L’homme qui a le plus de trous dans le corps au monde


Un autre qui à mon avis, détruit son corps. Me semble que le voir manger ne doit pas être ragoutant et boire, le liquide doit couler hors de la bouche. Non, franchement, c’est affreux et quand il sera plus âgé, comment sera son visage
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L’homme qui a le plus de trous dans le corps au monde

 

L'homme qui a le plus de trous dans le corps au monde

L’artiste Joel Miggler.Photo Gentside

Adepte des piercings, cet artiste body art en possède pas moins de 27, dont deux qui ne passent définitivement pas inaperçus.

Il détient le record de l’homme qui a le plus de trous dans la peau dans le Livre Guinness des records.

En effet, Joel Miggler possède dans chacune de ses joues deux trous de 3,6 cm de diamètre qui permettent de voir l’intérieur de sa bouche ou encore de faire passer un fil de l’un à  l’autre.

Selon lui, Joel Miggler affirme que ces deux énormes trous ne lui causent aucune gêne au quotidien, notamment lorsqu’il s’agit de boire et de manger.

Accro à  la transformation corporelle, celui-ci voudrait même poursuivre son oeuvre en réalisant à  l’avenir d’autres piercings et en se faisant poser un implant dans le globe oculaire.

http://fr.canoe.ca/

Voici comment se transmet une information chez les fourmis


Les scientifiques ont pu filmer les interactions entre fourmis pour véhiculer l’information.
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Voici comment se transmet une information chez les fourmis

 

La fourmi 217 transmet l'information au reste du groupe. © Stefano Di Criscio / YouTube

La fourmi 217 transmet l’information au reste du groupe. © Stefano Di Criscio / YouTube

Par Anne-Sophie Tassart

MESSAGER. Les fourmis sont des insectes sociaux par excellence. Elles vivent dans une communauté extrêmement complexe où chaque insecte à son rôle à jouer. C’est pour cela que la communication est quelque chose d’indispensable à la survie de la colonie.

Une étude publiée dans Science et menée par des chercheurs suisses a permis de montrer de manière plus concrète la propagation d’une information au sein du groupe. L’équipe a filmé pendant 41 jours des fourmis ouvrières provenant de 6 colonies différentes (il s’agit de l’espèce Camponotus fellah). Chacune d’entre elles a été marquée, ce qui a permis de suivre leurs déplacements sur un écran de contrôle. Plus de 9 millions d’interactions ont été comptabilisées durant l’étude. De quoi classer les individus en trois groupes différents, dont chacun a des comportements propres. La fourmi numéro 217 de la vidéo présentée ci-dessous possède une information qu’elle va partager avec ses congénères. Les fourmis « naïves » sont marquées en rouge alors que celles détenant l’information sont marquées en bleu. Dans cette étude, c’est la transmission via les antennes qui est prise en compte.

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