Le modèle


Les personnes avec qui nous avons des affinités peuvent faire toute la différence sur notre comportement
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Le modèle

 

 

«Quand on suit quelqu’un de bon, on apprend à devenir bon ; quand on suit un tigre, on apprend à mordre. »

Proverbe chinois

Le Saviez-Vous ► En 1981, deux philosophes voulaient utiliser des chats pour nous protéger des déchets nucléaires


Si cela avait été dans les années 50, j’aurais pensé que c’était d’époque, mais dans les années 80 jusqu’en 2011 et dire qu’encore aujourd’hui, on veut jouer avec la génétique des chats pour les mettre en présence de produits dangereux …
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En 1981, deux philosophes voulaient utiliser des chats pour nous protéger des déchets nucléaires

 

Un chat, visiblement effrayé. Via <a href="https://pixabay.com/fr/cat-maison-kate-des-animaux-yeux-278187/">Pixabay</a>, licence <a href="https://creativecommons.org/licenses/publicdomain/">Public Domain CC</a>.

Un chat, visiblement effrayé. Via Pixabay, licence Public Domain CC.

Repéré par Vincent Manilève

Si le projet a été annulé, d’autres laboratoires tentent de relancer cette horrible idée.

Pendant des dizaines d’années, le gouvernement américain estimait que la montagne Yucca, située dans le Nevada, était le lieu parfait pour entreposer les déchets nucléaires pendant les milliers d’années à venir.

Si le projet a été annulé en 2011 avec l’arrêt des financement, le site Techinsider nous rappelle que certains plans du gouvernement pour se protéger des déchets de Yucca étaient très ambitieux, voire carrément bizarres. L’un d’entre eux consistait à utiliser des chats génétiquement modifiés.

En 1981, deux philosophes membres de la Human Interférence Task Force, le groupe gouvernemental chargé du projet Yucca, ont proposé que l’on modifie le code génétique de chats pour qu’ils changent de couleur en présence de radiations. Un peu comme la dague de Frodon dans Le Seigneur des anneaux, qui devenait bleue pour l’avertir de la présence d’orques. Cette nouvelle sorte de compteur Geiger poilu aurait ainsi été utile aux personnes vivant autour de zones à risques, qui pourraient être prévenues lorsqu’elles s’approchent d’un endroit contaminé.

Leur idée allait encore plus loin puisque les deux philosophes en questions, Paolo Fabbri et François Bastide souhaitaient aussi que ces «chats à rayons» rentrent dans le folklore et la culture commune.

«Cela passerait par des proverbes et des mythes qui expliqueraient que, quand on voit un chat changer de couleur, on ferait mieux de courir», écrivait Gizmodo l’année dernière.

Une chanson a même été écrite il y a peu pour rendre hommages à ces chats qui auraient pu protéger les futures générations.

Bien sûr, ce projet n’a jamais vu le jour. Mais comme l’explique Techinsider, certains scientifiques continuent de travailler sur la question. Un laboratoire canadien, Bricobio, veut à terme relancer les «chats à rayons». Pas forcément pour prévenir d’une zone radioactive, mais pour permettre une meilleure détections des gaz dangereux comme le mercure par exemple. Pauvres chatons.

http://www.slate.fr/

Passer 3 minutes à -110 degrés, ça vous tente?


Une thérapie par le froid extrême qui semble plaire en France. Et ce froid est encore plus froid que nos hivers au Québec, mais sans l’humidité. Pas sur, que cela me tenterait d’essayer, surtout qu’aucune étude ne semble avoir été faite sur les réels bienfaits de la cryothérapie
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Passer 3 minutes à -110 degrés, ça vous tente?

Passer 3 minutes à -110 degrés, ça vous tente?

Certains athlètes se sentent bien avec cette cryothérapie corps entier.Photo Georges Gobet / AFP

Patrick Baert

Dehors, c’est peut-être encore l’été, mais dedans, le thermomètre plonge à 110 degrés en dessous de zéro. C’est pourtant dans cette cabine de «cryothérapie corps entier» que de plus en plus de gens s’aventurent en maillot de bain, espérant faire cesser des douleurs… ou simplement se sentir mieux après.

C’est à Rennes, en France, au centre Kemijoki de «cryothérapie et bien-être par le froid», que l’AFP a testé la cabine à -110 degrés. La séance dure en principe entre deux et trois minutes.

«Vous n’allez pas congeler, pas tomber dans les pommes», tente de rassurer Haidar Dittoo, l’ostéopathe attaché au centre, expliquant que l’air «extrêmement sec» pulsé dans la cabine évite les brûlures par le gel.

Le principe: agir sur la douleur par un contact bref mais intense avec le froid.

«Le cerveau reçoit l’information selon laquelle le corps est en danger et se met à secréter des molécules anti-inflammatoires», explique Valérie Georges, qui a ouvert le centre Kemijoki à la fin de l’an dernier.

Il faut donc, explique-t-elle, exposer directement le corps à l’air froid. Après un bref examen médical, on entre dans la cabine en maillot de bain, avec une paire de chaussures en plastique pour éviter de rester collé au sol, des gants, un bandeau sur les oreilles et un masque de chirurgien sur le nez.

Après 15 secondes dans un sas à «seulement» -50 degrés, on pénètre seul dans la cabine à -110, surveillé derrière une vitre par l’opératrice qui diffuse la musique de votre choix et égrène le passage des secondes.

Au bout d’une minute pendant laquelle on ébauche quelques pas de danse comme pour tromper le froid, les muscles commencent à ressentir une curieuse impression.

«Une minute 45. On continue?» demande l’opératrice.

La réponse est non. L’expérience n’aura duré que deux minutes.

À la sortie, on prend la température extérieure au niveau de la jambe: 12 degrés, contre 32 avant d’entrer. Le corps vire au rouge, mais la sensation de froid intense disparaît presque instantanément.

«Il faut s’habituer», observe Valérie Georges. «Le stress disparaît en général à la troisième séance. A la dixième, ils sont accros», dit-elle de ses clients, à qui chaque séance est facturée aux alentours de 30 euros.

Selon elle, la cryothérapie corps entier est indiquée pour le traitement des douleurs ou de certaines maladies, comme la sclérose en plaques. Mais cette pratique n’est pas reconnue par le corps médical et encore moins remboursée le système de santé français, même si des malades affirment que le traitement est efficace.

PAS DE PREUVE SCIENTIFIQUE

Ahmed Debabeche, gérant d’un centre de loisirs, a commencé le traitement fin février alors qu’il souffrait d’une sciatique.

«Au départ, j’y suis allé avec appréhension. Je me disais: « -110, c’est quoi cette histoire? »» raconte cet homme de 43 ans.

Après seulement cinq séances, il assure que sa sciatique a entièrement disparu.

«L’effet a été immédiat, rapporte-t-il. Je revis.»

La France compte désormais une demi-douzaine de centres de cryothérapie corps entier, dont un est ouvert depuis plusieurs années à Paris à l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (Insep) dans le but d’aider les athlètes de haut niveau à se remettre de blessures.

Certains athlètes se sentent bien avec cette cryothérapie corps entier, «mais dans la littérature scientifique, on n’a pas d’effets prouvés pour l’instant en dehors de la perception d’une meilleure récupération», commente le Pr Jean-François Toussaint, directeur de l’Institut de recherche médicale et d’épidémiologie du sport, rattaché à l’Insep.

Il y a selon lui un «effet de mode» autour de cette pratique et un effet subjectif qui amène les sportifs à penser qu’ils récupèrent plus vite après l’effort.

«L’esprit humain adore l’idée de se mettre en danger et de se dire: « J’ai survécu »», analyse-t-il.

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé souligne qu’elle «surveille» cette technique nouvelle.

«Il y a quand même un risque du fait du froid extrême, mais on n’a pas connaissance d’incidents», relève-t-on à l’ANSM.

http://fr.canoe.ca/

Chine Une femme licorne de 87 ans


Sa corne a poussé en moins 10 ans et serait en réalité une tumeur. Si elle est bénigne, l’opération vaut-il peine pour l’âge de la dame, quoique là-bas, les centenaires ne sont pas rares
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Chine

Une femme licorne de 87 ans

 

Une femme licorne de 87 ans

Crédit photo : Gracieuseté Europics/CEN

Sa corne de 13 cm vaut à Liang Xiuzhen d’être surnommée «La femme licorne» par les habitants de son village dans la province duSichuan. Affublée de cette excroissance, la Chinoise de 87 anssera opérée.

Le fils de la vieille dame, Wang Chaojun, a expliqué qu’il y a sept ou huit ans, une sorte de grain de beauté noir a commencé à s’étendre sur le sommet du crâne de sa mère, rapporte The Mirror.

L’octogénaire se plaignait que le drôle de grain de beauté lui causait des démangeaisons constantes.

«Nous avions trouvé une façon de soigner ses démangeaisons par la médecine traditionnelle chinoise», ajoute le fils.

(Photo gracieuseté Europics/CEN)

Tumeur

Toutefois, il y a deux ans, une petite corne est apparue sur la tête de Liang Xiuzhen. Cette dernière l’aurait brisée en février provoquant sa croissance, toujours selon The Mirror. La corne est maintenant aussi imposante que celle d’un animal.

«Ça fait souffrir ma mère et l’empêche de dormir. Et ça saigne de temps en temps», ajoute Wang Chaojun.

La corne, qui a de quoi susciter la curiosité et le scepticisme, serait uncornu cutaneum, informe The Irish Sun. Il s’agit d’une tumeur formée de kératine, une composante des ongles et des cheveux.

Les spécialistes croient être en mesure de retirer la corne lors d’une intervention chirurgicale.

«Ma mère est âgée et sa tumeur se trouve dans une région très délicate. Je ne suis pas très confiant. Si quelque chose se passe mal, ça sera terrible», a soutenu le fils de Liang Xiuzhen.

http://tvanouvelles.ca/

Ne manquez pas les trois «super Lunes» à venir


Espérons que le ciel sera dégager pour voir la lune pour admirer une lune claire et bien ronde
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Ne manquez pas les trois «super Lunes» à venir

 

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Une pleine Lune. Capture d’écran Gentside

 

Voilà l’occasion parfaite d’observer la Lune comme rarement! D’ici la fin du mois d’octobre, trois «super Lunes» sont à prévoir. La première est attendue dans la nuit du 29 août. Un rendez-vous à ne pas manquer.

Le terme de super Lune, inventé en 1979 par l’astrologue Richard Nolle désigne un phénomène au cours duquel le satellite naturel, alors en phase de pleine Lune ou de nouvelle Lune, lorsqu’elle est plongée dans l’obscurité, se retrouve à son point le plus proche de la Terre.

Trois super Lunes ont déjà été enregistrées en 2015: en janvier, février et mars. Les trois prochaines sont respectivement prévues pour le 29 août, le 28 septembre et le 27 octobre.

La prochaine devrait passer à 359 912 kilomètres de la Terre. Elle pourra sembler un peu plus brillante et plus grosse que d’habitude. La différence est toutefois minime, voire difficilement perceptible pour ceux qui n’y seraient pas habitués.

Parce qu’il peut parfois prêter à confusion, le terme de super Lune n’est pas forcément accepté par la communauté scientifique.

http://fr.canoe.ca/

Elle remercie un petit garçon d’avoir joué avec son fils handicapé


Pourquoi un enfant plus qu’un autre ne voient pas les différents ? J’aime bien la réflexion de cette dame … ce jeune garçon a changé le monde à ses yeux juste par ce qu’il a joué avec son fils comme il aurait joué avec un autre enfant
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Elle remercie un petit garçon d’avoir joué avec son fils handicapé

 

 

Petit garçon jeu

© Facebook

Une jeune maman remercie un petit garçon sur Facebook pour avoir joué avec son fils handicapé, au delà des différences.

Pour ce petit garçon, Kaden Myers est un compagnon de jeu. Il n’est pas différent. C’est ce qui a profondément touché sa maman, Katie Myers. Kaden est un enfant de 1 an, atteint d’une amyotrophie spinale, maladie génétique qui entraine une détérioration des muscles. Il se déplace en fauteuil roulant et ne peut pas faire certains gestes.

En voyage dans le sud de la Floride, Kaden et sa famille ont visité le musée des sciences ainsi qu’un aquarium. A cause de sa maladie, il n’arrivait pas à jouer lors des expositions interactives. Un autre garçon, le voyant en difficulté, est venu spontanément l’aider. Puis, il a joué avec lui. Comme avec n’importe quel autre petit garçon, sans qu’il soit question de maladie ou de différence.

De l’espoir pour le futur

Emue, Katie Myers a immortalisé ce moment avec une photo qu’elle a ensuite posté sur un compte Facebook dédié à son fils. Elle y a ajouté un message où elle remercie « le petit garçon au musée des sciences (…) d’être génial ».

Face à l’engouement que son post a suscité, plus de 246 000 likes et 57 000 partages, la jeune maman a déclaré au Huffington Post américain que ce geste lui avait « donné de l’espoir pour le futur ».

« Ça sonne tellement cliché mais cela m’a fait penser à la façon dont une personne peut vraiment changer le monde, et comment elle arrive à susciter ce genre de discussions qui peut changer la façon de penser des gens », a-telle raconté au média.

Ce qu’elle souhaite, c’est que tous les enfants agissent de cette façon avec les personnes à mobilité réduite.

Qu’ils les voient en tant qu’enfants et ne s’arrêtent pas au handicap. Qu’ils s’inspirent du « petit garçon au musée des sciences ».

http://www.topsante.com/

Une invention contre les jerricans toxiques


C’est magnifique que des concours puissent aider des inventeurs à mettre en oeuvre leur projet. Pouvoir transporter de l’eau dans n’importe quel récipient, même ceux qui a contenu de l’essence sans pour autant contaminer l’eau sera sans doute très utile pour l’aide aux réfugiés, aux pays pauvres, mais aussi pour d’autres raisons
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Une invention contre les jerricans toxiques

 

 

Par Erwan Lecomte

Deux inventeuses ont été récompensées par le James Dyson Award 2015 pour un dispositif permettant de réutiliser les jerricans en toute sécurité.

CONTAMINATION. C’est une idée simple et efficace qui a retenu l’intérêt du jury dans le cadre de la finale française du James Dyson Award. Un concours d’inventions technologiques, lancé par l’organisation caritative éponyme, visant à« trouver une solution innovante à un problème identifié« . Parmi les 58 projets soumis par de jeunes ingénieurs, c’est le Wat’Bag qui a été retenu . Ce projet développé par les designeuses industrielles Chloé Louisin et Nadine Nielsen, consiste en un réservoir de plastique souple roulé sur lui-même et destiné à être inséré dans un jerrican d’eau.

Ainsi, puisque l’eau est isolée des parois du récipient, n’importe quel jerrican peut servir à transporter de l’eau potable dans des conditions sanitaires satisfaisantes, même s’il a servi auparavant à transporter du carburant ou des produits chimiques. Une situation pas si rare que cela, notamment lorsque ce type de conteneurs est réemployé pour transporter de l’eau dans des camps de réfugiés, comme ont pu le constater les deux jeunes femmes durant une mission humanitaire aux côtés de Médecins sans frontières, en République Démocratique du Congo. 

Comme ces inventeuses l’expliquent dans cette vidéo, leur dispositif consiste en un sac qui se déploie au fur et à mesure qu’il se remplit d’eau, après avoir été inséré dans le jerrican, ainsi que d’un système de bouchon qui assure son maintien et son étanchéité. Leur projet est donc en lice pour la finale internationale du concours dont le vainqueur sera annoncé le 10 novembre 2015. Ce projet se verra alors attribuer un financement de 37.500 euros. Par ailleurs 12.500 euros seront également versés pour l’Université qui a inspiré et encouragé ces travaux.

Quatre autres projets ont été sélectionnés par le jury :

Le Weeprint, une imprimante qui découpe les feuilles à la taille de l’impression plutôt que de sortir du A4 standard.

The Muscle, the Gear & the Carrot : un « robot » multifonction de cuisine qui fonctionne à l’huile de coude.

R-Flow : un filtre à air qui capture les odeurs et les graisses de cuisine à la manière d’une hotte aspirante portable.

L’aventurier : un jouet qui permet aux enfants hospitalisés d’exprimer leurs émotions (joie, peine, colère, la douleur ou « l’absence de ressenti ») et de la faire connaître aux parents et soigneurs via une application smartphone

http://www.sciencesetavenir.fr/