La vie


Aujourd’hui, nous sommes responsables de notre vie, peu importe les parents que nous avons eu …
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La vie

 

 

Vos parents ne vous ont donné ni une bonne, ni une mauvaise vie. Ils vous ont donné la vie. À vous de la rendre bonne ou mauvaise !

Jean Nadeau

25 araignées sont les plus terrifiantes au monde


Mieux vaut ne pas souffrir arachnophobie. Sinon, ne sont-elles pas jolies avec leurs multiples yeux et que dire de leurs pattes, certaines minces, d’autres poilus. Il y en a pour tous les goûts
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25 araignées sont les plus terrifiantes au monde

 

1. L’araignée souris

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2. L’araignée géante, Huntsman

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3. La mygale bouse crabe

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4. L’araignée d’eau

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5. L’araignée des sables à six-yeux

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6. L’araignée zèbre

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7. L’araignée Argyrodes Colubrinus

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8. L’araignée assassin

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9. L’araignée loup de Kauai Cave

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10. La veuve noire

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11. La tarentule loup

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12. L’araignée à dos rouge

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13. L’araignée souriante

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14. L’araignée chameau

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15. L’araignée dorée

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16. L’araignée paon

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17. L’araignée Bagheera Kiplingi

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18. L’araignée Goliath

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19. L’araignée errante du Brésil (aussi appelée araignée banane)

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20. L’araignée «Sydney funnel-web»

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21. L’araignée Steotada Triangulosa

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22. L’araignée «Spruce-fir Moss»

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23. L’araignée Ctenizidae

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24. L’araignée Gradungulidae

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25. L’araignée Segestria

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http://www.demotivateur.fr/

Le Saviez-Vous ► Le crayon de plomb


On nomme le crayon à papier, le crayon de plomb, mais en réalité, la mine est faite d’autre chose que le plomb
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Le crayon de plomb

 

 

Le crayon à papier, qui permet d’écrire et de dessiner puis d’effacer avec une gomme, a été inventé au cours du XVIIIe siècle. Ses origines remontent toutefois à la Renaissance. Nous vous proposons de découvrir l’histoire de cet objet très courant.

Origines du crayon de plomb

L’ancêtre du crayon à papier actuel a vu le jour au XVIe siècle, après la découverte en 1564 d’un gisement de graphite extrêmement pur à Borrowdale, en Angleterre.

Ce minerai est alors appelée plombagine, un nom signifiant « sorte de plomb ».

Il est taillé en bâtonnets et enchâssé dans une gaine de bois ou recouvert de cuir pour servir à écrire.

A noter : il a fallu attendre la fin du XVIIIe siècle pour que le chimiste suédois Carl Wilhelm Scheele découvre que le graphite ne contient pas de plomb, mais est une forme cristalline particulière du carbone.

C’est le géologue allemand Abraham Gottlieb Werner qui lui a donné le nom de « graphite », dérivé du verbe grec graphein qui signifie « écrire ».

L’invention du crayon de plomb

Ce nouvel instrument d’écriture à base de graphite a progressivement remplacé les pointes de métal (plomb et étain) qui étaient utilisées pour écrire depuis l’Antiquité.

Les archives de ville de Nuremberg rapportent qu’en 1662, un artisan appelé Friedrich Staedtler fabriquait des crayons. Le graphite pur étant rare et cher, les fabricants de crayons ont cherché des substituts.

En 1760, à Stein près de Nuremberg, Kaspar Faber fabrique des crayons en utilisant du graphite en poudre mélangé à des gommes, des résines, de la colle et d’autres substances. Cependant, il n’obtient pas une qualité identique à celle des crayons anglais, à base de graphite pur.

Le crayon à papier tel que nous le connaissons aujourd’hui a été inventé indépendamment par l’autrichien Joseph Hardtmuthen 1792 et par le chimiste français Nicolas-Jacques Conté en 1795.

Les différentes mines

La mine d’un crayon à papier est un mélange d’argile et de graphite, en proportions variables. On distingue ainsi les mines tendres (qui contiennent plus de graphite) et les mines dures (qui contiennent plus d’argile).

L’échelle qui sert à classer la dureté des mines a été imaginée par Lothar von Faber vers 1839. Elle va de 9H pour la mine la plus dure à 9B pour la mine la plus tendre. Sur cette échelle, les lettres ont la signification suivante :

• H (hard) : pointe dure ou sèche

• B (black) : pointe tendre ou grasse

• HB (hard black) : pointe moyenne

• F (fine point) : pointe fine qui représente le milieu de l’échelle.

Le modèle standard, le plus utilisé, est le crayon HB.

Le saviez-vous ?

Les crayons de couleurs, dont la mine est un mélange de pigments, de résine et d’argile, sont apparus au début du XXe siècle.

http://www.gralon.net/

Elle a confondu mousse et isolant sous pression


Pauvre dame, un fait concasse, mais qui n’est surement pas drôle pour cette femme
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Elle a confondu mousse et isolant sous pression

 

Elle a confondu mousse et isolant sous pression

Crédit photo : Capture d’écran The Daily Mail

La photo de cette femme mystérieuse, probablement d’Europe de l’Est, fait le tour du web.

En se coiffant, elle croyait mettre de la mousse dans ses cheveux; mais il s’agissait plutôt d’un contenant d’isolant sous pression.

Le résultat: un casque solide de mousse de polyuréthane.

La photo a été prise dans ce qui semble être l’urgence d’un hôpital, selon le Daily Mail.

Le contraste est saisissant entre l’air abattu de la pauvre dame, et sa coiffure fantaisiste.

http://tvanouvelles.ca/

Le «canard» de Tchouri formé par l’impact de deux comètes


Rosetta va continuer son aventure encore un an, mais en attendant, les scientifiques ont pu constater qu’au temps de la formation du système solaire deux comètes se sont rencontrées pour former un petit canard au nom de Tchouri qui survole l’espace. En tout cas,, c’est vraiment une belle réussite pour les Européens
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Le «canard» de Tchouri formé par l’impact de deux comètes

 

La forme de Tchouri est le résultat d'un... (Photo archives Agence France-Presse/Agence spatiale européenne)

La forme de Tchouri est le résultat d’un impact à faible vitesse entre deux comètes qui a dû avoir lieu il y a quelque 4,6 milliards d’années.

PHOTO ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE/AGENCE SPATIALE EUROPÉENNE

Agence France-Presse
PARIS

Une tête, un corps et un cou affiné, la drôle de forme en canard de bain de la désormais célèbre comète Tchouri serait le résultat de la fusion de deux corps distincts il y a des milliards années selon les dernières données de la mission Rosetta.

Après dix ans, cinq mois et quatre jours de voyage, le 6 août 2014, la sonde européenne Rosetta se mettait en orbite autour de la comète 67P/Tchourioumov-Guérassimenko et envoyait, trois heures plus tard, de nouvelles images étonnantes.

Relief lisse ou escarpé, rochers à la surface, «cou» reliant deux lobes du noyau, un grand et un petit: on découvrait des détails inédits de la comète, baptisée Tchouri.

Sa forme si particulière fait alors naître une question: quelle est l’origine de ces deux lobes et de ce cou? Est-ce le résultat de la fusion de deux blocs ou celui d’une forte érosion ou de dégazages, localisés dans la région centrale de la comète ?

En utilisant les images à haute résolution réalisées par la caméra OSIRIS embarquée sur Rosetta, Matteo Massironi, du département de géosciences de l’université de Padoue en Italie, et ses collègues ont pu établir que les deux lobes, les deux parties de la comète sont constitués de couches stratifiées un peu comme un oignon.

Et que le corps et la tête du canard «sont deux objets distincts avec leur propre structure en oignons», explique à l’AFP Matteo Massironi, coauteur de l’étude publiée lundi dans la revue britannique Nature.

«Collisions douces»

En utilisant les données récoltées par les instruments de Rosetta, les chercheurs ont pu établir que la partie la plus large de la comète est constituée de strates allant jusqu’à 650 mètres de profondeur et que ces couches sont différentes de celles de la «tête» de Tchouri.

La forme de Tchouri est donc le résultat d’un impact à faible vitesse de deux comètes stratifiées avant leur fusion qui a dû avoir lieu à l’époque des premiers stades de la formation du système solaire, il y a quelque 4,6 milliards d’années.

«Pour la première fois, cette étude donne des explications sur la façon dont les corps originaux se sont formés au début du système solaire», précise à l’AFP Matteo Massironi.

Autre élément: la similitude des structures et de la composition des deux lobes indique que les deux morceaux ont été formés par des processus similaires d’accrétion, de capture de matière par un astre sous l’effet de la gravitation.

«Notre étude prouve pour la première fois que des collisions douces et des fusions se sont produites, conduisant à la formation de ces corps à deux lobes», précise le chercheur.

«La collision et la fusion des deux corps ont dû être très lentes, sinon nous n’aurions pas cette structure ordonnée, en oignons», ajoute-t-il.

Il y a plusieurs autres comètes comme Borrelly, Hartley 2 et peut-être Halley qui montrent une forme à deux lobes, mais les images disponibles ne permettent pas de définir leur structure interne.

«Nous ne pouvons donc pas encore en conclure qu’elles ont toutes été formées à partir de deux éléments», tempère le chercheur.

L’objectif de la mission Rosetta, lancée il y a plus de 20 ans, est de mieux comprendre l’évolution du système solaire depuis sa naissance, les comètes étant considérées comme des vestiges de la matière primitive.

Et les aventures de la sonde vont se poursuivre. L’Europe a prolongé la mission jusqu’en septembre 2016.

http://www.lapresse.ca/

Le concept de race peut-il s’appliquer aux humains ?


On ne peut pas qualifier des populations humaines noires, amérindiennes, indiennes … comme des races,car nous tout apparentés quelques parts dans nos gènes. Alors dire la race blanche est une grotesque erreur
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Le concept de race peut-il s’appliquer aux humains ?

Noire, jaune, blanche, verte... Parler de race chez l'être humain n'a pas vraiment de sens d'un point de vue scientifique. ©SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

Noire, jaune, blanche, verte… Parler de race chez l’être humain n’a pas vraiment de sens d’un point de vue scientifique. ©SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

Suite aux propos polémiques tenus par la députée européenne Nadine Morano qualifiant la France de « pays de race blanche », Sciences et Avenir fait le point sur la signification scientifique du mot « race ».

Le concept de race peut-il s’appliquer aux humains ?

« Il y a deux concepts de races : les races naturelles et les races domestiques. Ces dernières, créées par les humains, sont des lignées endogames (reproduites entre elles) d’animaux ou de plantes choisis pour certaines qualités, par exemple des vaches qui donnent davantage de lait. Les éleveurs ou agriculteurs excluent les individus qui ne possèdent pas ces qualités. Les races naturelles, elles, sont, au sein de certaines espèces, des populations dont les individus se distinguent. Ce qui suppose des critères physiques ou génétiques propres à tous les individus d’une race et à eux seuls. Le Mau égyptien, par exemple, est une race de chat qui possède naturellement un marquage de taches noires.

Les diversités génétique et physique sont plus fortes entre les individus d’une même population qu’entre les populations »

Le concept de race domestique ne s’applique pas aux humains, qui n’organisent pas leur reproduction. Le concept de race naturelle ne s’applique pas non plus, faute de critères permettant de classer tous les individus en groupes homogènes séparés. Les diversités génétique et physique humaines sont plus fortes entre les individus d’une même population qu’entre les populations. Ceci rend l’espèce inclassable en races cohérentes, malgré de nombreuses tentatives.

Et crée un malentendu entre le sens commun, où l’on parle de races dès que des gens diffèrent par des critères physiques ou culturels, et le sens scientifique. Ainsi, dire que les races humaines n’existent pas est souvent incompris. Il vaut mieux préciser :

“Les humains sont inclassables. Ils ont tous une origine commune récente et ne sont pas séparés. Leur variation est continue, les populations se mélangent et s’interpénètrent depuis toujours. Pensez à la transfusion sanguine : seuls comptent les groupes sanguins – les mêmes partout, sans référence aux aspects physiques ou aux origines géographiques.”

Certes, la génétique met en évidence des différences entre populations, mais il s’agit de différences de fréquences de gènes (par exemple, la fréquence d’un allèle* qui rend la personne capable de digérer le lait à l’âge adulte), pas de gènes qui seraient entièrement présents dans une population et absents dans une autre. Ces différences ne permettent donc pas de classer les individus, mais des populations définies arbitrairement, sur des critères statistiques, eux aussi arbitraires. Selon les gènes et les populations que l’on utilise, on obtient donc des classifications très différentes, incohérentes entre elles et incohérentes avec les caractères physiques visibles.

 Ainsi, les populations “noires” d’Afrique, d’Inde et du Pacifique sont génétiquement très différentes et bien plus apparentées, chacune, à des populations à peau claire qu’elles ne le sont entre elles. »

*Forme que peut prendre un gène

Propos recueillis Laurent Brasier

http://www.sciencesetavenir.fr/

Appel au 911: «Allo, un singe mange mon courrier»


Est-ce une vie pour les singes de rester dans une cage ? La liberté n’est-ce pas que cela devrait être un droit acquis pour ses animaux  et rester dans leur environnement
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Appel au 911: «Allo, un singe mange mon courrier»

 

Appel au 911: «Allo, un singe mange mon courrier»

Photo Fotolia

Les policiers de Sanford, en Floride, ont reçu un appel plutôt inusité, lundi matin.

Un résident a contacté les autorités après avoir trouvé un singe assis sur sa boîte aux lettres en train de manger son courrier.

Avant que les policiers n’arrivent sur les lieux, le singe avait déjà effrayé plusieurs citoyens en sautant sur les capots de nombreux véhicules et en s’amusant avec une pancarte de signalisation routière.

Plusieurs résidents de ce quartier floridien ont affirmé aux médias que le singe avait l’air inoffensif, mais qu’ils ne l’avaient pas approché, car il avait de grosses dents.

Les policiers ont réussi à attirer l’attention du primate, un dénommé Zeek, en lui offrant une bouteille d’eau. Le propriétaire du singe est arrivé sur les lieux peu après pour ramener la bête chez lui.

Le maître de Zeek avait tous les papiers nécessaires lui permettant de posséder un tel animal et la cage répondait aux normes, selon les policiers. Le singe a toutefois réussi à s’enfuir en déjouant le système de sécurité de sa cage.

En 2012, Zeek avait déjà réussi pareille évasion et avait blessé une personne.

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Nous aurions tous notre propre «nuage de microbes»


Nous transportons tous autour de nous des bactérie dans l’air et ce petit nuage  peut permettre même d’identifier des individus qui ont circulé dans une pièce Imaginez  en médecine-légale, cela serait surement un atout
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Nous aurions tous notre propre «nuage de microbes»

 

Nous aurions tous notre propre «nuage de microbes»

Les nuages microbiens de 11 volontaires ont été étudiés. Photo Gentside

Voilà  de quoi faire paniquer tous les germaphobes: nous sommes tous en permanence entourés d’un nuage de microbes. Telle est la conclusion des chercheurs de l’Université de l’Oregon aux États-Unis. Mais ce n’est pas tout: ils ont aussi constaté que chaque nuage est unique, à  tel point qu’il pourrait être utilisé pour nous identifier, selon l’étude parue dans la revuePeerJ.

Pour en arriver là , les scientifiques ont effectué des tests sur les nuages microbiens de 11 volontaires. Chaque participant a été placé dans une pièce entièrement stérilisée pour une période comprise entre 1 h 30 et 4 h. Les chercheurs ont alors étudié les micro-organismes présents dans l’air et les ont comparés avec ceux d’une pièce adjacente inoccupée. Ils se sont ainsi rendu compte que les deux chambres possédaient des microbes différents.

Selon les résultats obtenus, les échantillons de nuage des volontaires contenaient tous la même bactérie, Streptococcus, qui se trouve généralement à l’intérieur de la bouche, ainsi que deux bactéries de peau, Propionibacterium et Corynebacterium. Mais ces espèces ne se trouvaient pas toutes en même concentration. De même, chaque nuage a montré une combinaison de bactéries différente.

Grâce à deux études différentes menées sur les échantillons d’air et de poussière, les scientifiques ont identifié quelque 14 millions de séquences incluant des milliers de types de bactéries différents. En comparant la quantité de chaque espèce bactérienne dans chaque nuage, les chercheurs ont pu identifier clairement six des huit participants.

«Nous nous attendions à pouvoir détecter le microbiome humain dans l’air mais nous avons été surpris de voir qu’il était si unique à  chaque individu», commente dans un communiqué James Meadow, chercheur à l’Université de l’Oregon et principal auteur des travaux.

IDENTIFIER QUELQU’UN GRÂCE À SON NUAGE MICROBIEN

«Nos résultats confirment qu’un espace occupé est microbiologiquement distinct d’un espace non occupé, et démontrent pour la première fois que les individus libèrent leur propre nuage microbien personnalisé», concluent les auteurs dans leur étude.

Cette découverte pourrait mener à une meilleure compréhension de la propagation de certaines maladies infectieuses en endroits clos mais également jouer un rôle dans le domaine de l’analyse médico-légale.

«Cela pourrait permettre de détecter si quelqu’un est entré dans une pièce ou sur une scène de crime», précise James Meadow.

Certaines interrogations persistent néanmoins, comme la taille exacte du nuage (estimé pour le moment à 90 centimètres autour de nous) ou son évolution à  travers le temps. Les plus phobiques des bactéries se demanderont sûrement s’il faut prendre plus de douches chaque jour pour effacer ce nuage. Mais le biologiste Ben Neuman a la réponse:

«Cela ne servirait à rien. On doit tous l’accepter ou alors changer de planète.»

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Souvenirs de jeunesse


En vieillissant, on revient beaucoup sur les souvenirs d’enfants, pour ma part, elles sont généralement positives, car celles qui m’attristent, je les éloigne
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Souvenirs de jeunesse

 

 

« Un beau soir l’avenir s’appelle le passé. C’est alors qu’on se tourne et qu’on voit sa jenesse « 

Louis Aragon