Pardonner n’est pas évident, pourtant, il est souvent nécessaire de faire ce pas pour tourner la page
Nuage
Pardon
« Quand tu pardonnes tu ne changes pas le passé, tu change le futur «
Inconnu
Pardonner n’est pas évident, pourtant, il est souvent nécessaire de faire ce pas pour tourner la page
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Pardon
« Quand tu pardonnes tu ne changes pas le passé, tu change le futur «
Inconnu
L’enfance, l’âge où l’on doit tout apprendre, même les choses les plus simples, mais qui nous fait décrocher un sourire
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C’est compliqué de ramasser des balles
L’automne s’installe de plus en plus confortablement, les portes, les fenêtres se ferment et les virus se concentrent dans des espaces clos, fêtant le retour en force du rhume
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Les premières pluies s’abattent sur la France (et ailleurs NDLR) et les mouchoirs ont retrouvé leur place au fond de nos poches.
Les températures hivernales ne sont pas encore arrivées, mais les maladies typiques des changements de saison sont déjà là. Et en première place sur le podium se trouve un grand classique : le rhume.
Le rhume est provoqué par un virus qui irrite les muqueuses des fosses nasales et des sinus et augmente la sécrétion de liquide. Ce virus se transmet très facilement d’une personne à l’autre, par simple contact ou par contamination d’un objet.
Une fois contaminée, la personne réagira différemment en fonction de son état de santé. Si elle est stressée ou fatiguée et si elle fume (la cigarette irrite les voies respiratoires), le risque est plus important.
En raison de leur système immunitaire fragile, les jeunes enfants sont particulièrement exposés à ce virus. Et le contact avec les autres enfants à la crèche ou à la maternelle augmente les risques. Les personnes âgées ou souffrant d’une maladie chronique sont également plus exposées que les autres.
Pour prévenir le rhume, quelques techniques de grand-mère peuvent vous aider : s’habiller chaudement, aérer les chambres, faire du sport et manger de façon équilibrée pour rester en bonne forme et lutter contre le virus.
Avec le coût du panier d’épicerie qui ne cesse d’augmenter, la viande est souvent exclue des achats malgré l’alimentation pourrait être mal équilibrée. Les insectes seraient une alternative qu’il faudrait de plus en plus considérer comme une solution
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Sauterelle/a> / Vannick via Pixabay CC License by
Repéré par Vincent Manilève
Une nouvelle étude menée par l’université d’Oxford montre que les petites bêtes sont plus nutritives que les viandes que l’on consomme habituellement.
Normalement, au moment où vous lirez ces lignes, vous ne serez plus à table. Et c’est une bonne chose, car l’étude menée par des chercheurs d’Oxford pourrait bien vous couper l’appétit pour le reste de la journée.
Le site Medical Daily explique qu’une équipe de chercheurs a comparé les apports nutritifs des insectes et ceux des viandes que les plus carnivores d’entre nous ont l’habitude de manger. Dans le détail de l’étude, publié sur le site Nature, les chercheurs expliquent qu’ils ont utilisé deux techniques différentes. La première, appelée Ofcom, s’appuie sur des échantillons de 100 grammes pour analyser le niveau d’énergie, de sodium, de gras saturé et de sucre pour leur attribuer une valeur allant de 1 à 100. Plus le score est proche de 100 et plus la matière analysée est nutritive. L’autre méthode utilisée, le Nutriment Value Score (NVS), utilise une technique semblable mais se concentre sur la teneur de protéine, d’énergie, de niveau de gras, de vitamines et de calcium.
D’un côté, il y avait, entre autres, des crickets, des abeilles, des vers à soie, des chenilles. De l’autre, du poulet, du bœuf, ou encore du porc. Résultat, pour la première méthode les insectes atteignaient des niveaux semblables à ceux de la viande «classique», mais dans les résultats du NVS, les insectes arrivaient toujours en tête:
«La composition nutritionnelle a montré une grande diversité entre les espèces, notent les auteurs de l’étude. Selon le modèle Ofcom, aucun insecte était “meilleur pour la santé” que les produits à base de viande. Les crickets assignés au modèle NVS, les charançons rouges des palmiers et les ténébrions meuniers ont un score plus sain que le bœuf et le poulet. Aucun insecte n’était statistiquement moins sain que la viande.»
Valeurs NVS pour les différents insectes et viandes testés (Oxford university).
Certains insectes sont si nutritifs que «la viande serait nutritionnellement préférable à certains insectes dans une situation de suralimentation».
Ce qui signifie aussi que les insectes pourraient aussi devenir une solution idéale, bien meilleure que la viande, en cas de sous-nutrition.
De plus, la mise en place d’élevages d’insectes est bien facile et moins coûteuse que pour le bétail auquel nous sommes habitués. Quand il faut des années pour qu’une vache arrive à maturité, il suffit de quelques jours aux insectes pour atteindre leur forme finale et l’on peut les stocker dans des espaces bien plus petits.
Reste à savoir quand le grand public sera prêt à consommer les petites bestioles.
La cigarette ne nuit pas juste aux humains, l’environnement aussi en paie les frais. On en retrouve partout, dans le sable des parcs pour les enfants, les rues, rivières, lacs, plages …. Le côté positif, c’est qu’on peut recycler les mégots ….
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La ville de Paris a décidé que ses trottoirs ne seraient plus pris pour un vaste cendrier. Depuis le 1er octobre, 500 agents sont chargés de distribuer des amendes de 68 euros aux fumeurs qui jettent leurs mégots à terre. Mais que faire de tous ces mégots?
Au Canada, aucune ville ne sévit encore contre ce fléau écologique, comme le fait Paris, mais la compagnie Terracycle, basée à Toronto, est la première à recycler ce déchet le plus répandu sur la planète.
On ramasse dans les rues de Paris, chaque année, 350 tonnes de mégots. Dans le monde, ce sont 4500 milliards de mégots qui sont jetés dans les rues, les rivières et les égouts.
Le problème, c’est que chaque mégot prend 10 ans à se désintégrer.
Terracycle a notamment transformé des mégots en palettes de transports industriels et en mobilier urbain. Le projet est financé par Imperial Tobaco et Terracycles paie les mégots à ses fournisseurs.
Les mégots proviennent de 21 pays, d’individus, mais aussi d’organisations comme les Casinos du Québec.
Les personnes âgées ont besoin d’une vie sociale avec des personnes réelles. Même si les courriels et téléphones dépannent quand les gens sont éloignées, ce sont les bonnes vieilles rencontres face à face qui sont de loin préférables
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Les chercheurs ont constaté que de faibles interactions en personne doublent pratiquement le risque de dépression au bout de deux ans.
PHOTO DIGITAL/THINKSTOCK
Les aînés qui rencontrent en personne des proches et des amis sont moins susceptibles de souffrir de dépression que ceux qui communiquent avec eux par courriel ou au téléphone, démontre une nouvelle étude.
Les bienfaits de ces interactions en personne continuent à être ressentis même plusieurs années plus tard, ajoutent les chercheurs.
Les scientifiques de l’université Oregon Health & Science expliquent que cette étude, même si on sait depuis longtemps que de solides liens sociaux renforcent la santé mentale, est à la première à s’intéresser à l’impact du type de communication avec les proches et les amis.
Cela leur a permis de constater que toutes les formes de socialisation ne sont pas égales. L’auteur de l’étude, le docteur Alan Teo, a expliqué que les communications téléphoniques ou électroniques ne sont pas aussi puissantes que les interactions en personne, quand vient le temps de combattre la dépression.
Ces conclusions découlent de l’examen de plus de 11 000 adultes âgés de 50 ans et plus.
Les chercheurs ont constaté que de faibles interactions en personne doublent pratiquement le risque de dépression au bout de deux ans. Le nombre de conversations téléphoniques ou de communications écrites n’avait aucun impact sur ce risque.
En revanche, les sujets qui rencontraient parents et amis en personnes au moins trois fois par semaine avaient le taux le plus faible de symptômes dépressifs après deux ans.
Les participants âgés de 50 à 69 ans semblaient surtout tirer profit de rencontres avec des amis, tandis que ceux âgés de 70 ans et plus avaient surtout besoin de rencontres avec leurs enfants et d’autres parents.
Les conclusions de cette étude sont publiées dans le Journal of the American Geriatrics Society.
Un trouble mental assez étrange que de se voir difforme par une tumeur au visage alors qu’il en est rien. Le fait que cette dame est une artiste permet de mieux voir ce qu’elle se représente d’elle-même
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Leigh de Vries avec sa prothèse en latex.Photos Instagram
Leigh de Vries souffre d’un trouble très particulier. Elle ne se voit pas telle qu’elle est vraiment dans la réalité.
Lorsqu’elle se regarde dans le miroir, cette femme, qui est également une artiste multidisciplinaire, se voit avec une énorme tumeur du côté droit du visage. Il n’en est pourtant rien, et elle a des traits tout à fait normaux, même jolis.
Leigh de Vries souffre d’un trouble dysmorphique du corps. Ce trouble est caractérisé par une préoccupation constante d’un défaut de l’apparence, qui est invisible pour les autres, rapporte le média Dazed.
Ce trouble mental est extrêmement grave et peut mener à la mort. Les anorexiques par exemple, se voient comme obèses, alors qu’elles sont souvent extrêmement maigres.
Leigh de Vries a commencé à se percevoir de cette façon à l’adolescence. Elle a craint pendant des années de sortir de chez elle et d’effrayer les gens en raison de son apparence physique, qui était pourtant tout à fait normale.
Afin de faire comprendre la difficulté qu’elle vit aux gens du public, elle a pensé mettre sur pied une expérience particulière. Une maquilleuse professionnelle lui a confectionné une prothèse en latex, qui correspond à l’image qu’elle a d’elle-même.
Leigh de Vries est ensuite sortie de chez elle avec l’apparence qu’elle a toujours cru avoir, et a confronté la foule. Si l’expérience a été effrayante pour la jeune femme, elle a finalement réalisé qu’elle était tout à faire normale, et surtout, qu’elle était jolie.
Elle raconte son parcours dans une exposition en place depuis le 26 septembre dernier, au Royaume-Uni.
Si un chien change de comportement ou prend tout d’un coup certaines postures, il serait préférable d’en parler au vétérinaire
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Par Sophie Le Roux
Détecter la douleur chez le chien n’est pas toujours facile. Si seulement nos animaux de compagnie pouvaient parler ! Mais certains symptômes ne trompent pas. Des changements de comportement doivent vous alerter, mais aussi certaines postures, qui peuvent être les signes d’un mal-être, physique ou psychologique.
Si votre chien adopte l’une des 3 postures suivantes, ne tardez pas à l’emmener chez le vétérinaire, car il pourrait être malade.
Le chien est prosterné sur le ventre
Si votre chien se prosterne, le train-arrière levé et le haut du corps au sol – la position du prieur – il est possible qu’il souffre d’une douleur abdominale.
Un chien qui adopte une posture de prosternation peut souffrir de douleurs abdominales. (© Flckr – trophygeek)
Le chien pose sa tête contre un mur
Si votre chien appuie sa tête contre un mur sans aucune raison, peut-être souffre-t-il d’un traumatisme cérébral, d’un empoisonnement, d’une tumeur ou d’une infection.Les vétérinaires d’une association néerlandaise avaient mis en garde les propriétaires de chiens et de chats voilà quelques mois via un message posté sur Facebook.
Si votre chien appuie sa tête contre les murs, emmenez-le chez le vétérinaire. (facebook.com/steunpuntvoordieren)
« Le chien ci-dessus appuie la tête contre le mur. Cela peut paraître amusant ou mignon à première vue. Pourtant, il est en danger. Il fait cela parce qu’il est atteint d’une encéphalopathie hépatique » alertait l’association.
Le chien penche la tête vers le bas
Un chien qui penche la tête vers le bas de façon répétée et sur la durée peut souffrir de douleurs cervicales. Si vous remarquez que votre chien marche la tête basse, emmenez-le rapidement voir un vétérinaire.
Si votre chien marche la tête basse alors qu’il n’est pas en train de renifler ou suivre une piste, et garde cette posture, il est possible que son cou le fasse souffrir. (© Flickr – Chris)