Vivre de belles valeurs


Quelles devrait être nos vraies priorités ? Dans une société que les objets prennent de plus en plus de place dans nos vies, les compagnies, les gouvernements eux s’intéressent que du pouvoir économique qu’ils sont prêts à nous faire croire que le bonheur se trouvent dans l’argent et le crédit
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Vivre de belles valeurs

 

« Les gens ne vivent plus pour les belles choses mais pour celles qui ont un prix. »

Danakil

Le Saviez-Vous ► Vivre sous une roche


Une façon de se protéger des grandes chaleurs et du froid. Avoir une partie des habitations faites de roche donne une certaine protection
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Vivre sous une roche

par Caroline Bouffard

Les 3000 habitants de Setenil de las Bodegas en Espagne vivent presque littéralement sous une roche.

En effet, beaucoup d’habitations sont construites dans et sous la paroi rocheuse creusée par la rivière Rio Trejo. Ce sont pour des raisons pratiques que les gens se sont installés là. La paroi et les grottes environnantes offrent une protection contre la chaleur l’été et le froid l’hiver. De plus, on n’a qu’à construire un mur ou deux pour avoir une habitation fermée. On pense que la paroi est habitée depuis la préhistoire.

Setenil de la botega village sous la roche

Setenil de la botega village sous la roche

Setenil de la botega village sous la roche

Setenil de la botega village sous la roche

http://www.canald.com/

Un pont de verre suspendu se fissure en Chine


Difficile à voir sur une photo, mais reste à savoir si cette fissure peut affaiblir le verre. Ce n’est quand même pas très rassurant
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Un pont de verre suspendu se fissure en Chine

 

Il n’aura pas tenu bien longtemps. Inauguré fin septembre dans le parc national chinois de Shiniuzhai, un pont suspendu en verre situé à 180 mètres du sol s’est fissuré à un endroit, suscitant la panique des touristes présents.

L’un d’entre eux aurait laissé tomber une tasse en acier inoxydable sur le verre, sur le deuxième carré en partant du bas

« Beaucoup de gens ont commencé à crier. Je hurlais: ‘Il a craqué! Il a vraiment craqué! Et puis je poussais les personnes en face de moi pour que nous puissions avancer », raconte un témoin sur le réseau social chinois Weibo, comme le rapporte20minutes.fr.

Le pont, baptisé « Haohan Bridge » (« Pont des hommes braves »), est pourtant capable de supporter une charge de 800 kilos par m◊, selon un porte-parole du parc nationalcité par le Telegraph.

Selon le South China Morning Post, sa structure est composée de câbles d’acier et de panneaux de verre de 24 mm d’épaisseur.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Des îles flottantes de fourmis en Caroline du Sud


Les inondations en Caroline du Sud aux États-Unis ont fait beaucoup dégâts, des rues, des maisons, des automobiles inondées. Les animaux et insectes voient aussi leur environnement détruit et chacun survit à sa manière
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Des îles flottantes de fourmis en Caroline du Sud

 

(capture d’écran, Fox News)

Alors que des inondations sans précédent ont touché la côte de la Caroline du Sud ce weekend, un journaliste du réseau américainFox News est tombé sur une île flottante formée de fourmis, phénomène plutôt impressionnant.

Ce qui ressemblait à première vue à de la boue flottant à la surface s’est avéré être une île flottante constituée de milliers de fourmis formant un radeau, afin de rester au sec.

Les images ont été filmées dans le comté de Greenville, dimanche dernier.

D’autres personnes ont également été témoins à plusieurs endroits de ces fourmis qui s’entraident pour survivre dans des conditions difficiles.

Selon les experts, ce comportement des fourmis est tout à fait normal, même habituel, même s’il n’est pas observé régulièrement.

Selon le National Geographic, les fourmis, dès qu’elles perçoivent une montée de l’eau ou un risque d’inondation, protègent leurs oeufs et forment leur embarcation.

Grâce aux poils sous leur ventre, les fourmis se situant au «rez-de-chaussée» arrivent même à rester au sec, puisqu’une couche d’air forme un coussin.

http://tvanouvelles.ca/

Une nouvelle espèce découverte: le rat au nez plat


Un rat avec une bien drôle de tête a été découverte Indonésie. Ce petit animal semble bien sympathique
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Une nouvelle espèce découverte: le rat au nez plat

 

Une nouvelle espèce découverte: le rat au nez plat

La nouvelle espèce de mammifère appelée le rat au nez plat.Photo AFP / Musée Victoria

Des scientifiques de plusieurs pays effectuant des travaux en Indonésie ont découvert une nouvelle espèce de mammifère appelée le rat au nez plat, en raison de ses caractéristiques jamais vues auparavant.

Cette créature a été découverte dans une région de montagne isolée sur l’île de Sulawesi, dans le centre de l’Indonésie, précise le musée australien Victoria, dont des scientifiques ont participé aux travaux.

Le rat, dont l’appellation scientifique est Hyorhinomys stuempkei, a des caractéristiques «jamais vues auparavant par la science», ajoute le musée dans un communiqué publié mardi.

Cette découverte est celle d’une équipe de scientifiques d’Indonésie, d’Australie et des États-Unis.

Outre son nez rose plat et grand, doté de narines dont la forme sont similaires à celles d’un porc, l’animal a de grandes oreilles, une petite bouche et de longues dents de devant, selon la même source.

Sur les photos, le mammifère semble avoir la même taille qu’un rat.

«Je suis toujours stupéfait de pouvoir aller en forêt et trouver une nouvelle espèce de mammifère si différente des autres espèces que celles référencées par la science», a indiqué Kevin Rowe, un scientifique du musée Victoria ayant participé aux recherches.

Ce mammifère est carnivore et se nourrit probablement de vers de terre et de larves d’insectes, notamment.

http://fr.canoe.ca/

30 ans après le drame, la faune renaît à Tchernobyl


Tchernobyl, quand on pense a cette ville, la plupart ont en tête la catastrophe nucléaire qui a fait évacuer tous les habitants de la zone contaminée par la radioactivité. Ces lieux ne sont donc plus habités par l’homme, mais la faune et la flore reprennent avec force le territoire
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30 ans après le drame, la faune renaît à Tchernobyl

 

La catastrophe de Tchernobyl qui a forcé tous... (Photo Alain Roberge, archives La Presse)

La catastrophe de Tchernobyl qui a forcé tous les habitants à évacuer la zone pour ne jamais y revenir, avait aussi contaminé une bonne partie de l’Europe, mais surtout l’Ukraine, la Russie et le Belarus, alors des républiques soviétiques.

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

Agence France-Presse
WASHINGTON

Près de trente ans après l’accident nucléaire de Tchernobyl en Ukraine, la faune est florissante dans la zone d’exclusion désertée par les humains où élans, cerfs, chevreuils, sangliers et loups sont de nouveau abondants, indique une étude internationale.

L’étude montre que ces mammifères sont au moins aussi nombreux à l’intérieur du périmètre de 4200 km2 autour de la centrale, que dans les réserves naturelles environnantes non contaminées par la radioactivité.

Ce recensement, dont les résultats ont été publiés lundi dans la revue Current Biology, a été effectué par observations aériennes sur la vaste zone dévastée par un incendie suivi d’une explosion d’un des réacteurs en avril 1986.

Il montre ainsi que les loups y sont sept fois plus nombreux que dans les parcs proches de la région.

«Il est très probable que les populations de ces animaux à Tchernobyl sont beaucoup plus nombreuses aujourd’hui qu’elles ne l’étaient avant l’accident», estime Jim Smith de l’Université de Portsmouth au Royaume-Uni, un des co-auteurs de ces travaux.

«Cela ne signifie pas que la radioactivité est bonne pour la faune sauvage mais seulement que les effets des activités humaines comme l’agriculture, la chasse et l’exploitation forestière sont nettement pires», ajoute-t-il.

Les premières études après l’accident nucléaire avaient révélé des effets importants de l’irradiation dans la zone d’exclusion, dont une forte réduction des populations animales.

Cette dernière observation montre à quel point la nature est tenace et pourrait aussi fournir des éclairages importants pour mieux comprendre l’impact potentiel à long terme de la catastrophe de Fukushima au Japon en 2011.

Les observations par hélicoptère ont révélé un regain des élans, des chevreuils et des sangliers à Tchernobyl dans une période allant de un à dix ans après l’accident et ce au moment où les populations de ces mammifères déclinaient ailleurs dans l’ex-Union Soviétique, précisent les chercheurs.

La catastrophe de Tchernobyl qui a forcé tous les habitants à évacuer la zone pour ne jamais y revenir, avait aussi contaminé une bonne partie de l’Europe, mais surtout l’Ukraine, la Russie et le Belarus, alors des républiques soviétiques.

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Pourrait-on boire l’eau qu’il y a sur Mars?


Si jamais des hommes et femmes vont coloniser Mars, ils espèrent sans doute que d’ici là, la Nasa trouvera les sources d’eau douce que la planète rouge est supposée de cacher dans ses entrailles
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Pourrait-on boire l’eau qu’il y a sur Mars?

 

Pourrait-on

Matt Damon dans le film The Martian. Capture d’écran Gentside

Y a-t-il de l’eau liquide sur Mars? La réponse est oui. Mais n’allez pas croire que les plus curieux se contentent de ça. Certains se posent déjà une autre question: est-elle potable?

La réponse est non, en tout cas pas les traces d’eau liquide découvertes récemment par l’engin de la NASA. Il faut bien comprendre qu’il ne s’agit pas d’un cours d’eau ou d’une mare, mais plutôt de terre humide. En plus, cette eau est chargée en perchlorates, des sels minéraux. Ces composés peuvent malheureusement avoir des effets néfastes sur la santé, au niveau de la thyroïde par exemple.

Néanmoins, tout espoir n’est par perdu. Cette eau provient sans doute d’une source, et il suffirait de la localiser pour accéder directement à de l’eau potable. Selon Jim Green, directeur de la division planétaire de la science de la NASA, cité par IFLScience, la clé pour trouver de l’eau potable sur Mars sera de localiser les réserves d’eau douce en dessous de la surface martienne.

Les 50 années d’études de la planète rouge ont permis aux scientifiques de savoir que ces réserves existaient, mais reste encore à  les localiser. Ce sera l’une des missions du rover que la NASA enverra sur Mars à l’horizon 2020.

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