Se rencontrer


Il suffit d’un retard, ou d’être en avance sur un rendez-vous, d’aller à un endroit qui était ou non prévu pour faire des rencontres qui font prendre un autre chemin à notre vie
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Se rencontrer

 

Il est des êtres dont c’est le destin de se croiser. Où qu’ils soient un jour, ils se rencontrent

Claudie Galley

Rencontre avec Jonathan, le plus vieil animal de la Terre


Jonathan est une tortue qui serait née en 1882 aux Seychelles. Il a donc 183 ans. Il serait la plus vieille créature terrestre encore en vie même si chez les animaux marins, il y a des animaux plus vieux, mais Jonathan est très populaire. À cause de son grand âge, il a quelques difficulté a avaler et une mauvaise vue, seule les vétérinaires peuvent l’approcher pour prendre soin de cette tortue.
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Rencontre avec Jonathan, le plus vieil animal de la Terre

 

Le Saviez-Vous ► Combien de timbres faut-il pour envoyer une lettre sur Mars?


Une question bien légitime qui mérite une réponse même si effectivement, cela coûterait une fortune d’envoyer une lettre sur Mars. Mais qui sait, un jour, si cela ne était pas une option envisageable d’avoir un bureau de poste sur le sol martien
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Combien de timbres faut-il pour envoyer une lettre sur Mars?

 

AFP

Le petit Olivier, 5 ans.

La Poste royale britannique répond à un enfant

Combien de timbres faut-il pour envoyer une lettre sur la planète Mars? Pour répondre à cette question posée par un enfant passionné d’astronomie, la Poste royale britannique a déployé des efforts insoupçonnés, allant même jusqu’à solliciter la Nasa, l’agence spatiale américaine.

Cette requête du petit Oliver, 5 ans, a dans un premier temps plongé le service relations clientèle du Royal Mail dans un abîme de perplexité, selon un communiqué adressé à l’AFP.

Décision est alors prise de faire appel aux spécialistes: les services postaux de Sa Majesté entrent en contact avec le Centre spatial Kennedy, près de Cap Canaveral, en Floride, afin de déterminer le coût de transport de la lettre dans le cadre d’une mission d’exploration de la Nasa.

Pour calculer le prix de l’affranchissement, se voient-ils répondre, il faut d’abord prendre en compte les 567 millions de kilomètres qui séparent la Terre de la planète rouge.

«La Nasa m’a expliqué que leur dernier voyage sur Mars, pour transporter le robot Curiosity, avait coûté 700 millions de dollars», raconte Andrew Smout, un responsable du service clientèle de Royal Mail.

«En prenant en compte le poids de la navette, ils ont estimé qu’envoyer sur Mars un objet de 100 grammes coûterait 18 000 dollars», ajoute-t-il.

Sur la base de ces informations, Royal Mail procède à ses propres ajustements et «conclut que si vous voulez envoyer une lettre au tarif normal à quelqu’un vivant sur Mars, il vous en coûtera 11 602 livres et 25 pence (23 557 dollars canadiens)», soit l’équivalent de 18 416 timbres.

Le mystère résolu, le petit Oliver n’a pas manqué d’adresser ses remerciements à la Royal Mail. Tout en trouvant «très cher d’envoyer une lettre sur Mars».

http://www.tvanouvelles.ca/

Elue parmi "les filles les plus laides" de son école, elle riposte brillamment sur Facebook


Il y a des personnes qui ont vraiment du temps à perdre. L’instigateur de ce vote, n’a probablement pas eu l’effet qu’il voulait : humilier des filles qui ne rentrent pas dans les critères de beauté. Une d’entre elles a su répondre avec audace et elle est sûrement un modèle pour plusieurs qui vivent ce genre de situation
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Elue parmi « les filles les plus laides » de son école, elle riposte brillamment sur Facebook

 

Le message de Lynelle Cantwell, 17 ans, est devenu viral.

Le message de Lynelle Cantwell, 17 ans, est devenu viral.

Photo: Capture d’écran Facebook

CANADA – Lynelle Cantwell, élève d’un lycée de la province canadienne de Terre-Neuve-et-Labrador, a été désignée comme l’une des filles les plus laides de son école lors d’un vote anonyme lancé sur le réseau social ask.fm. Sa réponse à ceux qui l’ont élue, publiée sur Facebook, est devenue virale.

Au vu du nombre d’articles consacrés à l’histoire de Lynelle Cantwell dans les médias anglo-saxons, la jeune fille doit savourer sa vengeance. Lundi, alors qu’elle était en classe, l’adolescente a appris qu’elle figurait en bonne place dans les résultats d’un sondage anonyme lancé par certains de ses petits camarades sur le réseau social ask.fm. Un vote particulièrement désobligeant : il s’agissait de désigner « les filles les plus laides » de leur lycée de Torbay, dans la province canadienne de Terre-Neuve-et-Labrador. Mais au lieu de se sentir blessée et de baisser la tête, Lynelle, arrivée en quatrième position, a décidé d’inverser les rôles et de jeter l’opprobre sur ses détracteurs.

« Je suis désolée pour vous… »

Comment ? En publiant sur Facebook un message plein de maturité, dans lequel la jeune fille de 17 ans explique qu’elle est désolée non pour elle, mais pour l’organisateur de ce vote, qui a « une vie si misérable qu’il doit essayer d’abaisser les autres », ainsi que pour ses participants, qui n’ont « pas cherché à la connaître en tant que personne ».

« Je sais que j’ai un double menton et que je m’habille en XL. Je sais que je n’ai pas un sourire et un visage parfaits. Mais je suis désolée pour vous. Pas pour moi-même », écrit-elle. « Je suis désolée que vous vous amusiez de donner aux autres la sensation d’être de la m**** « , poursuit-elle notamment, avant de souligner qu’elle est « drôle, gentille, aimable », « sans jugement sur les autres », « serviable et facile d’accès », comme « toutes les autres filles » de la triste liste. « Ce n’est pas parce que nous ne sommes pas parfaites à l’extérieure que nous sommes laides », lance-t-elle également.

Alors que son post a été partagé des milliers de fois, Lynelle Cantwell a ensuite reçu des soutiens venant de tout le Canada, certains lui envoyant même des fleurs.

« Je reçois tellement de messages que je ne peux pas répondre à tous », a-t-elle confié à la chaîne CBC News. « Je suis extrêmement fière de ma fille, a déclaré de son côté sa maman au quotidien canadien The Globe and Mail. Elle a transformé une situation moche en quelque chose de beau ».

http://www.metronews.fr/

Les Américains s’arment à un rythme record


Je crois qu’un peuple aussi armé que les Américains augmentent encore plus leur insécurité. Cette course à l’armement devient dangereuse pour eux-mêmes. Vue de l’extérieur, on constate que cela ne fait qu’augmenter les fusillades, les tueries et les accidents reliés aux armes à feu. Être armé ne résous  rien au contraire. en octobre 2015, les statistiques révélaient qu’il y avait une fusillade tous les 64 jours aux États-Unis, cela fait beaucoup.
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Les Américains s’arment à un rythme record

 

Selon un professeur au département de santé publique... (Photo Luke Sharrett, Bloomberg)

Selon un professeur au département de santé publique et de gestion de l’Université Harvard, «il n’y a pas nécessairement plus de gens qui achètent des armes. Souvent, ce sont des gens qui possèdent déjà des armes qui en achètent d’autres.»

PHOTO LUKE SHARRETT, BLOOMBERG

PHILIPPE MERCURE

 

Des records de ventes d’armes à feu, chaque mois, depuis maintenant sept mois. Les indices montrent que les Américains sont en train de s’armer à un rythme inégalé. Et les tueries comme celles de San Bernardino, loin de freiner le phénomène, sont connues pour l’accélérer.

Vendredi dernier, lors des soldes du Vendredi fou (Black Friday), le FBI a effectué pas moins de 185 345 vérifications d’antécédents criminels pour des gens souhaitant acheter des armes à feu. C’est plus de deux vérifications par seconde, et un record de tous les temps pour une seule journée.

Le Vendredi fou entraîne toujours une ruée vers les armes, puisque des rabais substantiels sont offerts aux consommateurs. Mais le record de cette année s’inscrit dans une tendance lourde. Une analyse des chiffres du FBI montre que depuis avril, chaque mois s’est systématiquement soldé par des records de vérifications de sécurité liées aux achats d’armes.

Selon les experts, les attentats terroristes comme ceux qui ont frappé Paris, combinés aux fusillades de masse quasi quotidiennes sur le sol américain, créent un sentiment d’insécurité qui incite les gens à s’armer.

«La principale motivation expliquant les ventes d’armes est la crainte de la violence quotidienne, y compris les tueries de masse», affirme Jon Vernick, codirecteur du Johns Hopkins Center for Gun Policy and Research.

En fait, selon M. Vernick, les tueries comme celle survenue mercredi à San Bernardino ont un double effet. En plus de créer un sentiment d’insécurité, elles font ressurgir le débat sur le contrôle des armes à feu, incitant les amateurs d’armes à devancer leurs achats de crainte que les lois ne soient resserrées.

«Nous croyons qu’il n’y a pas nécessairement plus de gens qui achètent des armes, précise David Hemenway, professeur au département de santé publique et de gestion à l’Université Harvard. Souvent, ce sont des gens qui possèdent déjà des armes qui en achètent d’autres.»

Tout cela n’augure rien de bon quand on sait qu’une augmentation des armes en circulation, loin de favoriser la sécurité, fait directement augmenter les risques de violence.

«Les gens qui ont des armes à la maison sont plus susceptibles de devoir composer avec un homicide ou un suicide d’un membre de leur famille», rappelle Jon Vernick, citant de nombreuses études sur le sujet.

Chez nous, la Sûreté du Québec affirme ne pas avoir noté d’augmentation des demandes de permis d’armes depuis les attentats de Paris du 13 novembre.

Des ventes sous-estimées

Les ventes d’armes elles-mêmes n’étant pas comptabilisées aux États-Unis, les vérifications d’antécédents criminels effectuées par le FBI sont l’indice le plus utilisé pour estimer le rythme auquel s’arment les Américains. Selon le Johns Hopkins Center for Gun Policy and Research, ce chiffre sous-estime en fait les ventes d’armes, puisque pas moins de 40% d’entre elles se feraient par l’entremise de petits marchands non enregistrés qui ne vérifient pas les antécédents criminels de leurs clients.

http://www.lapresse.ca/

Des journalistes lisent des commentaires mesquins


Doit-on accepter la liberté de parole à tout prix ? Avec l’ère des réseaux sociaux, tout le monde peuvent émettre des commentaires sur les nouvelles. Malheureusement, certains commentaires des internautes sont méchants, voir cruelle. Dans ce courte vidéo, on remarque que pour les femmes journalistes, les commentaires vont jusqu’a incité la mort, ou sur le sexe. Combien de fois que des gens qui n’aiment pas une nouvelle sont vulgaires alors qu’ils pourraient tout simplement ne pas lire. Si nos enfants critiquaient de la sorte, accepterions-nous un tel comportement ? En plus si certaines personnes émettent des avis différents que la majorité eux aussi risquent de recevoir les pires insultes, est-ce que c’est cela être civilisé ?
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Des journalistes lisent des commentaires mesquins

 

On le sait, les commentaires ne sont pas toujours «constructifs» sur le web. Et c’est bien sûr aussi le cas pour les commentaires destinés aux journalistes, qu’ils soient lancés sur les réseaux sociaux ou à la suite d’une chronique.

La Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ), qui tenait récemment son congrès annuel, a évoqué le sujet dans le cadre d’un atelier intitulé «Haine, théories du complot et autres trolls».

Et pour l’occasion, elle a demandé à des journalistes de lire certains commentaires qui leur étaient destinés.

Sur son compte YouTube, la FPJQ explique ainsi son initiative:

«Les journalistes sont la cible de commentaires, parfois critiques, soit. Mais ils sont aussi inondés d’insultes, font face à de la méfiance, voire de la haine. L’équipe a voulu l’illustrer de façon humoristique.»

Maxime Deland, de l’Agence QMI, Judith Lussier, du journal Métro, Lili Boisvert, de Radio-Canada, Mathieu Charlebois, de L’Actualité et Paul Journet, de La Presse, ont bien voulu se prêter au jeu. À voir dans la vidéo ci-dessus!

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Schizophrénie : pourquoi certains ont des hallucinations et pas d’autres


Tous les schizophrènes ne sont pas égaux dans leurs symptômes. Cependant, les scientifiques ont pu constater les causes des hallucinations auditives ou visuelles. Je présume, que cela sera une avenue intéressante pour des traitements dans ce genre de phénomène hallucinatoire
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Schizophrénie : pourquoi certains ont des hallucinations et pas d’autres

 

Tous les schizophrènes n'hallucinent pas. Patricia Schwimm/SUPERSTOCK/SIPA

Tous les schizophrènes n’hallucinent pas. Patricia Schwimm/SUPERSTOCK/SIPA

Par Hervé Ratel

L’apparition d’hallucinations chez les schizophrènes dépend d’une structure cérébrale particulière élucidée par une équipe de chercheurs britanniques.

PERCEPTIONS. Toutes les schizophrénies ne se valent pas. Maladie plurielle (voir Sciences et Avenir n°818, avril 2015), elle agrège énormément de symptômes, plus d’une vingtaine, allant de la perte de mémoire aux délires de toutes sortes, en passant par les hallucinations visuelles comme auditives. Mais alors que certains malades n’ont de cesse d’être envahis par ces perceptions sensorielles parasites, d’autres n’en expérimentent jamais. Pourquoi ?

La taille du gyrus cingulaire varie

La réponse est à chercher dans le cerveau. Des chercheurs de l’université de Cambridge (Angleterre) viennent d’analyser les images IRM de 153 personnes souffrant de cette maladie. Ils ont été en mesure d’isoler la source des hallucinations : une région du cerveau, le gyrus cingulaire dont la taille varie en fonction des phénomènes hallucinatoires. Plus cette zone est petite, plus le patient a des hallucinations. Les chercheurs ont mesuré précisément la concordance : un centimètre de réduction chez les patients souffrant de ce trouble, correspond à 20% d’expériences hallucinatoires supplémentaires, qu’elles soient de nature visuelle ou auditive.

D’où l’intuition des chercheurs que cette zone nous servirait à discriminer les informations provenant de l’extérieur de celles que nous produisons nous même. Les malades avec un gyrus cingulaire réduit semblent ainsi incapables d’opérer un tel distinguo et prennent pour vrai des stimulis qui ne sont que le fruit de leur imagination.

http://www.sciencesetavenir.fr/

La science le confirme, la double trempette est risquée


L’éthique veut qu’on ne trempe pas la même croustille, légumes ou autre dans une trempette. Alors, que point de vue santé, le fait de manger un aliment et la replonger dans la trempette propage des bactéries dans la sauce.
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La science le confirme, la double trempette est risquée

 

Une étude scientifique américaine confirme les dangers de faire double trempette.

Une équipe de l’Université Clemson, en Caroline du Sud, a clairement démontré que la pratique des personnes qui replongent leur croustille, ou leur carotte, dans un bol de trempette est non seulement impolie, mais, surtout, très malpropre.

L’expérience a révélé qu’il y a 1000 fois plus de bactéries, par millilitre, dans une tasse d’eau dans laquelle a trempé une croustille déjà entamée que dans une tasse où l’on a trempé des croustilles intactes.

Les chercheurs ont ensuite procédé de la même manière avec des croustilles et des bols de trempette. Pour obtenir des résultats semblables.

George Costanza dans l'émission Seinfeld dans une scène d'anthologie sur le « double dipping »

George Costanza, l’un des quatre protagonistes de l’émission Seinfeld, dans une scène d’anthologie sur le « double dipping ». « Tu as trempé la croustille. Tu as pris une bouchée. Et tu l’as trempée de nouveau! » lance le personnage de Timmy. Photo :  YouTube/NBC

« Nous avons comparé trois sortes de trempettes : salsa, chocolat et fromage, qui diffèrent en acidité et en consistance. Nous avons aussi testé les trempettes deux heures après y avoir plongé des aliments pour voir comment progressaient les niveaux de bactéries », explique le professeur de sciences alimentaires Paul Dawson.

Résultat : sans double trempette, pas de bactérie détectée. Les bactéries nageaient dans les autres bols.

« La salsa dans laquelle les croustilles entamées ont été retrempées comportait cinq fois plus de bactéries que dans la trempette au chocolat ou au fromage », affirme le chercheur en expliquant la différence par la consistance des sauces.

« Les trempettes au chocolat et au fromage sont plus épaisses que la salsa. La sauce qui retombe d’une croustille entamée laisse aussi retomber dans le bol les bactéries qui proviennent de la bouche de celui qui a replongé sa croustille dans la trempette », a conclu le chercheur.

Avec CBC

http://ici.radio-canada.ca/