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Par nos peurs, nos pensées négatives, par nos remords, nous mettons nous-même des obstacles sur notre route
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Vous ne serez pas libéré tant que vous ne croirez pas que c’est vous qui forgez les chaînes qui vous retiennent.

Gary Renard

Le Saviez-Vous ► Pourquoi la Joconde n’a-t-elle pas de sourcils ?


La Jaconde avait-elle des sourcils à l’origine ? Quelle était la mode de cette époque ?
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Pourquoi la Joconde n’a-t-elle pas de sourcils ?

 

Mona Lisa, adepte de l'épilation intégrale.

Mona Lisa, adepte de l’épilation intégrale.

JUSTINE KNAPP

Photo: SIPA

DIS POURQUOI – Les plus observateurs auront remarqué l’absence de sourcils de Mona Lisa du tableau de Leonard de Vinci, les autres s’en étonnent à l’instant. Cette pilosité particulière ne relève pas de la coquetterie.

► Les faits

La Joconde, peinte au XVIe siècle par Léonard de Vinci , attire indéniablement l’œil des visiteurs du musée du Louvre. Le regard de Mona Lisa intrigue autant qu’il fascine, accentué par une absence de sourcils mystérieuse.

► Pourquoi ?

Une première explication désignait la mode de l’époque comme responsable de cette épilation exagérée. La jeune femme serait née à Florence, en mai 1479. Or, à la Renaissance, le haut front se veut chic, poussant les femmes à s’arracher une partie des cheveux, les sourcils et les cils.

Une théorie démontée en 2007 par Pascal Cotte. Directeur technique de la société parisienneLumiere Technology, il est invité par le musée du Louvre à numériser La Joconde trois ans plus tôt. Grâce à un appareil photo ultra-perfectionné mis au point par ses soins, il a pu mesurer les spectres lumineux du tableau, de l’infrarouge à l’ultraviolet. Après un travail de fourmi, les couleurs initiales de l’œuvre, ternies par le temps, sont apparues. Les sourcils du sujet également.

Une copie de La Joconde, exposée au musée du Prado, à Madrid, confirme la présence initiale des sourcils en question. Peint par un disciple et contemporain de Leonard de Vinci, le tableau, mieux conservé, présente un regard souligné.

► Conclusion

Réjouissons-nous de l’époque. La photographie moderne ne laissera pas de doute quant à nos préférences épilatoires.

La copie de la Joconde, avec ses sourcils (détail)

La copie de la Joconde, avec ses sourcils (détail)

http://www.metronews.fr/

Hope, une tortue albinos, est née dans un parc des Pyrénées-Orientales


Un magnifique bébé tortue qui est très différente de ses congénères.
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Hope, une tortue albinos, est née dans un parc des Pyrénées-Orientales

 

Hope, une tortue albinos, est née dans les Pyrénées-Orientales - Photo Facebook La Vallée des tortues

Hope, une tortue albinos, est née dans les Pyrénées-Orientales Photo Facebook La Vallée des tortues

Le 16 septembre dernier, dans la Vallée des tortues à Sorède, dans les Pyrénées-Orientales, une tortue albinos, ou plus exactement hypomélanistique, est née. Il s’agit d’un animal rarissime.

Blanche de la tête aux pattes, cette tortue nommée Hope est en passe de devenir une star des réseaux sociaux. Sa photo qui a été publiée sur la page Facebook de la Vallée des tortues a en effet été vue plus de 105 000 fois et partagée plus de 800 fois. La particularité de cette tortue de race Boettgeri est d’être hypomélanistique, ce qui signifie qu’elle ne produit pas assez de mélanine, un pigment foncé de la peau. Elle est donc toute claire, mais contrairement aux albinos, elle n’a pas les yeux rouges et supporte le soleil.

« C’est la première fois qu’on a un tel animal ! Nous allons lui apporter tous les soins et toute l’attention nécessaire », a déclaré Julien Quies, responsable animalier du parc. « Elle a toutes les chances de grandir normalement mais elle aura besoin d’un peu plus d’attention. Elle est spéciale mais normale. Normale car on la nourrit et on s’en occupe exactement comme les autres », a-t-il ajouté.

http://www.ladepeche.fr/

Les corbeaux apprennent à rester en vie grâce à la mort de leurs semblables


Les corbeaux se ressemblent près d’un semblable mort en croassant. Ce n’est pas de la compassion qui les font agir ainsi mais bien des informations qu’ils relèvent du cadavre
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Les corbeaux apprennent à rester en vie grâce à la mort de leurs semblables

 

Repéré par Robin Verner

Lorsqu’ils aperçoivent le corps sans vie d’un de leurs congénères, les corbeaux se rassemblent auprès de lui en croassant. Un curieux deuil que décryptent une étude scientifique.

Longtemps, on a donné aux employés de pompes funèbres le triste surnom de«corbeaux», la faute à leurs mines contractuellement contrites et à leurs tenues sombres. Il se pourrait que leur présence rituelle aux funérailles ait aussi joué dans la formation de ce sobriquet car on sait que les corbeaux se rassemblent bruyamment autour des cadavres des leurs. Une étude à paraître en novembre conduite par la doctorante Kaeli N. Swift sous la direction du docteur John Marzluff de l’université Washington (située à Seattle) a cherché à percer le secret de ce deuil animal, comme l’explique le New York Times.

La chercheuse a donc sélectionné des portions des trottoirs de Seattle afin de mener à bien ses expériences. Toutes les semaines pendant deux ans, la même scène, un rien terrifiante pour les riverains, se répétait. Kaeli Swift s’approchait pour donner de la nourriture aux corbeaux, derrière elle se tenait un volontaire le visage caché derrière un masque et, dans la main de celui-ci, parfois, un cadavre de corbeau empaillé. Aussi étrange que le port du masque paraisse, il était nécessaire car les corbeaux pouvant reconnaître les visages et les volontaires alternant régulièrement, ils ne devaient pas savoir à qui ils avaient affaire. 

«C’était un truc à la Hannibal Lecter. On avait l’impression avec ce masque que vous aviez arraché le visage de quelqu’un puis en aviez recouvert le vôtre», détaille benoîtement Kaeli Swift.

Plusieurs fois, des passants ont voulu appeler à la police malgré un écriteau mentionnant le caractère scientifique de l’expérience.

L’information oui, la compassion non

Pourtant, les savants ont réussi à recueillir nombre d’informations et à formuler des conclusions. Lorsque le volontaire s’avançait avec son corbeau mort dans les bras, il était près de la moitié du temps bombardé en piquet par une escadrille hurlante. Sans le défunt oiseau, les corbeaux se contentaient de fuir. Le site Inverse rapporte que les oiseaux étaient plus agités encore autour du porteur si celui disposait en plus de son corbeau d’une buse à queue rousse, prédateur de leur espèce. De plus, après avoir noté la présence du cadavre d’un de leurs semblables, les corbeaux pouvaient montrer des réticences à revenir au même endroit pour s’y nourrir.

Kaeli N. Swift retire de l’examen de ces noirs corvidés plusieurs informations. Le rassemblement des corbeaux à la mort de l’un d’entre eux et les cris poussés autour de cet événement auraient des vertus didactiques. En agissant ainsi, ils semblent s’alerter mutuellement à la fois de l’endroit du danger et de la nature de celui-ci. En revanche, apparemment, ce n’est pas le chagrin qui les étouffe.

http://www.slate.fr/

Cet homme n’a pas coupé ses ongles en 62 ans et vient de remporter un record du monde


Un record du monde qui a quand même limité les gestes de cet homme.Pendant toutes ses années, il a dû renoncée à des actes très simples, est-ce que cela en valait la peine ?
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Cet homme n’a pas coupé ses ongles en 62 ans et vient de remporter un record du monde

 

TozxxuT

Un Indien du nom de Shridhar Chillal ne s’est pas coupé les ongles depuis 1952.

Il avait 16 ans lorsqu’il a arrêté de se couper les ongles de sa main gauche, aujourd’hui il a 78 ans et il détient les ongles les plus longs du monde!

Ses ongles mesurent au total 909.6 centimètres ensemble, le plus long est celui de son majeur qui fait 186.6 centimètres à lui seul.

Tout a commencé lorsque lui et son ami se sont fait punir par l’un de ses enseignants pour lui avoir brisé un ongle, les adolescents ne comprenaient pas pourquoi ils avaient mérité une punition et l’enseignant leur a dit qu’ils ne comprendront pas tant qu’ils n’auront pas des ongles aussi longs.

Il ajoute qu’il a l’intention de les couper dans un avenir rapproché et d’en faire don à un musée.

 

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Un bébé survit par miracle à une décapitation interne lors d’un accident


C’est vraiment extraordinaire ce que les médecins ont pu faire pour cet enfant. Déjà, le mot décapitation laisse froid dans le dos, cet enfant pourra vivre tout à fait normalement dans quelques semaines
Bravo à toute l’équipe médicale
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Un bébé survit par miracle à une décapitation interne lors d’un accident

Le petit Jackson Taylor gardera durant huit semaines un corset cervico-thoracique, mais il devrait ensuite pourvoir reprendre une vie normale.

Le petit Jackson Taylor gardera durant huit semaines un corset cervico-thoracique, mais il devrait ensuite pourvoir reprendre une vie normale.

Photo: Capture d’écran 7 News Melbourne

AUSTRALIE – Les médias anglo-saxons saluent un « miracle » après l’opération réalisée avec succès sur un bébé australien de 16 mois, victime d’un grave accident de la route. Alors que son crâne s’était détaché de sa colonne vertébrale, les chirurgiens sont parvenus à le sauver.

De nombreux médias avaient rapporté il y a trois ans l’histoire d’une Américaine de 23 ans, Rachel Bailey, sauvée après avoir été victime d’une décapitation interne lors d’un grave accident de voiture. Un cas similaire agite aujourd’hui les médias anglo-saxons, à une différence (de taille) près : le miraculé est cette fois un bébé australien.

« Beaucoup d’enfants ne survivraient pas »

Jackson Taylor, 16 mois, aurait pu mourir ou garder des séquelles irrémédiables après que la voiture que conduisait sa mère, qui transportait également sa grande sœur de 9 ans, est entrée en collision frontale à plus de 110 km/h avec un autre véhicule, il y a un peu plus de deux semaines. Le neurochirurgien de l’hôpital de Brisbane qui l’a ensuite opéré, Geoff Askin, a déclaré à la chaîne 7 News Melbourne que les blessures du bébé étaient les pires qu’il ait jamais vues : la violence du choc avait occasionné une décapitation interne, c’est-à-dire que son crâne s’était détaché de sa colonne vertébrale. Par chance, les nerfs vitaux n’avaient pas été sectionnés ni irrémédiablement endommagés.

« Beaucoup d’enfants ne survivraient pas à de telles lésions, et ceux que l’on parviendrait à ranimer risqueraient de ne jamais pouvoir marcher ni respirer par eux-mêmes », a assuré Geoff Askin, présenté comme « le parrain de la chirurgie de la colonne vertébrale » en Australie.

Avec lui et son équipe, l’enfant semble en tout cas avoir été entre de très bonnes mains. Après une opération d’urgence de 6 heures, la tête du petit Jackson a été « rattachée » à ses vertèbres grâce à du fil et une partie de l’une de ses côtes. Aujourd’hui, l’enfant se remet peu à peu de l’intervention. Il portera pendant huit semaines un corset de maintien cervico-thoracique, de manière à favoriser la guérison des tissus et des nerfs reliant sa tête à sa colonne vertébrale.Sur les images de la télévision australienne, on voit Jackson, soutenu par son père, parvenir à taper dans un ballon tout en portant cette sorte de halo. Le petit ange devrait ensuite reprendre une vie tout à fait normale.

La belle histoire du jour : un bébé survit par miracle à une décapitation interne lors d'un accident

Capture d’écran 7 News Melbourne

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Facebook : 8 profils qui veulent dire beaucoup


Parmi ces profils, on se retrouve tous probablement sur ces 8 exemples. Ce sont des comportements qui sont ensuite analysés par une psy
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Facebook : 8 profils qui veulent dire beaucoup

 

 

Par Julie Toury

 

Du pote dépressif à la jeune maman gaga, en passant par l’ado désinhibée, la psychologue Vanessa Lalo nous aide à décrypter 8 profils types d’utilisateurs de Facebook. Découvrez qui se cachent derrière vos amis.

Sur Facebook, il y a ceux qui racontent leur vie en détails et ceux qui préfèrent commenter l’actualité. Ceux qui inondent leur mur de photos et ceux qui se planquent derrière un pseudo. Ceux qui s’exposent sous leur meilleur jour et ceux qui se plaignent constamment… Mais qui se cachent vraiment derrière ces profils ? Pour le savoir, nous avons demandé à Vanessa Lalo, psychologue des médias numériques, de nous aider à décrypter la personnalité de huit utilisateurs types de Facebook. Toute ressemblance avec certains de vos amis ne serait que fortuite…

Profil Facebook n°1 : l’incognito

Il ne montre jamais son visage. Il utilise un avatar ou une photo de paysage comme image de profil. Il déteste être tagué dans les clichés de ses amis. Parfois même, il n’utilise pas son vrai nom, mais un pseudonyme. Mais s’il aime se faire discret sur Facebook, il ne l’est pas forcément dans la vie.

L’avis de la psy

« À travers ses applications, Facebook nous force à révéler un maximum d’informations personnelles. Cet utilisateur ne veut pas être un pigeon et souhaite simplement garder le contrôle sur son identité. Il ne cherche pas à se cacher, mais à se protéger ! Tout dépend aussi de l’utilisation que l’on fait de Facebook. Il est tout à fait compréhensible que certaines personnes n’aient pas envie d’être reconnues par leurs collègues dans des albums de soirées. Le risque ? À l’heure où il suffit de taper le nom d’un individu dans Google pour connaître sa vie, celui qui limite l’accès à ses infos perso devient suspect. Un éventuel recruteur penserait qu’il a quelque chose à cacher… »

PROFIL FACEBOOK N°2 : LE « 3615 MYLIFE »

Il/elle détaille son emploi du temps sur Facebook, en l’illustrant souvent de photos : « Bonjour les amis ! », « Allez, un petit café avant de partir au boulot », « le facteur vient de m’apporter un beau cadeau », « En direct de la cabine d’essayage : je prends le rose ou le vert ? ».

L’avis de la psy

« Ce comportement peut révéler plusieurs traits de caractère. Il y a les personnes qui utilisent leur page Facebook comme un outil de communication. Raconter sa journée, c’est un peu faire son personal branding, autrement dit gérer son image, rappeler à l’humanité qu’on existe et qu’on peut nous contacter… Parmi ces profils, on remarque aussi beaucoup de femmes, qui restent isolées chez elles et, peut-être, s’ennuient. En détaillant leur quotidien sur Facebook, elles peuvent se dire, à la fin de la journée : « En fait, j’ai fait plein de choses, aujourd’hui ! ». Dans tous les cas, il s’agit de personnes qui ont besoin d’attirer l’attention sur elles. »

PROFIL FACEBOOK N°3 LA JEUNE MAMAN

Tous les trentenaires en ont parmi leurs amies Facebook… Cette copine, qui vient d’accoucher, et dont les statuts ne tournent qu’autour de son bébé : « Ça y est, la première dent est sortie », « Mais quand est-ce qu’il fera ses nuits !!? ». Parfois, elle fait parler Bébé à la première personne : « Regardez comme je suis beau en père Noël ! ».

L’avis de la psy

« Certaines utilisatrices de Facebook ne postent jamais rien jusqu’au jour où elles tombent enceintes. La maternité donne à de nombreuses femmes le sentiment de devenir enfin quelqu’un : « avant je n’étais rien, maintenant je suis maman… ». Elles ont l’impression que leur vie est devenue, d’un coup, plus intéressante et la partagent donc, plus facilement. Par le biais de Facebook, elles cherchent aussi à se rassurer et recevoir le soutien d’autres mères. Elles aiment l’idée d’appartenir à un nouveau clan. »

PROFIL FACEBOOK N°4 : LE POPULAIRE

Il a 4 000 amis. Dès qu’il rencontre quelqu’un dans la vraie vie, il lui demande d’être ami sur Facebook. Il accepte toutes les propositions d’amitié, même de profils inconnus, suspects et inintéressants.

L’avis de la psy

« On peut clairement parler de personnalités narcissiques, qui veulent se prouver à elles-mêmes et aux autres, qu’elles ont de l’importance. Plus elles ont d’amis Facebook, plus elles se sentent exister. Or, ce sont peut-être ces mêmes individus qui comptent le moins de vraies amitiés en dehors de l’écran… Après, cela dépend aussi de l’usage que l’on fait de Facebook. Dans certaines branches professionnelles, il est utile de se constituer un réseau sur internet. On accepte alors n’importe quel contact pouvant s’avérer utile. »

PROFIL FACEBOOK N°5 : LE DÉPRESSIF

Il inquiète régulièrement ses amis avec des statuts dépressifs à tendance suicidaire : « Ras-le-bol de tout, je me demande ce que je fous encore sur cette terre ! », « Et voilà une nouvelle année qui commence comme la précédente : seul et bourré… »

L’avis de la psy

« Cette personne est réellement dans une mauvaise phase et cherche du soutien. Malheureusement, poster ce genre de statuts va l’écarter encore plus de ses amis. Car le principe de Facebook, c’est de véhiculer du positif ! On s’y retrouve pour partager des bonnes nouvelles, des blagues, etc. Le pote déprimé va passer pour le lourd de service, celui qui plombe l’ambiance. Petit à petit, on ne va plus s’intéresser à lui et il risque de s’isoler encore plus. Je conseille aux personnes qui ont ce genre d’amis, de les contacter en privé quand ils ne vont pas bien, et de leur expliquer qu’un message de détresse posté sur Facebook ne les aidera pas à aller mieux, au contraire. »

PROFIL FACEBOOK N°6 : LE FLAMBEUR

Il poste sans cesse des photos de lui sur des plages paradisiaques, au volant de belles voitures, entourées de jolies femmes…

L’avis de la psy

« On se sert généralement de Facebook pour donner une image positive de soi. Mis à part l’ami dépressif (voir précédemment), on ne parle pas de nos problèmes, mais plutôt de ce qui nous arrive de génial ! Quand cet étalage de bonheur devient excessif, on se demande si ce n’est pas pour combler une vie, au final, pas si intéressante que ça. Un tel comportement peut susciter des jalousies et devenir pénible pour ses amis. »

À ce sujet, une étude réalisée à l’université de l’Utah (États-Unis) et relayée en janvier 2012 par ABC News, avait démontré que passer du temps sur Facebook pouvait rendre triste, voire dépressif. La raison avancée par la sociologue Hui-Tzu Grace Chou ? Les images de bonheur factice balancées par nos amis sur le réseau social donnent à certains le sentiment de rater leur vie…

PROFIL FACEBOOK N°7 : LA DÉSINHIBÉE

Elle s’exclame avec plein de !!!, multiplie les voyeeelles, appelle ses copines par un tas de surnoms (« ma bibiiiiche », « ma chewiiie »), fait des ❤ et des <3<3<3, etc. Alors que dans la vraie vie, elle est plutôt introvertie.

L’avis de la psy

« On retrouve surtout ce comportement chez les adolescentes. Les réseaux sociaux permettent de jouer avec son identité, de créer un personnage virtuel… et voir ensuite comment les gens s’en saisissent. Ces personnes-là sont sans cesse en train de faire des allers-retours entre ce qu’elles sont vraiment et ce qu’elles aimeraient être. Attention au fossé entre ces images, pouvant rapidement devenir compliqué à gérer.  »

PROFIL FACEBOOK N°8 : L’INTELLO

Il/elle utilise Facebook uniquement pour partager des articles de presse, commenter des faits de société, etc. En revanche, il/elle ne partage rien de sa vie intime.

L’avis de la psy

« Il s’agit de personnalités élitistes qui ont pour intention de « relever le niveau » des réseaux sociaux et d’Internet en général. En remplissant leur mur Facebook de culture, elles tentent d’aiguiller leurs contacts vers des lectures plus intellectuelles comme si, grâce à eux, ils allaient se coucher moins bêtes… »

 

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