L’ennui


Quand on ne sait plus après quoi s’accrocher, alors pourquoi vouloir, suivre une morale droite alors que l’immoralité semble plus excitante pour certain du moins.
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L’ennui

 

Lorsque l’homme perd tout but et tout espoir, il n’est pas rare que, par pur ennui, il devienne un monstre.

Fedor Dostoievski

Des images illustrant la triste réalité


Des valeurs qui ont changé à cause de notre mode de vie, des situations qui devront changer, mais qu’à cause de l’argent, les choses empirent
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Des images illustrant la triste réalité

 

Steve Cutts est un illustrateur et animateur qui habite à Londres.

Il crée des vidéos et des images qui critiquent la vie moderne.

Steve affirme que la folie de l’humanité est un réservoir infini d’inspiration pour lui.

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Source: http://www.stevecutts.com/

Le Saviez-Vous ► Pourquoi les enfants tirent-ils la langue quand ils se concentrent ?


Avez-vous déjà remarqué que les enfants tirent souvent la langue lors d’une activité manuelle. Il se peut aussi que des adultes le font aussi, si cette manie ne l’ont jamais dérangé socialement
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Pourquoi les enfants tirent-ils la langue quand ils se concentrent ?

 

La question de la semaine – Pourquoi les enfants tirent-ils la langue quand ils se concentrent ?

Photo : SIPA

JUSTINE KNAPP

DIS POURQUOI – Les enfants ont tendance à sortir le bout de leur langue quand ils se concentrent. Contrairement à l’idée reçue, ce ne serait pas les tâches de précision qui pousseraient le plus à la grimace.

► Les faits

Une expérience a été menée par des chercheuses en psychologie pour tenter d’en savoir plus sur une manie enfantine : tirer la langue pendant un exercice qui demande de la concentration. Elles ont observé des vidéos de quatorze Suédois de 4 ans se frottant à la tâche. Tous avaient la langue sortie.

► Pourquoi ?

La catégorisation des tests permet d’y voir plus clair. Trois activités ont été proposées, sollicitant tour à tour :

L’agilité et la précision (ouvrir un cadenas avec une clé)

La communication et l’imitation (taper sur la table de la main quand le chercheur cogne du poing, et vice et versa)

La mémoire (un jeu de mémoire sans l’usage des mains)

À la surprise générale, c’est la seconde activité qui a favorisé le plus de grimaces chez les enfants. Explication des chercheuses : les gestes sont accompagnés de mouvements de langue, car les mains et la langue sont deux parties du corps liées au langage et à la communication.

De même, les enfants filmés, tous droitiers, avaient plus tendance à tirer la langue vers la droite, ce qui implique une activité de l’hémisphère gauche du cerveau. Partie du cerveau qui, chez les droitiers, contrôle le langage.

La manie disparaîtrait à l’âge adulte uniquement pour des raisons sociales. Tirer la langue en public n’est pas chaleureusement accepté.

► Conclusion

Si votre raison ne vous interdisait pas de tirer la langue pendant des activités manuelles, vous le feriez sans y prêter attention, vos mains étant intimement liées à votre langue. L’expérience rejoint la théorie alternative, relancée depuis une trentaine d’années par plusieurs auteurs, selon laquelle le langage provient de la communication gestuelle plus que des vocalisations.

http://www.metronews.fr/

Les gens qui se plaignent tout le temps endommagent votre cerveau


Il n’y a pas trop de référence sur cette étude, mais je pense qu’on peut en effet le constater que certaines personnes ne sont pas assez outillées pour aider des personnes qui sont trop négatives. Je pense qu’il est important de reconnaitre nos limites et de savoir se protéger contre ces personnes pessimistes
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Les gens qui se plaignent tout le temps endommagent votre cerveau

 

Une étude qui utilise la recherche en neurosciences montre que l’écoute de gens qui se plaignent beaucoup peut être nuisible pour le cerveau.

Trop de négativité a un impact certain sur le cerveau. Malgré le fait que chaque méthode a ses points faibles, Trevor Blake affirme pouvoir expliquer comment et pourquoi la négativité constante affecte notre cerveau.

Trevor Blake est l’auteur de « Trois étapes simples : une carte de la réussite dans les affaires et la vie». Le livre explique comment n’importe quelle personne peut remodeler son esprit pour augmenter sa créativité, réalisation et sérénité. Il explique que le cerveau humain agit comme un muscle plus qu’on ne peut l’imaginer. Par exemple :

« Si vous êtes coincé longtemps, quelque part, en écoutant une personne négative, vous êtes plus susceptible de vous comporter de la même manière qu’elle. »

Être constamment entouré par la négativité et par des gens qui se plaignent beaucoup peut être mauvais, de multiples façons, pour le cerveau. Écouter passivement et constamment une personne se plaindre, peut avoir des effets indésirables graves et peut même altérer les fonctions cérébrales.

La qualité des pensées et des émotions que nous entretenons a un impact direct sur la qualité de notre vie et de notre performance, mais aussi sur notre santé physique et psychologique et celles de notre entourage.

http://www.santeplusmag.com/

Quand Big Ben ne donne plus l’heure juste


Publié le 25 août 2015 à 07h54 | Mis à jour à 07h54

Bah oui, après 156 ans, il est permis d’être capricieux quand même. Au moins, cette horloge n’a pas de date de péremption comme la plupart de nos « bebelles » aujourd’hui.Elle peut être réparé. Le Big Ben fut un vrai coup de génie de son concepteur pour la prospérité
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Quand Big Ben ne donne plus l’heure juste

 

Des techniciens s'affairent à nettoyer Big Ben, à... (PHOTO BEN STANSALL, ARCHIVES AFP)

Des techniciens s’affairent à nettoyer Big Ben, à Londres, en août 2014.

PHOTO BEN STANSALL, ARCHIVES AFP

Agence France-Presse
LONDRES

La plus célèbre cloche du monde, Big Ben, suspendue dans la tour de l’horloge qui surplombe le Parlement de Westminster, a récemment été prise en flagrant délit d’inexactitude, donnant l’heure avec jusqu’à six secondes d’avance.

Big Ben sonnait l’heure en avance depuis une quinzaine de jours, interrompant les émissions radio de la BBC et de BBC World Service, qui utilisent cette sonnerie en direct.

«Nous ne savons pas comment c’est arrivé», a déclaré mardi à la BBC Ian Westworth, l’un des trois horlogers de Westminster.

«Il s’agit d’une horloge vieille de 156 ans (…) elle est un peu capricieuse», a-t-il tenté d’expliquer. «Imaginez conduire votre voiture 24 heures par jour, 365 jours par an au cours des dernières 156 années.»

«Il faut faire un changement très progressif en ajoutant d'(anciennes) pièces (d’un penny) pour accélérer l’horloge ou en enlevant du poids pour la ralentir», a détaillé M. Westworth.

Le processus est assez délicat, les premières tentatives d’ajustement ayant provoqué un retard de l’horloge.

«Nous avons dû monter là-haut presque tous les jours juste pour la régler», a témoigné M. Westworth, alors que d’habitude les horlogers n’y vont que trois fois par semaine.

Le nom de Big Ben est bien souvent utilisé pour qualifier la tour abritant l’énorme cloche de 13,7 tonnes, qui sonne toutes les heures et émet un «bong» différent tous les quarts d’heure.

Il y a deux théories pour expliquer son nom: la première est qu’il fait référence à Benjamin Hall, l’ingénieur dont le nom est inscrit sur la cloche. La seconde veut que l’horloge ait été baptisée Big Ben en hommage à Ben Caunt, un boxeur poids lourd des années 1850.

http://www.lapresse.ca/

Grèce : découverte d’une cité engloutie datant du IIIe millénaire avant J.-C.


Bien avant les pyramides d’Égypte, bien avant les Cyclades, une civilisation grecque à existé dans un village fortifié qui aujourd’hui n’est que ruine sous l’eau
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Grèce : découverte d’une cité engloutie datant du IIIe millénaire avant J.-C.

 

Des archéologues suisses et grecs ont découvert les vestiges d'un village fortifié datant du IIIe millénaire avant J.-C. dans une baie du Péloponnèse. ©Achraf El Kashef

Des archéologues suisses et grecs ont découvert les vestiges d’un village fortifié datant du IIIe millénaire avant J.-C. dans une baie du Péloponnèse. ©Achraf El Kashef

Par Morgane Kergoat

Les vestiges d’un site fortifié datant de l’âge de Bronze ont été mis au jour dans une baie du Péloponnèse. Une découverte exceptionnelle à plus d’un titre.

 

Elles étaient là depuis des millénaires, à seulement 1 à 3 mètres de fond, dans la baie de Kiladha, en Argolide. Les ruines d’un vaste établissement côtier découvertes récemment sur cette plage de Lambayanna par une équipe gréco-suisse, sont de précieux témoins préhistoriques.

Localisation de la baie de Kiladha, en Argolide. ©Google Maps

« L’importance de notre découverte tient d’une part à la grande taille de l’établissement : au moins 1,2 hectare conservé, explique Julien Beck, professeur à l’université de Genève et directeur des travaux de terrain, et, d’autre part, à la quantité et la qualité des vestiges qui y ont été recueillis ». Mais surtout, les archéologues ont découvert des structures défensives en pierres, dont « le caractère massif est d’un genre inconnu en Grèce jusqu’alors ».

Ces fouilles ont été réalisée dans le cadre d’un vaste projet d’archéologie sous-marine lancé en 2014 par les chercheurs de l’université de Genève, sous l’égide de l’Ecole suisse d’archéologie en Grèce et en collaboration avec l’Ephorate of Underwater Antiquities (le service des antiquités sous-marines du ministère grec de la culture).

Ces fondations en pierre sont celles du mur de fortification d’un village préhistorique découvert dans la baie de Kiladha, en Grèce. ©Achraf el Kashef

Une ville fortifiée vieille de 4.500 ans

À quoi ressemble cette structure défensive inédite ?

Selon le Ministère grec de la culture, « des tronçons d’un mur de fortification extérieur, relié aux fondations d’au moins trois grandes structures en pierres (18 mètres sur 10) en forme de fer à cheval, ont pu être identifiés ».

Ces trois bâtiments étaient peut-être des bastions ou des tours, d’après Julien Beck. À l’intérieur de cette enceinte, se trouvent des surfaces dallées, probablement des rues, ainsi que les ruines d’autres bâtiments, plus classiques cette fois : rectangulaires, circulaires ou à abside.

« Leur fonction est avant tout domestique : il s’agit d’habitat, de lieu de stockage ou de production », explique le directeur des fouilles. « Leur forme est caractéristique de l’Âge de Bronze grec », précise le Ministère grec de la culture dans un communiqué.

Vue en 3D du mur de fortification (1), menant à des structures en fer à cheval. ©Achraf el Kashef

Grèce archaïque

Cette datation d’après les indices architecturaux est corroborée par les objets du quotidien retrouvés, par prospection, sur le fond marin :

« d’un point de vue stylistique, la céramique – nous avons remonté plus de 5.000 tessons ! – est caractéristique de l’Helladique Ancien II, c’est-à-dire de la moitié du IIIe millénaire environ, dans ce que nous appelons la période du Bronze Ancien », ajoute Julien Beck.

Pour comparaison, ces vestiges seraient donc contemporains des pyramides d’Égypte (celles du plateau de Gizeh ont été construites vers 2.600 – 2.500 avant J.-C), mais également de la civilisation des Cyclades (3.200 à 2.000 avant J.-C), voire des premiers Minoens, en Crète (2.700 à 1.200 avant J.-C). Mais ils précèdent de près de mille ans la première grande civilisation du continent grec, celle des Mycéniens (1.650 à 1.100 avant J.-C). D’ailleurs, l’obsidienne (une roche volcanique), utilisée à Lambayanna pour la fabrication de lames, « vient de Mélos » selon Julien Beck, une île de l’archipel des Cyclades peuplée dès le IIIe millénaire.

Plage de Lambayanna où ont eu lieu les fouilles. ©Achraf el Kashef

Commencées en juillet 2015, dans le cadre du projet « baie de Kiladha », dont l’objectif est d’étudier toute trace d’activité humaine préhistorique dans cette baie, les fouilles ont pris fin le 14 août. Et si elles ont déjà permis de révéler l’importance du site submergé, manquent quelques éléments.

« Il devait y avoir des superstructures en briques au-dessus des fondations en pierre, détaille Julien Beck, mais les chances de retrouver de tels murs sous l’eau sont extrêmement faibles ». Par ailleurs, « la taille complète de l’établissement n’est pas encore connue. Nous ne savons pas à quel point il est entouré de fortifications », regrette-t-il.

« La recherche future à Lambayanna permettra d’apporter un éclairage nouveau sur un réseau dense d’établissements côtiers de la même époque dans le golfe Argolique (Lerne, Tirynthe, Asiné) et servira à mieux comprendre le mode d’occupation, les échanges et les activités maritimes dans la préhistoire », conclut le Ministère grec de la culture.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Le cadavre d’une jeune femme volé avant la crémation


C’est quoi le trip de voler un corps d’une jeune femme morte de maladie. L’affront ultime pour les personnes en deuil. Qu’est-ce qu’ils peuvent bien faire avec ce corps ?
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Le cadavre d’une jeune femme volé avant la crémation

 

(Facebook de Julie Mott)

Une famille de San Antonio au Texas vit un véritable enfer depuis plusieurs jours. Les proches de Julie Mott tentent à tout prix de retrouver le corps de la jeune femme de 25 ans, morte de fibrose kystique.

Sa dépouille a été volée peu de temps après le service funéraire qui s’est tenu le samedi le 15 août dernier. Depuis, les proches sont sans nouvelles, et les policiers tentent de retrouver la dépouille, rapporteABC News.

«Nous souhaitons seulement retrouver les restes de Julie, afin de panser nos plaies et faire notre deuil», a expliqué en entrevue le père de Julie, Tim Mott.

Selon les enquêteurs, le corps de Julie a été retiré du cercueil dans lequel on l’avait placé peu de temps après le service funèbre qui s’est tenu à la Mission Parks Funeral Chapel North, le 15 août dernier. Le cercueil a été placé dans le couloir de l’établissement, en attente de la crémation qui devait avoir lieu le lendemain.

(Facebook de Julie Mott)

Le responsable de la maison funéraire où a été commis le vol horrible demande aujourd’hui au public de l’aide afin de localiser la dépouille, et trouver le ou les responsables, rapporte le Insquisitr.

Aucun indice

Les policiers n’ont aucun indice sur l’identité du voleur.

«Il n’y a eu aucune entrée par effraction», ont précisé les policiers.

Comme Julie Mott était très frêle, les policiers croient qu’une seule personne aurait été capable de déplacer la défunte. Plusieurs personnes auraient pu être impliquées. Selon le responsable de la maison funéraire, le corps aurait pu être volé par une personne en désaccord avec la crémation par rapport à l’enterrement, processus plus traditionnel.

Une récompense de 20 000$ est offerte afin de trouver le responsable, mais surtout le corps de la défunte.

http://tvanouvelles.ca/

La sècheresse contraint les ours à se rapprocher des villes


Des sécheresses, feux de forêts qu’on vécut l’ouest du pays diminue la qualité de vie de tout le monde, même ceux des animaux. Cette période de l’année est propice pour faire des réserves avant l’hiver qui sera bientôt là. Malheureusement, les ours auront faim et iront chercher la bouffe ou elle se trouve. S’ils viennent près des villes alors ils risquent d’hiberner pour toujours
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La sècheresse contraint les ours à se rapprocher des villes

 

D’après un reportage de Michaël Bédard

Feux de forêt et restrictions d’eau ne sont pas les seuls impacts du temps sec et chaud à déplorer. Selon plusieurs organismes, dont la société protectrice des animaux de la Colombie-Britannique, un manque de nourriture se ressent sur la vie sauvage.

La sècheresse de cet été risque de priver les ours de leur festin automnal traditionnel, nécessaire pour survivre à leur hibernation. La montaison des saumons dans certaines rivières est, notamment, incertaine et les petits fruits dont se nourrissent les ours ont mûri très tôt cette année.

S’ils ne trouvent pas de quoi constituer une réserve de graisse suffisante dans leur milieu naturel, les ours n’hésiteront pas à explorer de nouveaux endroits, explique l’agent de conservation de la faune Simon Gravel.

« Les ours vont descendre dans les villages ou les milieux urbains pour trouver d’autres sources de nourriture. » — Simon Gravel, agent de conservation de la faune

Il se veut, toutefois, rassurant et affirme que des mesures sont prises pour assurer la sécurité des citoyens.

« Les agents de conservation en Colombie-Britannique sont très habitués. Quand l’automne arrive, on est prêts, c’est notre priorité de faire en sorte que le public soit en sécurité », assure-t-il, précisant que les agents patrouilleront davantage et feront de la sensibilisation auprès de la population.

500 ours tués en 2014

Cependant, selon Sara Dubois, scientifique en chef à la Société protectrice des animaux de la Colombie-Britannique, certaines municipalités de la région de Vancouver sont mieux équipées que d’autres pour faire face à la situation.

« À Burnaby, on n’a pas de poubelles qui sont protégées contre les ours, tandis que dans certaines villes comme Port Coquitlam, ils ont déjà mis des protections sur les poubelles », affirme-t-elle.

La vigilance doit donc être de mise, mais pas d’inquiétude majeure. D’autant que ce sont sans doute les ours qui risquent de souffrir le plus de cette situation : l’an dernier 500 d’entre eux ont été tués dans la province pour assurer la sécurité du public.

 

http://ici.radio-canada.ca/