La neige


Il faut bien que la neige arrive un jour, même si personnellement, j’aime mieux un hiver sans neige. Il faut penser aux conséquences de ce retard pour la faune et la flore et bien sûr ceux qui aiment l’hiver. Sans oublier que la neige est souvent féerique, avec ces gros flocons qui s’accrochent à nous, les diamants qui scintillent au soleil … et l’hiver peut être très poétique
Nuage

 

La neige

 

Et puis la neige s’est mise à tomber comme si toutes les gouttes de pluie avaient décidé de s’habiller en robre de mariée!

Anorak de Dionysos

Un Canadien en a vu de toutes les couleurs grâce à ses caméras de surveillance


Un habitant de la Colombie-Britannique a visionné un an ses vidéos prises par les trois caméras de télésurveillance extérieure autour de sa maison. Il a fait un condensé des passages les plus absurdes pour réaliser un montage d’une douzaine de minutes. Il s’en passe des choses dans une année ..
Nuage

 

Un Canadien en a vu de toutes les couleurs grâce à ses caméras de surveillance

 

Le Saviez-Vous ► 10 pires appels au 911


Le 911 a été instauré pour permettre a mieux cibler l’urgence et faire intervenir en priorité la police, ambulance, pompier ou autre, malheureusement, certaines personnes ne semblent pas comprendre l’importance de ne pas signaler le 911 pour n’importe quoi
Nuage

 

10 pires appels au 911

 

Un centre d'appels.

Un centre d’appels. Photo :  Radio-Canada

« Mon colocataire s’est servi de ma brosse à dents » : un des 10 pires appels au 911

Le plus grand centre des appels d’urgence de la Colombie-Britannique (E-Comm) a publié son palmarès des dix raisons les plus absurdes pour avoir composé le 911 en 2015.

Les « urgences » les moins urgentes signalées au 911 en 2015

1. Demander le numéro d’un concessionnaire automobile à proximité.

2. Signaler qu’une machine distributrice est défectueuse.

3. Réclamer le numéro de la ligne téléphonique pour non-urgence.

4. « Quelqu’un a stationné sa voiture trop proche de la mienne ».

5. « Mon fils refuse de mettre sa ceinture de sécurité ».

6. Signaler qu’un café « refuse de me donner une deuxième tasse de café ».

7. Demander si c’est permis de se stationner dans la rue.

8. « Mon colocataire s’est servi de ma brosse à dents ».

9. Réclamer de l’aide pour récupérer un ballon de basketball pris dans un arbre.

10. « Le système de ventilation dans mon immeuble fait trop de bruit et m’empêche de dormir ».

La porte-parole d’E-Comm, Jody Robertson, ne comprend pas comment autant de personnes ne savent pas qu’il faut seulement téléphoner au 911 en cas d’urgence.

« C’est un mystère. Des enfants de trois ans ont déjà sauvé des vies en plaçant des appels au 911, alors ils semblent comprendre », soutient-elle.

E-Comm reçoit quotidiennement jusqu’à 3400 appels provenant du Grand Vancouver, de la côte Sunshine, le district régional de Squamish-Lillooet et 21 autres communautés.

Mme Robertson tient à rappeler que lorsque les gens contactent le 911 pour des raisons non urgentes, ils mobilisent les ressources réservées aux résidents qui sont véritablement en détresse.

Définition d’une urgence selon E-Comm :

Une situation nécessitant une intervention immédiate de la police, des pompiers, ou des ambulanciers, car la santé, la sécurité, ou les biens de quelqu’un sont en danger ou encore parce qu’un crime est en cours.

http://ici.radio-canada.ca/

L’hiver, un tueur en série?


C’est donner un autre visage de l’hiver au Québec ! Vue de cette façon, il est vrai que l’hiver apporte nombres de soucis, d’accidents, de maladies et de morts. Cependant, l’hiver fait moins de victimes que les armes aux États-Unis, que les attentats, guerres, les saisons des tornades, inondations, et autres phénomènes naturels dans le monde
Nuage

 

L’hiver, un tueur en série?

 

Dans son livre «Guide de survie des Européens à Montréal» (Ulysse), l’auteur et conférencier Hubert Mansion parle de son expérience avec l’hiver au Québec. Cette saison, écrit-il, n’est pas seulement une source de petits tracas comme en Europe, mais une menace pleine de périls et de dangers.

Bref, pour les immigrants qui affrontent l’hiver du Québec pour la première fois, l’hiver québécois est un tueur en série. Et le pire, c’est qu’il y a une bonne part de vérité là-dedans.

Après la tempête du siècle du 4 mars 1971, plus de 11 cadavres ont été ramassés dans les rues de Montréal par les camions de déneigement, rapportaient les journaux de l’époque.

La neige qui tombe chaque hiver est une vraie menace publique. Au Canada, les souffleuses viennent au troisième rang pour les causes d’amputations, tout juste après les accidents de travail.

L’hiver n’est pas vraiment la saison romantique qu’on imagine. La période des grands froids, qui survient vers le début janvier, coïncide avec l’apparition de nombreuses maladies. Voilà qui explique pourquoi les Québécois meurent davantage en hiver. Au Québec, le nombre de décès par jour en juillet tourne autour de 154. En janvier, ce chiffre grimpe à 190. Un Québécois court 20% plus de risque de mourir en hiver que dans toute autre saison. Le premier colon français au Québec, Louis Hébert, est mort en hiver des suites d’une chute sur la glace. C’est tout dire.

En plus d’aggraver la sévérité de plusieurs types de maladies, l’hiver est aussi réputé pour être la saison des incendies. Plus la saison est froide et plus le nombre de victimes est grand. Les hivers plus froids que la moyenne, comme l’hiver 2014, le plus froid en 30 ans, sont davantage meurtriers. On n’a qu’à penser au drame de la résidence du Havre, près de Rimouski, où 32 victimes ont perdu la vie dans l’incendie d’un centre d’hébergement le 30 janvier 2014. Les conditions extrêmes de température et de poudrerie avaient même entravé le travail des pompiers.

À lui seul, le froid n’explique pas la plus grande mortalité dans la population en hiver. La pollution est plus nocive durant la saison froide. Les taux de concentration de polluants automobiles sont plus élevés et il y a davantage de smog selon Environnement Canada.
En hiver, le manque de soleil et d’activité physique contribue à dégrader la vitalité. Il y a aussi les maladies contagieuses, comme le virus de la grippe, dont les pics d’infections correspondent à l’arrivée des grands froids. Les taux de vitamine C et D, de calcium et de magnésium sont à la baisse en hiver. Ce manque de nutriments nuit à l’efficacité du système immunitaire.

On pourrait s’attendre à ce que l’hiver soit la saison la plus meurtrière sur les routes. Avec toutes ces tempêtes et ces millions de personnes affaiblies et déprimées au volant, sans compter les conditions du réseau, on pourrait le croire. Or, c’est le contraire. Le nombre d’accidents mortels diminue de 30 % en hiver selon les chiffres de Transport Québec. Les gens roulent moins vite et conduisent plus prudemment.

Malheureusement, cela n’est vrai qu’après la première tempête de l’hiver. En effet, les premières chutes de neige importantes de la saison ont toujours un effet démesuré. Non seulement dans les médias, mais aussi chez les automobilistes qui ne modifient pas leurs façons de conduire. C’est dans les premières semaines de l’hiver que le nombre de morts sur les routes est le plus élevé, avant que le froid et la neige s’installent pour de bon. Mais surtout, une fois que les gens sont acclimatés aux conditions météo et à la conduite automobile en hiver.

L’hiver est peut-être la saison de la Saint-Valentin et des amoureux, mais c’est aussi la saison des divorces. C’est en janvier que les demandes de divorce atteignent un sommet.

L’hiver est aussi la saison des caries, du diabète et des maladies cardiaques. Les ongles et les cheveux poussent moins vite en hiver. Après la peau, l’organe qui paye le gros prix en hiver est le cœur. Les maladies du cœur sont des maladies caractéristiques des pays aux hivers froids et neigeux. Le taux de mortalité de ce type de maladies, au Canada comme aux États-Unis et en Europe, grimpe chaque hiver pour atteindre un maximum en janvier et février. En fait, les crises cardiaques, angines et infarctus confondus, sont 30 à 40 % plus susceptibles de se produire en hiver que dans toute autre saison.

Partout dans le monde, les hivers sont plus difficiles pour le cœur et les artères. Aux États-Unis, les infarctus sont deux fois plus nombreux en janvier qu’en juillet. Même à Hawaii, les crises cardiaques augmentent en hiver. Mais heureusement pour les victimes, il n’y a pas de neige sur les routes pour ralentir les ambulances!

__________________________________________________________________

Les Baromètres humains (Éditions Québec-Livres). Un bilan pointu et fouillé des dernières études sur l’influence des conditions météorologiques sur la santé, les humeurs et les comportements. Trente ans de recherches. Des conclusions percutantes. Des contenus rigoureux et un ton léger. Et surtout, des conseils avisés pour vous garder hors de l’oeil de la tempête. Vous êtes sensibles aux variations de température, d’humidité et de soleil? Ce livre est pour vous! En librairie et en version électronique. Consultez le site Les Baromètres humains

http://quebec.huffingtonpost.ca/

À 4 ans, il survit après 30 minutes d’arrêt cardiaque


Peu importe l’âge, quand ce n’est pas son heure, il arrive des choses extraordinaires. 30 minutes en arrêt cardiaque et revient à la vie sans de graves séquelles, c’est beau la vie
Nuage

 

À 4 ans, il survit après 30 minutes d’arrêt cardiaque

 

Liam Aglat en soin intensif après avoir subi un arrêt cardiaque de 30 minutes. ©Véronique Aglat/Facebook

Liam Aglat en soin intensif après avoir subi un arrêt cardiaque de 30 minutes. ©Véronique Aglat/Facebook

Par Hugo Jalinière

Liam, un petit garçon de 4 ans a passé 1/2 heure en état de mort clinique avant que les réanimateurs de l’hôpital de Montréal ne parviennent à le ramener à la vie.

 

On serait tenté de parler d’un « miracle de Noël » si l’histoire n’avait pas eu lieu il y a déjà plusieurs mois, en mai 2015. Mais c’est ce 29 décembre 2015 que le Journal du Québec révèle l’histoire de Liam, 4 ans, revenu d’entre les morts après avoir subi un arrêt cardiaque d’une durée particulièrement longue. Le petit garçon est en effet resté en état de mort clinique pendant 30 minutes. 30 minutes durant lesquelles les réanimateurs de l’hôpital de Montréal ont pratiqué un massage cardiaque qui a maintenu un semblant de circulation sanguine jusqu’à ce que le cœur de l’enfant reparte. 

« L’enfant était décédé, mais son cœur a recommencé après 30 minutes », explique au Journal de Montréal le Dr Tanya Di Genova qui a participé à la réanimation de Liam.

Tout commence environ une semaine avant. Liam souffre de vomissements et autres symptômes laissant penser aux parents qu’il souffre d’une gastro-entérite. Au bout de trois jours, devant l’absence d’amélioration, ses parents le conduisent aux urgences où les médecins se montrent rassurants et confirment le diagnostic de gastro-entérite. Deux jours passent durant lesquels les difficultés du garçon à s’alimenter et à s’hydrater persistent.

« Il était super déshydraté et il n’allait pas à la selle. Alors on l’a ramené à l’hôpital ! » raconte la mère de Liam, Véronique Aglat.

Retour aux urgences donc où les médecins décident que la déshydratation de Liam nécessite de l’intuber.

Avec le stress, son cœur s’est complètement arrêté

C’est à ce moment que se produit l’arrêt cardiaque.

« Il était très fragile et très déshydraté. Avec le stress, son cœur s’est complètement arrêté », explique le Dr Di Genova

 Durant 1/2 heure, le massage cardiaque va offrir un sursis décisif à l’enfant dont le petit cœur finit par se remettre en marche. Reste à comprendre les causes de ce qui est arrivé à Liam.

Car en réalité, ce n’est pas une gastro-entérite dont souffrait Liam. Après des examens plus poussés, les médecins se sont aperçus que l’enfant était atteint d’une invagination intestinale aigüe. Une urgence chirurgicale due à une sorte de « télescopage » de l’intestin en lui-même. Autrement dit, une partie de l’intestin en pénétrant une autre. Lors de l’opération pratiquée en urgence, le chirurgien lui a retiré 40 centimètres d’intestin. Au total, Liam est resté hospitalisé plus d’un mois.

6 mois plus tard, le petit garçon s’en sort presque sans séquelles :

« Il parle lentement et il s’enfarge (se prend les pieds, ndlr) parfois quand il court, mais j’ai vraiment l’impression qu’il est en pleine forme. C’est aussi ça, le miracle », se réjouit la mère.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Les différences entre les introvertis et les extravertis, selon la science


Que nous soyons intravertis ou extrovertis tout se joue avec les neurotransmetteurs et le système nerveux. Pour ma part, je sais que je suis introvertie, mais quand je travaillais, bien intégré au groupe, c’était tout à fait le contraire ..
Nuage

 

Les différences entre les introvertis et les extravertis, selon la science

 

INTROVERTED

Je me tiens debout au beau milieu de la foule devant la scène miteuse d’un petit club. Mes deux amis, tous deux extravertis, m’encadrent et se balancent, le sourire aux lèvres, en rythme avec les fredonnements du chanteur indé. Je me suis bien amusée, mais, là, je rêve de rentrer chez moi pour retrouver mon lit. La musique forte, la foule compacte d’étrangers et les interminables discussions tout au long de la nuit m’ont épuisée. La soirée a été trop longue et trop intense, pour une introvertie comme moi.

Je préférerais savourer la solitude paisible de mon appartement. Rien que moi, sans le moindre bruit, peut-être un bon livre ou Internet pour m’aider à me recentrer et recharger les batteries après une telle dose de contacts. Mes amis extravertis, eux, pourraient sans doute rester et papoter encore longtemps après le rappel. Au moment de partir, ils se sentiront rechargés à bloc et n’auront pas besoin de période de récupération. Alors, pourquoi ma réaction est-elle à ce point différente de la leur dans une situation similaire? La réponse réside dans un certain nombre de différences-clés liées au fonctionnement du cerveau des introvertis.

La dopamine

L’une des différences majeures entre le cerveau des introvertis et celui des extravertis est la façon dont nous réagissons au neurotransmetteur qu’est la dopamine. Ce composé chimique nous pousse à chercher des récompenses extérieures, comme un salaire, une promotion, un partenaire ou un projet professionnel très convoité. Avec la dopamine, introvertis et extravertis se montrent plus bavards, plus attentifs à ce qui les entoure et prêts à prendre des risques et à explorer leur environnement.

La quantité de dopamine secrétée est la même chez un introverti et un extraverti. Tous deux en produisent la même quantité, mais les circuits de récompense activés par la dopamine ne réagissent pas de la même manière. Selon Scott Barry Kaufman, directeur de l’Imagination Institute, l’activité chimique serait plus importante dans le cerveau d’un extraverti.

À l’idée de récupérer le numéro de téléphone d’une personne qui nous plaît ou d’obtenir une promotion au travail, par exemple, les extravertis sont bien plus stimulés que les introvertis. Une poussée d’émotions positives les fait vibrer, alors que les introvertis se sentent plutôt débordés par leurs émotions.

Pour mes amis, le bruit et la foule des spectateurs font simplement partie du plaisir. En réalité, l’intensité de cette stimulation leur sert de signal : ils ont atteint leur objectif (la récompense étant les contacts humains et la fête toute la nuit). Pour moi, plus la soirée tire en longueur, plus le vacarme devient source de gêne, de fatigue, voire de souffrance, à mesure que grandit la saturation sensorielle.

L’acétylcholine, clé de la différence des introvertis

Dans l’ouvrage Quiet Kids: Help Your Introverted Child Succeed in an Extroverted World, Christine Fonseca explique que les introvertis préfèrent un autre neurotransmetteur, l’acétylcholine. À l’instar de la dopamine, l’acétylcholine intervient aussi sur le plaisir, à la différence qu’elle nous procure une sensation de bien-être pendant l’intériorisation. Elle décuple notre capacité à réfléchir, à méditer et à nous concentrer intensément sur une seule chose pendant une période assez longue. Elle aide aussi à comprendre pourquoi les introvertis apprécient les environnements calmes : il est plus facile d’intérioriser lorsqu’on ne subit aucun stimulus extérieur. Quand je me détends chez moi, en toute tranquillité, plongée dans un livre ou à regarder Netflix, je me délecte des effets de l’acétylcholine.

Des systèmes nerveux différents

Une autre explication pour assembler le puzzle de la différence entre introvertis et extravertis se situe dans le système nerveux, écrit le Dr Marti Olsen Laney dans son livre The Introvert Advantage: How to Thrive in an Extrovert World. L’acétylcholine est liée au système nerveux parasympathique, que l’on appelle aussi « SNAp » ou système vagal, responsable d’activités comme la digestion et le repos. Lorsque nous le sollicitons, notre organisme économise de l’énergie et nous nous coupons de notre environnement. Nos muscles se détendent, nous emmagasinons de l’énergie, nous digérons les aliments, nos pupilles se rétractent pour ne laisser passer qu’un minimum de lumière, le rythme cardiaque ralentit et la pression sanguine baisse. En gros, notre corps se prépare à l’hibernation et à la contemplation, deux phénomènes que les introvertis apprécient le plus.

Extravertis comme introvertis utilisent ces deux systèmes à différents moments et sollicitent tout autant les deux types de neurotransmetteurs. Mais, comme on pouvait s’y attendre, les extravertis ont tendance à favoriser l’autre partie de leur cerveau : le système nerveux sympathique ou orthosympathique, en charge des instincts de survie, comme la fuite, l’attaque ou l’immobilisation. Cette partie de l’encéphale nous encourage à faire de nouvelles découvertes et nous rend actifs, audacieux et curieux. Le cerveau, alerte, se concentre sur ce qui nous entoure. Les taux de glycémie et d’acides gras libres augmentent pour nous fournir davantage d’énergie, et la digestion ralentit. Notre capacité de réflexion est limitée et nous nous préparons à prendre des décisions très rapides. Alors que les extravertis se délectent des émotions positives générées par la dopamine lorsqu’ils sollicitent le système nerveux sympathique, les introvertis, comme moi, y voient un trop grand stimulus.

Les introvertis sont-ils asociaux?

Si vous vous méprenez sur l’introversion, vous pouvez penser que les introvertis sont asociaux, solitaires ou impolis. Pendant le concert, je me suis précipitée vers la porte d’entrée à la première occasion, abandonnant mes deux amis dans la salle. J’imagine qu’ils sont partis à contrecœur après la dernière chanson, une fois les lumières rallumées et après que le videur les a poussés dehors sans autre forme de procès. De mon côté, étant donné la façon dont fonctionne le cerveau des introvertis, il semble logique qu’après plusieurs heures de stimulation et de communication, j’aie éprouvé le besoin de m’isoler. Non pas que je n’apprécie pas les autres, mais les rapports sociaux me demandent plus d’efforts et me fatiguent plus vite que les extravertis. Bien installée à la maison, dans un environnement calme et familier, je me suis détendue et la pression est retombée. J’irai sans le moindre doute à un autre concert et je ressortirai avec des extravertis, mais seulement quand j’aurai pris le temps de me retrouver seule au calme pour me ressourcer. Et pas avant!

Cet article initialement publié sur le Huffington Post États-Unis a été traduit de l’anglais.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Les femmes paient plus cher que les hommes pour les mêmes produits, selon une étude américaine


Pour un produit similaire, les femmes paient plus cher que les hommes et ce même si c’est juste une couleur qui les différencient, cela peut aller même chez des jouets d’enfants
Nuage

 

Les femmes paient plus cher que les hommes pour les mêmes produits, selon une étude américaine

 

shopping beauty aisle

Par Al Donato

    Si vous achetez les produits de beauté publicisés « pour femmes », les chances sont bonnes pour que vous vous fassiez avoir.

    La raison est simple, les marchands vendent des produits destinés à un genre en particulier qui font, au final, la même chose.

    Une étude du New York City Department of Consumer Affairs a révélé que sur les 800 produits testés, ceux étiquetés « pour femmes » étaient 7% plus chers que ceux « pour hommes ». En moyenne, un produit féminin coûte plus qu’on produit pour hommes 42% du temps.

    Au rayon de la beauté, les articles pour femmes coûtent environ 13% plus que ceux pour hommes. Du côté des soins pour cheveux, la différence est beaucoup plus grande. Les produits pour femmes coûtent 48% de plus en moyenne que ceux pour hommes. Forbes a d’ailleurs rapporté qu’au courant de sa vie, une femme payait 1351$ de plus qu’un homme pour ses produits d’hygiène personnelle.

    gender pricing haircare

    « Parce que les produits de beauté et d’hygiène personnelle sont achetés à une plus grande fréquence que les autres articles de consommation, la différence de 13% se traduit en un important fardeau financier pour les femmes au courant d’une vie », rapporte l’étude.

    La mode n’est pas en reste, avec Club Monaco en tête des « criminels des prix genrés ». Leur section pour femmes est presque 29% plus dispendieuse que celle pour hommes.

    L’an dernier, une enquête de CBC Marketplace a aussi révélé que les femmes canadiennes étaient victimes de cette différence de prix.

    Les crèmes antirides vendues aux femmes sont parmi les produits à la différence de prix la plus élevée. Une crème antirides en particulier est vendue 14$ de plus pour les femmes que le même produit offert aux hommes.

    Alors, pourquoi les produits pour hommes coûtent moins cher? Peut-être parce que les produits pour hommes ne sont pas vus comme des produits pour hommes. Ravi Dhar, directeur du centre sur l’étude des consommateurs à l’école de gestion de Yale a affirmé au journal The Washington Post que les produits pour femmes sont généralement vus comme des articles de spécialité, créés pour combler leurs besoins, alors que les produits pour hommes sont vus comme « génériques ».

    « Les gens voient une meilleure approche vers leurs besoins et leurs goûts et sont prêts à payer plus », a indiqué Dhar.

    C’est peut-être le cas, mais le New York Department of Consumer Affairs a soutenu que les produits genrés sans raison obligeaient les consommateurs à acheter des produits spécialisés alors qu’ils auraient préféré un produit générique.

    « Les consommateurs n’ont pas le contrôle des textiles ou des ingrédients utilisés dans les produits qu’on leur vend et doivent faire des choix d’achat sur la base seule de ce qui est disponible en magasin, a rapporté le département. De ce fait, les choix faits par les manufacturiers et les détaillants causent un plus important fardeau financier pour les femmes. »

    Si c’est le cas, des options plus neutres qui ne sont pas destinées à un genre en particulier seraient une partie de la réponse. Déjà, les lignes de vêtements neutres, comme The Future Is The Future, à Toronto, offrent des options pour tous.

    Selfridges offre aussi un département pour des vêtements non-genrés et des détaillants comme & Other Stories ont lancé des publicités qui faisaient la promotion de vêtements qui ne se collaient à aucune norme.

    Les lois au Canada ne bannissent pas la discrimination de prix basée sur le genre. Avec aucun signe de parité en vue pour les consommateurs, ils devront créer leurs propres règles.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Une relaxation de dix minutes entretient la mémoire


On sait que la sieste peut être très salutaire, mais une simple pause de 10 minutes même éveillée est tout aussi bénéfique pour la mémoire
Nuage

 

Une relaxation de dix minutes entretient la mémoire

 

Une relaxation de dix minutes entretient la mémoire

© istock

parEmilie Cailleau

Pour une mémoire d’éléphant, prenez le temps de vous détendre. Une petite pause au calme suffit à préserver la mémoire dixit les scientifiques.

A l’heure où beaucoup rêveraient de pouvoir faire une micro-sieste au travail après le déjeuner, une étude britannique vient leur donner raison. Dans la revue Hippocampus, les chercheurs de l’université britannique Heriot-Watt vantent les bienfaits de faire des pauses pour préserver et entretenir la mémoire. Côté timing, pas besoin de se triturer les méninges pour trouver un créneau dans son emploi du temps chargé : dix minutes suffisent.

Cette découverte constitue une bonne nouvelle pour les petits dormeurs et insomniaques puisqu’elle démontre que le sommeil n’est pas le seul moyen de consolider de nouvelles informations. La relaxation tout en étant éveillé, se révèle aussi bénéfique qu’une nuit de sommeil. Surtout, cette étude prouve que le cerveau ne peut pas être constamment sollicité, et qu’il fonctionne mieux quand il peut se reposer. Pour booster sa mémoire facilement, il est recommandé, selon l’étude, de se placer dix minutes dans un endroit calme loin de toute distraction, sans ordinateur no téléphone portable.

Un repos bien mérité

« Beaucoup de gens pensent que le cerveau a besoin d’être constamment stimulé mais peut-être que ce n’est pas la meilleur solution », observe Michaela Dewar, auteure de l’étude, citée dans The New Scientist.

Dès lors, il serait vain et contre-productif pour les étudiants de vouloir réviser ses notes juste avant un examen. Il vaut mieux laisser le cerveau se reposer pour mieux digérer les connaissances.

Cette étude pourrait avoir des implications pour aider les personnes qui souffrent d’insomnie et de maladies qui affectent la mémoire, comme la maladie d’Alzheimer.

http://www.topsante.com/