En commun


L’être humain appartient à une seule race et nos besoins essentiels sont les mêmes aux quatre coins de la Terre
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En commun

 

« Notre point commun le plus basique, est que nous habitons tous cette planète. Nous respirons tous le même air. Nous chérissons tous le futur de nos enfants. Et nous sommes tous mortels. » –

John F. Kennedy

Des lits qui se transforment en cercueil en cas de séisme !


Wang Wenxi, un retraité chinois de 66 ans vient de sortir son invention qui peut être très pratique pour la population chinoise. Un lit-séisme qui se transforme en cercueil quand les premières vibrations d’un tremblement de terre se font sentir. En fait, c’est comme un coffre qui se ferme pour se protéger et à l’intérieur des réserves d’eau et trousse de secours, aliments, et autres articles pour survivre en attendant les secours
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Des lits qui se transforment en cercueil en cas de séisme !

 

Le Saviez-Vous ► Lamas gardes du corps, souris agents de sécurité… Au boulot, les animaux!


Les animaux sont doués et parmi eux, ils peuvent rendre service à l’homme dans divers domaines
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Lamas gardes du corps, souris agents de sécurité… Au boulot, les animaux!

 

Un lama de garde | Alasdair McLellan via Wikimedia CC License by

Un lama de garde | Alasdair McLellan via Wikimedia CC License by

Repéré par Vincent Manilève

Et ils occupent bien souvent des jobs potentiellement très importants.

Après les robots, va-t-on accuser les animaux de voler le travail des humains? Car si on se penche un peu sur la question, on s’aperçoit vite que certaines espèces animales accomplissent de vrais métiers, parfois rémunérés pour leur maître.

Par exemple, pour prendre un animal au hasard, le chat. La plus célèbre d’entre eux, devenue star du web en raison de son air colérique, s’appelle Grumpy Cat. Et bien grâce à sa popularité, elle et son maître ont pu engranger plus de 100 millions de dollars en contrats commerciaux pour l’année 2014. Un métier de rêve donc.

Nitama, le chef de gare japonais

Mais comme l’explique aujourd’hui CNN, d’autres chats à travers le monde, moins connus, sont également entrés dans le monde du travail. On peut ainsi citer le chat Olly, la mascotte de l’aéroport de Manchester, décédée l’été dernier, ou Nitama, un chat nommé chef de gare à la station Kishi en août dernier.

Bien sûr, les chats ne sont pas les seuls à bénéficier de leurs entrées dans le monde du travail. Leur fonction peut aussi s’avérer déterminante pour la sécurité des humains.

Chèvre, «l’outil alternatif»

L’aéroport de Portland a par exemple décidé de se soucier de l’environnement en abandonnant les tondeuses à gazon et en employant des chèvres pour prendre soin de ses espaces verts.

«Les chèvres sont un outil alternatif viable pour les zones où le temps n’est pas un problème, où les machines ne sont pas une option, où la végétation est épaisse et profonde et/où la sécurité des travailleurs peut être un problème», explique à CNN la porte-parole de l’aéroport Kama Simonds.

Le même aéroport a employé des lamas pour jouer aux gardes du corps et protéger les chèvres contre un danger bien réel, les coyotes.

Toujours dans les aéroports, mais avec une mission encore plus importante: la firme de sécurité israélienne Tamar a développé un système de détections des explosifs… à l’aide de souris entraînées pour les détecter. L’entreprise les équipe de capteurs et suit les variations de leurs battements de cœur pour trouver d’éventuels bagages suspects. Récemment, la mort de Diesel lors de l’assaut de Saint-Denis a aussi rappelé le rôle joué par les chiens là aussi plutôt en complément.

Enfin, on peut citer, dans le domaine de la santé et de la prévention, le rôle des abeilles dans la lutte contre la drogue.

 CNN raconte, en citant une étude allemande, que les insectes volants pouvaient être entraînés pour «fuir l’odeur dégagée par les stupéfiants. L’avantage dans l’utilisation des abeilles par rapport aux chiens est qu’elles sont plus faciles à entraîner et serait plus rentables». 

http://www.slate.fr/

Si, si, le slacktivisme peut avoir un réel impact


Manifester en ligne contre les problèmes de ce monde devant son ordinateur, ne serait pas du temps perdu, surtout qu’avec Internet, on se rend plus vite compte de ce qui se passe et combien de fois, l’opinion publique mondiale a pu faire avancer d’un pas les choses
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Si, si, le slacktivisme peut avoir un réel impact

 

Woman at Occupy Wall Street | Timothy Krause via Flickr CC License by

Woman at Occupy Wall Street | Timothy Krause via Flickr CC License by

Repéré par Grégor Brandy

Manifester depuis son canapé n’est peut-être pas si inutile ni contre-productif.

Le slacktivisme est régulièrement décrié pour sa supposée inutilité et sa façon de donner bonne conscience à des dizaines de personnes qui pourraient faire quelque chose de plus«constructif» à la place. Le slacktivisme, c’est cet activisme fainéant qui consiste à signer une pétition, relayer des événements sur les réseaux sociaux…, tranquillement, dans son canapé, le tout dans le but de changer le monde –ou en tout cas d’influer sur une situation.

Une nouvelle étude menée par deux chercheuses d’universités américaines qui se sont intéressées au mouvement Occupy, en 2011, aux États-Unis, et à ceux de 2013, au parc de Gezi, en Turquie, et qui est relayée par Quartz, assure que

«ceux qui n’étaient pas directement impliqués dans les manifestations, ainsi que ceux qui ont juste retweeté un message une fois, ont créé des contenus virtuels, “à des niveaux comparables de ceux des participants du cœur de la manifestation”».

En fait, explique le site internet américain, «les chercheurs ont découvert que le pouvoir de ce “slacktivisme” réside dans le nombre d’utilisateurs impliqués dans ces causes en ligne. L’effet de réseau créé par cet engagement a rendu les actions de quelques manifestants actifs visibles aux yeux de millions de personnes, partout dans le monde».

Médiatisation

Cela va donc à l’inverse de ce qu’avançait le chercheur Evgeny Morozov, en 2009 –soit deux et quatre ans avant les deux évènements analysés– mais aussi plus loin que l’analyse qu’en avait faite Nicholas Kristof dans le New York Times en septembre:

«Envisagez le slacktivisme comme un produit de substitution. Il expose des causes aux gens et parfois il les rend accros. Et même si cela ne résout pas toujours les problèmes, cela a tendance à faire prendre conscience aux gens de l’existence de ces crises –un pas nécessaire, mais pas suffisant, pour les résoudre. Dans n’importe quel cas, le slacktivisme est préférable à l’inaction. […] Arrêtez de lever les yeux au ciel. Longue vie au slacktivisme!»

Comme l’indiquait l’Unicef dans sa campagne vidéo, en 2013, il est fort probable que le slacktivisme ne sauvera aucune vie directement mais, au vu des résultats de l’étude, il peut aider à faire connaître cette cause et la médiatiser.

Quartz rappelle par ailleurs qu’une autre étude publiée en 2012indiquait que

«ceux qui soutenaient ces mouvements en ligne, avait plus de chance de s’impliquer dans de l’activisme dans “la vraie vie”».

http://www.slate.fr/

Quand Harrison Ford se moque de Trump


C’est rassurant de voir que des comédiens américains reconnus partout dans le monde tel qu’Harrison Ford, ne semblent pas être impressionné par le milliardaire Donald Trump qui veut devenir le prochain Président des États-Unis. Bien au contraire, il semble excédé par ce candidat
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Quand Harrison Ford se moque de Trump

 

«C’est un film, Donald!»: une vidéo de l’acteur Harrison Ford se moquant de Donald Trump, le candidat républicain à la présidentielle américaine, après qu’il eut loué son patriotisme dans le film «Air Force One», faisait le buzz sur internet vendredi.

Dans l’émission «Studio 10» mercredi, Harrison Ford réagissait à de récents propos du milliardaire déclarant qu’«Air Force One» était son film préféré de l’acteur.

«J’adore Harrison Ford (…). Il s’est battu pour l’Amérique», avait déclaré le magnat de l’immobilier.

Dans le film sorti en 1997, Ford incarne le président des États-Unis qui voyage dans un avion détourné et qui finit par éjecter l’intrus.

«C’est un film, Donald! C’était un film», a lancé, sarcastique, Harrison Ford en regardant droit dans la caméra.

«Ce n’est pas comme ça dans la vraie vie. Mais comment le saurais-tu?», ajoute le comédien d’un air excédé.

«Alors il ne va pas seulement vivre là, il veut être aux manettes? Non, je ne crois pas», a conclu, l’air dubitatif, le comédien.

Donald Trump a fait scandale ces derniers jours en déclarant que les musulmans devraient être interdits d’entrée aux États-Unis, après avoir notamment déjà dit qu’il voulait expulser les millions d’immigrés en situation irrégulière aux États-Unis.

La vidéo de l’interview faisait partie des sujets les plus vus et cités sur le réseau social Facebook vendredi, et a été visionnée des centaines de milliers de fois sur YouTube.

http://www.tvanouvelles.ca/

Un hiver chaud, est-ce normal?


C’est bizarre qu’au mois de décembre, qu’il n’y a pas de neige. À pareille date, j’ai des photos de ma petite fille qui était émerveillée par la neige. Les changements climatiques jouent un rôle, mais El Niño est un phénomène qui s’ajoute à cette température inhabituelle pour nous au Québec
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Un hiver chaud, est-ce normal?

 

 

C’est en partie à El Niño que Montréal, Toronto, Ottawa et Sherbrooke doivent le record de chaleur qui a été battu vendredi au mercure. Dans ces villes, la température oscillait entre 13 et 14 degrés Celsius.

Il est normal d’avoir des températures douces en période El Niño, rappelle le météorologue de Radio-Canada, Pascal Yiacouvakis. Or, le phénomène naturel – plus accentué encore qu’à l’habitude – se démarque cette année. Dans l’ouest du pays, dans les Prairies par exemple, il devrait y avoir aussi du temps plus doux, ce qui n’est pas le cas à l’heure actuelle.

« On n’observe pas le patron typique d’El Niño dans les vents de haute atmosphère », souligne le météorologue, évoquant un vaste creux dans le courant-jet sur la côte du Pacifique. « Par conséquent, dans l’est du pays, on a une crête qui se balade et les perturbations qui filent au nord. Et quand les perturbations filent au nord, l’air doux qu’on a sur les États-Unis se propage jusqu’au Québec et en Ontario, et en partie dans les Maritimes, d’où les températures plus élevées », explique-t-il.

Même si les deux derniers hivers ont été froids au Québec, le météorologue rappelle que les précédents hivers ont été tardifs. Une tendance qui va d’ailleurs devenir de plus en plus lourde, notamment en raison des changements climatiques, souligne-t-il.

Le présent hiver s’inscrit dans cette tendance, à la différence près qu’El Niño joue « un rôle complémentaire ».

Sous le soleil

À Montréal, la journée de vendredi a permis de battre de près de 5 degrés Celsius le record datant de 1952, qui s’élevait à 9,4. Un vif contraste avec l’an dernier où, à pareille date, la métropole se relevait d’une grosse tempête de neige.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Aux États-Unis, on prescrit de plus en plus d’antidépresseurs aux bébés


Je ne suis pas médecin, je sais qu’aujourd’hui, les parents ont des difficultés à gérer le comportement de leurs enfants, mais de là à prescrire des antidépresseurs et des antipsychotiques à des enfants de bas âge est inquiétant.
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Aux États-Unis, on prescrit de plus en plus d’antidépresseurs aux bébés

 

À Baltimore I REUTERS/Kevin Lamarque

À Baltimore I REUTERS/Kevin Lamarque

Repéré par Claire Levenson

Les enfants de moins de 2 ans sont davantage sujets à d’inquiétantes prescriptions.

Aux États-Unis, lorsque des bébés de moins de 2 ans ont des comportements violents ou font des crises difficiles à gérer, il est de plus en plus fréquent que des médecins leur prescrivent des antipsychotiques ou des antidépresseurs.

Selon des chiffres publiés dans le New York Times, près de 20.000 prescriptions pour des médicaments antipsychotiques comme le rispéridone (Risperdal) ont été rédigées en 2014 pour des enfants de moins de 2 ans. Selon le groupe de consulting médical IMS Health, il s’agit d’une augmentation de 50% par rapport à 2013. De même environ 83.000 prescriptions pour l’antidépresseur Prozac ont été données à des bébés du même âge, soit une augmentation de 23% par rapport à l’année dernière.

Approuvés pour les plus de 8 ans seulement

Ces chiffres ne veulent pas dire que 83.000 enfants ont reçu ces prescriptions, car les données ne prennent en compte que le nombre de prescriptions et certains enfants peuvent en recevoir plusieurs. Mais selon IMS Health, ce genre de médicaments a été prescrit à au moins 10.000 enfants aux États-Unis.

Selon des données publiées en février dans le Wall Street Journal, près de 250.000 bébés de moins de 1 an ont également reçu des prescriptions pour des anxiolytiques comme le Xanax.

Les experts en psychiatrie interviewés par le New York Times se sont dits étonnés de ces chiffres, dans la mesure où ces médicaments ne sont officiellement approuvés que pour les enfants de plus de 8 ans. Il n’y a aucune étude sur l’effet qu’ont les antidépresseurs et les antipsychotiques sur les moins de 2 ans. Certains experts se demandaient même si les enfants prenaient vraiment ces médicaments, ou si les prescriptions n’étaient pas en fait utilisées par les adultes.

Pénurie de psychiatres

En règle générale, la tendance aux États-Unis est à la médicalisation des troubles du comportement dès le plus jeune âge. Selon le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies, au moins 10.000 enfants entre 2 et 3 ans ont reçu des diagnostics de troubles du déficit de l’attention et hyperactivité, ainsi que des médicaments comme le psychostimulant Adderall.

Plusieurs experts notent que cette augmentation de la médicalisation est en partie liée à la pénurie de psychiatres pour enfants (seulement 8.350 aux États-Unis). Dans de nombreux cas, ce sont des pédiatres sans formation psychiatrique qui prescrivent les médicaments.

http://www.slate.fr/

#COP21 – Innovation : la machine à dessaler la mer


L’eau potable n’est pas accessible pour tout le monde. Pourtant, l’eau est présente est très présente sur Terre, mais elle n’est pas utilisée à cause du sel. Un désigner a imaginer un dispositif pour dessaler cette eau. Le plus beau, c’est qu’il veut laisser libre d’accès son invention à ceux qui on a besoin
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#COP21 – Innovation : la machine à dessaler la mer

 

© Gabriele Diamanti

© Gabriele Diamanti

En 2005, jeune diplômé en design industriel, l’Italien Gabriele Diamanti (34 ans aujourd’hui) imagine un moyen simple et durable de rendre potable l’eau salée. Neuf ans plus tard, son projet est sur le point d’aboutir.

En 2015, 2,4 milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau potable, selon l’Organisation mondiale de la santé. On connaît la solution : pour séparer l’eau — qu’elle soit usée, salée ou saumâtre — des parasites, germes pathogènes et sels minéraux qu’elle peut contenir, il faut la dessaler.

Des distillateurs, voire des usines de dessalement, existent déjà mais sont souvent bien trop coûteux pour les habitants des pays en développement. Le designer italien Gabriele Diamanti a, lui, cherché à utiliser l’action du soleil :

« J’ai travaillé sur un système simple, concevable avec des ressources locales, pour qu’il puisse être élaboré là où on en a besoin. »

Fermé par un grand couvercle en métal, le dispositif en terre cuite, baptisé Eliodomestico, constitue une sorte de fourneau solaire. Il suffit d’y verser l’eau impropre à la consommation et de la laisser chauffer une journée pour la récupérer buvable. Sous l’effet du soleil, les molécules d’eau s’évaporent naturellement, puis glissent le long d’un tuyau et se condensent dans un bol de récupération. Un prototype de 60 cm de diamètre permet ainsi de récupérer 5 l d’eau potable.

Gabriele Diamanti espère désormais établir des partenariats avec des entreprises locales pour développer l’Eliodomestico et le distribuer via des ONG. Toutefois, les plans de son système sont en open source : chaque artisan peut en fabriquer un librement, voire l’améliorer afin de l’utiliser ou de le revendre.

« Pour moi, il était impensable de déposer un brevet, insiste le designer. Il s’agit de faciliter la vie d’autrui ! Laisser la fabrication de l’Eliodomestico libre d’accès, c’est un bon moyen de répandre facilement son usage. »

Par Céline Lison

http://www.nationalgeographic.fr/