Si nous savions écouter notre moi intérieur, il y a beaucoup de chose que nous comprendrions
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Professeur
Notre premier professeur est notre propre cœur.
Cheyenne
Une chienne très particulière qui prend l’autobus seul quand son maître n’est pas prêt et part vers le parc où ils se retrouveront plus tard. Elle est devenue la coqueluche des usagers de cette ligne d’autobus à Seattle aux États-Unis.
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Éclipse, la chienne qui prend le bus toute seule
Ceux qui ont de magnifiques yeux bleus seraient issus d’un même ancêtre qui pourrait avoir existé autour 10 000 avant notre ère
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Après de longues recherches, des scientifiques de l’Université de Copenhague sont arrivés à cette conclusion surprenante : toutes les personnes ayant les yeux bleus pourraient vraisemblablement remonter leur arbre généalogique jusqu’à trouver un seul et même ancêtre commun ! En effet, cet humain « commun » aurait vécu il y a environ 10 000 ans, non loin de la Mer Noire.
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Dans l’optique de cette étude, sur l’ensemble des personnes avec les yeux bleus qui se sont portées volontaires, 99,5% avaient la même petite mutation au niveau du gène qui détermine la couleur de l’iris. Et ce, qu’ils soient Suédois ou Islandais à la peau blafarde, ou issues de Turquie ou de Jordanie à la peau sombre. Ce qui indique vraisemblablement, donc, que cette mutation s’est opérée chez un seul et même individu.
Le Professeur Hans Eiberg et ses collègues ne sont pas certains de la date exacte de ce phénomène. Alors pourquoi 10 000 avant notre Ere alors ? C’est à cette époque qu’il y a eu une rapide expansion des populations humaines vers l’Europe, alors que l’agriculture se propageait depuis le Moyen-Orient, à la période du Néolithique.
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Le Professeur Eiberg ajoutait que le marron était la couleur « par défaut » pour les yeux humains. Une unicité qui était due à la prolifération de personnes à la peau foncée. Une pigmentation de peau en lien direct avec l’emplacement géographique des populations, le climat qui y régnait et… la fameuse mélanine, une macromolécule qui, on le rappelle, est le principal responsable de la coloration des yeux, des cheveux et de la peau chez l’être humain.
La quantité de mélanine varie faiblement chez les gens qui ont les yeux bleus. En sachant cela, les scientifiques s’accordent donc pour dire qu’ils ont tous hérité de cette même variation, au même « endroit » de leur ADN. Qu’ils soient hommes ou femmes, les personnes aux yeux bleus ont tous la même séquence génétique dans la partie de l’ADN responsable de la couleur des yeux. Alors qu’au contraire, les personnes aux yeux bruns ont une quantité considérable de variations dans cette région de leur ADN.
Qu’est-ce qu’une statut inerte peut faire pour un peuple ? Tout cet argent que des hommes d’affaires ont mit pour ériger d’un homme mort depuis des années et qui a mener des millions de Chinois dans mort à cause de la famine .. C’est un affront fait aux plus démunis.
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La gigantesque statue de Mao Zedong érigée en Chine | STR/AFP
Repéré par Fatma Pia Hotait
Neuf mois de travail, l’équivalent de 425.000 euros ($ 642,000 CAD) et 38 mètres de hauteur pour ce Mao Zedong doré dans une province qui a souffert de sa politique dans les années 1960.
Trente-six mètres. C’est la hauteur de la statue à l’effigie de Mao Zedong qui a été érigée dans la province du Hunan, en Chine, où il est né. Cette statue, construite par des villageois, a coûté 3 millions de yuans, soit l’équivalent de 425.00 euros, et a été financée par des hommes d’affaires de la région admirateurs de l’ancien dirigeant chinois. Elle est faite de fer, de béton et recouverte de peinture dorée, rapporte The Guardian.
Elle donne sur le comté de Tongxu, près de la ville de Kaifeng. Il s’agit paradoxalement d’une des régions les plus pauvres de Chine, qui a le plus souffert de la politique de Mao Zedong. La province du Hunan a particulièrement été touchée par sa politique économique du «Grand bond en avant». Mise en place de 1958 à 1960, elle avait provoqué une grande famine de trois ans en Chine, qui, dans un contexte de Guerre froide, avait été cachée. Selon les estimations, le nombre de Chinois morts de faim varie entre 10 et 45 millions.
«Maintenir la bannière de sa pensée toujours haute»
La construction de la statue a commencé en mars 2015 et elle a été achevée mi-décembre. Si les clichés qui ont circulé ont été admirés, ils ont aussi été critiqués.
«Pourquoi ne pas utiliser tout cet argent pour faire reculer la pauvreté?» se demande-t-on sur la plateforme de microbloging chinoise Weibo, signale The Hing Kong Free Press.
Les statues coûteuses et dorées de Mao ne sont pas une nouveauté. En 2013, pour le 120e anniversaire de la naissance du fondateur de la République populaire, une statue d’or et de jade de Mao Zedong avait été dévoilée à Shenzhen. Le président Xi Jinping, qui venait d’entrer en fonction, avait affiché son soutien à l’idéologie de Mao Zedong en promettant de «maintenir la bannière de sa pensée toujours haute».
Une statue d’or et de jade de Mao Zedong à Shenzhen lors du 120e anniversaire du fondateur de la République populaire | Photo: Stringer/AFP
L’effigie de Mao est encore présente sur les billets de banque et sur la place Tian’anmen. L’université chinoise de Tsinghua propose même des cours de «Pensée de Mao Zedong». Quarante ans après sa mort, en 1976, son influence est donc toujours présente dans les mœurs chinoises.
Les énigmatiques trous noirs sont fascinants. C’est de toute beauté de voir une étoile avalée par ce curieux phénomène de l’espace. Le résultat ressemble beaucoup à l’iris de l’oeil
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Un aperçu du phénomène d’absorption d’une étoile par un trou noir | via Nasa
Repéré par Robin Panfili
Une étude publiée dans le magazine Science permet de mieux comprendre comment les trous noirs se «nourrissent» des étoiles (et de regarder cette vidéo en étant plus éclairé).
Quand une étoile a le malheur de s’approcher trop près d’un trou noir, ses chances de survie sont faibles. En fait, il est bien plus probable que l’étoile se fasse avaler, voire déchiqueter, par ce dernier. C’est ce que montre cette vidéo d’illustration, mise en ligne par la Nasa en octobre 2015 et qui simule l’influence gravitationnelle d’un trou noir sur l’absorption et la destruction d’une étoile de passage, ici l’étoile ASASSN-14li.
Ce phénomène rare –décrit comme une absorption par «force de marée», en référence au mécanisme des marées terrestres– est une des conséquences de l’importante force d’attraction du trou noir sur ASASSN-14li. Une force d’attraction si puissante que l’étoile se disloque totalement et voit sa matière disparaître, laissant place à un disque d’accrétionautour des trous noirs.
Après des années de recherche, de nouvelles découvertes, publiées dans le magazine Science de janvier 2016, permettent de mieux comprendre le rôle des jets de matière qui s’élèvent perpendiculairement au disque d’accrétion des trous noirs dans la destruction et l’absorption des étoiles passantes.
«Ces résultats aideront à mieux comprendre comment les trous noirs se “nourrissent” et le processus de formation des jets», explique Sciencedans l’introduction de l’étude.
Les politiciens sont tous menteurs à différents degrés, mais Donald Trump dépasse largement plusieurs d’entre eux. Les Américains veulent-ils vraiment un Président qui ment grossièrement à ses électeurs ? Pourquoi utiliser une vidéo d’immigration illégale de l’autre côté de l’océan pour faire parler de l’immigration illégale aux États-Unis, ? Prétendre que le gouvernement Mexicain paierait pour un mur séparant les deux pays alors que du côté du Mexique, il est clair que c’est un non-catégorique, peut-on qualifier la parole de M. Trump comme honnête? S’il est capable de mentir de la sorte pour avoir des voix, alors on peut imaginer les mensonges qu’il utilisera s’il est élu Président pour faire valoir ses projets
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Images de la soi-disant frontière mexico-américaine dans le clip de campagne de Trump.
Repéré par Claire Levenson
Dans une vidéo de campagne, Trump donne l’impression que la frontière entre les États-Unis et le Mexique est une passoire. Mais les images ont été tournées entre le Maroc et l’Espagne.
En 2015, Donald Trump a fait tellement de déclarations fausses que l’organisation de vérification des faits PolitiFact lui a décerné la médaille du menteur de l’année. Alors que 2016 vient juste de commencer, le candidat républicain continue sur sa lancée: sa première publicité télévisée de campagne contient toute une série d’inexactitudes, dont un problème d’iconographie.
Alors qu’une voix off annonce que Trump «va stopper l’immigration illégale en construisant un mur» le long de la frontière avec le Mexique, on voit une vidéo d’une cinquantaine de migrants, filmés de loin, qui semblent traverser une frontière en courant.
Cet afflux ininterrompu donne l’impression que la frontière est une véritable passoire, que les sans-papiers mexicains sont en train d’envahir les États-Unis. Sauf que ces images censées indigner les téléspectateurs américains n’ont pas été tournées à la bonne frontière: il s’agit en fait de la démarcation entre le Maroc et l’enclave espagnole de Melilla.
Menace
Les chercheurs de PolitiFact ont trouvé que l’extrait en question avait été pris sur le site vidéo du journal italien La Repubblica sauf que, dans la pub de Trump, leur logo avait été effacé. À l’origine, les images avaient été diffusées par le ministère de l’Intérieur espagnol en mai 2014, lorsque des centaines de migrants avaient tenté de traverser la frontière.
Après la publication de PolitiFact, la réaction de la campagne de Trump a été de dire que tout cela était «intentionnel» et qu’il s’agissait simplement d’illustrer la menace de l’immigration clandestine.
«Les médias partiaux ne comprennent pas mais les Américains qui veulent protéger leurs emplois et leurs familles comprennent», précise la déclaration officielle.
L’autre problème de ce court passage sur l’immigration, c’est que la voix off de la pub explique que Trump va empêcher l’arrivée des immigrants en construisant un mur et que c’est le Mexique qui paiera pour la construction de ce mur. Sauf qu’en août 2015 un porte-parole du gouvernement mexicain avait précisé que, non, le Mexique ne financerait pas l’édification de ce mur.
«Bien sûr que c’est faux, avait-il dit, cela reflète une grande ignorance de ce que représente le Mexique, ainsi que l’irresponsabilité du candidat qui fait ces déclarations.»
King Kong existe encore ! La petite soeur de Mlle se fait appeler affectueusement King Kong, mais bon, elle ne sera jamais aussi grande que ce singe qui a existé il y a des millions d’années
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Le gigantopithèque, un singe géant aux allures de King Kong, a disparu de la surface de la Terre il y a un million d’années en raison de son incapacité à s’adapter aux changements environnementaux, selon des scientifiques.
Mesurant deux à trois mètres de haut pour 200 à 500 kilos, il restera sûrement le plus grand singe de l’histoire de la planète.
Les restes du gigantopithèque dont on dispose se limitant à quatre mâchoires inférieures et « des centaines, voire des milliers de dents isolées », les chercheurs disposent de peu d’informations sur ce monstre.
« C’est clairement insuffisant pour dire si l’animal était bipède ou quadrupède ou même imaginer ses proportions », a expliqué à l’AFP Hervé Bocherens du Centre Senckenberg pour l’évolution humaine et le paléo-environnement (Allemagne), coauteur d’une étude publiée sur le site internet de la revue Quaternary International.
« Certains le présentent comme un orang-outan surdimensionné, ce qui est l’option choisie pour le roi Louie (le roi des singes qui kidnappe Mowgli dans Le livre de la jungle, NDLR) dans un film qui sortira en mars. Mais d’autres le dépeignent comme un gorille de couleur noire », a ajouté le scientifique.
Avec une équipe de chercheurs internationale, Hervé Bocherens a étudié l’émail des dents du géant mettant en évidence qu’il vivait exclusivement dans la forêt.
Les premières dents de gigantopithèque ont été trouvées dans les années 1930 parmi des « dents de dragon » vendues comme remède dans une pharmacie chinoise.
« Nos résultats indiquent que ces grands primates vivaient uniquement dans les forêts, y tirant leur nourriture », a précisé Hervé Bocherens, ajoutant qu’ils étaient végétariens.
Pour les chercheurs, la taille du gigantopithèque et le fait qu’il se cantonnait à un seul type d’habitat ont entraîné son extinction.
Pourtant des proches de ce grand singe, comme l’orang-outan, sont toujours là, alors qu’ils ne vivent, eux aussi, que dans les forêts. Mais ils ont un métabolisme lent et sont capables de survivre avec peu de nourriture.
« En raison de sa taille, le gigantopithèque avait sûrement besoin d’une grande quantité de nourriture », a estimé le chercheur.
Or, au Pléistocène -de 2,58 millions d’années à 9 600 ans avant notre ère-, beaucoup de zones boisées se sont transformées en savanes herbeuses, « fournissant une alimentation insuffisante pour le singe géant », a souligné Hervé Bocherens.
Des expériences sont faites à Hawaï pour des simulations d’une colonie en milieu martien. Il semble que le groupe qui vit dans 11 mètres de diamètre fonctionne bien. Cependant, je ne suis pas certaine qu’à long terme, les résultats seraient les mêmes .. Surtout sur la planète Mars ou en cas de danger, de problèmes difficiles à surmonté, la Terre ne pourra pas vraiment réagir à temps
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Une simulation montre que vivre sur Mars ne sera pas si stressant
Le volcan Mauna Loa, à Hawaï (l’endroit où se passe la simulation de vie martienne) | Jon Roig via Flickr CC License by
Repéré par Christophe-Cécil Garnier
L’expérience scientifique permet de voir comment réagissent les différents membres de l’équipage dans une situation semblable à la vie sur la planète rouge.
Cela fait plus de 120 jours, depuis fin août 2015, que six scientifiques de la Nasa ont débuté une mission d’un an de simulation de vie sur Mars à… Hawaï. Celle-ci a pour but d’étudier comment les longs voyages spatiaux, une exploration martienne par exemple, peuvent influer sur le moral et le comportement.
C’est d’ailleurs la mission principale de Sheyna Gifford, une des membres de l’équipe, qui témoigne dans le magazine scientifique Nautilus. Elle est le médecin de l’équipe et, curieusement, les comportements sont pour l’instant différents de ceux auxquels elle s’attendait:
«Je garde un œil sur le stress interpersonnel et les faiblesses qui en résultent. Au lieu de cela, j’ai trouvé qu’il y avait eu une prise de conscience de l’interdépendance.»
Une habitation de onze mètres de diamètre
Les membres de l’équipe, note Sheyna Gifford, comptent parfaitement les uns sur les autres. Selon le médecin, le côté négatif de cette confiance mutuelle est l’apparition «surprenante» de moments de solitude quand quelqu’un se retrouve seul. Ce qui peut paraître étonnant lorsque le dôme dans lequel les scientifiques vivent mesure onze mètres de diamètre. Fort heureusement pour Sheyna Gifford, ces cas n’arrivent jamais lors de phases de travail (à l’inverse de l’asthénie, une sorte de fatigue psychique).
Car les autres membres de l’équipe travaillent aussi et simulent les conditions martiennes. Les scientifiques ne peuvent jamais sortir sans leurs combinaisons spatiales (même s’ils se trouvent sur les bords du volcan Mauna Loa), rappelait la BBC lors du lancement de la mission.
L’expérience d’isolation, la plus longue jamais tentée, va permettre de fournir des données cruciales à la Nasa pour les voyages spatiaux:
«Nous sommes largement mieux que des rats dans un labyrinthe», conclut Sheyna Gifford.