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Ce n’est pas facile, mais possible !Les critiques  et les actes négatives nous affectent, mais c’est important de surpasser ce qui est négatif si cela nous détruit
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Victime

 

« Personne n’est une victime, jusqu’à ce que vos ennemis vous fassent croire que vous en êtes une. Autrement, comment pourraient-ils vous vaincre ? »

Barbara Marciniak

Le Saviez-Vous ► Combien de sport faut-il pour brûler la malbouffe ?


Un petit échantillon de malbouffe et le nombre de minutes d’exercices cardio qu’il faudrait pour éliminer les calories. Le plus gros problème quand on mange de la malbouffe, c’est qu’on ne se contente que rarement d’un seul mets mais d’une ensemble d’aliments qui n’est déjà pas très sain pour nous
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Combien de sport faut-il pour brûler la malbouffe ?

 

Après avoir craqué pour nos aliments préférés, l’essentiel est de ne pas s’affaler sur le canapé, mais de mettre nos baskets et de faire de l’exercice

Parce qu’on a beau se dire qu’on va faire attention et ne pas manger n’importe quoi, on sait déjà qu’on va avoir du mal à résister au foie gras et à la bûche au chocolat. Sans parler du jour de l’An, des flots d’alcool et du fast food le lendemain pour se remettre d’aplomb.

Si vous vous demandez combien de séances de course à pied et combien d’heures de zumba sont nécessaires pour venir à bout de toutes ces calories, c’est votre jour de chance. Car la société britannique Buddy Loans a publié une infographie apportant des informations concrètes à ce sujet.

25 minutes pour une pinte

En partant du principe que l’apport quotidien recommandé est de 2 000 calories pour les femmes et 2 500 pour les hommes, et que ces derniers arrivent à les brûler plus rapidement que les femmes, voici le rapport calories/sport proposé :

– Pour un Big Mac, qui contient environ 500 kcal, les hommes doivent compter 42 minutes de cardio et les femmes 51 minutes.

– Pour une portion de frites, soit près de 300 kcal, les hommes ont besoin de 40 minutes de cardio et les femmes 48 minutes.

– Pour trois portions de poulet frit de la chaîne KFC, qui représentent environ 730 kcal, il faudra compter 63 minutes d’exercice pour les hommes et 75 pour les femmes.

– Pour une barre de chocolat au lait de 45 grammes ou pour une pinte de bière, soit 240 kcal, il faut 21 minutes de cardio pour les hommes et 25 minutes pour les femmes.

Cette infographie, explique le site britannique The Independent, a été réalisé après la publication d’une étude selon laquelle la malbouffe a été accusée injustement d’être la seule cause de l’obésité. Les chercheurs expliquent que c’est l’activité sédentaire et une consommation insuffisante d’aliments sains qui nous font prendre du poids, et pas seulement les aliments gras et sucrés. 

http://www.santemagazine.fr/

Cancer : un garçon de 9 ans bénéficie d’une congélation de tissu testiculaire


Généralement en cas de traitement contre le cancer qui peut rendre des hommes stériles, il est possible de congeler les spermatozoïdes pour être utilisé plus tard pour fonder une famille, mais pour un enfant prépubère, les spermatozoïdes n’ont pas atteint la maturité. A stade expérimentale, les médecins prélèvent un peu des tissus testiculaires dans le but de les congeler pour espérer que l’enfant adulte puisse avoir des enfants
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Cancer : un garçon de 9 ans bénéficie d’une congélation de tissu testiculaire

 

Cancer : un garçon de 9 ans bénéficie d'une congélation de tissu testiculaire

© iStockPhotos

Un garçon de neuf ans souffrant d’une tumeur au cerveau est devenu le premier au Royaume-Uni à bénéficier d’une congélation de tissu testiculaire pour être en mesure d’avoir des enfants plus tard.

Le prélèvement et la congélation de tissu testiculaire est une des techniques de préservation de la fertilité disponibles pour conserver la possibilité d’avoir un enfant plus tard. Les garçons prépubères atteints d’un cancer sont particulièrement concernés par cette technique car les chimiothérapies sont potentiellement toxiques pour leur appareil reproducteur mais il n’est pas possible de recueillir des spermatozoïdes matures. Il est donc proposé de prélever et de congeler du tissu testiculaire.

Comme l’explique l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm),  « l’objectif est d’utiliser ces échantillons de tissu pour réaliser une maturation in vitro des cellules germinales immatures qu’ils contiennent. Une autre possibilité est de réimplanter le tissu prélevé à l’issue du traitement toxique ».

Un jeune britannique de 9 ans souffrant d’une tumeur au cerveau est ainsi devenu le premier garçon de Grande-Bretagne à bénéficier de la congélation de tissu testiculaire dans l’espoir d’avoir des enfants lorsqu’il sera adulte. Cette opération est encore expérimentale et aucun enfant n’est encore né de tissu testiculaire congelé. Mais elle est similaire à l‘autogreffe de tissu ovarien, qui a déjà permis à une femme sur trois transplantée de tomber enceinte.

Au cours de l’opération chirurgicale réalisée sous anesthésie générale, les chirurgiens ont enlevé un morceau de tissu testiculaire de l’un des testicules du jeune garçon contenant des cellules souches de spermatozoïdes. L’opération a duré une trentaine de minutes et l’enfant était de retour chez lui deux jours plus tard.

http://www.topsante.com/

Une voleuse de chat… prise la main dans le sac !


Une voleuse repentie de son vol dans une animalerie, elle avait été filmée par la caméra de surveillance et la propriétaire avait posté sur Facebook. On voyait bien le visage de la voleuse. Au lieu d’appeler la police, elle a préféré laisser une chance à la dame pour reporter le chat ou payer 1000 dollars avant un temps fixé
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Une voleuse de chat… prise la main dans le sac !

 

L’animalerie Bill et Bull de Saint-Nicolas (Québec) a été, lundi, le théâtre d’une scène bien étonnante : une femme y a dérobé un chat ! Mais suite à un ultimatum posté par la gérante sur Facebook, la coupable a fini par se rendre mercredi.

Incroyable mais vrai : lundi, c’est sans payer qu’une jeune femme est sortie d’une animalerie, chat sous le bras. Et ce n’était pas n’importe quel matou ! L’objet de son larcin au sein de l’animalerie Bill et Bull de Saint-Nicolas (Québec) n’était autre qu’un adorable chaton Sphynx, d’une valeur de 1000$ canadiens (soit 628,29€).

Mais loin de se laisser abattre, la gérante de l’établissement a très vite riposté en postant sur la page Facebook de son enseigne la vidéo de surveillance sur laquelle on voit la voleuse s’emparer de la cage.

Par ailleurs, comme le rapporte Le Journal de Québec, celle-ci aurait sommé dans son post la truande de lui rapporter l’animal ou alors, de payer la facture de celui-ci avant mercredi 21h faute de quoi, les autorités seraient alertées. Et ça a marché !

Des regrets et une parole

C’est sur l’heure du déjeuner que, ce mercredi 23 décembre, la chipeuse est revenu sur les lieux de son crime. Et pour cause, elle y a réglé la totalité de son dû.

«Elle m’a dit qu’elle veut bien s’occuper du chat. Je lui ai donné le carnet de santé et quelques conseils», a quant à elle indiqué la propriétaire, qui a admis qu’elle aurait tout de même préféré que le chat lui soit rendu.

Et si la jeune femme a assuré qu’elle regrettait «énormément» son geste, la gérante – elle – n’a eu qu’une seule parole. Faute avouée, à moitié pardonnée : elle n’a pas déposé plainte contre sa voleuse.

http://wamiz.com/

Alerte aux appareils dentaires bricolés !


C’est quoi l’idée ? Faire n’importe quoi sans penser aux conséquences, c’est ce que certains jeunes suivent des tutoriels de fabrication d’appareils dentaires avec des élastiques risques de perdre leurs dents et avoir des infections aux gencives
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Alerte aux appareils dentaires bricolés !

 

Sur Internet, des ados proposent leurs bricolages pour éviter les longs et coûteux traitements d'orthodontie. © capture YouTube

Sur Internet, des ados proposent leurs bricolages pour éviter les longs et coûteux traitements d’orthodontie. © capture YouTube

Par Sylvie Riou-Milliot

Des tutoriels de fabrication d’appareils dentaires avec des élastiques se développent sur Internet. La Fédération française d’orthodontie alerte sur les dangers de ce « bricolage » dentaire…

ORTHODONTIE. Non, un appareil dentaire ne se fabrique pas soi-même ! La Fédération française d’orthodontie (FFO) alerte contre des pratiques venues d’outre-Atlantique, un comportement dangereux qui peut aboutir à la perte des dents ! La faute en revient à la mode du « do it yourself »! Depuis quelques mois, des tutoriels de fabrication d’appareil dentaire font en effet fureur sur le web. Des adolescents y proposent leurs bricolages avec des élastiques utilisés normalement pour le port des bagues censés resserrer ou aligner les dents, le tout sans avoir recours aux longs et coûteux traitements d’orthodontie.

Le phénomène, né aux Etats unis et en Asie, arrive donc en France.

Selon le Dr Jean-Baptiste Kerbrat, médecin stomatologue à l’hôpital Pitié-Salpêtrière et orthodontiste membre de la FFO, « nous avons récemment reçu en consultation un jeune homme de 12 ans qui a perdu ses deux dents après les avoir entourées d’un élastique pour tenter de refermer l’espace entre les deux ».

La fausse bonne idée consiste donc à placer un élastique autour des deux dents concernées par exemple afin de les resserrer.

Un risque d’infection de la gencive

Selon la FFO, les dangers de ces pratiques sont réels et loin d’être négligeables. L’adolescent risque en effet une infection de la gencive, mais aussi que les dents ne se déplacent pas dans le bon sens. Pire encore, l’élastique risque de remonter le long des dents, de pénétrer dans la gencive et d’entraîner le déchaussement des dents, celles-ci n’étant plus retenues par l’os. Et la FFO de rappeler que l’orthodontie n’est ni un jeu, ni une mode, mais une spécialité médicale qui doit être exercée par des praticiens qualifiés. Avis aux bricoleurs…

http://www.sciencesetavenir.fr/

La banane menacée de disparition


Ce n’est pas la première fois qu’on annonce la mort de la banane la plus consommée en Occident. La Cavendish était résistante à la maladie de Panama, mais la mutation de cette maladie met la banane en danger et plusieurs pays sont ravagé par ce champignon.
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La banane menacée de disparition

 

Si la maladie de Panama qui détruit les... (PHOTO ÉDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE)

Si la maladie de Panama qui détruit les plantations devait sévir en l’Amérique latine, la banane Cavendish pourrait disparaître à jamais.

PHOTO ÉDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

STÉPHANIE BÉRUBÉ

La Presse

La survie de la banane telle qu’on la connaît dans les supermarchés occidentaux est sérieusement menacée. Détails d’un assaut (qui n’a pris personne par surprise) et portrait d’un ennemi bien connu des autorités.

La banane consommée par les Occidentaux est la Cavendish. Depuis quelques années, plusieurs plantations de l’Australie, de l’Asie et même de l’Afrique ont été frappées par la maladie de Panama, qui détruit tout sur son passage. Si la maladie devait attaquer les plantations de l’Amérique latine, où est produite la majorité des Cavendish, cette belle banane jaune pourrait disparaître à jamais.

Description du suspect

C’est à Cuba, en 1910, que le responsable de la maladie de Panama a été formellement identifié: il s’agit du Fusarium oxysporum f. sp. cubense. L’épidémie qui détruit actuellement les plantations de Cavendish est toutefois une mutation de la maladie de Panama, le TR4. Ce champignon est redoutable puisqu’il peut rester dans le sol très longtemps et voyage avec la terre, sur des équipements agricoles ou même sur les chaussures des travailleurs. Il ne s’attaque qu’aux bananiers, mais les laisse dans un piteux état: l’intérieur de la plante est en bouillie et dégage une odeur fétide.

Crimes précédents

«La meilleure approche pour limiter la migration du TR4 est d’établir des protocoles qui préviendront ou retarderont sa propagation dans de nouvelles régions», explique Augustin Molina, du groupe de recherche Biodiversity International.

La maladie de Panama a déjà frappé durement: elle a pratiquement rayé de la carte la banane Gros Michel, il y a 60 ans. La Gros Michel était alors la banane préférée des Occidentaux. Cette extinction a laissé la voie libre à la Cavendish, qui est alors devenue la banane d’exportation de choix, puisqu’elle était résistante à une première forme de la maladie de Panama.

Lent parcours

À la fin des années 60, c’est à Taiwan que la maladie de Panama est réapparue, s’attaquant cette fois… à la banane Cavendish. Il a quand même fallu quelques années avant de l’identifier. Plus tard, durant les années 90, le champignon a frappé les bananes Cavendish d’Indonésie et de Malaisie, puis attaqué les plantations australiennes. On l’a repéré au début des années 2000 aux Philippines et, depuis deux ans, à l’extérieur de l’Asie, en Jordanie, au Pakistan et au Liban. Cette année, le Mozambique a signalé l’arrivée de la maladie dans ses plantations.

Chronique d’une mort annoncée

En janvier 2003, un article publié dans le New Scientist prédisait la mort de la banane Cavendish 10 ans plus tard. La maladie de Panama frappait alors en Afrique du Sud et l’on estimait que le parasite allait trouver le moyen de se rendre jusqu’en Amérique latine, où poussent les plus importantes plantations de Cavendish.

«Je ne crois pas que la Cavendish va s’éteindre complètement», nuance Augustin Molina, qui croit que certains scientifiques profitent de la propagation de la maladie pour prédire un «bananageddon» et subtilement faire la promotion du développement d’une banane transgénique.

Conséquences désastreuses

On oublie parfois que la banane est une denrée essentielle dans plusieurs pays en développement, dit le professeur Gert Kema, de l’Université de Wageningen, aux Pays-Bas, et coauteur d’un article sur la maladie de Panama publié dans le journal Plos Pathogens le mois dernier. Il y a peu d’investissements en recherche pour mettre au point des variétés plus résistantes.

«Les ressources sont très limitées, dit-il, surtout si on les compare à celles d’autres cultures.»

Et c’est ce qui fait qu’on se retrouve sans banane d’exportation de remplacement, à minuit moins une.

Défi technique

La création d’une banane hybride est compliquée, et si on n’a pas réussi à imposer une variété sur le marché, ce n’est pas faute d’avoir essayé. Les bananes Cavendish ont beau avoir une forme inspirant de bonnes blagues grivoises, elles sont stériles.

«La Cavendish commerciale n’a pas de graines, explique Augustin Molina. Plusieurs variétés produites par les fermiers autour du monde, même celles pour consommation locale, n’ont pas de graines.»

Cela complique grandement la vie des créateurs de variétés hybrides.

Proie facile

La plupart des bananes du monde sont consommées localement: seulement 15% de la production est destinée à l’exportation. Par contre, cette petite partie est pratiquement totalement constituée de Cavendish. En accaparant tout le marché d’exportation, on a mis en place des plantations de monoculture qui rendent la vie bien facile à un parasite qui peut faucher une plante après l’autre, toujours la même. Il existe des centaines de variétés de bananes dans le monde, mais contrairement à d’autres fruits et légumes, comme les pommes ou les pommes de terre, les épiceries nord-américaines ne tiennent généralement que la Cavendish.

http://www.lapresse.ca/