Coeur dur


La nature rappelle à l’être humain qu’il n’est qu’un locataire sur cette Terre, quand il l’oublie, il agit comme propriétaire en changeant son comportement, son environnement
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Coeur dur

 

Quand l’homme s’éloigne de la nature, son cœur devient dur.

Lakota

Un chat poursuit un enfant dans la neige pour qu’il le caresse


J’ai eu un chat comme ça. Quand il voulait un câlin, il n’y avait rien à faire pour l’éviter, et si je m’obstinait de l’ignorer, il sautait carrément sur mon épaule et frottait sa tête dans mon cou. Si je le déposais sur le sol, sans être satisfait, il recommençait jusqu’à temps d’être repu de câlins
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Un chat poursuit un enfant dans la neige pour qu’il le caresse

 

Le Saviez-Vous ► Les Incas pratiquait la chirurgie sans bistouri


Les Incas, Mayas et Aztèque semblent avoir eu des techniques avancées pour la chirurgie avec des moyens de leur environnement. Il semble que certains ont survécu
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Les Incas pratiquait la chirurgie sans bistouri

 

Les Incas pratiquaient l'amputation, réalisée avec une lame en obsidienne après anesthésie du muscle avec des feuilles de coca et d'autres plantes. © Nicholas J. Saunders / The Art Archive / The Picture Desk / AFP

Les Incas pratiquaient l’amputation, réalisée avec une lame en obsidienne après anesthésie du muscle avec des feuilles de coca et d’autres plantes. © Nicholas J. Saunders / The Art Archive / The Picture Desk / AFP

Au XVIe siècle, la pratique de l’anthropophagie rituelle et des sacrifices humains apporta aux Incas une connaissance chirurgicale inégalée.

C’est ce que montrent les multiples trépanations observées sur les corps retrouvés. A l’aide d’une obsidienne (pierre noire à effet antiseptique) taillée, le chirurgien pénétrait sous la boîte crânienne sans toucher la dure-mère.

Les traces laissent imaginer une guérison

Il pouvait redresser le crâne, s’aidant parfois d’une prothèse en métal ou à base d’hévéa.

« Une étude menée sur 150 crânes trépanés montre que 60 % portent des traces de solidification, qui laissent penser à une guérison », rapporte l’ethnologue Denis Bombardier.

Chez les Chachapoyas, peuple andin ayant vécu de 900 à 1450 après J.-C., plusieurs momies au crâne trépané ont également été retrouvées.

Les Incas pratiquaient aussi l’amputation, réalisée avec une lame en obsidienne après anesthésie du muscle avec des feuilles de coca et d’autres plantes. Les tissus étaient recousus à l’aide d’aiguilles d’os ou de cheveux humains.

Un système d’agrafe astucieux

Chez les Mayas et les Aztèques, le travail était même achevé par des fourmis géantes, dont les mandibules pinçaient les bords de la plaie. On segmentait l’abdomen de l’insecte, et les mandibules, restant ancrées, faisaient office d’agrafes naturelles !

Par Caroline Tancrède,

http://www.sciencesetavenir.fr/

Une montre spéciale pour tricher aux examens


Si la technologie permet de mieux tricher aux examens alors à quoi sert de vouloir des diplômes qu’on aurait de toute façon pas mérités ? Et que dire ceux qui veulent performer de voir leur entourage réussir sans le moindre effort.
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Une montre spéciale pour tricher aux examens

La société croate 24Kupi propose à la vente un accessoire uniquement conçu pour tricher. Une montre, vendue au prix de 70$, dotée d’un petit écran permettant d’assurer une vision claire et précise du texte. Grâce à un filtre polarisé installé dans les verres des lunettes spéciales, vous seul avez accès aux informations présentes sur l’écran.

Entièrement pensée pour faciliter la vie du tricheur, cette montre est réglable sous toutes ses formes. Le mode de défilement du texte, automatique ou manuel, la vitesse ou la luminosité. Le site propose même l’achat d’une oreillette sans fil, connectable à la montre, qui permet d’écouter ses cours préalablement enregistrés pour pouvoir tricher sans même avoir à regarder l’écran.

Les concepteurs ont même pensé à un bouton spécial d’urgence, qui permet de bloquer la montre sur le mode horloge.

http://www.insoliteqc.com/

3 enfants opérés à cœur fermé grâce à un logiciel 3D


Imaginez, un enfant rentre à la maison 36 heures après une opération cardiaque.L’ère des chirurgies à coeur ouvert chez les enfants atteints de malformations cardiaque sera bientôt chose du passé, car de nouvelles méthodes de chirurgie à coeur fermé prend la relève. L’enfant n’a pas de cicatrice et il reste moins longtemps à l’hopital
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3 enfants opérés à cœur fermé grâce à un logiciel 3D

 

A droite de l’écran l’image échographique montre les structures intracardiaques, à gauche l’image de radioscopie montre la prothèse, au milieu le système Echonavigator permet de fusionner les images échographiques et la radioscopie afin de vérifier le bon positionnement de la prothèse par rapport aux structures intracardiaques ©CHU Toulouse

A droite de l’écran l’image échographique montre les structures intracardiaques, à gauche l’image de radioscopie montre la prothèse, au milieu le système Echonavigator permet de fusionner les images échographiques et la radioscopie afin de vérifier le bon positionnement de la prothèse par rapport aux structures intracardiaques ©CHU Toulouse

Par Hugo Jalinière

Un logiciel de visualisation 3D fusionnant des images obtenues par échographie et par rayons X a permis d’opérer 3 enfants atteints de malformations cardiaques sans ouvrir le thorax. Une première réalisée au CHU de Toulouse.

CARDIOLOGIE. C’est une première en Europe : trois enfants ont été opérés à cœur fermé de leur malformation cardiaque grâce à l’utilisation d’un nouveau logiciel de visualisation en 3D, l’EchoNavigator, a-t-on appris auprès du Pr Philippe Acar, responsable de l’équipe médicale du pôle enfants du CHU de Toulouse. Déjà utilisé chez l’adulte à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil (Val-de-Marne), l’EchoNavigator permet de visualiser en 3D et aux dimensions réelles le cœur et de traiter certaines malformations cardiaques chez l’enfant sans recourir à la chirurgie à cœur ouvert. Ce système a en effet pour objectif de faciliter les opérations par voie percutanée, c’est-à-dire en passant par une veine. En évitant ainsi l’opération à cœur ouvert, les enfants victimes de malformations voient leur temps de récupération fortement diminué. Les deux premiers enfants opérés le 6 novembre 2015 ont ainsi été réveillés juste après le geste, sans avoir à séjourner en réanimation, et accompagnés de leurs parents. Ils sont retournés chez eux 36 heures après. 

Selon le communiqué du CHU de Toulouse, l’EchoNavigator apporte en outre « un confort, une sécurité et un guidage du geste » pour les chirurgiens. Des conditions présentées comme »optimales ».

Fusion de l’échographie et des images par rayons X

Mis au point avec Philips, le logiciel permet d’afficher sur le même écran et en 3D l’échographie du cœur de l’enfant et les images obtenues par rayons X au moment où les médecins introduisent la sonde avec laquelle ils procèdent à la réparation des malformations cardiaques.

« La fusion entre rayons X et ultrasons (utilisés pour l’échographie, ndlr) est une véritable révolution technologique. Voir le cœur en trois dimensions permet de décrire précisément la malformation cardiaque de l’enfant », nous explique le Pr Acar.

A droite de l’écran l’image échographique montre les structures intracardiaques, à gauche l’image de radioscopie montre la prothèse, au milieu le système EchoNavigator permet de fusionner les images échographiques et la radioscopie afin de vérifier le bon positionnement de la prothèse par rapport aux structures intracardiaques.

Une opération sans cicatrice

Nellie, 5 ans, a été la première fillette à bénéficier de cet appareil. Elle souffrait d’un trou intraventriculaire, nécessitant une opération très délicate.

« Et ce système nous a vraiment aidés », a souligné le Pr Acar.

Un garçonnet de 6 ans a ensuite subi la même intervention. Enfin, une petite fille de 9 ans a été opérée le 27 novembre pour un problème de communication entre ses oreillettes (cf. schéma ci-contre). Cette dernière n’est restée que 72 heures à l’hôpital et est donc sortie sans la moindre cicatrice. Cette nouvelle technologie testée à Toulouse s’intègre dans un projet européen, a précisé le Pr Acar. En deux ans une quarantaine d’enfants vont ainsi bénéficier d’une opération avec l’aide de ce logiciel dont l’utilisation sera ensuite étendue à tous les hôpitaux.

« Il faut démontrer qu’il apporte une véritable aide aux chirurgiens », a expliqué le cardiologue et pédiatre.

Sources : CHU Toulouse et AFP

http://www.sciencesetavenir.fr/

Cette journaliste météo est la nouvelle star du web britannique


Présenter la météo dans des pires conditions, il faut un brin de courage. Cette dame a fait comprendre de ne pas prendre de risque et de ne pas aller dans l’eau pendant cette tempête, c’est courir des risques inutiles et  en plus de risquer le vie, il risque la vie des secouristes. Bref, la météo est déchainer. La journaliste a été très démonstrative que des internautes ont fait un mixages de son discours assez réussit. Reste que la prudence dans de telle conditions est  de mise
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Cette journaliste météo est la nouvelle star du web britannique

 

Elle est devenue la nouvelle coqueluche du web britannique en quelques heures seulement. Alors que l’archipel est en ce moment frappé par Desmond, une tempête terrible qui a causé des dégâts considérables de l’Angleterre à l’Écosse, Teresa Mannion a beaucoup plu aux réseaux sociaux comme aux téléspectateurs.

Employée par la chaîne irlandaise RTE, ce sont ses duplex troublés par les éléments qui ont retenu l’attention des internautes. Sous des trombes d’eau, elle a notamment appelé ses concitoyens à ne pas prendre de risques inutiles, à ne pas mettre leur propre vie en danger et celles des secouristes.

Comme le montre la vidéo au haut de l’article, Teresa Mannion a ainsi livré des discours passionnés face à la caméra, qui lui ont valu les félicitations de très nombreux utilisateurs de Twitter. Et preuve ultime de l’ampleur du phénomène sur Internet, elle a même déjà eu droit à ses détournements.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le froid hivernal peut causer un choc aux réfugiés


Une question que je demande souvent aux étrangers qui sont venus s’établir au Québec, comment ils ont trouver leur premier hiver, tous m’ont dit que cela a été très difficile, surtout ceux qui sont arrivé en pleine saison froide. Pour ceux qui viendront dans les semaines avenir, seront peut-être épargné des temps de grands froids vue que la neige est en retard cette année
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Le froid hivernal peut causer un choc aux réfugiés

 

Les réfugiés qui débarqueront en sol canadien au... (Photo archives AFP)

Les réfugiés qui débarqueront en sol canadien au cours des prochaines semaines bénéficieront peut-être d’un répit puisque les météorologues ont prédit que la saison froide serait plus douce cette année au Canada en raison d’El Nino.

PHOTO ARCHIVES AFP

ENNIFER GRAHAM
La Presse Canadienne
REGINA

Getachew Woldeyesus, un jeune réfugié originaire d’Éthiopie, est arrivé en Saskatchewan un jour glacial de février en 1985.

Il n’a pas mis le nez dehors pendant deux mois.

En entrevue avec La Presse Canadienne, M. Woldeyesus s’est rappelé qu’il était effrayé à l’idée de sortir, ne sachant pas si les rues étaient glissantes ou s’il portait les bons souliers pour affronter le froid.

Les 25 000 réfugiés syriens que le gouvernement fédéral s’est engagé à accueillir d’ici le début de la nouvelle année devront sans l’ombre d’un doute relever des défis semblables par rapport aux conditions météorologiques canadiennes.

Partout à travers le pays, des organismes communautaires, des groupes religieux et des particuliers ont lancé des campagnes pour recueillir des vêtements, surtout des manteaux, des gants, des tuques et des bottes d’hiver.

M. Woldeyesus avait 19 ans lorsqu’il a fui son pays natal en 1980 en raison de la guerre civile qui y faisait rage. Il a passé quelques jours au Soudan et quelques années en Italie avant de recevoir l’autorisation de s’installer au Canada.

Il a trouvé difficile de laisser sa famille derrière lui et d’entreprendre ce dangereux périple.

Lorsqu’il est finalement arrivé à Regina, Getachew Woldeyesus a pu compter sur le soutien de la Regina Open Door Society. Un bénévole l’a aidé à passer au travers de la saison froide.

«Il s’est montré très encourageant et d’un grand soutien. Il était toujours avec moi à essayer de m’apprendre comment m’habiller de manière appropriée pour l’hiver. Open Door m’a également fourni beaucoup de renseignements et, en utilisant tous ces outils, j’ai pu lentement commencer à sortir», a raconté M. Woldeyesus, qui occupe aujourd’hui le poste de gestion au sein de l’organisme.

«Le premier hiver s’est mieux passé. Le second, on commence à s’habituer. Évidemment, c’est un choc pour les gens d’arriver en hiver.»

Les réfugiés qui débarqueront en sol canadien au cours des prochaines semaines bénéficieront peut-être d’un répit puisque les météorologues ont prédit que la saison froide serait plus douce cette année au Canada en raison d’El Niño.

http://www.lapresse.ca/

COP21 :le changement climatique, un « accélérateur » d’allergies


On s’aperçoit qu’il y a plus d’allergies qu’avant. Il y a le pollen en cause, mais aussi l’activité humaine et les changements climatiques
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COP21 :le changement climatique, un « accélérateur » d’allergies

 

©Phovoir

©Phovoir

La pollution – intérieure comme extérieure – est considérée comme l’un des principaux facteurs de risque allergique. Composée entre autres de fortes concentrations de pollens, cette même pollution est accentuée par le réchauffement planétaire. Explications, à l’occasion de la COP21 qui se déroule à Paris du 30 novembre au 11 décembre 2015.

« Entre 12% et 45% des problèmes allergiques, seraient causés par le pollen », indique l’INSERM.

Leur nombre est d’ailleurs en constante augmentation. En France, ils ont même triplé en 20 ans, touchant près de 20% des adolescents et plus de 30% des adultes. L’allergie au pollen se manifeste par des rhinites et des conjonctivites, parfois avec une toux et respiration sifflante, des eczémas et des urticaires. La forme la plus sévère est la crise d’asthme.

Chaleur et ozone mènent au pollen

Les émissions dudit pollen, son transport et ses dépôts sont étroitement liés aux conditions climatiques.

« On peut donc s’attendre à ce que les conséquences du changement climatique (augmentation de la température, modification des précipitations, augmentation de la concentration en CO2 atmosphérique) modifient sensiblement les problèmes d’allergie liés au pollen », estime l’INSERM.

Un exemple est particulièrement évocateur : il s’agit de l’ambroisie. Cette plante originaire d’Amérique du Nord, a déjà colonisé la Bourgogne, l’Auvergne et la région Rhône Alpes. Son pollen est très allergisant et provoque des rhinites, conjonctivites, trachéites voire des crises d’asthme sévères.

« Selon une étude récente, la concentration dans l’air du pollen d’ambroisie pourrait quadrupler en Europe à l’horizon 2050. Le changement climatique serait responsable des deux tiers de cette augmentation. Les activités humaines favorisant la colonisation de la plante sont aussi en cause », poursuit l’INSERM.

Autre effet du changement climatique en matière d’allergènes : l’ozone.

« Les températures élevées, comme celles rencontrées lors des canicules, favorisent sa formation. Les effets de l’ozone sur la santé humaine sont liés à son pouvoir oxydant et inflammatoire », explique l’INSERM. Ainsi, « le gaz pénètre facilement jusqu’aux voies respiratoires les plus fines et favorise le passage d’autres allergènes ou polluants. Les effets les plus immédiats (irritation, inflammation des yeux, de la gorge, du nez et des bronches, toux) conduisent à une diminution de la fonction respiratoire, une augmentation de la susceptibilité aux infections et une fatigue cardiaque. »

  • Source : INSERM, décembre 2015

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