Parole d’enfant ► Le cri des animaux


Même si je ne mange pas de bacon, enfin, sauf le bacon au poulet de temps à autre, ma fille est végétarienne, mais pas ses enfants
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Le cri des animaux

 

 

 

Maman demande :

Ana qu’est-ce que fait le chat ? : Miaou miaou !
Qu’est que fait le chien ? Ouf ouf !
Que fait le singe ? Ouou aa !
Qu fait le cochon ? : du bacon !

Ana-Jézabelle/3 ans, 10 mois/ Novembre 2015

Le Saviez-Vous ►Lucky Luke va souffler ses 70 bougies plus vite que son ombre


J’aurais cru Lucky Luke plus jeune, il s’est bien conservé. Ce fut une de mes BD préférées au primaire
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Lucky Luke va souffler ses 70 bougies plus vite que son ombre

 

    • Par Bertrand Guyard

Afin d’annoncer comme il se doit l’anniversaire de la création du célèbre cow-boy solitaire, en décembre 1946, les éditions Dargaud publient L’art de Morris, un livre superbement illustré qui décortique le trait et la manière subtile du belge Maurice De Bevere.

Dégainant ses crayons comme un révolver, il a créé le cow-boy solitaire le plus célèbre de la bande dessinée franco-belge, pratiquement d’un seul jet. Maurice De Bevere alias Morris (1923-2001) a donné vie à Lucky Luke il y aura bientôt 70 ans dans le journal Spirou, en décembre 1946. Le dessinateur belge dédiera toute sa vie à son personnage d’encre et de papier.

Pour rendre hommage à son talent unique, les éditions Dargaud ont décidé de lui consacrer un superbe livre intitulé sobrement L’art de Morris. Cet ouvrage est une mine pour les esthètes du 9e art et pour les inconditionnels de L’Homme qui tire plus vite que son ombre.

On y trouve des planches originales et inédites crayonnées – souvent en noir et blanc – de la main même du maître. On découvre aussi de nombreuses analyses sur l’approche originale de Morris sous la plume de spécialistes reconnues de la geste morrissienne*.

Morris est depuis sa mort en 2001 rentré par la grande porte au panthéon des grands hommes de la BD. Son histoire à l’instar de celle de son héros s’est écrite progressivement. Deux hommes ont beaucoup compté dans la maturation de son style. D’abord auprès d’André Franquin auprès duquel il s’initiera au monde l’animation puis en duo avec René Goscinny qui signera les scénarios de albums de Luke de 1955 à 1977, année de sa disparition.

Morris, le créateur de Lucky Luke,

Lucky Luke est un faux cowboy solitaire. Tout au long de sa carrière, Morris n’aura de cesse de lui donner des compagnons. Il inventera des gentils, ce seront souvent des animaux de bonne compagnie. Jolly Jumper, le cheval joueur d’échecs, deviendra le destrier le plus intelligent du Far West. Son contraire, le trop fidèle Rantanplan sera le plus attachant des chiens idiots.

Le «poor lonesome cowboy» se devait d’avoir des ennemis. Ils sont souvent plus bêtes que méchants. Luke ridiculisera ainsi pratiquement tout la racaille de l’Ouest américain. Jesse James, Calamity Jane, Billy the Kid… seront matés les uns après les autres. Puis cet impeccable redresseur de torts finira par trouver ses adversaires favoris, les Dalton. Cupides, crétins, méchants ils lui deviendront indispensables.

Le 43e Festival d’Angoulême (du 28 janvier au 31 janvier 2016) va fêter avec les honneurs qui lui sont dûs le 70e anniversaire de la naissance de lucky Luke. Une exposition se tiendra à la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image du 28 janvier au 16 octobre 2016. Lucky Luke, le héros de Morris, 70 ans après sa naissance va enfin devenir l’alter ego des monstres sacrés de la BD, Mickey, Tintin et Astérix.

*L’art de Morris ouvrage réalisé sous la direction de Stéphane Beaujan, Jean-Pierre Mercier, Gaëtan Akyüz et Vladimir Lecointre aux éditions Dargaud. 312 pages- quadrichromie

http://www.lefigaro.fr/

Les architectes jouent aussi avec des Légo !


Les Légo sont bien plus qu’un jeu, il devient un apprentissage, une réflexion et aussi de la créativité pour les enfants et aussi pour les adultes. En tout cas, beaucoup d’enfant aimerait une telle chambre
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Les architectes jouent aussi avec des Légo !

 

Par Clément Pellequer

 

Les Légo, c’est pas que pour les enfants… Les architectes s’en inspirent aussi pour créer les maquettes de leurs futurs projets immobiliers.

Les Lego augmentent la créativité des architectes

On imagine souvent les architectes passant leur temps dehors à chercher l’inspiration pour leurs prochaines créations… En réalité, ils sont souvent coincés dans un bureau, contraints par un budget et les demandes des clients. Si certains d’entre eux lisent cet article, ils doivent sans doute se dire qu’ils aimeraient avoir plus de liberté.

Bon à savoir

Depuis des années, à New York, plusieurs grands architectes de la ville ont déclaré que jouer avec des Lego stimulait leur inspiration.


Voici une pièce de « construction de Lego » qui devrait en inspirer plus d’un ! © Board and Vellum

Les Lego peuvent aider à résoudre les problèmes (si, si…)

Entre l’esprit critique, la robotique, l’architecture, le design, la mécanique, l’ingénierie ou encore la réflexion, ces petits jouets multicolores peuvent s’avérer très utiles pour nous aider à penser autrement. Des élèves d’une école de Toronto ont ainsi utilisé le pouvoir des Lego pour réfléchir autour des problèmes du monde, et ont proposé des solutions pour les résoudre. Dans ce cas précis, les enfants ont utilisé les Lego pour transcrire et appuyer une réflexion…


Les Lego offrent la possibilité d’explorer l’imagination sans avoir de limite. © Infiniti Master Builder

Les Lego permettent d’apprendre, tout en s’amusant

Demandez à un enfant pourquoi il aime jouer aux Lego, et il vous répondra sûrement « parce que c’est marrant ». Aussi simple que ça ! Plusieurs études ont aussi prouvé que, grâce aux Lego, l’enfant montre des signes de patience, d’écoute et de réflexion. Et ces conclusions scientifiques valent pour les adultes. Par le jeu, on apprend ainsi à penser et à repenser par soi-même. 


Apprendre est bien plus intéressant, quand on peut le faire en s’amusant. © Pebble Design

http://edito.seloger.com/

Quand les animaux accompagnent les enfants polyhandicapés vers le mieux-être


La médiation animale en zoothérapie, permet de choisir le mieux l’animal pour les besoins de la personne. Comme chez les enfants ayant plusieurs handicaps, il s’avère que les animaux sont précieux dans leur thérapie
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Quand les animaux accompagnent les enfants polyhandicapés vers le mieux-être

 

La thérapeute Emeline Chancel (à gauche) avec Chahinez (centre), lors d'une session de médiation animale avec le chien Hizzy. ©SEBASTIEN BOZON / AFP

La thérapeute Emeline Chancel (à gauche) avec Chahinez (centre), lors d’une session de médiation animale avec le chien Hizzy. ©SEBASTIEN BOZON / AFP

La médiation animale est une thérapie en plein essor auprès des enfants polyhandicapés. Elle permet de développer leur potentiel affectif, moteur et cognitif à travers le simple contact avec les animaux.

 

MIEUX-ÊTRE. Calé au fond de son fauteuil roulant, le petit Nathan n’est pas très réceptif à ce qui se passe autour de lui, jusqu’au moment où la médiatrice lui fait caresser le dos de la chienne Hizzy avec son pied nu… Alors tout change. Comme d’autres enfants polyhandicapés pris en charge par l’association Caroline Binder deColmar (Haut-Rhin), Nathan participe ce jour-là à une séance de médiation animale, une technique qui connaît une forte expansion en France depuis quelques années. Dans cet établissement alsacien, la médiation animale est utilisée en complément des thérapies conventionnelles, comme la balnéothérapie et la kinésithérapie. Hizzy, sympathique bâtard ébouriffé aux grandes oreilles, Atchoum le lapin bélier au doux poil couleur cappuccino et les deux cochons d’Inde Cacahuète et Moustique ont fait spécialement le déplacement jusqu’au centre, en compagnie de l’intervenante en médiation animale Emeline Chancel.

La zoothérapie stimule les sens

« On prend tout ce qui est possible au niveau sensoriel : les mains, les pieds, le cou, les oreilles, tant que le plaisir est là », explique la jeune femme de 27 ans, qui a enfin trouvé comment susciter des réactions chez Nathan, après plusieurs tentatives infructueuses.

Son intervention auprès de ces enfants qui ne parlent pas répond à un double objectif : avant tout leur procurer du plaisir, ensuite développer leur potentiel affectif, moteur et cognitif à travers le contact avec les animaux. Au fil des séances, la médiatrice, entourée d’éducatrices du centre, détermine quel animal est le mieux adapté à chaque enfant. Ce n’est pas forcément Hizzy, l’animal avec lequel les interactions peuvent être les plus variées, qui est le plus à même de faire progresser chacun d’entre eux. Si certains enfants travaillent la coordination motrice et le contrôle des gestes stéréotypés en lançant une balle à Hizzy, pour d’autres la stimulation sensorielle apportée par l’animal, la texture de ses poils, sa chaleur, les sons qu’il émet, son odeur, se trouvent au centre de la séance. C’est le cas pour la petite Lena. Emeline Chancel a posé délicatement le cochon d’Inde Cacahuète sur ses genoux. Pendant un moment l’enfant rit, semblant apprécier la présence de l’animal, avant de se recroqueviller à nouveau sur elle-même.

« On a mis un an pour qu’elle accepte les pattes du cochon d’Inde sur ses genoux« , explique Elisabeth Riss, éducatrice, qui se souvient que la petite fille ne voulait pas se laisser toucher lors des premières séances.

Une pratique en plein essor

Ténus, les progrès des participants sont autant de petits miracles pour ceux qui fréquentent au quotidien ces enfants souffrant de lourdes déficiences intellectuelles et motrices.

« D’une fois sur l’autre, ils se rappellent du plaisir qu’ils ont eu et ils ont des gestes qui les poussent à dépasser les limites de leur corps d’enfant polyhandicapé, dans lequel ils sont enfermés », explique Marie-Caroline Brendel, chef de service au sein du centre.

Titulaire d’un diplôme de zoothérapie obtenu à Montréal, Emeline Chancel intervient pour l’association Evi’dence, fondée par Patricia Arnoux, autre intervenante en médiation animale qui se concentre à présent avec ses animaux sur les interventions en milieu carcéral.

Selon Didier Vernay, responsable pédagogique du diplôme universitaire en relation d’aide à la médiation animale de l’université d’Auvergne, on assiste à une « montée quasiment exponentielle de la médiation animale en France depuis quelques années », bien qu’elle n’ait « pas de cadre réglementaire à ce jour ». « Pour les interventions dans les maisons de personnes âgées avec des chiens, je pense qu’on peut poser un cadre réglementaire mais c’est encore un peu tôt pour les interventions avec les enfants : il ne faut pas limiter trop tôt ce potentiel fabuleux », estime M. Vernay.

http://www.sciencesetavenir.fr/

L’épave d’un galion légendaire retrouvée, 307 ans après son naufrage


L’océan regorge d’histoire qui s’est enfouie sous ses eaux. Vague par vague, ces bateaux , voiliers, et autres, ont traversé la mer pour rencontre leur destin. Certains ont sombré dans le lit creux de l’océan pour n’être retrouvé que des siècles plus tard
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L’épave d’un galion légendaire retrouvée, 307 ans après son naufrage

 

Des restes du galion San Jose, découvert au... (Photo Ministère de la culture via AFP)

Des restes du galion San Jose, découvert au large des cotes de Carthagène des Indes, en Colombie.

PHOTO MINISTÈRE DE LA CULTURE VIA AFP

Agence France-Presse
CARTHAGÈNE DES INDES

 

Trois siècles après disparu au fond des eaux caribéennes, l’épave du légendaire galion espagnol San Jose, rêve de tous les chercheurs de trésors, a été découverte au large de la Colombie, a annoncé samedi le président Juan Manuel Santos.

« C’est le plus important trésor découvert dans l’histoire de l’humanité », s’est enthousiasmé M. Santos lors d’un déplacement à Carthagène, au nord, ville au large de laquelle ont été trouvés les restes du San Jose.

Le galion a été coulé en 1708 lors d’un affrontement avec les forces navales britanniques au cours de la bataille de Baru, pendant la guerre de succession d’Espagne (1701-1712). Il était le principal vaisseau d’une flotte acheminant de l’or et de l’argent des colonies espagnoles en Amérique jusqu’en Espagne pour le roi Philippe V.

Seuls quelques membres d’équipage, sur les 600 que comptait le navire, avaient réussi à se sauver au moment du naufrage.

Les chercheurs de trésors de tous bords pistaient cette épave depuis des décennies. Bien que de nombreuses autres épaves aient été découvertes, le mythique San Jose continuait à se dérober, son emplacement restant un mystère.

Une équipe de chercheurs colombiens et internationaux, dont des membres de l’équipe qui avait trouvé l’épave du Titanic en 1985, ont étudié les vents et les courants dans les Caraïbes en 1708. Ils se sont également plongés dans les archives coloniales espagnoles et colombiennes, en quête d’indices.

Les experts ont finalement confirmé que le San Jose a été retrouvé le 27 novembre dernier, « à un emplacement auquel aucune fouille ne s’était intéressée », a déclaré le président Santos.

Cinq autres épaves ont été découvertes au fond de l’océan au cours de ces explorations.

L’épave du San Jose a été retrouvée près des îles Corales del Rosario, au large de Carthagène. Le vaisseau a été identifié grâce à ses canons en bronze uniques, avec des dauphins gravés dessus.

« La quantité et le type de matériel ne laissent aucun doute quant à l’identité » de l’épave, a déclaré Ernesto Montenegro, chef de l’Institut colombien d’anthropologie et d’Histoire.

Une compagnie américaine, la Sea Search Armada, avait affirmé plus tôt avoir trouvé l’épave du San Jose. Cette découverte n’avait pas été confirmée et une procédure judiciaire quant au droit de propriété avait opposé l’entreprise au gouvernement colombien. La justice avait tranché en faveur de Bogota.

Il y aurait jusqu’à un millier d’épaves dans l’océan au large de la côte caribéenne de la Colombie, mais seules six à dix d’entre elles transportaient d’importants trésors, a indiqué à l’AFP l’anthropologiste Fabian Sanabria.

La plus importante, et la plus convoitée, était celle du San Jose, a déclaré M. Sanabria.

Cette découverte est « un événement sans précédent » pour la Colombie, s’est réjoui le maire de Carthagène Dionisio Velez.

http://www.lapresse.ca/

Une femme a eu mal pour la première fois (et c’est une bonne nouvelle)


Trouver un remède qui soigne la douleur radicalement serait probablement une grande découverte, mais réussir de faire ressentir la douleur à une personne atteinte de la maladie de l’insensibilité congénitale à la douleur permet de mieux comprendre le mécanisme de la douleur et aider ceux qui souffrent beaucoup
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Une femme a eu mal pour la première fois (et c’est une bonne nouvelle)

 

«No pain no gain»: vivre sans douleur est une maladie | KylaBorg via Flickr CC License by

Une patiente insensible à la douleur a pour la première fois de sa vie réussi à avoir mal. Et il faut s’en réjouir.

Une femme a eu mal pour la première fois de sa vie et non seulement elle a apprécié la sensation mais c’est en plus une excellente nouvelle pour beaucoup. C’est ce que souligneun article de New Scientist qui synthétise une étude parue dans la revue Nature.

L’insensibilité congénitale à la douleur de cette patiente est une maladie rare. Et dangereuse. Les bébés qui naissent avec cette maladie ont tendance à mâcher leurs doigts et leurs lèvres jusqu’au sang, rappelle New Scientist, puisqu’ils n’ont pas conscience qu’ils portent atteinte à leur intégrité physique. Idem quand ils grandissent: les enfants atteints ont tendance à se cogner, tomber, et donc à se faire mal sans s’en rendre compte. Donner la possibilité à ces individus de faire passer le message nerveux leur permettra de réagir en conséquence, par exemple de se couvrir s’il fait froid ou de retirer leur main s’ils se brûlent.

Mais ce n’est pas tout. Avoir réussi à ce que cette femme, qui souhaite rester anonyme, ait mal en étant brûlée par un laser a aussi pour vocation d’aider ceux qui souffrent trop et de manière chronique.

Analgésiques efficaces

Jusqu’à présent, les chercheurs avaient tenté de reproduire l’insensibilité à la douleur«naturelle» de ces malades afin de produire des analgésiques efficaces mais n’étaient jamais parvenus à soulager la douleur aussi radicalement. L’insensibilité congénitale à la douleur résulte en une absence du canal ionique Nav1.7 et les scientifiques pensaient que c’était cette absence qui empêchait à elle seule les cellules nerveuses de communiquer la douleur au cerveau. Sauf que bloquer le canal ionique ne suffisait pas à supprimer toute trace de douleur. Un paradoxe que les chercheurs ne s’expliquaient pas…

C’est là que l’étude parue dans la revue Nature intervient: ses auteurs ont étudié des souris génétiquement modifiées sans Nav1.7 et ont remarqué que cette absence de Nav1.7 s’accompagnait aussi d’une augmentation des récepteurs aux peptides opioïdes, qui sont les anti-douleurs naturels. Les chercheurs leur ont donc administré un médicament qui bloque l’action des peptides opioïdes du nom denaloxone, qui est habituellement administré en cas de surdose de drogue. Et les souris ont de nouveau été capables de ressentir la douleur. Un effet qui a été reproduit chez cette femme de 39 ans. Ce qui signifie que l’on peut utiliser l’approche inverse pour soulager la douleur. L’équipe de chercheurs a ainsi donné des opioïdes et des médicaments bloquant le canal ionique à des souris et ont réussi à les empêcher d’avoir mal.

Mais ses méthodes ont leurs inconvénients: le naloxone ne peut être prescrit sur le long terme aux patients insensibles à la douleur en raison de ses effets indésirables, tout comme la prescription à vie d’opioïdes aux patients qui souffrent de douleurs chroniques n’est pas souhaitable, en raison notamment de la dépendance qu’ils peuvent susciter. Reste que cette découverte permet de mieux comprendre le mécanisme de la douleur et de mettre au point des analgésiques plus puissants.

http://www.slate.fr/

Transformez votre chat en astronaute pour l’emmener partout avec vous !


Si c’est un sac de transport pour amener l’animal d’un endroit A à B, comme de la maison au vétérinaire, pourquoi pas ! Mais pour une promenade, je suis moins certaine que cela fera l’affaire du chat ou du chien
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Transformez votre chat en astronaute pour l’emmener partout avec vous !

Par Sophie Le RouxCrédits photo : U-Pet

Vous craignez de laisser votre chat sortir mais souffrez de le voir enfermé toute la longue journée entre quatre murs ?

Certains propriétaires de chats, désireux de faire découvrir le monde à leur chat d’intérieur sans prendre de risque pour sa sécurité, choisissent de lui apprendre à marcher en laisse. Les félins peuvent vraiment y prendre goût !

D’autres ont récemment opté pour une autre solution, un peu plus étonnante. Pour permettre à leur cher et tendre félin de se balader, sans trop se fatiguer, il le transforment en… cha(t)stronaute !

Une équipe d’amoureux des chats a en effet eu la folle idée de créer un sac à dos pour chat doté d’un hublot. Le félin peut ainsi s’installer confortablement (vraiment?) dans le dos de son humain et observer tout ce qu’ils pourront bien croiser sur leur passage.

sac à dos pour chat

L’image d’un homme portant son chat dans ce sac à dos a fait le tour des réseaux sociaux voilà quelques jours. Et le site The Dodo est remonté à l’origine de ce drôle d’accessoire. Il est commercialisé par la firme new-yorkaise U-Pet, qui a développé plusieurs gammes de sacs de transport pour animaux de compagnie à hublot. Tous sont bien sûr équipés d’aérations et leurs fenêtres peuvent être entrouvertes ou même ôtées pour que l’animal puisse y passer sa tête.

sac à dos pour chat

Ces sacs peuvent aussi bien être utilisés pour un chat que pour un chien ou même un lapin.

« Offrez à vos animaux une fenêtre sur le monde » argue la firme U-Pet.

Un cadeau qui vous coûtera une centaine d’euros tout de même !

http://wamiz.com/