vieux film montrant les interactions entre un voleur aux pouvoirs étranges et un détective présenté dans le titre comme étant Sherlock Holmes.

L’histoire ne rappelle rien des oeuvres d’Arthur Conan Doyle et semble avoir utilisé le nom de Sherlock comme nom du personnage uniquement parce qu’il était déjà familier pour les spectateurs.

Le film a été produit par Arthur Marvin, un réalisateur prolifique de films pour Mutoscope, un dispositif concourant du Kinétoscope de Thomas Edison qui fonctionnait comme un folioscope géant.

Son frère était était un des cofondateurs de l’entreprise qui les distribuait et il se servait de ces films pour promouvoir son invention.

http://www.laboiteverte.fr/

La mélioïdose, menace mal connue


Une maladie qui n’est pas très connue en Occident, mais qui pourtant pourraient devenir une menace réelle, car elle est semble être plus répandu que prévu
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La mélioïdose, menace mal connue

 

La mélioïdose, menace mal connue

La mélioïdose peut conduire à des septicémies.Photo Gavin Koh / Wikipedia

BANGKOK, Thaïlande – La mélioïdose, une maladie infectieuse qui peut tuer presque autant que la rougeole et beaucoup plus que la dengue, serait beaucoup plus répandue qu’on ne le pensait jusqu’ici, avertit une étude publiée lundi.

Provoquée par le bacille Burkholderia pseudomallei, encore appelé bacille de Whitmore, la mélioïdose peut conduire à des septicémies.

La maladie est endémique en Asie du sud-est et au nord de l’Australie. Un nombre croissant d’infections a été rapporté ces dernières années en Europe.

La forme aiguë de la maladie, qui se transmet de l’animal à l’homme, se manifeste par des infections respiratoires (pneumopathies nécrosantes) et une septicémie (avec fièvre élevée, céphalées, diarrhées, vomissements, lésions cutanées et abcès).

Selon les auteurs de l’étude, publiée lundi dans la revue Nature Microbiologie, la maladie qui se propage surtout par l’intermédiaire d’animaux, est difficile à diagnostiquer. La bactérie est de surcroît résistante à de nombreux antibiotiques.

La maladie «tue beaucoup de gens de façon silencieuse», a expliqué à l’AFP Direk Limmathurotsakul, de l’unité de recherche en médecine tropicale de l’université Mahidol à Bangkok, co-auteur de l’étude.

«C’est une maladie sous estimée et sous analysée», ajoute-t-il.

En étudiant les données publiées entre 1910 et 2014, les chercheurs ont découvert que la maladie était largement sous estimée dans les 45 pays où elle est présente et dans 34 autres où elle n’a jamais été répertoriée.

Ils évaluent également à 165 000 le nombre de nouveaux cas de mélioïdose chaque année dans le monde, dont 89 000 aboutissent à des décès.

Compte tenu des déplacements de populations et des agents pathogènes, la mélioïdose pourrait bien se développer à l’avenir dans des zones non encore touchées, ajoutent-ils avant d’inviter les autorités sanitaires à accorder une plus grande priorité à cette maladie.

Les formes chroniques se caractérisent par des abcès et des lésions suppuratives au poumon (simulant une tuberculose), au foie, à l’intestin, à la rate, mais sur la peau et dans le cerveau.

La contamination se fait par écorchures, plaies ou brûlures souillées mais aussi par ingestion ou inhalation.

La mélioïdose est avec le VIH et la tuberculose, l’une des trois premières causes de mortalité résultant d’une maladie infectieuse dans certaines régions d’Asie du sud-est.

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L’homme le plus vieux du monde aurait 131 ans


L’homme le plus vieux au monde n’a jamais été dans le Livre des Records et pourtant, il est très, très vieux avec l’âge honorable de 131 et son plus jeune enfant, une fille de 30 ans.
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L’homme le plus vieux du monde aurait 131 ans

 

L'homme le plus vieux du monde aurait 131 ans

Joao Coelho de Souza.Photo Gentside

L’espérance de vie humaine ne cesse d’augmenter dans la plupart des pays. Joao Coelho de Souza est sans conteste un cas exceptionnel qui peut en attester.

Né le 10 mars 1884 dans la région de Meruoca, au Brésil, il a très exactement 131 ans. Avec un âge pareil, comment se fait-il alors que Joao Coelho de Souza n’ait jamais été mentionné dans le livre Guinness des records? Tout simplement parce que sans le concours d’un fonctionnaire pointilleux, la vie du vieil homme n’aurait certainement jamais été médiatisée.

C’est en découvrant sa date de naissance et en s’apercevant que Joao Coelho de Souza percevait toujours une pension, que ce fonctionnaire s’est alors penché sur son cas. Croyant au début à une fraude, celui-ci est tombé à  la renverse en découvrant que le vieillard était pourtant toujours bien en vie.

PÈRE À 100 ANS

La (longue) vie de Joao Coelho de Souza est aussi jalonnée de surprises. Ainsi, on apprend avec étonnement que ce Brésilien possède aujourd’hui une fille de 30 ans.

Autrement dit, Joao Coelho de Souza l’aurait conçue à l’âge de… 100 ans! Mariée à une femme de 62 ans, celui-ci continue donc de couler des jours paisibles en compagnie de ses proches et attend avec impatience de souffler ses 132 bougies au mois de mars prochain.

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Ce qu’il faut savoir du grave accident thérapeutique survenu à Rennes


Ailleurs, on parle de quatre autres patients souffrant de troubles neurologiques, dont trois pourraient avoir un handicap irréversible, dont un en état de mort cérébrale. Il s’avère qu’ils testaient sur des volontaires en vue d’un médicament pour les troubles de l’humeur. L’essai clinique en phase 1 pour l’homme n’a donc pas été réussit.
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Ce qu’il faut savoir du grave accident thérapeutique survenu à Rennes

 

Le laboratoire Biotrial spécialisé dans la conduite d'essais cliniques à Rennes. ©DAMIEN MEYER / AFP

Le laboratoire Biotrial spécialisé dans la conduite d’essais cliniques à Rennes. ©DAMIEN MEYER / AFP

Par Hugo Jalinière

Que s’est-il passé durant l’essai clinique qui a conduit à l’hospitalisation de 5 personnes et à la mort cérébrale d’une autre ? Quelle molécule était testée ? Combien de personnes sont concernées ? Les dernières infos.

6 personnes ont été hospitalisées au CHU de Rennes vendredi 15 janvier 2016 à la suite d’un grave accident survenu lors d’un essai clinique mené par la société Biotrial en Bretagne. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a donné une conférence de presse au CHU de Rennes pour livrer les dernières informations. Elle a notamment loué le sérieux de Biotrial, une société spécialisée dans la conduite d’essais cliniques dont l’inspection en 2014 n’avait révélé aucune anomalie. Un tel accident est inédit en France, où les essais sont rigoureusement encadrés.

Quelle était la molécule testée ?

« Contrairement à ce que j’ai pu entendre, ce médicament ne contient pas de cannabis, ni de dérivé », a précisé Marisol Touraine lors de sa conférence de presse.

En réalité, la molécule testée agit sur le système endo-cannabinoïde mais n’aurait rien à voir avec le cannabis. Le système endocannabinoïde désigne en fait un ensemble de récepteurs cérébraux impliqués dans différentes sensations comme l’euphorie, l’anxiété, la douleur, ou encore la faim. Ces récepteurs sont également sensibles aux substances cannabinoïdes, comme le cannabis.

La molécule développée par le groupe pharmaceutique portugais Bial visait à lutter contre les troubles de l’humeur et agir sur les systèmes naturels qui permettent de lutter contre la douleur.

Combien de volontaires participaient à l’essai ?

128 volontaires ont été recrutés dès juillet 2015. Mais seulement 90 personnes ont testé la molécule à des doses variables. 6 ont donc été hospitalisées, celles ayant reçu les plus fortes doses a précisé le professeur Gilles Edan, chef du pôle neurosciences du CHU de Rennes. La personne en état de mort cérébrale est la première à avoir été admise aux urgences du CHU de Rennes, le jeudi 7 janvier 2016. 84 personnes ont été ou doivent être rappelées par les coordinateurs de l’essai pour les informer de la situation et leur faire stopper le traitement.

Qu’est-ce qu’un essai clinique ?

Les essais cliniques sont une phase essentielle du développement des nouveaux médicaments. À mi-chemin entre la recherche en laboratoire – sur des cellules en culture ou des animaux (rongeurs, singes…) – et la prise en charge du patient, ce long processus se déroule en plusieurs phases et permet d’élaborer un produit fiable pour l’homme. La phase 1 d’un essai clinique correspond à la toute première utilisation d’une nouvelle molécule chez l’homme. Sur la base du volontariat et sous strict contrôle médical, la molécule est testée sur une période courte – quelques jours à quelques mois – et généralement sur des dizaines de personnes. Cette phase 1 consiste à évaluer la sécurité et la tolérance du produit.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Rencontrez la sorcière qui dit pouvoir réparer les ordinateurs Repéré par Robin Panfili


Il y a vraiment n’importe quoi pour arnaquer les gens et le pire c’est que des gens vont y croire. Peut-on vraiment aller voir cette personne qui lance des sorts pour soigner un virus informatique ? À moins qu’elle ajoute à sa sorcellerie, quelques vraies manipulations, mais l’article n’en dit mot
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Rencontrez la sorcière qui dit pouvoir réparer les ordinateurs

 

Joey Talley, professionnelle de la sorcellerie à votre service | via YouTube

Joey Talley, professionnelle de la sorcellerie à votre service | via YouTube

Repéré par Robin Panfili

Avec ses sorts, sa potion et ses techniques de sorcellerie, Joey Talley se dit capable de libérer votre ordinateur des virus qui l’infectent.

La prochaine fois que votre ordinateur tombera en panne ou sera atteint d’un virus, vous ferez sans doute appel à un réparateur spécialisé. Sachez que, désormais, ce n’est plus votre unique option. Le magazine Motherboard est parti à la rencontre de la révérende Joey Talley, dans le nord de la Californie, qui se présente comme une professionnelle de la sorcellerie capable de remettre sur pied un ordinateur infesté par les virus.

Pour y parvenir, la sorcière maîtrise de nombreuses techniques. En fonction des cas, elle peut placer des pierres sur l’ordinateur, aspirer les mauvaises énergies en envoyant une intention et sa force spirituelle ou nettoyer l’espace qui entoure l’ordinateur en brûlant de la sauge. Pour se débarrasser des virus qui infectent la machine, cela peut prendre une heure ou quatre, en fonction de leur robustesse et de leur résistance. Interviewée par Motherboard, Joey Talley raconte son mode opératoire:

«Je me rends sur place et je travaille l’énergie. Il existe différentes pierres qui fonctionnent très bien sur les ordinateurs, comme l’apatite. D’autres préfèrent l’améthyste, mais elle ne fonctionne pas très bien avec moi. […] Tout est unique. Ainsi, mes sorts changent à chaque fois, car chaque cas sur lequel j’interviens est unique. Parfois, j’envoie un sort ou un charme magique sur un endroit de l’ordinateur. Parfois, j’utilise une potion que je vaporise sur la chaise avant qu’une personne s’y asseye pour travailler. Le jais est une pierre que j’utilise beaucoup pour protéger les ordinateurs.»

http://www.slate.fr/

Faire du tourisme dentaire à ses risques et périls


Oui, les soins de dentistes sont très chers au Québec, mais je crois que nous avons quand même d’excellents spécialistes et ceux qui ont les moyens ne devraient pas risquer d’aller, se faire, soigner à l’extérieur du pays pour sauver quelques milliers dollars
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Faire du tourisme dentaire à ses risques et périls

 

Un Québécois est allé jusqu’au Mexique pour se faire poser des implants dentaires. Il était attiré par les coûts beaucoup moins élevés des traitements là-bas. Cette aventure lui a finalement coûté très cher.

Un texte de Nancy Desjardins

De plus en plus de gens vont se faire soigner à l’étranger en espérant ainsi économiser. En 2014, 52 000 Canadiens ont fait du tourisme médical, comparativement à 41 000 en 2013.

Claude Jacques fait partie du lot, et il en garde un très mauvais souvenir.

« C’est une histoire d’horreur cette affaire-là! »

Ce Québécois a d’importants problèmes de dentition. Il lui manque plusieurs dents. Pour remplacer trois d’entre elles, son dentiste lui suggère la pose d’implants dentaires au coût de 13 500 $.

L’implant dentaire est une vis en titane fixée dans l’os, surmontée ensuite d’un pilier sur lequel on posera la couronne.
« J’ai trouvé ça très cher, évidemment. Puis j’ai entendu parler, comme beaucoup de monde, du tourisme médical. Je me suis mis à magasiner ça sur Internet. »
— Claude Jacques

Il fait des recherches aux quatre coins du monde et s’intéresse finalement à une clinique de Cancun, au Mexique, qui vise clairement un marché international. Le directeur de la clinique parle français, ce qui le met en confiance.

 « Il me dit que c’est propre, il me montre des photos. […] Il me vante l’expertise de son chirurgien maxillo-facial. »

La clinique propose de lui poser les trois implants avec les prothèses pour 6800 $. C’est moitié moins cher qu’au Québec.

« Je me suis dit : « Je vais couper l’hiver en deux, je vais finir l’hiver dans le Sud, plutôt ». Puis, on me garantissait le travail, on me garantissait que la job serait bien faite. »
— Claude Jacques

Claude Jacques achète un forfait tout inclus et prend rendez-vous avec la clinique Sunset Dental Cancun. Dès sa première visite à la clinique, on lui suggère de poser non pas trois, mais six implants dentaires au coût de 18 500 $. Un tel traitement lui aurait coûté environ 28 000 $ au Québec. Claude Jacques accepte donc la proposition.

L’intervention dure six heures, et la clinique l’assure que tout s’est bien passé. À son retour à Québec, Claude Jacques s’inquiète et rencontre son dentiste, car un des implants n’est pas du tout solide. Il tombera d’ailleurs une semaine plus tard.

Du travail mal fait

La Facture a demandé à Jean Poirier, président de l’Association des spécialistes en chirurgie buccale et maxillo-faciale du Québec, d’examiner M. Jacques. Nous lui avons aussi montré les imageries médicales prises avant et après l’intervention faite au Mexique.

« C’est sûr que ça aurait pu être fait d’une façon plus adéquate. »
— Jean Poirier

En tout, deux des six implants sont tombés. Et selon le Dr Poirier, les quatre implants restants ont aussi d’importants problèmes. Certains sont de travers. Ils ne sont pas parallèles aux dents adjacentes.

Jean Poirier explique que le taux de succès de l’implantologie atteint de 95 à 98 %.

« Si vous êtes en bas de ça, c’est parce que vous ne devriez peut-être pas faire de l’implantologie. »

« Ça m’arrive d’en perdre, là, des implants. Mais sur six, d’en perdre deux ou trois, puis d’en avoir plusieurs qui sont croches! » — Jean Poirier

Le directeur de la clinique de Cancun, Alain Mourgue, ne voit aucun problème avec la perte de deux implants.

« C’est pas mal; je veux dire pourquoi les six ne sont-ils pas tombés? S’il y avait eu un problème de pose, pourquoi les six ne sont-ils pas tombés? […]Tous les procédés que l’on fait, c’est dans les règles de l’art. »
— Alain Mourgue

Claude Jacques demande le remboursement des 8400 $ payés pour la première étape du traitement. Le directeur de la clinique refuse de le rembourser.

« M. Jacques me menace, M. Jacques me fait du scandale. […] C’est une petite guerre entre le Canada et le Mexique. On prend des patients des cliniques canadiennes. Donc, elles ne sont pas contentes. Surtout quand c’est deux fois moins cher, quoi! »
— Alain Mourgue

La clinique de Cancun offre de reprendre les travaux, mais Claude Jacques n’a plus confiance et n’a aucunement l’intention de retourner là-bas.

Des précautions à prendre

Selon l’avocat québéco-mexicain Felipe Morales, il est possible de porter plainte, au Mexique, à la Commission nationale d’arbitrage médical, la CONAMED. Cet organisme intervient pour les litiges entre un patient et un professionnel de la santé.

La CONAMED recommande notamment à ceux qui veulent se faire soigner au Mexique de vérifier si le praticien en question a un permis d’exercice.

La clinique de Cancun a refusé de donner de l’information à La facture sur les compétences du spécialiste qui a traité M. Jacques.

Les dentistes font l’objet du plus grand nombre de plaintes déposées auprès de la CONAMED, selon des études de cette instance réalisées en 2008.

http://quebec.huffingtonpost.ca/