Tout ce qui reste à faire


L’être humain est compliqué ! On s’acharne à voir nos échecs, a espérer beaucoup plus de la vie et pourtant, tout au cours de la vie, nous avons fait des choses extraordinaires et qu’importe si la grandeur de l’exploit
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Tout ce qui reste à faire

 

 

“On ne fait jamais attention à ce qui a été fait ; on ne voit que ce qui reste à faire.”

Marie Curie

Réaction d’un chien maltraité, caressé pour la première fois


Priscillia est petite chienne battue et abandonnée dans un refuge de Roumanie. Elle souffre de véritable traumatisme dû aux violences qu’elle a vécues. Sa réaction aux premières caresses démontre toute la détresse et la peur de revivre les sévices. Seul le temps, la patience d’une dame est venue à bout de lui montrer qu’elle pourra vivre une vie normale
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Réaction d’un chien maltraité, caressé pour la première fois

Le Saviez-Vous ► La cloche du Saturnus toujours intacte


La bataille du St-Laurent est un épisode de la bataille de l’Atlantique qui de 1942 à 1944, pendant la Seconde Guerre mondiale. Cette cloche a pu être repêchée après l’attaque et dans ce temps-là, les objets étaient plus solides qu’aujourd’hui
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La cloche du Saturnus toujours intacte

 

La cloche du Saturnus qui a été repêchée en 1944

La cloche du Saturnus qui a été repêchée en 1944 Photo :  Augustin Packwood

La cloche du bateau néerlandais le Saturnus, qui a été coulé en 1944 par un sous-marin allemand est toujours intacte. Une pièce de collection qui attirera l’attention des férus d’histoire, notamment ceux qui s’intéressent à la bataille du St-Laurent.

Le 15 septembre 1944 à 4 milles nautiques au large de Cap-des-Rosiers, en Gaspésie, le sous-marin allemand U-517 lance quatre torpilles en direction d’un convoi.

Deux frappent la falaise et deux touchent la cible, dont le Saturnus. Quatre marins perdent la vie. Les rescapés ont débarqué à Cap-des-Rosiers.

Léo Packwood un pêcheur de Cap-des-Rosiers 1944

Léo Packwood un pêcheur de Cap-des-Rosiers 1944 Photo :  Augustin Packwood

Au même moment, plusieurs pêcheurs étaient au beau milieu du tumulte. Peu après, les pêcheurs sont retournés en mer. Plusieurs débris flottaient.

C’est à ce moment que Léo Packwood, aujourd’hui décédé, a repêché la cloche du Saturnus qui était bien vissée sur une planche de bois.

Il nous a été possible de prendre une photo de la cloche en question grâce à son fils Augustin.

« La cloche a été authentifiée. Mon père l’a prêtée pendant quelques années et elle a servi au vieux pont de Gaspé. Par la suite, il l’a récupéré et elle n’a plus servi » — Augustin Packwood fils de Léo

Rappelons que le chasseur d’épaves Samuel Côté et une équipe du Centre interdisciplinaire de développement en cartographie CIDCO ont récemment trouvé deux épaves au large de Cap-des-Rosier dont le Saturnus.

 

http://ici.radio-canada.ca/

Nez imprimé en 3D: un ado retrouve le sourire


Quand le visage est défait, les gens ont souvent tendance à s’isoler et quand cela arrive à l’adolescence, les conséquences sociales et scolaires peuvent en prendre un coup. C’est fantastique ce que la chirurgie réparatrice peut faire surtout avec la technologie de l’imprimante 3D
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Nez imprimé en 3D: un ado retrouve le sourire

 

Nez imprimé en 3D: un ado retrouve le sourire

Dallan Jennet et le docteur Tal Dagan.Capture d’écran Gentside

Grâce aux progrès des sciences et technologies, Dallan Jennet va enfin pouvoir vivre sa vie comme il l’entend. Cet adolescent de 15 ans, défiguré il y a 6 ans, a reçu avec succès une prothèse de nez conçue à l’aide d’une imprimante 3D.

Lorsqu’il avait 9 ans, le garçon a été grièvement brûlé en tombant sur une ligne électrique sous tension, près de son domicile en République des Îles Marshall, en Océanie. Ses blessures étaient tellement graves que la quasi-totalité de son nez lui a dû lui être retirée.

UNE RENCONTRE MARQUANTE

Lorsque le docteur Tal Dagan,de l’hôpital du Mont-Sinaï de New York a eu connaissance de son cas, en août 2014 lors d’un voyage dans les Îles Marshall, Dallan Jennet était dans une situation d’isolement préoccupante, pratiquement déscolarisé.

«Il était déprimé, juste assis là sur un rocher et regardant par terre. Il ne voulait pas me regarder», se souvient-il.

Quand il a fini par lever la tête, le médecin a été choqué de voir les déformations et cicatrices laissées par l’accident.

«C’était un préjudice psychologique terrible pour cet enfant», ajoute-t-il.

Avant le Dr Dagan, d’autres chirurgiens étaient passés voir le jeune adolescent mais aucun ne s’était avéré en mesure de l’aider.

«J’ai dit: si vous pouvez l’amener à  New York, je le ferai», raconte encore le médecin.

Moins d’un an plus tard, en juin 2015 à l’arrivée de l’adolescent, le Dr Dagan et ses collègues, experts en reconstruction faciale, avaient développé un protocole innovant pour aider Dallan: recréer un tout nouveau nez pour l’adolescent.

Dans un premier temps, les médecins ont conçu une prothèse sur mesure en tenant compte des traits de son bénéficiaire. Ils l’ont ensuite imprimée en 3D à partir de cartilages avec l’aide de la société Oxford Performance Materials. Ils espéraient ainsi créer le nez le plus naturel et fonctionnel possible pour l’adolescent mais restait une délicate étape: implanter le nouvel organe.

L’adolescent a été soumis à  cinq interventions chirurgicales. De plusieurs heures, les opérations ont consisté à  fixer la prothèse, la recouvrir de peau et à la relier au système sanguin. Les chirurgiens ont également utilisé des lasers pour transformer le tissu cicatriciel, de sorte à pourvoir l’utiliser pour revêtir l’intérieur du nez et redonner à Dallan le sens de l’odorat et du goût.

LE CAS «LE PLUS DÉLICAT»

Au final, le résultat a été à la hauteur des attentes et le garçon a enfin retrouvé le sourire. L’implant est permanent, flexible et n’aura pas besoin d’être changé au cours de la vie de Dallan.

«De tous les cas difficiles que j’ai eus, celui-ci était de loin le plus délicat», a confié le chirurgien. 

Cette conclusion heureuse n’a pas manqué de ravir les proches de l’adolescent et les internautes ayant participé financièrement aux soins et au voyage à  travers la campagne sur GoFundMe.

Les chirurgiens espèrent aussi que cette opération pionnière pourra aider d’autres patients.

«Cette procédure pourrait être une percée dans la reconstruction faciale», précise le Dr Dagan dans un communiqué paru sur le blog de l’hôpital. 

http://fr.canoe.ca/

Teint en violet, ce chaton a servi de jouet pour chien


Quel idiot peut donner un chaton comme jouet à un gros chien ? Pourquoi avoir coloré le poil de ce petit animal ? Heureusement, que ce chat prend du mieux et peut espérer un meilleur avenir
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Teint en violet, ce chaton a servi de jouet pour chien

 

chaton violet

Âgé d’à peine 7 semaines, un chaton victime d’atrocités a récemment été recueilli par un refuge californien…

Baptisé «Smurf» par le Nine Lives Foundation, refuge situé non loin de San Jose (Californie) qui l’a recueilli la veille de Noël, ce chaton est passé à un poil d’une mort atroce. Et pour cause, teint en mauve pour de biens obscures raisons, l’innocente petite boule de poils âgé de tout juste 7 semaines était le jouet… d’un gros chien !

Ce ne sont d’ailleurs pas moins de 20 blessures profondes qui ont été découvertes sur l’animal qui ne pesait, lors de son sauvetage, même pas 500 grammes. 

Pris en charge par l’organisme, lavé, rasé et traité par des antibiotiques, le chaton reprend désormais du poil de la bête. Il s’est même déjà fait de nombreux petits camarades

Par ailleurs, l’association a fait savoir sur son compte Facebook que l’adorable minou aux allures de schtroumpf sera prêt à être adopté dès qu’«il aura guéri complètement et que son poil aura repoussé.»

Par Deborah KoslowskiCrédits photo : Facebook – NINE LIVES FOUNDATION

http://wamiz.com/

Vers une interdiction des mannequins anorexiques


Je ne sais pas si c’est la solution pour diminuer les problèmes de l’anorexie, mais je pense que cela est une bonne initiative que de mieux contrôler les agences de mode qui préfère les mannequins qui ont des troubles alimentaires et qu’en plus d’interdire la promotion de l’anorexie. La France ne serait pas la seule à agir ainsi, d’autres pays ont emboité le pas. Espérons par contre, que ces mannequins visés auront de l’aide si nécessaire
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Vers une interdiction des mannequins anorexiques

 

PARIS – Le gouvernement socialiste français s’est prononcé cette semaine pour l’interdiction du recours aux mannequins dénutris et l’apologie de l’anorexie en dépit de réserves des agences de mannequins.

Ces mesures font l’objet d’amendements à un projet de loi sur la santé en débat à compter de mardi au Parlement français. Lundi, la ministre française de la Santé Marisol Touraine a annoncé qu’elle soutiendrait ces amendements.

«Oui je vais soutenir» cette initiative, a-t-elle dit à la chaîne BFMTV.

«Je trouve que quand on est mannequin, on doit s’alimenter et prendre soin de sa santé. C’est un message important en direction des jeunes femmes, des jeunes filles qui voient en ces mannequins des modèles esthétiques», a-t-elle précisé.

Le premier des deux amendements en question, déposés par le député socialiste Olivier Véran, vise à interdire aux agences de mannequinat le recours à des mannequins lorsqu’ils sont diagnostiqués en état de dénutrition. Le parlementaire propose de modifier le code du travail afin de contraindre les agences à produire pour chaque mannequin un certificat médical prouvant que son indice de masse corporelle (IMC) est supérieur à une valeur donnée. Tout contrevenant s’exposerait à une peine de six mois d’emprisonnement et à 101 000 dollars d’amende.

Le Syndicat National des Agences de Mannequins (Synam) représentant «une quarantaine d’agences», a regretté que «cet amendement qui semble tout ignorer des travaux parlementaires précédents, propose une approche (…) uniquement franco-française».

«Les agences de mannequins françaises sont en permanence en concurrence avec leurs homologues européens. En conséquence, une approche européenne est indispensable», a-t-il souligné dans un communiqué.

Certains pays comme l’Espagne, l’Italie, la Belgique, le Chili ou Israël ont déjà pris des dispositions législatives ou réglementaires sur ce sujet.

Le deuxième amendement créerait notamment un «délit de valorisation de maigreur excessive» et viserait à interdire les sites internet qui font «l’apologie de l’anorexie».

Olivier Véran estime qu’en France, «entre 30 et 40 000 personnes» souffrent d’anorexie mentale. «Ce sont des adolescents dans 90% des cas. L’impact social de cette image que véhicule la mode, où des femmes doivent être maigres à un niveau pathologique pour être belles et défiler, est très fort», selon ce député.

«C’est évident que c’est un fléau, tous les amendements qui aideraient à faire en sorte qu’on ne fasse pas la promotion de l’anorexie, c’est toujours bien», a réagi Gérald Marie, ancien directeur Europe de l’agence Elite aujourd’hui à la tête de l’agence parisienne Oui Management, interrogé par l’AFP. «Mais il faut éviter de mélanger les choses. Il y a l’anorexie et il y a des filles qui sont fines, très fines, par tempérament et vous pouvez les faire manger toute la journée elles resteront fines». «Il faut arriver à bien déterminer l’anorexie, et voir que c’est un problème psychologique, psychiatrique», a-t-il relevé.

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Une crème pour effacer les tatouages progresse vers la commercialisation


Quand on regrette un tatouage, il est difficile de s’en défaire. Bien sûr, il y a toujours le laser et la chirurgie, mais cela n’a pas toujours l’effet espéré et en plus, cela peut laisser des cicatrices en plus d’être cher. Mais un jeune homme croit réussir d’effacer les tatouages avec une simple crème qui pourrait être commercialisée bientôt
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Une crème pour effacer les tatouages progresse vers la commercialisation

 

Les travaux d’un chercheur en Nouvelle-Écosse qui met au point une crème effaçant les tatouages ont récemment franchi certaines étapes en vue de la commercialisation du produit.

Les tatouages dont les gens veulent se débarrasser ont donné naissance à toute une industrie. Le laser est une technique coûteuse et douloureuse, qui peut laisser des marques. La chirurgie laisse une cicatrice. En dernier recours, le temps fait pâlir le tatouage.

« On prend des décisions dans notre vie, mais le tatouage en général c’est permanent. Même si l’intensité diminue avec le temps, ça peut prendre 20, 30, 40 ans avant que ça disparaisse », souligne Jean-François Légaré, directeur de recherche à l’Université Dalhousie, à Halifax.

Il pourrait bientôt y avoir une solution de rechange: une simple crème qui fait disparaître l’encre sous l’épiderme. Il s’agit d’une découverte d’Alec Falkenham, un étudiant en médecine de l’Université Dalhousie. Il s’est aperçu que des macrophages pouvaient manger en quelque sorte l’encre logée dans les cellules de la peau, comme l’explique son directeur de recherche.

« Le produit qu’on met, c’est comme une petite crème transparente. Ça n’a l’air de rien, mais c’est des vésicules de lipides. C’est capable de traverser la peau sans irritation, sans problème », affirme Jean-François Légaré.

La solution est indolore et ne laisse aucune cicatrice, selon les chercheurs.

« Au lieu de prendre des années à diminuer la couleur ou l’intensité du tatouage, ça se passe en des semaines », ajoute M. Légaré.

La découverte du jeune chercheur âgé de 27 ans attire l’attention de la presse internationale, dont le Figaro, qui rapporte que des dermatologues français sont sceptiques. Mais Alec Falkenham vient de terminer l’étape de l’expérimentation et il est satisfait des résultats. Il dit qu’il y a encore place au progrès.

Le chercheur reçoit des courriels de gens qui demandent quand son produit sera offert en magasin. Alec Falkenham précise qu’il est est en train d’acquérir son brevet national. L’étape suivante sera la commercialisation. Il assure que le prix sera très abordable, quelques sous par centimètre de peau à traiter.

Si le produit remporte du succès, il pourrait bien être une petite mine d’or. Quoi qu’il en soit, les profits réalisés sur la vente du produit seront partagés avec l’Université Dalhousie qui a financé cette recherche.

D’après le reportage de Stéphanie Blanchet

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Syed Adam Ahmed, 6 ans, voyageur à haut risque d’Air Canada


Il me semble que si un nom se retrouve dans une liste de surveillance dans un pays, il devrait avoir certaines informations telles que la photo, date de naissance, etc. Cela éviterait que ce genre de situation arrive surtout quand le nom recherché est le même que celui d’un enfant
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Syed Adam Ahmed, 6 ans, voyageur à haut risque d’Air Canada

 

Sulemaan Ahmed et son fils Syed, qui se trouve sur la liste de surveillance d'Air Canada à six ans.

Sulemaan Ahmed et son fils Syed, qui se trouve sur la liste de surveillance d’Air Canada à six ans. Photo :  Avec la permission de Sulemaan Ahmed

Un texte de Philippe de Montigny

Difficile de voyager quand on partage le nom d’un homme reconnu coupable d’actes terroristes. C’est ce qu’a constaté la famille de Syed Adam Ahmed, un garçon de six ans de Toronto, qui se trouve sur la liste de voyageurs à haut risque d’Air Canada.

Syed Adam Ahmed a six ans. Il est né à Toronto, mais adore les Canadiens de Montréal. Il est d’ailleurs allé à Boston avec son père pour la Classique hivernale.

Un voyage de rêve qui a toutefois bien mal commencé.

À l’aéroport Pearson de Toronto, le petit Ahmed a été interpellé par la sécurité et a bien failli ne pas partir, parce que son nom se trouve sur la liste de surveillance d’Air Canada, raconte son père Sulemaan Ahmed.

« Ce n’est pas mon Canada, ça, ce n’est pas correct », dit-il.

C’est que son fils porte presque le même nom que Syed Harris Ahmed, reconnu coupable en 2009 d’avoir fourni un appui matériel à une organisation terroriste et condamné à 12 ans de prison par un tribunal américain.

La liste de surveillance d’Air Canada s’applique peu importe l’âge, ce qui a même surpris les agents de sécurité.

« Ils ne pouvaient pas croire qu’ils devaient appeler un bureau pour un enfant qui a six ans, qui est né au Canada, qui est Canadien, afin de vérifier qu’il n’est pas un risque », affirme Sulemaan Ahmed, le père d’Adam.

Selon la famille Ahmed, cette histoire se répète presque chaque fois qu’Adam prend l’avion. Ses parents en ont assez.

« C’est épuisant de toujours avoir à prouver l’innocence de son fils. Il est victime de discrimination parce qu’il est musulman », déplore Khadija Cajee, la mère d’Adam, qui estime que son fils est stigmatisé en raison de sa religion.

Ses parents veulent surtout lui éviter des situations embarrassantes à l’avenir.

« Nous avons peur de ce qui va arriver à notre fils quand il sera plus âgé et qu’il aura 15, 16, 21 ans  »— Sulemaan Ahmed, le père d’Adam

Air Canada affirme qu’elle ne contrôle pas la liste en question.

Le ministre de la Sécurité publique du Canada mènera une enquête pour savoir comment le nom du jeune garçon s’est retrouvé sur cette liste.

http://ici.radio-canada.ca/