Je prête mes chaussures à qui juge mon chemin


Nous avons tous jugé des personnes sans connaître tout de leur parcours. Beaucoup ont eu des regrets du mal qu’ils ont pu causer. Il y a d’autres que c’est une habitude de critiquer pour détruire. Quand c’est nous que l’on juge, il est difficile de faire la sourde oreille, pourtant cela est nécessaire pour continuer notre route
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Je prête mes chaussures à qui juge mon chemin

 

    Nous ne devons pas laisser les jugements extérieurs conditionner notre vie. Les critiques constructives peuvent nous aider à grandir, mais nous devons apprendre à ignorer celles qui ont pour objectif de nous faire du mal.

    Combien de fois avez-vous dû faire face aux jugements des autres ?

    Parfois, nous avons suffisamment à penser avec nos obligations quotidiennes pour, en plus, devoir subir le jugement d’autres personnes sur ce que nous faisons ou que nous ne faisons pas.

    Il serait faux de dire que cela ne nous affecte pas.

    Il n’est pas évident de faire la sourde oreille face aux commentaires qui osent juger nos actions, surtout s’ils proviennent de personnes importantes comme notre famille, nos amis etc.

    A présent, personne ne sera un ami authentique ou un proche significatif s’il ose nous juger sans connaître nos émotions, nos expériences ni ce que nous portons sur notre dos et dans notre coeur.

    Personne d’autre que vous ne connaît la douleur de ces pierres que vous avez dû ramasser, et des rivières que vous avez traversées, parfois sans demander aucune aide à personne. Dans cet article, nous vous invitons à réfléchir à cela.

    Le chemin que nous avons construit et les sentiers vitaux qui nous définissent

    Vous n’êtes pas seulement cette femme qui se reflète dans le miroir. Vous n’êtes pas uniquement votre manière de vous habiller, ni les mots que vous consacrez aux autres.

    Vous êtes ce chemin et toutes vos expériences vécues et intégrées au plus profond de votre être, celles que les autres ne connaissent pas et que personne ne doit connaître si vous souhaitez que cela reste ainsi.

    Personne n’a l’obligation de parler de ses déceptions, de ses échecs ou de ses victoires. Alors pourquoi certaines personnes osent parfois juger sans savoir ?

  • Les personnes habituées à juger les autres ont tendance à être les plus frustrées.

  • Elles ont souvent des personnalités insatisfaites et projettent leur besoin de contrôle sur les autres.

  • Il est fréquent que beaucoup de nos proches aient pour habitude de nous juger :

« Tu as tout fait mal dès le début, tu crois que tu peux tout réussir alors que ce n’est pas toujours comme ça ».

  • Elles nous jugent avec l’intention de nous aider et de nous offrir un enseignement mais en réalité, elles veulent nous contrôler et que nous nous « emboîtions » dans leur manière de penser.

  • Parfois, celui qui juge le chemin parcouru essaie de justifier sa propre vie, en discréditant les autres. C’est quelque chose de très commun.

En réalité, quand on nous juge, on ne nous donne aucun argument valable. Ces personnes recherchent presque toujours l’attaque, l’affront ou le mépris. Leurs raisonnements sont très réducteurs.

  • Elles manquent d’auto-critique. Elles ne sont pas capables de mettre en valeur leurs propres actes et leurs propres mots pour voir qu’elles commettent des erreurs ou qu’elles peuvent faire du mal. Elles se limitent à projeter toutes les critiques sur les autres.

  • En général, les personnes habituées à juger notre chemin n’ont pas de vie authentique, de goûts affirmés, ni de passions qui les aident à relativiser les choses et à arrêter de se concentrer sur les autres.

http://amelioretasante.com/

La famille qui ne s’est jamais coupé les cheveux


Hum des cheveux longs comme Raiponce, c’est Jézabelle qui serait contente. Pourtant, une coupe de quelques centimètres de temps à autre ne fait vraiment pas de tort aux cheveux
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La famille qui ne s’est jamais coupé les cheveux

 

 

La plupart d’entre nous ont besoin d’une visite chez le coiffeur chaque deux ou trois mois, voire plus souvent. Chez les Svetlecich Russell cette visite ne s’est jamais produite.

Tere Lynn Svetlecich Russell et ses trois filles, Callan, Cendalyn et Chesney n’ont jamais coupé leurs cheveux. Le résultat? Une chevelure digne de Raiponce.

Selon Refinery 29, la matriarche de la famille se laisse allonger les cheveux depuis maintenant 43 ans et ses filles ont décidé de suivre ses traces.

La longueur totale des cheveux des femmes de la famille est équivalente à la hauteur moyenne d’un éléphant africain, selon le magazine. Leur longueur de cheveux totale est de plus de quatre mètres.

Incroyable, mais vrai, elles ne s’étaient jamais rendues dans un salon de coiffure avant la visite planifiée pour la vidéo ci-haut. Elles n’ont pas opté pour des coupes, mais plutôt pour des traitements.

Si la mère insiste pour dire que c’est le choix des jeunes filles de conserver leurs chevelures, elle tient toutefois à ce qu’elles soient « assez matures » pour prendre la décision elles-mêmes. La plus jeune de la famille souhaite d’ailleurs couper dix pouces, une opération qui risque de rompre avec la tradition.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Un village indien plante 111 arbres quand une petite fille naît


Peut-on changer le monde par des méthodes simples ? Un village en Inde l’a prouvé. Oui en Inde, le pays qui a fait les manchettes pour les viols a répétitions dont certaines sont mortes. C’est un très bel exemple qu’on peut redonner à la femme ses droits. Par ces gestes, le village se porte bien économiquement tout en protégeant la nature …
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Un village indien plante 111 arbres quand une petite fille naît

Dans un pays qui célèbre la naissance des garçons, ce village indien fait office d’exception. A Piplantri en Inde, lorsqu’une une petite fille naît, une centaine d’arbres sont plantés. Une belle tradition qui célèbre les femmes et participe à la protection de l’environnement.

C’est un oasis de paix dans un pays où les femmes n’ont jamais été autant en danger. Alors que l’Inde est empêtrée dans une véritable épidémie de viols (dernier scandale en date : l’agression sexuelle d’une religieuse de 75 ans) et alors que les mentalités semblent plus que jamais à la traîne, un petit village sort du lot. A Piplantri dans l’Etat du Rajasthan, les femmes sont célébrées et choyées dès le berceau. Mieux, 111 arbres sont plantés aux alentours du village à chaque naissance d’une petite fille. C’est en 2006 que Shyam Sundar Paliwal, alors chef du village, lance cette initiative. Très marqué par le décès de sa fille quelques années plus tôt, l’homme cherche un moyen d’honorer sa mémoire.

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Cet homme a donc décidé de planter des arbres à chaque naissance et va même plus loin. En effet, dès qu’une petite fille naît, les habitants du village et ses parents se cotisent pour lui ouvrir un compte en banque auquel elle aura accès à ses 20 ans.

Les habitants de ce village indien donnent 21 000 roupies (soit 314 euros) et les parents 10 000 roupies (soit 150 euros). Les géniteurs signent aussi une déclaration sous serment et s’engagent à fournir une éducation à leur fille et à ne pas la marier avant l’âge légal.

Une tradition qui fait du bien à l’économie

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En six ans, les 8 000 habitants de Piplantri ont planté un quart de million d’arbres. Cette nouvelle tradition a même permis de relancer l’économie. En effet, les villageois prennent soin de leur forêt et ont semé des plantes à l’aloe vera un peu partout pour protéger les arbres des termites. Résultat ? Grâce aux récoltes, ils ont pu créer leur propre ligne de produits médicinaux. Aujourd’hui, beaucoup de personnes vivent de ce commerce. Qui plus est, on considère Piplantri comme un village vert et il a reçu le prix India’s Nirmal Gram pour sa contribution à la protection de l’environnement.

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Les problèmes de communauté ont totalement disparu. Les habitants de ce village indien  affirment également qu’aucune affaire judiciaire n’a été déplorée depuis au moins sept ans.

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Voyant le lien intime entre la santé sociale et  la santé de l’environnement du village, la tradition de Paliwal a créé un véritable avenir durable pour les membres de la communauté.

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Quand on voit le lien entre les questions sociales et qu’on regarde leurs racines environnementaux, nous pouvons trouver des solutions uniques et incroyables à des problèmes modernes du monde. On ne penserait pas que quelque chose d’aussi insignifiant qu’un arbrisseau puisse changer le monde, mais rappelez-vous, ce jeune arbre deviendra un jour un arbre immense.

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Peur du dentiste? Voici (peut-être) une solution


Il existe une psychothérapie qui pourrait aider ceux qui ont la phobie du dentiste. Cette thérapie cognitivo-comportementale peut modifier les pensées et le comportement face aux bruits des instrument, de l’ambiance général à la clinique dentaire
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Peur du dentiste? Voici (peut-être) une solution

 

Peur du dentiste? Voici (peut-être) une solution

La recherche a mobilisé 99 femmes et 31 hommesPhoto Fotolia

Nous sommes nombreux à ne pas aimer le dentiste, mais chez certains cela prend une autre proportion, au point qu’ils en ont une vrai phobie. Cela met en danger leur santé, puisqu’ils évitent délibérément de rendre visite au spécialiste.

Heureusement, des chercheurs du King’s College de Londres ont montré dans une nouvelle étude que la thérapie cognitivo-comportementale pouvait grandement aider.

«Les gens qui ont une phobie du dentiste reçoivent le plus souvent une forme de sédatif pour les aider à se détendre pendant un petit moment, afin qu’ils reçoivent des soins dentaires, explique Tim Newton le professeur qui a mené l’étude. Cependant, cela ne les aide pas à surmonter leur peur sur le long terme. Le premier objectif de notre service de thérapie cognitivo-comportementale c’est de permettre aux patients de recevoir un traitement dentaire sans avoir besoin de sédatif.»

La recherche a mobilisé 99 femmes et 31 hommes, tous très nerveux à l’idée d’entendre le bruit de la fraise. Ils avaient aussi tous en commun d’avoir des problèmes de dents à cause de leur réticence à se rendre chez le dentiste.

Après la thérapie, quatre personnes sur cinq avec une phobie sévère du dentiste ont été capables d’aller chez le dentiste sans sédatif. Les personnes ayant participé à l’étude ont été soigneusement choisies, et les scientifiques ont découvert que certaines souffraient d’un état général d’anxiété ou de dépression.

Si vous avez peur du dentiste mais à un degré moindre, sachez que vous n’avez pas à souffrir en silence. Vous pouvez demander conseils et aide aux professionnels de la santé.

«L’hypnothérapie est possible, et beaucoup de dentistes la pratiquent, détaille le docteur Rhona Eskander de la Chelsea Dental Clinic. Je trouve que parler de ce qu’il va se passer avec les patients est vraiment important. J’essaye de découvrir ce qui effraye vraiment les patients. Est-ce que vous avez peur de l’injection ou du bruit de la roulette, de la douleur? La peur de l’inconnu? Qu’est-ce que c’est? Ensuite, j’essaye d’y répondre. Certains ont vraiment peur du bruit, donc je leur dis d’amener leur iPod, ou on met la station de radio qu’ils veulent, et je la mets vraiment très fort pour les distraire. Je parle aussi de façon à ce que les patients puissent me comprendre. Je trouve que le jargon c’est terrible.»

http://fr.canoe.ca/

La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est décrite comme étant une psychothérapie centrée sur la modification de pensées et de comportements problématiques. Celle-ci applique des principes dérivés de la recherche scientifique afin de traiter et modifier certains comportements humains. De plus, la TCC s’intéresse d’abord à la solution des problèmes actuels et en second lieu uniquement, à la compréhension de leur origine dans le passé. Une bonne relation thérapeutique est considérée comme étant essentielle à une psychothérapie d’approche cognitive-comportementale efficace. Enfin, il est possible de qualifier la TCC comme étant généralement active, directive, structurée et relativement de courte durée.

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La Chine est tellement polluée que cela se voit depuis l’espace


La Chine se serait pas le meilleur endroit à visité présentement Si la pollution peut se faire de l’espace, on peut s’imaginer la difficulté des personnes fragiles de simplement respirer
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La Chine est tellement polluée que cela se voit depuis l’espace

 

Le smog s'étend sur tout l'est de la Chine.

Le smog s’étend sur tout l’est de la Chine.

Photo: NASA

ENVIRONNEMENT – La NASA a publié une photo satellite du smog qui plane au-dessus de Pékin. La densité du nuage alerte sur sa nocivité.

Une couverture épaisse et dangereuse recouvre Pékin et l’est de la Chine. Le smog, brouillard provenant de la pollution, est visible depuis l’espace. En atteste une image satellite du 30 novembre diffusée par la NASA.

« L’image montre un immense nuage, des nuages bas et du brouillard sur la région », légende-t-elle sur son site internet.

Les nuances de gris révèlent leur nocivité. Face à cette météo, les autorités ont levé l’alerte orange, deuxième plus haut niveau de l’échelle de la pollution, graduée sur quatre. Les Chinois doivent ainsi rester chez eux et fermer leurs usines pour se protéger de telles conditions climatiques.

Fumées de charbon en cause

Selon la NASA, la plupart des particules dans la brume sont des aérosols sulfatés, produits par la combustion de charbon. Charbon utilisé pour alimenter les deux tiers de l’énergie du pays. Les émissions de CO2, également produites par ces fumées de charbon, devraient en théorie être régulée par des accords conclus pendant la COP21, organisée jusqu’au 11 décembre à Paris.

JUSTINE KNAPP

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Les baleines face au fléau du réchauffement climatique


Les baleines sont en danger par la hausse des océans, les changements climatiques et El Nino qui s’ajoutent aux calamités, sans compter l’activité humaine en tous genre et la chasse aux baleines sous le couvert de recherches scientifiques
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Les baleines face au fléau du réchauffement climatique

 

 

Les baleines franches australes menacées par le réchauffement climatique. © SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

Les baleines franches australes menacées par le réchauffement climatique. © SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

De nombreuses espèces de baleines sont menacées par les effets du réchauffement climatique et les activités humaines.

RÉCHAUFFEMENT. Soudain, une masse surgit des vagues de l’océan Pacifique, puis une autre… Sous le soleil tropical de Puerto Lopez, au large de l’Equateur, d’énormes baleines caracolent avec leurs petits, sans avoir conscience de la menace du changement climatique qui les affecte. Ce spectacle à couper le souffle se répète tout au long des côtes latino-américaines, de Puerto Piramides (Argentine) à la Laguna Ojo de Liebre (Mexique), en passant par Cabo Blanco (Pérou) ou Bahia Malaga (Colombie). Mais partout, ces géantes du monde animal pâtissent de la hausse des températures, qui modifie leurs sources d’alimentation et leurs cycles migratoires, de plus en plus longs et épuisants. 

« Le changement climatique affecte les baleines », déplore Cristina Castro, biologiste équatorienne interrogée par l’AFP à Puerto Lopez, où elle observe les baleines à bosse (Megaptera novaeangliae) depuis 18 ans. 

Comme d’autres espèces, ces cétacés descendent jusqu’à l’Antarctique pour s’alimenter, puis remontent vers l’Equateur pour se reproduire. Mais ce tracé est perturbé par le réchauffement des eaux, qui désoriente les baleines et chamboule leur parcours.

« Les baleines à bosse ne s’arrêtent plus à l’Equateur. Elles remontent jusqu’au Costa Rica, vont et viennent durant toute la saison. Nous avons repéré des trajets de plus de 10.000 km depuis l’Antarctique jusqu’à des zones d’alimentation au Brésil et même en Afrique », s’inquiète la biologiste.

Une acidification inquiétante des océans

Selon la Commission baleinière internationale (CBI), entre 8.000 et 10.000 baleines à bosse ont été repérées en 2015 dans la zone de reproduction du Pacifique, qui va du Pérou au Costa Rica.

Le réchauffement de la planète « affecte tous les écosystèmes, en particulier l’Antarctique », confirme Mariano Sironi, spécialiste argentin des baleines franches australes (Eubalaena australis). 

Il réduit la quantité de kril, base de l’alimentation des baleines, dans les zones polaires où ces mammifères en ingèrent plusieurs tonnes par jour afin d’engraisser avant d’entreprendre leur migration. Roger Payne, scientifique américain qui a fait connaître le chant des baleines de la Patagonie dans les années 70, tire le signal d’alarme aussi sur l’acidification des océans, également due au changement climatique et qui met en danger la reproduction des cétacés.

« Avec l’enquête que nous avons menée en Argentine ces 45 dernières années, nous avons la preuve de l’effet du changement climatique sur l’une des principales espèces marines : les femelles ne mettent bas que lorsque les conditions pour alimenter leurs petits sont favorables », a-t-il précisé à l’AFP.

L’effet dévastateur d’El Niño

 

La situation des baleines risque encore de s’aggraver avec les conséquences « dévastatrices » d’El Niño affectant déjà les espèces marines de l’archipel équatorien des Galapagos et dont l’épisode actuel devrait connaître un pic d’activité cet hiver.

« On s’attend malheureusement à ce que les effets globaux du changement climatique reflètent en grande partie ceux d’El Niño » comme dans les années 1982-83 et 1997-98, épisodes les plus violents depuis 1950, ont averti les responsables du Parc national des Galapagos dans un rapport.

El Niño, phénomène météorologique consécutif à l’interaction entre l’océan et l’atmosphère qui réchauffe la région du Pacifique, a provoqué la disparition de 90 % des iguanes marins, 50 % des loups de mer, 75 % des pingouins et de presque tous les phoques âgés de moins de trois ans. Pour M. Sironi, la diminution du kril dans l’Antarctique implique moins de naissances de baleineaux.

« Cela peut aussi affecter la capacité de survie des petits », souligne le directeur de l’Institut de conservation des baleines. « Une mère mal alimentée génère un lait de moindre qualité et cela implique un baleineau également mal alimenté », ajoute Florencia Vilches, coordinatrice du Programme d’adoption de la baleine franche australe, dans la péninsule argentine de Valdés, sanctuaire de l’espèce.

Des menaces liées à l’activité humaine

A Puerto Lopez, Cristina Castro a observé des baleines à bosse « amaigries » par le manque de nourriture dans l’Antarctique et les migrations plus longues.

« Elles sont osseuses, malades, pleines de parasites. Ce que nous ne voyions pas auparavant », relève la directrice d’enquête de la Fondation baleines du Pacifique (Pacific Whale Foundation, PWF), basée aux Etats-Unis, lors d’une observation de baleines à bosse au large du port de pêche de Puerto Lopez (295 km au sud-ouest de Quito), paradis de cette espèce. 

Les concentrations de baleines (protégées depuis 1986 par un moratoire international interdisant leur chasse) sont une attraction le long des côtes de plusieurs pays d’Amérique latine.

Mais ces géantes sont en danger, tout comme la baleine bleue dont la population « ne montre plus de signe d’augmentation », avertit la présidente du Centre de conservation des cétacés du Chili, Barbara Galletti, qui les observe depuis 15 ans. 

D’autant qu’à l’impact insidieux du réchauffement climatique sur les baleines s’ajoutent, selon Rodrigo Hucke, chercheur de l’Université australe du Chili, d’autres menaces plus immédiates, dues elles aussi à l’activité des humains, telles que des blessures mortelles lors de chocs avec des navires et l’accroissement du bruit dans les océans qui parasite la communication des cétacés. De plus, le moratoire mondiale de 1986 présente une faille : il autorise la recherche létale sur les mammifères. Le Japon se sert de cette faille afin d’envoyer des baleiniers en Antarctique, chassant plusieurs baleines de Minke (Balaenoptera acutorostrata) sous couvert de recherches scientifiques.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Une idée contre les trolls racistes: mettre leurs commentaires sur des panneaux géants


Je ne sais pas si c’est la meilleure approche, mais cela fait comprendre que même a la veille d’une nouvelle année, le racisme existe toujours. Et pourtant, cela devrait être des histoires d’une époque ancienne.
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Une idée contre les trolls racistes: mettre leurs commentaires sur des panneaux géants

 

Capture d'écran d’une vidéo de l'ONG Criola via YouTube.

Capture d’écran d’une vidéo de l’ONG Criola via YouTube.

Repéré par Claire Levenson

Une ONG a décidé de lancer une campagne de prévention avec le slogan «Racisme virtuel, conséquences réelles».

Au Brésil, si vous écrivez des messages racistes sur Twitter ou Facebook, vos commentaires pourraient se retrouver sur un panneau géant dans une rue à côté de chez vous. Afin de contenir le flot de haine sur les réseaux sociaux, l’association afro-brésilienne Criola a lancé une campagne intitulée «Racisme virtuel, conséquences réelles», rapporte la BBC.

Depuis cet été, les militantes de Criola sélectionnent des commentaires racistes sur Twitter et Facebook et utilisent des outils de géolocalisation pour déterminer où se trouvent leurs auteurs. Elles achètent ensuite un espace publicitaire sur des panneaux des environs, et y publient les commentaires en grosses lettres, tout en pixellisant les noms et les photos des trolls.

Jusqu’ici, l’association a acheté des panneaux dans quatre villes différentes, dont Porto Alegre et Feira de Santana. L’idée est de faire honte aux auteurs de commentaires racistes, en espérant qu’il seront horrifiés lorsqu’ils reconnaîtront leurs mots diffusés en grand à côté de chez eux.

La campagne a été mise sur pied en réaction à un déferlement d’insultes racistes sur Facebook contre Maria Julia Coutinho, première présentatrice météo noire. Comme le précise la BBC, il existe des lois contre les injures racistes, mais Jurema Werneck, la fondatrice de Criola, estime que trop de gens encore les craignent et diffusent donc sans crainte ce genre de propos:

«Ces gens pensent qu’ils peuvent être tranquilles chez eux et écrire n’importe quoi sur internet. Nous ne les laisserons pas faire. Ils ne peuvent pas nous échapper, nous les retrouverons.»

«Racisme cordial»

En 2012, Le Monde consacrait un large article à ces problèmes de racisme entre populations blanches, noires et métisses.

«L’inégalité raciale est flagrante à tous les niveaux, à commencer par la répartition des richesses, écrivait le quotidien. Deux tiers des pauvres sont noirs ou métis. À qualification égale, les noirs gagnent en moyenne deux fois moins que les blancs. Une femme noire ne perçoit environ qu’un quart du salaire d’un homme blanc.»

Aujourd’hui, le constat n’a pas vraiment changé. On parle également de «racisme cordial», une expression popularisée par une journaliste brésilienne pour décrire un racisme «poli sans violence directe mais ancré dans les mentalités», comme l’expliquait Rue89 en mai 2015.

Le site rappelait ainsi la polémique autour de «blagues» racistes publiées sur Snapchat par plusieurs gymnastes de l’équipe olympique.

«Ces plaisanteries, dès l’enfance, entérinent un sentiment d’infériorité chez les noirs et génèrent cette perception de supériorité des Blancs, expliquait à Rue89 Gabriel Rocham, historien à l’université de Sao Paulo. Ces blagues, monnaie courante pour les populations noires brésiliennes, ont des conséquences psychologiques nuisibles pour beaucoup d’entre eux.»

Jusqu’ici, Jurema Werneck rapporte que, sur les réseaux sociaux, la plupart des réactions à la campagne «Racisme virtuel, conséquences réelles» sont positives, comme celle-ci:

«Faites attention à vos commentaires, vous pourriez être le prochain à avoir vos phrases postées sur un panneau.»

http://www.slate.fr/

Voici comment des cheminots japonais ont sauvé des dizaines de tortues


Aménager des passages pour éviter que les tortues soient écrasées par le train est la solution qu’on trouvé des travailleurs au Japon. Au moins, cela peut faire baisser le taux de mortalité chez cette espèce
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Voici comment des cheminots japonais ont sauvé des dizaines de tortues

 

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Crédits: AFP

Les cheminots japonais ont trouvé un moyen ingénieux d’empêcher les tortues s’aventurant sur les voies de connaître une mort tragique et de retarder les trains.

Dans la préfecture de Nara, dans l’ouest du pays, à 45 minutes de Kyoto en train, ces petits animaux ont perturbé le trafic 13 fois entre 2002 et 2014 en tombant dans les interstices des aiguillages avant de s’y faire écraser par le mécanisme au moment d’un changement de voie.

La compagnie ferroviaire s’est donc associée à l’aquarium Suma Aqualife de Kobe et a trouvé une solution : creuser des tranchées étroites sous les voies permettant à l’animal de traverser sans encombres malgré sa lenteur.

« Les tortues ne font que mener leur train-train en cherchant à traverser les voies pour parvenir à un étang voisin », a expliqué un porte-parole. « Lorsque la lame d’aiguille se déplace pour aller vers la contre-aiguille, elles sont malheureusement écrasées entre les deux ».

« Il y a beaucoup de tortues dans cette zone et elles veulent simplement aller d’un point A à un point B mais, ce faisant, outre leur mort certaine, elles peuvent provoquer d’importants retards. Nous avons donc fait appel à un spécialiste des tortues afin de trouver le meilleur moyen de les aider ».

Depuis que ces fossés creusés près des lieux fatidiques ont été achevés le mois dernier, 10 tortues ont échappé à une mort certaine, affirment les responsables des chemins de fer.

Les ouvriers contrôlent les tranchées régulièrement et quand ils y trouvent une tortue, ils la remettent sur le droit chemin, a précisé le porte-parole.

La ligne du TGV local a été construite à 5 minutes à peine du grand étang de Nara, célèbre pour accueillir plusieurs espèces de la faune locale. Les tortues terrestres en danger dans cette zone ne font pas partie des espèces menacées selon les classements des ONG, mais il reste crucial pour la sauvegarde de l’environnement de préserver leur sécurité.

http://quebec.huffingtonpost.ca/