Nous sommes en temps que personne très compliquée à comprendre
Nuage
L’être humain
L’homme est composé d’hostilité, de luxure, de violence et de compassion, d’amour, de tendresse.
Spock
Nous sommes en temps que personne très compliquée à comprendre
Nuage
L’être humain
L’homme est composé d’hostilité, de luxure, de violence et de compassion, d’amour, de tendresse.
Spock
Ce qui aide dans ces amitiés insolites, c’est bien d’être copain depuis l’enfance. Ce chat et cette chouette s’amuse tout en évitant de blesser l’autre
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Un chat et une chouette
Avant les téléphones intelligents et les appareils numériques, à moins qu’un évènement prévu, probablement seuls les photographes avaient leur appareil photos à la main. Donc, moins de photos qu’aujourd’hui qui témoignent du passé.
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Photos rares qui ont fait l’histoire
Certaines photos sont vues par peu de personnes alors qu’elles sont considérées comme historiques. On vous les fait découvrir, maintenant.On pense avoir tout vu dans les manuels scolaires. Et pourtant, quelques trésors photographiques, véritables témoins de leur époque, restent malheureusement oubliés. On vous propose donc de découvrir (ou de re-découvrir) certaines d’entre elles, pas assez médiatisées, et qui méritent d’être vues par le plus grand nombre.
Certaines sont impressionnantes, d’autres fortement symboliques. Les voici :
1. En 1885, la tête de la statue de la liberté est dévoilée à Paris et prise en photo avant qu’elle soit envoyée avec le reste du corps, à New York, aux États-Unis.
2. En 1896, ont lieu les premiers Jeux Olympiques de l’ère moderne, à Athènes. Voici la première course de marathon.
3. Cette photographie a été prise en 1912. Il s’agit de la dernière photographie prise du Titanic avant qu’il ne coule.
4. En 1917, un officier anglais prend en photo une guerre des tranchées durant la Première Guerre Mondiale. Impressionnant…
5. Trois jeunes originaires de l’Ohio s’amusent à bord de leur nouvelle voiture en 1924.
6. Un des premiers dessins de Mickey Mouse par Walt Disney. C’était en 1928, pour le court-métrage « Steamboat Willie ».
7. Voici Charles Ebbets à qui l’histoire attribue le célèbre cliché « Lunch atop a skyscraper » en 1932, au 69ème étage du GE Building.
La fameuse photo Lunch atop a skycraper.
8. Sur cette photo, on peut voir l’homme le plus grand du monde ayant existé de toute l’Histoire. Il mesurait 2m72 pour 199 kg. Cette photo a été prise le 1er avril 1937.
9. Le pont de Golden Gate à San Francisco en pleine construction, en 1937.
10. 1940, une photo rare en couleurs d’un bombardier B 17 en direction de l’Allemagne.
11. Le colonel Anthony Joseph Drexel Biddle était un expert en combat à mains nues. Il a ordonné à ses hommes de la Marine de le défier au combat, armés de baïonnettes. Aucun d’eux n’est parvenu à le battre et le colonel les a tous désarmés.
12. En 1945, cet accordéoniste pleure lors les funérailles du président Roosevelt, pendant qu’il joue.
13. Un soldat soviétique tenant sous son bras la tête de la statue d’Hitler à Berlin. C’était en 1945 et c’est l’une des photos phares du photographe Evgueni Khaldei.
14. Anne Elisabeth Hodge, ici sur la photo, est la seule personne jusqu’à présent à avoir été touchée par une météorite. C’était le 30 novembre 1954 : la météorite est tombée sur sa maison alors qu’elle était allongée sur son canapé. Heureusement, elle n’a pas eu de blessures graves et s’en est sortie avec ces quelques séquelles.
15. Avril 1955, Albert Enstein meurt. Cette photographie de son bureau a été prise quelques heures après son décès.
16. En 1956, lors de l’avant-première du film « La Bataille du Rio de la Plata », la Reine Elisabeth serre la main de Marilyn Monroe. Elles avaient toutes les deux 30 ans sur cette photo.
17. En 1962, Sean Connery signe un autographe sur une noix de coco pour une petite fille jamaïcaine durant le tournage de James Bond contre Docteur No.
18. Sur cette photo datant de 1962, le pilote George Aids s’éjecte de justesse d’un Lighting de la Royale Air Force qui crashe pendant un vol d’essai à Hatfield. Il s’en est sorti avec beaucoup de fractures.
19. Cette photographie a été prise durant la toute première compétition de bodybuilding de Arnold Schwarzenegger.
20. En 1969, les Beatles se préparent à poser devant l’objectif pour la célèbre pochette de leur disque « Abbey Road ».
21. Diane Keaton etsur le tournage du Parrain, en 1972.
22. En 1974, Daniel Sorine prend en photo ces deux mimes, dans Central Park. C’était 35 ans avant qu’il ne se rende compte que l’un d’eux était le génialissime Robin Williams, encore inconnu à l’époque.
23. Bob Marley jouant au foot avec Glen Da Costa, du groupe Zap Pow, en 1976.
L’Australie aurait été une nation qui a été armée jusqu’aux dents, ils ont connu des tueries eux aussi, mais contrairement aux USA, ils ont réagi tout de suite pour changer les choses et les résultats sont très parlant. Alors, les États-Unis pourraient prendre l’exemple des Australiens
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Compétiteurs sur la ligne de départ à Sydney, le 1er décembre 2007 | REUTERS/Tim Wimborne
Will Oremus
Traduit par Bérengère Viennot
Le massacre de l’université d’Umpqua à Roseburg, dans l’Oregon, a relancé le long débat sur le contrôle des armes à feu aux États-Unis. Après la fusillade à l’école de Sandy Hook en décembre 2012, qui avait provoqué la mort de vingt-huit personnes, dont vingt enfants, Will Oremus, de Slate.com, exposait le succès des lois australiennes sur le contrôle des armes.
Nous reproduisons son article.
Le 28 avril 1996, un homme armé ouvrit le feu sur des touristes dans la station balnéaire de Port Arthur, en Tasmanie. Lorsqu’il fut arrêté, il avait tué trente-cinq personnes et en avait blessé vingt-trois. Ce fut le pire meurtre de masse de l’histoire australienne.
Douze jours plus tard, le gouvernement australien, dirigé par le Premier ministre conservateur fraîchement élu John Howard, fit une chose remarquable. Il annonça que le gouvernement fédéral et les États australiens s’étaient mis d’accord pour promulguer des lois de contrôle des armes à feu à grande échelle. Quinze ans plus tard [NDLR: pour rappel, cet article a originellement été publié en 2012], le résultat de ces changements de politique sont clairs: ils ont très, très bien fonctionné.
Cette initiative eut pour conséquence majeure le rachat massif de plus de 600.000 pistolets et fusils semi-automatiques, soit environ un cinquième de toutes les armes à feu en circulation en Australie. Les nouvelles lois interdisaient la vente entre particuliers, imposaient que toutes les armes fassent l’objet d’un enregistrement au nom de leur propriétaire et nécessitaient de présenter une «raison valable» de demander une arme à feu au moment de l’achat (et la self-défense n’en faisait pas partie). Juste après la tragédie, les sondages montraient que plus de 90% de la population approuvaient ces mesures.
Homicides et braquages en baisse
Ce qui se produisit ensuite fit l’objet de nombres d’études universitaires. Bien évidemment, les crimes violents et les morts par armes à feu n’ont pas disparu en Australie. Mais, comme le soulignait le blog Wonkblog du Washington Post au mois d’août, les homicides par armes à feu ont diminué de 59% entre 1995 et 2006, sans que l’on constate une augmentation proportionnelle des homicides par d’autres moyens. La chute du nombre de suicides par armes à feu a été encore plus spectaculaire: 65%.
Les études ont trouvé une corrélation étroite entre ces baisses impressionnantes et le rachat des armes à feu. Le nombre de braquages avec ce genre d’armes a également baissé de manière significative. En outre, le nombre de braquages à domicile n’a pas augmenté, contrairement à ce que laissaient entendre les théories selon lesquelles posséder des armes à feu serait le seul moyen de s’en protéger.
-59%
La baisse des homicides par armes à feu en Australie entre 1995 et 2006
Mais la statistique la plus époustouflante reste à venir. Au cours des dix années qui avaient précédé le massacre de Port Arthur, le pays avait essuyé onze fusillades. Il n’y en a plus eu une seule en Australie depuis [NDT: le 15 décembre 2014, une prise d’otages dans un café de Sydney a fait trois morts, dont l’auteur de l’attaque].
Efficacité prouvée
Des études contestant les raisons du déclin de la violence par armes à feu en Australie ont fait leur apparition, notamment un article en 2006 qui avançait que la baisse du nombre d’homicides par armes à feu après Port Arthur n’était que la continuation d’une tendance déjà amorcée avant le massacre. Mais la méthodologie de ce travail a été discréditée, ce qui n’a rien de surprenant lorsque l’on sait que ses auteurs étaient affiliés à des groupes pro-armes.
D’autres rapports par des défenseurs des armes à feu ont également sélectionné des preuves anecdotiques ou carrément fabriquées de toutes pièces pour tenter de prouver que les lois restreignant le port d’armes en Australie ne fonctionnaient pas. Ces arguments sont efficacement réfutés par des découvertes révélées dans des articles évalués par les pairs de leurs auteurs, et qui signalent que la baisse du nombre de décès par armes à feu a plus que doublé après la mesure de rachat et que les États où ces rachats ont été les plus importants ont montré les déclins les plus impressionnants. Un résumé des recherches effectué en 2011 à Harvard conclut que, à l’époque où les lois ont été votées en 1996,
«il aurait été difficile d’imaginer de meilleures preuves de leur efficacité futur».
Nation choquée
À l’achat, il faut présenter une «raison valable» de demander une arme à feu (et la self-défense n’en fait pas partie)
Les mêmes politiques fonctionneraient-elles aussi bien aux États-Unis –et ce genre de législation aurait-elle la moindre chance d’y être votée? La question reste ouverte. Howard, le dirigeant conservateur à l’origine des réformes australiennes, a écrit un éditorial publié par un journal australien à la suite d’une visite aux États-Unis après le massacre d’Aurora. Il en est reparti convaincu que l’Amérique avait besoin de changer ses lois sur le port d’armes à feu, tout en déplorant son manque de volonté en la matière:
«Le sujet ne se limite pas à la capacité de lobbying de la National Rifle Association et à la proximité des élections présidentielles de novembre prochain. Il est difficile de croire que leur réaction aurait été différente si les meurtres d’Aurora avaient eu lieu immédiatement après l’élection d’Obama ou de Romney. La culture des armes à feu est si profondément ancrée au États-Unis que des millions d’Américains respectueux de la loi pensent sincèrement qu’il est plus sûr d’en posséder une, en se basant sur la logique glaçante selon laquelle étant donné le grand nombre d’armes en circulation, chacun doit s’armer pour assurer sa propre protection. En d’autres termes, la situation est allée tellement loin qu’on ne peut plus faire demi-tour.»
C’est certainement la vision qu’offrait l’Amérique après la fusillade d’Aurora. Mais après Sandy Hook [et les fusillades nombreuses qui ont suivi], maintenant que la nation, choquée, tente de nouveau de chercher des réponses, je me demande si les Américains sont toujours aussi persuadés que nous n’avons aucune leçon à tirer de l’exemple australien.
Qui peut se vanter d’avoir un mammouth dans sa cour ? C’est une belle découverte, autant plus que les ossements sont très bien conservés
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Il ne s’attendait surement pas à ça, en allant travailler ses terres. Dans l’Etat du Michigan, l’agriculteur américain James Bristle a fait une découverte spectaculaire dans son champ de soja, le 28 septembre dernier: un squelette de Mammouth.
Alors qu’il creusait le champ, James Bristle tombe sur ce qu’il croyait être un vieux poteau de clôture, selon le Washington Post qui a rapporté l’histoire le 2 octobre. Mais bien vite, il se rend compte qu’il s’agit de tout autre chose. Quelques jours plus tard, une équipe de chercheurs de l’Université du Michigan se rend sur place pour extraire les ossements, comme on peut le voir sur la vidéo ci-dessous:
Selon le professeur Daniel Fisher, cet animal a vécu il y a 11 000 à 15 000 ans.
« Certains éléments font de ce squelette une découverte passionnante », écrit le Washington Post. « Le squelette est très complet (même s’il manque des membres postérieurs et des pattes) comparativement aux autres mammouths trouvés dans le Michigan et les régions avoisinantes. Et aussi parce qu’il a été soigneusement extrait de la terre par des paléontologues ce qui permet des études beaucoup plus approfondies que sur les ossements sortis à la va-vite ».
Reste à savoir si l’université va pouvoir faire une étude approfondie. En effet, selon la loi, c’est le fermier qui est propriétaire des ossements. Libre à lui ensuite de faire un don (ou pas) de la trouvaille aux chercheurs.
J’avoue ne pas trop comprendre cet engouement pour les selfies, tout le temps,mais ce qui est encore plus incompréhensibles, ce sont les gens qui prennent des risques pour rien et qu’il faut faire des rappels des normes de sécurité pour se prendre en photo
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Mourir d’un accident en essayant de prendre LA photo la plus impressionnante et la plus cool est un peu dommage, n’est-ce pas ? On vous donne des conseils pour profiter de l’art du selfie tout en préservant votre santé.
C’est officiel : en 2015, la manie d’utiliser son téléphone ou appareil photo pour prendre une photo de soi-même a causé plus de décès que les attaques de requins, révèle le site Mashable. En effet, 12 personnes sont mortes en prenant la pose alors que huit ont été tuées par les prédateurs marins. Pour pratiquer la technique des selfies en toute sécurité, voici quelques règles à suivre.
Vérifier l’environnement
Prendre une photo demande de l’attention. Ces quelques secondes peuvent être fatales, alors soyez prudent et ne prenez pas de risques si vous conduisez, si vous êtes près d’une falaise, sur un kayak au beau milieu d’un courant très fort ou dans tout autre environnement dangereux.
Attention aux animaux
Bien sûr, vous ne risquez rien avec le chiwawa de vos parents (quoique, gare à vous oreilles), mais les plus extrêmes sont peut-être en train d’organiser leur prochain voyage en terre inconnue, où les rencontres avec des bêtes féroces sont au programme. Alors ça a beau paraître logique, mais on vous le répète : pas de selfie quand l’animal derrière vous ouvre grand la bouche (à moins d’être un dresseur professionnel, et encore).
©Kevin Richardson
Les dangers du selfie stick
Cette sorte de perche connecté au smartphone ou à la caméra permet « d’allonger » notre bras et d’avoir une vue plus éloignée et globale. Si cet outil a servi comme arme de défense lors de certains accidents, il peut se révéler létal en cas d’orage. En juillet dernier, un quinquagénaire britannique est mort foudroyé à cause de sa perche à selfie métallique qui a attiré la foudre comme un paratonnerre.
Note utile : pensez également à sécuriser votre appareil, ce serait dommage de la laisser tomber après avoir pris de si jolies photos !
Avec Internet, les réseaux sociaux, il est facile de raconter tellement de mensonges pour attirer l’attention sur nous. Des gens prétendent être malades et n’ont aucune preuve tangible de leur état, mais réussissent tout de même à recevoir compassion, et même des compensations monétaires.
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(Agence Science-Presse) En avril dernier, la blogueuse, auteure et vedette montante des médias australiens, Belle Gibson, a admis qu’elle avait inventé son cancer de toutes pièces. Étonnamment, il s’avère que les cas de malades imaginaires sur Internet sont plus nombreux qu’on ne le pense.
Les médecins appellent cela depuis les années 1950 le syndrome de Münchhausen : c’est-à-dire le besoin de simuler une maladie pour attirer la compassion.
Une étude parue en 2011 dans Clinical Neuroscience suggérait que 9 % des patients recevant un traitement chirurgical ou médical complexe souffriraient de ce syndrome à un degré ou à un autre. Et le Dr Mark Feldman, de l’Université de l’Alabama, a inventé le concept de « Münchhausen par Internet », signe que le réseau permet d’amener la tromperie à un niveau inédit : les preuves sont plus faciles à falsifier et les termes médicaux sont à la portée de tous.
Feldman est l’un de ceux qui avaient commenté le cas de Belle Gibson en avril : interrogé par The Guardian, il la voyait comme
« particulièrement prédatrice dans ses comportements », avec cette capacité à élargir la tromperie au fil du temps. « Elle est plus sociopathe que la plupart des patients. »
Tchouri n’a pas fini d’intéressé les terriens. Maintenant ce sont des crop cicle qui intrigue les scientifiques.
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Séquence de dix images représentant les changements dans la région d’Imhotep. ESA/Rosetta/MPS for OSIRIS Team MPS/UPD/LAM/IAA/SSO/INTA/UPM/DASP/IDA
Par Joël Ignasse
CROP CIRCLE. Si des farceurs peuvent être accusés de dessiner la nuit des crop circle, ces cercles d’épis flétris, en plein champ, ils sont toutefois mis hors de cause quand des configurations similaires se forment sur la comète67P/Tchourioumov-Guérassimenko ! C’est pourtant bien de telles structures concentriques qui sont apparues dans la région d’Imhotep, proche de l’équateur de Tchouri et qui ont été photographiées par la sonde Rosetta, en orbite autour de la comète depuis août 2014.
Les premiers cercles détectés datent de juin 2014. « Un matin, nous avons remarqué que quelque chose de nouveau était arrivé : la surface d’Imhotep avait commencé à changer de façon spectaculaire » relate Olivier Groussin, du Laboratoire d’Astrophysique de Marseille qui vient de co-signer un article sur le sujet dans la revueAstronomy & Astrophysics.
La première onctionnalité a été photographiée par la caméra OSIRIS de Rosetta le 3 juin, les images suivantes ont montré qu’elle augmentait de taille puis qu’un deuxième cercle apparaissait. Le 2 juillet ils mesuraient respectivement 220 et 140 mètres de diamètre et un troisième cercle était observé. L’ensemble avait fusionné le 11 juillet tandis que deux autres nouvelles structures se formaient. Les observations ont malheureusement cessé à partir de cette date, la sonde étant repositionnée avant le passage au périhélie qui a eu lieu un mois plus tard.
ÉROSION.
« Ces changements se sont déroulés très rapidement avec une expansion des bords de quelques dizaines de centimètres par heure. Cela met en évidence la complexité des processus impliqués » souligne Olivier Groussin.
Quels sont-ils ? Pour une part, ils se sont formés suite à la sublimation de la glace située juste sous la couche de poussière qui tapisse la région d’Imhotep. Cette glace s’est transformée en vapeur sous l’effet des rayons du Soleil, la comète se rapprochant de l’astre et Imhotep est une région proche de l’équateur de la comète qui reçoit une grande quantité de lumière. Mais cette explication n’est pas suffisante pour rendre compte du rapide taux d’expansion des cercles. Il devrait être de quelques centimètres par heure et non de plusieurs dizaines de centimètres. Des mécanismes additionnels interviennent donc dans ce phénomène. Pour les décrypter il faudra mettre en commun les observations réalisées par la caméra OSIRIS et les données provenant des autres instruments de Rosetta.
« Nous pourrons alors reconstituer l’origine de ces curieuses caractéristiques » conclut Olivier Groussin.
Progression des cercles entre mai et juillet. ESA/Rosetta/MPS for OSIRIS Team MPS/UPD/LAM/IAA/SSO/INTA/UPM/DASP/IDA.