Expérience


Une très belle métaphore, de la différence entre les jeunes et les plus âgés quand les difficultés surviennent
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Expérience

 

 

Durant l’absence de pluie, ce sont les jeunes arbres qui jaunissent les premiers. Les vieux ont des cachettes souterraines qu’on appelle expérience.

Félix Leclerc

Le Saviez-Vous ► 14 enfants des quatre coins du monde vous font découvrir leurs chambres !


Bien que dans les pays riches, il y a des enfants qui ont des chambres délabrées et les pays pauvres des enfants ont une chambre mieux que la majorité d’entre eux. Il y a trop d’enfants qui dorment dans des lieux délabrés est sales
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14 enfants des quatre coins du monde vous font découvrir leurs chambres !

Chaque personne à travers le monde vit son enfance de manières complètement différentes. Non, la chambre d’un enfant ne se résume pas forcément à des posters de ses stars préférées et à un lit bien douillet. Entre le confort du petit américain moyen et celui du sénégalais, il y a une marge énorme !

Pour nous dévoiler tout ça, le photographe James Mollison a immortalisé les visages d’enfants provenant de différents pays ainsi que leurs chambres, celle dans laquelle ils dorment toutes les nuits.

1. Bilal, 6 ans, Wadi Abu Indi, Cisjordanie.

2. Indira, 7 ans, Kathmandu, Népal.

3. Ahkohxet, 8 ans, Amazonie, Brésil.

4. Dong, 9 ans, Yunnan, Chine.

5. Anonyme, 10 ans, Côte d’Ivoire.

6. Alex, 9 ans, Rio de Janeiro, Brésil.

7. Bikram, 9 ans, Melamchi, Népal.

8. Tzvika, 9 ans, Jérusalem, Israël

9. Douha, 10 ans, Hebron, Cisjordanie.

10. Joey, 11 ans, Kentucky, États-Unis.

11. Lamine, 12 ans, village de Bounkiling, Sénégal.

12. Rhiannon, 14 ans, Darvel, Écosse.

13. Risa, 15 ans, Kyoto, Japon.

14 Netu, 11 ans, Kathmandu, Népal.

Cette série de photos se trouve dans l’ouvrage Where Children Sleep où on peut y lire en détails le mode de vie de chaque enfant photographié. James Mollison affirme:

« Il m’a semblé que la meilleure façon de se rendre compte des situations complexes et sociales de ces enfants à travers le monde était de regarder les chambres dans lesquelles ils vivent. » 

http://www.demotivateur.fr/

Floride : Mordue par un requin, elle joue les héros à 10 ans


Woww, quelle courage, seulement 10 ans, sérieusement blessée, au lieu de fuir, elle y retourne pour sauver une petite fille.
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Floride : Mordue par un requin, elle joue les héros à 10 ans

 

Une enfant de seulement 10 ans a fait preuve d’un très grand courage, alors qu’elle venait tout juste de se faire mordre très sérieusement par un requin, au large de Jacksonville en Floride, ce mercredi.

Kaley Szarmack profitait de la belle température et des vagues lorsqu’un requin d’au moins trois pieds de long a pris une bonne bouchée de sa jambe, rapporte ABC News. Elle s’apprêtait à ce moment à sortir de l’eau.

Au lieu de courir se réfugier sur la plage, elle a tout de suite pensé à la petite fille de 6 ans avec qui elle se trouvait, et ne l’a pas laissée derrière.

Malgré le danger, elle est retournée dans l’eau la chercher afin d’éviter qu’elle ne se fasse attaquer par le dangereux poisson à son tour.

«Elle s’est retournée et est allée chercher la petite de six ans et elle l’a sortie de l’eau. C’est très touchant ce geste qu’elle a posé» a raconté son père en entrevue.

Kaley Szarmack a ensuite été transportée à l’hôpital et se remet de ses blessures. La lacération nécessitait 90 points de suture.

Son père souhaite qu’elle puisse retourner dans l’eau rapidement, sans avoir peur.

«Je suis vraiment fier d’elle, et surtout très reconnaissant qu’elle se porte bien», a ajouté son papa.

http://tvanouvelles.ca/

Bonne nouvelle: la fin du monde n’est vraiment pas pour septembre


Nous sommes encore sauvés, la fin du monde ne sera pas en septembre, quoique les fauteurs de troubles disent le contraire. Je ne sais pas ce que cela leur donne de prédire a qui mieux-mieux la fin du monde, mais après ces gens ont l’air plus fou que fou … Et le pire, c’est que d’autres y croient
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Bonne nouvelle: la fin du monde n’est vraiment pas pour septembre

 

Impact d'astéroïde | Jeroen Doorenweerd via Flickr CC License by

Impact d’astéroïde | Jeroen Doorenweerd via Flickr CC License by

Repéré par Vincent Manilève

 

Face aux rumeurs les plus folles, la Nasa a dû une nouvelle fois sortir de son silence pour démentir un scénario catastrophe à la «Armageddon».

Depuis quelques semaines, une rumeur persistante alimente les blogs, les réseaux sociaux et certains sites dits d’information. Fin avril, une vidéo publiée sur YouTube annonce une nouvelle pour le moins catastrophique: une comète va s’écraser sur la terre entre le 15 et le 28 septembre 2015. La narratrice de la vidéo, comme l’explique le site Snopes, fait référence à des textes religieux et s’appuie sur une liste de ce qu’elle présente comme des preuves indiscutables que la fin approche.

Un autre homme qui s’est autoproclamé prophète, le révérend Efrain Rodriguez, a affirmé que les gouvernements et la Nasa sont au courant de la catastrophe à venir mais qu’ils ne disent rien pour éviter les mouvements de panique et permettre aux plus riches d’échapper à une mort certaine. On apprenait également que l’impact aurait lieu près du Puerto Rico et détruirait donc, comme dans les films catastrophes, une large destruction du continent américain…

«La Nasa n’a pas connaissance d’un astéroïde ou d’une comète actuellement en route vers une collision avec la Terre, la probabilité d’une collision est donc assez faible. […] En fait, ce que nous pouvons dire, c’est qu’aucun objet large ne devrait frapper la Terre dans les centaines d’années qui viennent.»

Mais cette première prise de parole officielle n’a pas suffi. La date fatidique approchant, de nouvelles vidéos ont été mises en ligne pour relayer ces théories farfelues (ici) et des sites continuent de titrer sur l’impact (quitte à démentir dans l’article).

«Garde de l’espace»

 

L’Administration nationale de l’aéronautique et de l’espace a donc jugé nécessaire d’adresser une nouvelle fois un message sur le sujet.

Paul Chodas, l’un des responsables de la Nasa, a expliqué qu’il «n’y a pas de base scientifique, pas une trace de preuve, qu’un astéroïde ou tout autre objet céleste va s’écraser sur la Terre à ces dates-là. […] S’il y avait un objet assez large pour provoquer ce genre de destruction en septembre, nous aurions déjà vu quelque chose».

Paul Chodas travaille au sein du Near-Earth Object Program, un programme justement destiné à repérer les objets célestes potentiellement dangereux s’approchant de la Terre. Ils ont même un petit surnom, la «garde de l’espace». Et, comme on peut s’en douter, une grande partie de son travail consiste à surveiller le Web pour repérer les fausses alertes régulièrement lancées.

En 2011, une comète prénommée Elenin était censée provoquer l’apocalypse sur Terre. Elle a fini en petit débris dans l’espace sans jamais approcher notre belle planète. Même chose l’année suivante: le calendrier maya prévoyait un énorme astéroïde pour le 21 décembre. Là encore, la journée a été plutôt tranquille.

Si toutefois cette éventualité (infime, rappelons-le) vous inquiète, vous pouvez suivre le compte @AsteroidWatch, qui vous informe en direct sur ce qui se passe au-dessus de nos têtes. 

http://www.slate.fr/

Trop travailler accroîtrait le risque d’AVC


Il semble que le nombre d’heure au travail peut augmenter certaines maladies comme les AVC. Probablement, que si les habitudes de vie étaient meilleurs tel que l’exercice physique et l’alimentation cela aurait un effet positif malgré le nombre d’heures au poste
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Trop travailler accroîtrait le risque d’AVC

 

Trop travailler accroîtrait le risque d'AVC

La Turquie a le salariés travaillant plus de 50 heures hebdomadaires.Photo RelaxNews

PARIS – Très répandus dans certains pays et dans certains milieux professionnels, les horaires de travail à rallonge accroissent le risque d’affection coronaire et d’accident vasculaire cérébral (AVC), selon une vaste étude rendue publique jeudi.

En analysant les données fournies par des études portant sur 600 000 personnes originaires d’Europe, des États-Unis et d’Australie, des chercheurs ont découvert que travailler plus de 55 heures par semaine augmentait de 33 % le risque de faire un AVC et de 13 % celui de développer une maladie des coronaires (les artères nourricières du coeur) par rapport à un travail hebdomadaire de 35 à 40 heures.

Ce résultat a été obtenu en suivant pendant 7 à 8 ans des hommes et des femmes qui n’avaient aucune maladie cardiovasculaire connue au début de l’étude.

Il a été pondéré en tenant compte des autres facteurs de risques des maladies cardiovasculaires – tabagisme, consommation d’alcool ou sédentarité -, précise l’étude publiée dans la revue médicale britanniqueThe Lancet.

Ses auteurs relèvent que le risque d’AVC n’apparaît pas brutalement au-delà de 55 heures de travail hebdomadaires mais augmente parallèlement à la durée du travail: 10 % de plus chez les personnes travaillant entre 41 et 48 heures et 27 % de plus chez ceux travaillant entre 49 et 54 heures.

«Les professionnels de santé devraient être conscients du fait que de longs horaires de travail sont associés à un accroissement significatif du risque d’AVC et peut-être également de maladie coronaire», souligne le Pr Mika Kivimäki, professeur d’épidémiologie à l’University College de Londres et coordinateur de l’étude.

Le rôle joué par le stress dans plusieurs maladies cardiovasculaires dont les infarctus et les AVC a déjà fait l’objet de nombreuses études, contrairement aux horaires de travail qui n’avaient jusqu’à présent pas été étudiés avec autant de précision.

Dans un commentaire joint à l’étude, le Dr Urban Janlert de l’université suédoise Umea rappelle pour sa part que parmi les membres de l’Organisation pour la coopération économique et le développement (OCDE), la Turquie a la plus grosse proportion de salariés travaillant plus de 50 heures hebdomadaires (43 %), alors que les Pays-Bas ont la proportion la plus faible, moins de 1 %.

Juste derrière la Turquie, on trouve le Mexique (28,8 %) et la Corée du sud (27,1 %).

Plutôt que de réduire les horaires de travail, ce qui risque d’être «difficile ou impossible» à mettre en oeuvre, «la plupart d’entre nous pourrions réduire le temps passé assis, augmenter notre activité physique et améliorer notre alimentation», suggère de son côté le Dr Tim Chico, un consultant en cardiologie, non lié à l’étude.

http://fr.canoe.ca/s

Nice : kidnappé par un goéland, le chat Poppi s’en sort indemne


Surprenant qu’un goéland a pu lever un chat jusqu’à un certain point. C’est le monde à l’envers !!! Mais faut croire que la faim fait prendre des grosses risques
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Nice : kidnappé par un goéland, le chat Poppi s’en sort indemne

 

Poppi est un chat norvégien de 5 kilos. Plutôt lourd pour un goéland.

Poppi est un chat norvégien de 5 kilos. Plutôt lourd pour un goéland.

Photo :Sipa – Photo d’illustration

MÉSAVENTURE Un chat niçois a disparu dans la nuit de lundi à mardi, emporté par un goéland alors qu’il se trouvait sur le balcon de l’appartement de sa maîtresse. Il a finalement été retrouvé sous une voiture par sa propriétaire.

 

Si l’homme n’est pas toujours très tendre avec les animaux, ces derniers ne le sont pas non plus entre eux. Et c’est le chat Poppi, résidant niçois, qui l’a appris à ses dépens, nous apprend Nice-Matin. Poppi est un chat norvégien roux, pesant ses bons 5 kilos, et appartenant à Isabelle, une femme de 45 ans qui possède d’autres félins et a la particularité de les promener en poussette.

L’incident s’est produit dans la nuit de lundi à mardi sur le coup de 3 heures du matin, sur le balcon du 6e étage d’un immeuble de la cité azuréenne. Un cri de chat réveille Isabelle au milieu de la nuit. La suite, c’est elle qui la raconte au quotidien régional :

« J’ai aperçu une masse rousse littéralement décoller, emmenée par un goéland ». Poppi a disparu, emporté par le volatile marin.

Roland, le goéland voleur de Vannes

Elle décide de signaler la disparition de son chat au cas où quelqu’un le retrouverait.

« Quand je suis sortie de chez moi, j’ai eu comme une intuition, et je me suis lancée à sa recherche en bas de chez moi, explique Isabelle à Nice-Matin. Après une chute de six étages, c’est plutôt sa dépouille que je pensais trouver. »

Mais par miracle, c’est roulé en boule sous une voiture à l’aplomb du balcon, que la quadragénaire découvre Poppi.

« Je n’arrivais pas à y croire! Il était complètement terrorisé, détaille la Niçoise. Quand je l’ai ramené à la maison, il s’est jeté sur sa gamelle ».

S’il semble probable que le chat soit en réalité juste tombé du balcon, ait été emporté, poussé ou effrayé par un goéland, d’autant plus quand on sait que cet oiseau ne pèse que de 750 à 1250 grammes, il y a néanmoins encore une énigme à résoudre. En effet, souligne Nice Matin, la fourrure du félin était parsemée d’aiguilles de résineux, alors qu’il n’y en a aucun dans le voisinage. Mystère.

La mésaventure dont a été victime Poppi illustre l’agressivité nouvelle dont font preuve ces oiseaux pour trouver de la nourriture. Si Roland, le goéland de Vannes, se contente de chiper des maquereaux au marché, en Angleterre, ces volatiles sèment une véritable terreur, au point de pousser en juillet dernier le Premier ministre David Cameron à demander « une grande discussion » à ce sujet.

http://www.metronews.fr/

Invectivée par la propriétaire d’un restaurant pour avoir apporté du lait pour son bébé?


Avec les réseaux sociaux, une bonne réputation peut s’écrouler en quelques secondes. Peut importe si la dame avait oui ou non du lait spécial pour son bébé, cela ne valait pas la peine que la propriétaire du restaurant s’emporte pour autant. Cela démontre vraiment que s’afficher sur Internet est un couteau a deux tranchants et qu’on peut être sur le pilori par des gens qui n’ont même pas été présent ou qui ne connaissent pas du tout l’établissement
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Invectivée par la propriétaire d’un restaurant pour avoir apporté du lait pour son bébé?

 

Le Huffington Post Québec  |  Par Hadi Hassin

    Le restaurant Le Chien Rose, situé sur la rue Fleury à Montréal, est pointé du doigt sur les réseaux sociaux après une prise de bec entre la propriétaire des lieux et une mère de famille. La chicane s’est poursuivie mercredi sur la page Facebook du restaurant.

    En compagnie de son enfant de 18 mois et de son conjoint, la cliente s’est rendue mardi soir dans le restaurant du quartier Ahuntsic pour souper.

    Ce qui devait être une belle soirée a plutôt mal viré lorsque la propriétaire du restaurant, Michèle Des Rosiers, serait intervenue pour dire à la famille «que ça ne se faisait pas d’apporter son propre jus».

    Ce jus, dont il est question, il s’agit d’un biberon de lait, selon la mère. Un «lait spécial» pour leur enfant qu’il n’aurait pas pu obtenir au restaurant.

    «Nous étions avec mon fils de 18 mois. J’ai rempli son biberon de lait (il boit du lait spécial, donc je ne pouvais pas commander du restaurant), raconte la mère de l’enfant dans la section de la page Facebook du restaurant réservée aux avis des clients. La propriétaire est sortie nous dire que ça ne se faisait pas d’apporter son propre jus, qu’on ne savait pas vivre. On a failli quitter sur-le-champ. On aurait dû en fait».

    «La table à côté de nous aussi a pensé à quitter, si ce n’avait été de la serveuse qui s’est excusée plusieurs fois. Bref, malheureusement nous n’y retournerons jamais», tranche-t-elle, affirmant n’avoir jamais eu un tel problème par le passé.

    le chien rose

    La mère de famille aurait exigé des excuses de la propriétaire, qui aurait refusé. Cette dernière dit avoir vu une pinte de lait 3,25% Québon dans le sac de la cliente.

    Round 2 sur Facebook

    L’histoire ne s’arrête pas là. C’est plutôt la réponse crue de la propriétaire du restaurant qui fait réagir sur les réseaux sociaux.

    Lorsque la cliente donne une note d’une étoile au restaurant et souligne la malencontreuse situation sur la page du restaurant en parlant «d’une serveuse sympathique (mais) d’une proprio vraiment exécrable», les choses se froissent entre les deux femmes.

    En effet, sous le commentaire de la dame, la propriétaire s’est imposée en lui livrant une réponse plus que salée :

    «Madame, je ne peux que commenter votre manque de savoir-vivre. Nous vendons du lait, du jus, de la liqueur, bref, toutes sortes de boissons non-alcoolisées. Vous ne nous avez nullement demandé si on avait du lait à vendre, ce qui est la norme et la politesse. Si nous n’avions pas eu ce que vous vouliez, alors vous auriez pu demander si vous pouvez aller en acheter à l’épicerie à côté. C’est la moindre des choses», lui réplique la propriétaire.

    «Vous avez agi exactement comme si vous étiez rentré dans un bar avec une caisse de 6. Normal qu’on soit insulté…. On se casse la tête à avoir toutes sortes de breuvages, principalement pour les enfants, et vous nous coupez l’herbe sous le pied. On est « apportez votre VIN », pas « apportez tout ce que vous voulez ». Si pour vous c’est ça encourager les business locales, je préfère que vous restiez chez vous. Désolée.»

    le chien rose

    Colère et incompréhension

    Dans les heures qui ont suivi, le restaurant s’est attiré de nombreuses critiques de la part des internautes.

    «Je suis sidérée par le manque de respect et de professionnalisme de la réponse du propriétaire. Au grand jamais je n’irai encourager ce resto et je ne le recommanderai pas plus», écrit l’un.

    «J’ai un fils de 16 mois et nous devions aller dans votre région la semaine prochaine. OFFICIEL que nous éviterons votre établissement», s’exprime un autre.

    «Une chance qu’elle n’allaitait pas. Il lui aurait fallu demander un sein avant!» en rajoute un autre.

    La propriétaire, victime de lynchage, s’excuse

    Dans un imposant message paru sur la page du restaurant jeudi après-midi, Michèle Des Rosiers a présenté des excuses:

    «Pour le ton que j’ai employé envers la cliente qui avait apporté son lait, je m’excuse. Je sais que j’ai du travail à faire là-dessus. Il n’y a personne de parfait et je suis dans ce bateau avec vous.»

    «Que je dise à la cliente qu’elle est impolie sur ce dit avis : peut-être pas mon meilleurmove. De dire que c’était du lait spécial pour son fils allergique quand ce n’était pas le cas n’est pas vraiment honnête», poursuit-elle.

    «Mais est-ce que mon équipe et moi méritons ce lynchage public qui est en train de se produire? Est-ce que ça mérite le déferlement de parents venus mettre 1 étoile à mon resto ou me laisser des commentaires insultants pour cette histoire? Est-ce que c’est plus juste et plus mature de votre part de me donner autant de haine pour une situation dont vous n’avez pas été témoin? Je ne crois pas.»

    Le Huffington Post Québec a contacté la propriétaire qui n’a pas souhaité commenter davantage la situation. Au moment de mettre en ligne, la cliente n’avait pas répondu à notre demande d’entrevue.


http://quebec.huffingtonpost.ca/