Le respect commence par soi et s’étend par tout ce qui nous entoure
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Le Respect
“Lorsque nous respectons les autres organismes vivants, ils nous respectent en retour.”
– Arapaho
Sagesse amérindienne
Comment faire rire un bébé ? Juste à demander à ce chien. Il a la situation bien en « patte » et semble même s’amuser à son tour
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Comment faire rire un bébé ?
Des maisons qu’on ne verrais pas ailleurs, mais qui mérite un coup d’oeil, certaines sont très intéressantes, quoique la maison transparente, c’est vraiment exagérée
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1. La maison transparente, au Japon
Inspirée par nos ancètres, qui vivaient dans les arbres, cette “Maison NA” japonaise totalement transparente vous permet de profiter au maximum de la lumière du jour, mais n’offre pas beaucoup d’intimité.
Designed by: Sou Fujimoto Architects
2. La maison skateboard, aux USA.
La maison skateboard vous permet de faire du skate sur toutes ses surfaces, à l’intérieur comme à l’extérieur, et était initialement conçue pour être construite à Malibu.
Designed by: Pierre Andre Senizergues
3. La maison la plus étroite au monde, en Pologne.
La maison Keret, qui a été construite entre deux bâtiments préexistants, n’est large que de 92 à 152 centimètres !
Designed by: Jakub Szczęsny
4. Une ancienne tour-réservoir transformée en demeure moderne, en Belgique.
Cette tour-réservoir belge, haute d’une centaine de mètres, servait de cachette nazie pendant la guerre, mais a, depuis, été transformée en espace de vie.
Designed by: Bham Design Studio
5. La maison des Pierrafeu, aux USA.
Cette maison à un étage, installée à Malibu, a été construite pour ressembler à la demeure des Pierrafeu, dans le célèbre dessin-animé des années 60.
6. La maison la plus petite au monde, avec une surface d’1m², en Allemagne.
Cette structure portable en bois ne mesure qu’un mètre carré de superficie, et est la maison la plus petite au monde ; on peut la trouver en Allemagne.
Designed by: Van Bo Le-Mentzel
7. La maison toboggan, au Japon.
Cette maison-toboggan à trois étages se compose d’un escalier tout à fait classique d’un côté de la maison, et d’un toboggan de l’autre, qui vous permet de glisser jusqu’au rez-de-chaussée.
Designed by: LEVEL Architects
8. La maison de pierre, au Portugal.
Bien qu’elle ressemble à un rocher énorme, cette maison portugaise possède une porte, une cheminée et une fenêtre, et est devenue une attraction touristique très populaire.
Image credits: Jsome1 | Patrícia Sofia Ferreira Photography
9. Une église transformée en demeure familiale moderne, en Hollande.
Le cabinet Zecc Architecten a reconverti et recyclé deux anciennes églises abandonnées, situées dans la ville d’Utrecht, aux Pays-bas, pour en faire des demeures résidentielles très stylisées.
Designed by: Zecc Architecten
10. La maison Coquillage, au Mexique.
Inspirée par les travaux de Gaudi et de Frank Lloyd Wright, une jeune famille de la ville de Mexico a fait construire cette maison en forme de coquillage.
Designed by: Arquitectura Organica
Aux États-Unis, il y a eu en seulement 3 ans 143 fusillades dans des écoles et ce ne sont pas des musulmans qui sont derrière les armes, mais des américains. Le droit de tout citoyen américain de porter une arme est-il vraiment légitime ? Car, l’impression que cela donne, c’est qu’il est plus facile de peser sur la gâchette pour n’importe quelles raisons
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Veillée aux chandelles en mémoires des victimes de la fusillade sur le campus de l’Umpqua Community College, à Roseburg, dans l’Oregon, le 1er octobre 2015 | REUTERS/Steve Dipaola
Repéré par Claire Levenson
Kenny Ungerman est devenu le symbole de la fréquence des tueries de masse aux États-Unis: il a, en moins de dix ans, survécu à deux fusillades survenues dans la même ville.
Depuis 2012 aux États-Unis, il y a eu 143 fusillades dans des écoles, dont 35 mortelles, la plus récente étant le massacre de 9 personnes dans une université de l’Oregon le 1er octobre. Le meurtier de 26 ans, Chris Harper, a été tué par la police.
Un des survivants de cette tuerie sur le campus de l’Umpqua Community College, à Roseburg, est devenu le symbole de la terrible fréquence des fusillades aux États-Unis. Interviewé par la chaîne MSNBC, Kenny Ungerman expliquait en effet à l’antenne que, dans sa ville natale de Roseburg, il avait ainsi survécu à deux fusillades en moins de dix ans.
«J’étais aussi au lycée de Roseburg quand il y a eu la fusillade en 2006. Donc c’est fou de penser que j’étais sur le campus quand il y a eu une autre fusillade», expliquait Ungerman, un ancien soldat de 25 ans qui commence ses études dans cette université.
En février 2006, dans le lycée de Roseburg, un jeune de 14 ans avait tiré quatre fois et blessé un camarade de classe au pistolet semi-automatique.
Une fusillade tous les 64 jours
Les tueries de masse sont de plus en plus fréquentes aux États-Unis: une étude de Harvard publiée en 2014 montrait notamment que, de 1982 a 2011, il y avait eu une fusillade tous les 200 jours environ, alors que, depuis 2011, le taux était d’une fusillade tous les 64 jours.
Après la fusillade dans l’Oregon, le président Barack Obama a critiqué la façon dont le Congrès bloquait toutes les réformes concernant les armes à feu:
«Demandez aux médias de compter le nombre d’Américains tués par des attaques terroristes ces dix dernières années et le nombre d’Américains tués par des armes à feu. Publiez les côte à côte dans vos articles. Ces informations ne viendront pas de moi, mais de vous. Nous dépensons plus d’un billion de dollars, nous votons d’innombrables lois et nous avons des agences entièrement consacrées à la prévention d’attaques terroristes sur notre sol, et c’est tout à fait légitime. Pourtant, nous avons un Congrès qui nous empêche même de recueillir des données sur la façon dont nous pourrions réduire les morts par armes à feu. Comment est-ce possible?»
Si on commence à cloner des animaux de compagnie qu’est ce qu’ils vont cloner demain.
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Une société de biotechnologie sud-coréenne appelée Sooam Biotech propose un service unique, celui de cloner son chien après sa mort pour une somme moyennant 90 000€, rapporte le site Maxisciences.
Perdre son animal de compagnie est souvent une véritable tragédie. L’entreprise Sooam Biotech a trouvé une solution. Elle propose à ses clients de cloner leur chien après son décès, donnant ainsi naissance à un second animal en tout point identique. Le tout pour la modique somme de 100 000 dollars, soit environ 90 000€.
Le riche milliardaire japonais Junichi Fukada est un des clients qui a tenté l’expérience. Il est devenu l’heureux propriétaire d’une femelle chiot carlin de couleur noire et nommée Momotan. Sa particularité est d’être le clone parfait de l’ancienne chienne de Fukuda, Momoko.
« J’ai divorcé de ma femme quand Momoko avait six ans et après cela, ça a été juste Momoko et moi », a raconté Junichi Fukuda à un journaliste de Tech Insider. « C’était le meilleur animal au monde pour moi ».
Fukuda a donc déboursé 100 000 dollars pour cette opération. Sooam Bitotech explique que l’animal doit être mort depuis au moins cinq jours pour que le clonage réussisse, et qu’il ait été emmené chez un vétérinaire pour y pratiquer une biopsie qui est ensuite envoyée à la firme.
Sooam Biotech a évalué son taux de réussite de clonage à 40%. Pourtant, ces travaux ne manquent pas de susciter la controverse. Certains scientifiques s’inquiètent des dérives potentielles auxquelles ils pourraient mener.
Il est vrai que cet animal marin est franchement bizarre, mais de là à le qualifier de monstre parce qu’il ne rentre pas dans nos critère de beauté … Ils doivent se dire la même chose en nous regardant
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Ce faux requin-chat a été pêché au large de l’Écosse. ©Blue Planet Society / Twitter
Par Morgane Kergoat
Cet étrange animal marin de 3 mètres est une espèce des grandes profondeurs. C’est la première fois qu’il est vu en Écosse.
MONSTRE. Avec son énorme nez, sa mâchoire inférieure à la fois large et fuyante, ses petits yeux jaunes, son énorme corps et sa peau plissée rose grisâtre, la créature marine pêchée par des biologistes au large de l’île de Saint Kilda, en Écosse, est assez repoussante. Ajoutez à cela qu’elle mesure près de 3 mètres de long et pèse une soixantaine de kilos… et elle est presque digne des pires monstres de la mythologie grecque ! Si laide qu’on dit qu’elle ressemble à un blobfishgéant. Personne ne voudrait se retrouver subitement face à une telle créature entre deux brasses… Une situation qui ne risque a priori pas d’arriver, puisqu’il s’agit d’un faux requin-chat, une espèce des grandes profondeurs. Ce monstrueux squale est aussi connu sous le nom de requin à longue dorsale (Pseudotriakis microdon). Il évolue dans une gamme de profondeur allant de 200 à 2.000 mètres. Rarement observé, le faux requin-chat serait présent dans presque toutes les mers du globe. C’est toutefois la première fois qu’il est vu dans les eaux écossaises.
« C’est formidable de l’ajouter à notre longue liste des espèces vivant en Écosse », s’enthousiasme Francis Neat, biologiste marin à la Marine Scotland, dans les colonnes du quotidien britannique The Mirror. « Il n’y a pas si longtemps, on nous a dit qu’il y avait seulement 32 types de requins différents dans les eaux écossaises, mais dans l’année qui vient de s’écouler nous avons appris qu’il y a en fait 72 espèces différentes, dont beaucoup vivent en eau profonde. »
De plus en plus, on parle de la méditation de pleine conscience. Les activités même celles que nous aimons moins faire, peuvent être une occasion de méditer sur le moment présent et ainsi diminuer le stress
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Chaque participant a dû laver 18 plats.Photo Fotolia
Des tâches quotidiennes et répétitives, comme faire la vaisselle, peuvent réduire le stress de 27 % et augmenter l’inspiration de 25 %, mais à la seule condition qu’elles soient faites dans un état de pleine conscience, explique cette étude scientifique américaine.
Et si faire la vaisselle devenait source de méditation apte à la dimension contemplative? Pour répondre à cette question, des chercheurs de l’Université d’État de Floride se sont livrés à une petite expérience sur 51 volontaires, tous étudiants au sein de l’université.
La moitié du groupe a été chargée de lire au préalable des instructions spécifiques pour bien faire la vaisselle, mais d’une manière inspirée de la pleine conscience.
Ce courant, qui joue un rôle primordial dans le bouddhisme, recommande de ramener son attention au moment présent en se focalisant sur les sensations qui apparaissent à l’esprit, tout en examinant si elles sont permanentes ou non et agréables ou pas. L’observateur, qui doit rester neutre et silencieux, apprend à se détacher progressivement de la matière.
L’autre groupe était quant à lui soumis à des instructions plus classiques et descriptives de la tâche à accomplir.
Chaque participant a ensuite dû laver 18 plats avant de répondre à un questionnaire pour évaluer son état d’esprit et son niveau de bien-être.
«Ce qui m’a particulièrement intéressé dans cette expérience est la façon dont les activités de la vie quotidienne pouvaient être utilisées pour promouvoir un état de pleine conscience et par conséquent augmenter le niveau de bien-être», explique Adam Hanley, l’auteur principal de l’étude.
Les résultats indiquent que les volontaires qui lavaient la vaisselle dans un état de pleine conscience en se focalisant sur le parfum du liquide vaisselle, la température de l’eau et la sensation de contact en touchant les assiettes, augmentaient leurs sensations d’inspiration de 25 % et réduisaient leur niveau de nervosité de 27 %.
Le second groupe des participants qui avait fait la vaisselle de façon traditionnelle ne retirait de cette tâche aucun bénéfice ni aucun changement dans leur état d’esprit.
Malgré le faible échantillonnage de cette étude, les conséquences de ces découvertes et le fait de pratiquer la pleine conscience pour réduire son niveau de stress pourraient être appliqués à de nombreuses autres activités de la vie courante, en concluent les chercheurs.
Les résultats ont été publiés dans la revue Mindfulness du mois d’octobre 2015.
En Arctique, quand l’hiver, la nuit semble durée pendant une éternité. Le froid des eaux devrait décourager plus d’une créature à se mouvoir et les oiseaux a parcourir la nuit noire et pourtant… Pourtant la vie continue de plus belle
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Le fjord Hornsund, à Spisbergen (Norvège). © superstock/sipa
Par Loïc Chauveau
La vie ne s’arrête pas pendant la longue nuit arctique. Les chercheurs de l’université du Svalbard ont enregistré une activité foisonnante d’un nombre important d’espèces qui continuent à se nourrir et se reproduire malgré la froideur des eaux.
LUMIERE. Il était admis une fois pour toutes que les températures polaires contraignaient toutes les espèces animales à hiberner et à attendre le retour du soleil pour reprendre leurs activités. Mais cela n’avait jamais été vérifié.
« Presque toutes nos recherches ont été effectuées dans la partie lumineuse de l’année », a avoué à la BBC l’auteur principal de l’étude qui vient de paraître dans Current biology Jorgen Berge, biologiste à l’université de l’archipel du Svalbard (Norvège). « Nous estimions que dans l’obscurité, il n’y a pas de production primaire et donc pas d’activité. Le système — pensions — attendait juste le retour de la lumière ».
Ce dogme avait été brisé une première fois très récemment par une étude canadienne sur les eaux de surface. L’étude norvégienne est la première à explorer tous les écosystèmes marins arctiques. Et à révéler que durant la nuit arctique, tout le vivant reste bien réveillé. Trois hivers de suite, de janvier 2013 à janvier 2015, une centaine de chercheurs a procédé à des prélèvements par chalutage dans la colonne d’eau et sur les fonds jusqu’à 200 m de profondeur d’un fjord du Svalbard, Kongsfjorden. La période choisie a été celle des 117 « jours », où la nuit polaire est la plus profonde, quand l’activité biologique est censée être au minimum. Ce que les scientifiques ont découvert : des bivalves qui poursuivent leur croissance, des oiseaux en train de pêcher et du zooplancton qui continue à se comporter selon un rythme circadien (alternance de jour et de nuit) malgré l’obscurité permanente.
Une chaîne alimentaire en pleine activité
Dans les premiers mètres d’eau, la présence de diatomées et de dinoflagellés a été enregistrée comportant de fortes teneurs en pigments et chlorophylle. Les espèces de zooplanctons herbivores et omnivores ont été retrouvées tout au long de la colonne d’eau, signifiant la présence de la base de la chaîne alimentaire marine. Les chercheurs ont trouvé des preuves d’une activité de reproduction notamment parmi les copépodes, des minuscules crustacés, essentiels pour l’équilibre des écosystèmes arctiques.
« Des copépodes mâles de la famille Calanus, largement absents au sein des populations durant la saison lumineuse, ont été observés dans de grandes proportions durant la nuit polaire à des profondeurs entre 50 et 200 m, en compagnie de femelles portant des spermatophores, peut-on lire dans l’étude. De telles observations confirment l’importance de la nuit polaire comme une période majeure pour la reproduction. »
Pour les bivalves vivant sur le benthos, pas de repos non plus. Ainsi, le pétoncle d’Islande Chlamys islandica garde un rythme de croissance similaire au reste de l’année. Ces coquillages se nourriraient de matières détritiques en suspension quand le phytoplancton frais vient à manquer. Les communautés d’organismes vivant dans les sédiments ne sont pas moins nombreuses en janvier qu’en octobre, bien que la température de l’eau soit de 3 à 5 °C plus basse. Ce « time lapse » (ci-dessous) de la prédation d’un cadavre de morue montre bien une activité importante des mollusques en hiver.
Les oiseaux enfin, ne descendent pas tous plus au sud. Des guillemots à miroir, des mergules nains, des fulmars boréals ou des goélands bourgmestres continuent de se nourrir à Kongsfjorden principalement de krill arctique qui est bioluminescent et donc repérable dans l’obscurité. Au final, les auteurs de l’étude décrivent un écosystème qui fonctionne pleinement en absence de chaleur et de lumière. Comme si, avancent les auteurs, du phytoplancton aux oiseaux, tout le vivant développait des stratégies de résistance pour être fin prêt pour le retour de l’ensoleillement.