Oui ou Non


Combien de fois que nous disons oui, alors qu’en réalité la réponse aurait du être non ? Cette peur de décevoir, de se sentir délaissée ou autres sentiments négatifs. Pourtant, il est important de penser à nous, a nos capacités, a nos propres besoins
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Oui ou Non

 

« Lorsque vous dites « oui » aux autres faites en sorte de ne pas dire « NON » à vous-même

Paulo Coelho

Il piège sa copine en faisant exploser son enfant de 3 ans !


Je ne sais pas si vous trouvez cela drôle, moi, je continue à croire que tout n’est pas à rire. C’est vraiment de très mauvais goût
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Il piège sa copine en faisant exploser son enfant de 3 ans !

 

 

L’acteur et humoriste américain Roman Atwood piège sa copine avec la complicité de son enfant de 3 ans et un quad téléguidé.

Profitant d’un court absence de sa copine, Roman Atwood remplace rapidement son enfant par un mannequin qu’il installe au guidon du quad.

Le véhicule se met alors à rouler dangereusement en direction d’un tremplin, sous les yeux paniqués de la maman qui est de retour. Une caméra cachée explosive !

http://www.insoliteqc.com/

Le Saviez-Vous ► Combien d’animaux mange-t-on au cours d’une vie ?


Je trouve qu’une moyenne de 7 000 animaux mangé pendant une vie pour une personne est beaucoup, cependant, avec le coût du panier d’épicerie et surtout de la viande et du poisson, je doute que les omnivores puisse en manger à toutes les semaines et donc loin du compte
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Combien d’animaux mange-t-on au cours d’une vie ?

 

L’homme est carnivore et le prouve avec 2 400 poulets ingurgités au cours de sa vie et ce n’est pas tout…

Combien d’animaux, l’homme ingurgite-t-il au cours d’une vie ? Selon la fondation Vegetarian Calculator, une personne ayant un régime alimentaire « omnivore-carnivore » avale environ 7000 animaux au cours de son existence. Ce chiffre est relayé par le site américain USAToday.

Au niveau mondial, un être humain consommerait en moyenne selon cette étude : 11 vaches, 27 cochons, 30 moutons, 80 dindes, 2 400 poulets et 4 500 poissons, rapporte Sud-ouest. Les lapins et les canards… ne sont pas pris en compte.

On peut donc aisément ajouter 500 autres animaux aux 7 000 qui passeraient à la casserole selon cette étude.

http://www.lunion.com/

Nos ancêtres ne dormaient pas plus longtemps que nous


Nos ancêtres n’étaient pas de grands dormeurs malgré le peu d’activité nocturne qu’il pouvait y avoir. Leur sommeil était à peu près comme le nôtre sauf qu’ils ne connaissaient probablement pas les nuits blanches chroniques
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Nos ancêtres ne dormaient pas plus longtemps que nous

 

Les chercheurs notent en terminant que l'insomnie chronique... (Photos.com)

Les chercheurs notent en terminant que l’insomnie chronique est essentiellement inconnue au sein de ces sociétés traditionnelles.

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On pourrait croire que nos maisons illuminées, nos téléviseurs constamment allumés, nos téléphones intelligents qui vibrent et nos cafetières bien usées nous empêchent de dormir aussi longtemps qu’avant, mais cela est faux, s’il faut en croire une étude publiée récemment par le journal scientifique Current Biology.

Des chercheurs ont constaté que les membres de trois tribus de chasseurs cueilleurs dorment, en moyenne, un peu moins de 6,5 heures par nuit. Ils ne font pas non plus de sieste et ne vont pas nécessairement au lit avec la tombée de la nuit.

En d’autres mots, leurs habitudes de sommeil ne sont pas radicalement différentes des nôtres, si ce n’est du fait qu’ils se réveillent habituellement avant le lever du soleil.

Le psychiatre Jerome Siegel, de l’Université de la Californie à Los Angeles, a dit que cela remet en question la notion que notre vie moderne effrénée nous empêche de profiter d’une quantité de sommeil «naturelle» – et qu’il faut prendre des somnifères pour remédier à la situation.

M. Siegel et ses collègues ont étudié 94 individus membres de trois tribus de chasseurs cueilleurs de Tanzanie, de Namibie et de Bolivie. Ils ont découvert que ces groupes épars ont des structures de sommeil étonnamment similaires, ce qui reflète probablement la structure de base du sommeil chez l’humain.

La durée moyenne du sommeil allait de 5,7 à 6,1 heures.

Même s’ils vivent sans électricité, ces chasseurs cueilleurs n’allaient pas au lit au moment de la noirceur. Ils restaient éveillés, en moyenne, un peu plus de trois heures après le coucher du soleil et allaient dormir au moment où la température fléchissait, de manière à dormir pendant la portion la plus fraîche de la nuit. Ils dormaient une heure de plus par nuit en hiver qu’en été.

Les chercheurs notent en terminant que l’insomnie chronique est essentiellement inconnue au sein de ces sociétés traditionnelles. Deux des tribus n’ont même pas de terme pour décrire le problème.

http://www.lapresse.ca/

On nourrit aussi son cerveau !


 

Le cerveau a besoin d’une saine alimentation pour exécuter le travail demandé, que ce soit la compréhension, la réflexion, mémorisation, réflexion …
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On nourrit aussi son cerveau !

 

fatigue cerveau

© ThinkStock

Parce que la fatigue physique est pesante, il est parfois nécessaire d’adapter notre alimentation.

Mais saviez-vous que votre cerveau peut lui aussi être soumis à la fatigue ? Certains apports lui sont donc nécessaires.

C’est une réalité. Pour permettre au cerveau de donner le meilleur de lui-même, c’est-à-dire pour lui donner la capacité de doper nos performances intellectuelles (réflexion, mémorisation, concentration…), notre alimentation joue un rôle majeur. Du sucre, du fer, des oméga 3, des vitamines et minéraux…, en tout 40 substances « pro-QI » lui sont nécessaires à chaque instant. Et avec nos emplois du temps de ministre, des programmes scolaires bien chargés, nos neurones trop souvent sollicités s’épuisent vite. À moins de revoir un peu notre alimentation… Notamment, en veillant à confectionner des repas variés et équilibrés, autrement dit : pauvres en glucides simples (confiseries, biscuits, pâtisseries…) et en graisses saturées, et riches en glucides complexes, viandes maigres et poissons, fruits et légumes.

Le plus : boire de l’eau dès le réveil pour hydrater le cerveau.

http://www.topsante.com/

Il gagne 40 millions $ donne tout à des organismes


Je ne joue pas à la loterie, pour moi c’est du vol purement et simplement, n’empêche que quelques personnes gagnent des gros moments. Qui par contre, peut se vanter d’utiliser le gros lot pour le bien de la communauté
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Il gagne 40 millions $ donne tout à des organismes

 

Il gagne 40 millions $ donne tout à des organismes

CALGARY – Alors que certains rêvent de remporter le gros lot et de prendre une retraite dorée, un homme de Calgary, qui a gagné 40 millions $ à la Lotto Max, a décidé de donner la totalité de son gain.

Tom Crist a attendu sept mois avant d’aller chercher discrètement son chèque en 2013, en se promettant de tout donner à des organismes.

Tellement discret que même sa fille, Mandy Buckner, n’a appris que sur Facebook que son père avait gagné un gros lot.

«J’ai dit : « Et Papa, est-ce que tu as gagné à la loterie? » A-t-elle raconté à CTV Calgary. J’ai appris qu’il avait tout donné. Je n’étais pas surprise.»

Tom Crist a créé une fondation à son nom et a fait son premier don à un centre de cancérologie de Calgary, en l’honneur de sa femme décédée de cette maladie.

Il a l’intention de continuer à faire des dons à différents organismes choisis par les membres de sa famille, dont Les Grands Frères Grandes Sœurs et le Manoir Ronald McDonald.

«Mon plus jeune fils aime les animaux, il voulait donner au zoo, donc nous avons fait un don au zoo de Calgary», a raconté M. Crist à CTV News.

Sa fille assure que les membres de la famille appuient entièrement la décision de leur père et qu’ils sont reconnaissants de la chance qu’ils ont de contribuer à des causes qui comptent pour eux.

http://fr.canoe.ca/

Elle mange 20 éponges de cuisine par jour


Je ne comprends pas qu’elle n’a jamais vu de médecin pour ce genre de dépendance étant donné qu’elle n’avait que 3 ans quand elle a commencé à manger des éponges.
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Elle mange 20 éponges de cuisine par jour

 

Elle mange 20 éponges de cuisine par jour

Crédit photo : Capture d’écran The Daily Mail

Une jeune Britannique de 23 ans a une très curieuse dépendance.Elle mange jusqu’à 20 éponges de cuisine par jour, trempées, en plus, dans du liquide lave-vaisselle à saveur de pomme.

Emma Thompson a commencé à mâchouiller des éponges à l’âge de trois ans. Elle souffre d’une maladie peu commune nommée pica.

Les personnes qui sont atteintes de ce trouble compulsif dévorent des objets sans aucune valeur nutritionnelle, certaines vont jusqu’à avaler des clous ou du métal.

(Capture d’écran The Daily Mail)

Emma plonge les éponges dans le liquide pendant toute une nuit, avant de les manger.

«C’est mon plaisir coupable», dit-elle. Elle les mâche, et en avale des morceaux. Elle dit aimer le goût du liquide lave-vaisselle à saveur de pomme, selon le Daily Mail.

Elle n’a pas encore rencontré de médecin, pour parler de sa compulsion. Elle dit qu’elle ne le fera que si cela la rend malade, ou si elle «perd le contrôle» de ses envies.

Son petit ami la trouvait bizarre, au début, mais lui achète maintenant des éponges.

http://tvanouvelles.ca/

Mort d’enfants autochtones: une enquête publique envisagée


Des enfants, des adolescents des Premières Nations meurent pour diverses raisons. Les décès sont plus élevés que la majorité de la population québécoise que ce soit par le suicide, par mort violente ou d’autres raisons tout aussi obscures. Ce n’est pas juste au Québec, au Canada être un enfant ou une femme autochtone n’est pas sans risque
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Mort d’enfants autochtones: une enquête publique envisagée

 

Deux cent cinquante-neuf enfants et adolescents autochtones sont... (PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE)

Deux cent cinquante-neuf enfants et adolescents autochtones sont morts violemment ou dans des circonstances obscures depuis 15 ans au Québec, dont la fille de Délima Flamand (photo), qui s’est suicidée à l’âge de 11 ans après avoir subi plusieurs agressions sexuelles.

PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE

GABRIELLE DUCHAINE, CAROLINE TOUZIN

La Presse

La coroner en chef du Québec envisage d’ouvrir une enquête publique d’une rare ampleur dans la foulée des révélations de La Presse sur la mort violente ou suspecte de 259 enfants et adolescents autochtones dans la province.

>>>Découvrez les histoires des 259 victimes (ce lien montre une série de photo qui chacune raconte comment chaque enfant est mort ndlr)

Hier, les partis de l’opposition ont joint leur voix à celle de l’Assemblée des Premières Nations pour demander au gouvernement Couillard de faire la lumière sur cette tragédie.

«La coroner en chef [Me Catherine Rudel-Tessier] envisage une telle enquête, mais aucune décision n’a été prise de la tenir pour le moment, indique la porte-parole du Bureau du coroner, Geneviève Guilbault. À titre d’organisme dédié à la protection de la vie humaine, il va de soi qu’un tel phénomène de mortalité touche directement notre mission et nous interpelle.»

La Presse a révélé, le week-end dernier, que 259 enfants et adolescents autochtones étaient morts violemment ou dans des circonstances obscures depuis 15 ans au Québec, dont une enfant de 11 ans qui a mis fin à ses jours dans une communauté attikamek.

Le taux de morts suspectes chez les enfants Inuits et des Premières Nations est près de quatre fois supérieur à celui de l’ensemble de la jeunesse québécoise, révèle notre compilation effectuée à partir de quelque 3000 rapports de coroner traitant de la mort d’une personne de moins de 19 ans dans la province depuis l’an 2000.

Les jeunes autochtones ont un taux anormalement élevé  non seulement de suicide, mais aussi de mort subite du nourrisson, de troubles pulmonaires, de maladies et d’accidents de toutes sortes. Les problèmes liés à l’éloignement ou au manque de ressources sont à l’origine de nombreux décès.

Si une enquête est lancée, le Bureau du coroner voudra aller au-delà des causes et des circonstances entourant chaque décès, puisqu’elles ont déjà été établies dans les rapports d’investigation des coroners, précise sa porte-parole.

«L’objectif serait davantage d’aller plus loin en dégageant certains constats et, surtout, en se questionnant à savoir ce qui peut être fait pour remédier à ces situations; quelles recommandations pouvons-nous faire pour améliorer la vie de ces jeunes et, ainsi, éviter des décès? Pour être bien fait, un tel projet exige énormément de temps et de ressources.»

L’opposition réclame une enquête

Dans un article paru hier, le chef de l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador, Ghislain Picard, s’est dit ébranlé par la violence de certains décès révélés dans nos reportages et a pressé le gouvernement québécois de réaliser une enquête publique sur cette tragédie.

Hier, en entrevue avec La Presse, des députés du Parti québécois et de Québec solidaire ont fait écho à la demande du leader autochtone.

«On ne peut pas penser qu’on va mettre ça dans une petite boîte et l’oublier. C’est du mépris», dit la députée péquiste Carole Poirier, qui a aussi milité cette année en faveur d’une prise en charge par le Québec du dossier des femmes autochtones disparues et assassinées.

«Il y a eu les femmes. Maintenant, c’est les jeunes! Il y a un gros problème de transparence de la part du fédéral sur la situation des autochtones au Canada, dit-elle. Le gouvernement provincial a une responsabilité. Ces violences se passent sur son territoire. On a un devoir d’agir.»

Même discours chez Québec solidaire.

«C’est tellement alarmant et capotant de lire [l’histoire de ces enfants]. Mais eux [les autochtones], ils le savent déjà. Ce n’est pas nouveau, mais il faut qu’on se le mette dans la face», dit la députée Manon Massé.

«Le coroner a l’air de dire qu’il y a une faisabilité. Derrière ça, c’est une question d’argent. J’invite le ministre des Affaires autochtones Geoffrey Kelley à convaincre le Conseil des ministres d’enclencher une enquête. Le ministre doit dire au Conseil que ça n’a plus de bons sens. Si c’est de l’argent qu’il manque, on va en trouver parce qu’on le trouve pour autre chose.»

Selon Mme Massé, c’est aussi pour Québec une simple question d’être conséquent. En septembre 2014, l’Assemblée nationale a en effet adopté une motion à l’unanimité pour appuyer les demandes des Premières Nations et des Inuits faites à Ottawa pour la tenue d’une commission nationale d’enquête sur les disparitions et les assassinats de femmes autochtones au Canada.

«Cette fois, dit la députée de QS, il y a une demande semblable [au sujet des enfants autochtones] qui est faite au gouvernement du Québec. Il faut y accéder. On ne peut pas demander aux autres de faire ce qu’on n’est pas capable de faire.»

http://www.lapresse.ca/