La vie


On court après n’importe quoi, on essaie d’amasser plus d’argent, même les vacances ne sont pas nécessairement de tout repos, parce que nous avons oublié de vivre tout simplement
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La vie

 

« La vie est un mystère qu’il faut vivre, et non un problème à résoudre. »

Gandhi

Le Saviez-Vous ► Comment reconnaitre facilement un menteur ?


Même si une personne est un bon menteur, il ne peut pas tout contrôler. Son corps peut envoyer des indices qui suggèrent qu’il est en train de mentir
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Comment reconnaitre facilement un menteur ?

Grâce à ces indices que nous avons sélectionnés pour vous, vous saurez si la personne est en train de dire la vérité ou pas.

• Les gens qui mentent ont tendance à se toucher le visage de manière fréquente.

se toucher le visage

En effet, le célèbre psychologue américain Philip Calvin affirme que les menteurs tendent à se toucher souvent le visage.

• Les menteurs cachent leurs mensonges derrière un faux sourire.

un faux sourire

Un sourire n’est pas sincère lorsque l’expression du visage ne change pas.

 

• Lorsqu’une personne ment, elle aura tendance à hausser les épaules à moitié.

hausser les épaules à moitié

Un faux haussement d’épaules implique un mouvement quelque peu forcé.

• Une personne qui se sent mal à l’aise par son mensonge a tendance à remuer les pieds.

remuer les pieds

Cela traduit la forte envie du menteur de parler d’autre chose.

• Posez des questions à une personne qui est en train de vous mentir et vous verrez qu’elle fera des mouvements de manière récurrente avec sa tête.

Des mouvements de tête

• Contrairement à la croyance populaire, les menteurs ont tendance à regarder de façon persistante.

regard persistant

En effet, ils maintiennent le contact visuel tout en racontant des salades.

• Souvent hostiles et sur la défensive, les menteurs ont tendance à pointer du doigt afin de rejeter les accusations sur les autres.

hostiles et sur la défensive

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Citronnelle, la chatte dont les moustaches font craquer le monde entier !


Ce chat est vraiment magnifique, ses moustaches de poils lui donnent un air petit air anglais
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Citronnelle, la chatte dont les moustaches font craquer le monde entier !

 

Par Caroline Bouvy

Crédits photo : Instagram – citroneko

Elle vit à Paris mais sa popularité a rapidement dépassé les frontières de l’Hexagone. Clémentine a fait de sa chatte une véritable star féline à l’international. Mais qu’a-t-elle de si particulier ?

Cette adorable British Shorthair ne possède pas qu’une frimousse à croquer,Citronnelle a également des moustaches bien spéciales…

Blanches et particulièrement longues, les petites moustaches de ce félin font de lui un être tout à fait unique. Si unique d’ailleurs, que son minois fait rêver des milliers de personnes. A l’heure où le « Cat Beards » envahit la toile, les photos de ce petit chat moustachu ont vite créé le buzz.

Avec plus de 36 000 abonnés sur Instagram, cette frenchie à poils a largement fait sa place parmi les stars animales du réseau social ! Et comme la célébrité peut aussi commencer par Wamiz, la jolie Citronnelle a fait ses premiers pas sur la toile en créant sa page sur notre site…

Citronnelle et sa peluche Snoopy, Citronnelle sur la terrasse, Citronnelle sur son banc, bref, des images de tous les jours mais dont la beauté du modèle vont certainement vous faire fondre…

http://wamiz.com/

Il y a 4 000 ans, les femmes assyriennes à l’égal des hommes ?


Des tablettes ont été trouver en Turquie qui dévoile les conditions de la femme 2 000 avant JC. Elles étaient égal à l’homme et étaient très présente dans les affaires sauf en politique, mais les choses ont bien changé depuis
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Il y a 4 000 ans, les femmes assyriennes à l’égal des hommes ?

 

© Cécile Michel/ Mission archéologique de Kültepe

© Cécile Michel/ Mission archéologique de Kültepe

Kültepe en Turquie, continue de dévoiler des trésors étonnants. Les tablettes d’argile laissées par les marchands assyriens, révèlent que les femmes de cette société mésopotamienne avaient la liberté et la capacité d’agir par elles-mêmes.

Depuis 1948 et le début des fouilles, plus de 22 400 tablettes d’argile ont été exhumées du site archéologique de Kültepe (capitale du royaume de Kanesh), dans le centre de la Turquie. Cet ancien comptoir de commerce prospérait à l’époque assyrienne (XIXe siècle av J.-C.) lorsque les marchands de la cité-État d’Assour (actuellement en Irak) venaient y vendre de l’étain et des étoffes.

“Ces marchands assyriens utilisaient l’écriture cunéiforme pour leur commerce. Ils avaient installé une quarantaine de comptoirs sur l’ensemble de l’Anatolie, et Kanesh était le centre administratif de ce réseau, explique Cécile Michel, assyriologue au CNRS et membre de l’équipe de fouilles. Ces marchands étaient d’excellents archivistes : les archéologues ont retrouvé pléthore de contrats commerciaux, de contrats familiaux et de correspondances privées.”

Ces écrits révèlent que les femmes de ces marchands avaient une influence particulière dans la vie quotidienne et religieuse de la cité.

“Quand les hommes partaient faire leur négoce en Anatolie, les femmes prenaient la tête du foyer : elles élevaient les enfants, tissaient, vendaient leurs étoffes et passaient des contrats, explique Cécile Michel. Elles étaient autonomes : elles gagnaient leur vie et géraient leur propre pécule.”

Pour communiquer avec les hommes de leur famille, les femmes écrivaient des “lettres”. Bon nombre d’entre elles ont été retrouvées sur le site de Kanesh. Cécile Michel est l’une des rares traductrices spécialiste de l’écriture cunéiforme :

“Ces correspondances sont uniques au monde. Elles nous renseignent sur le quotidien des marchands 2 000 ans avant notre ère.”

Des femmes influentes

Les lettres retrouvées à Kanesh étaient le plus souvent rédigées par des scribes, pour le compte des femmes, “mais nous supposons que certaines de ces dernières savaient écrire, précise Cécile Michel. Le principe de l’écriture cunéiforme syllabique était facile, donc relativement accessible.”

“Les femmes assyriennes étaient très influentes dans la vie quotidienne, souligne la chercheuse. Elles avaient beaucoup plus de droits que les femmes babyloniennes, par exemple, qui vivaient à la même époque dans le sud de la Mésopotamie.”

 Parmi ces droits, la femme pouvait marier sa fille sans l’accord de son mari. Elle pouvait demander le divorce en échange d’une peine pécuniaire identique à celle de son époux.  Les contrats de mariage prévoyaient la séparation des capitaux, une clause qui conférait l’autonomie financière à l’épouse.

“Les femmes étaient aussi les gardiennes de la religion et des principes moraux, poursuit Cécile Michel. Nous avons retrouvé beaucoup de lettres de remontrances d’épouses, de sœurs ou de mères qui illustrent des situation parfois très cocasses. D’autres choisissaient de ne pas se marier pour  se consacrer aux Dieux. Ces femmes étaient complètement autonomes et géraient leurs affaires comme des hommes.”

En revanche, les femmes étaient absentes sur le plan politique. La Cité-Etat d’Assour était dirigée par un roi et une assemblée exclusivement masculine.

À la même époque, “seules les archives des femmes prêtresses de la ville de Sippar (Sud-Irak) donnent une image comparable de femmes indépendantes, mais ce sont des religieuses et donc célibataires”. 

La situation des femmes d’Assour et des religieuses de Sippar ne sont pas des cas isolés. Il existe d’autres lettres faisant état de situations comparables au IIIe millénaire av J.-C.

“Très peu de ces correspondances ont cependant été retrouvées, ce qui leur confère un caractère exceptionnel.”

Des mariages très réglementés

Les mariages étaient monogames par principe, “sauf pour les rois et en cas d’infertilité”, précise Cécile Michel.

Mais les marchands installés dans les comptoirs anatoliens pouvaient prendre une épouse sur place.

“Les contrats étaient très régulés : les secondes épouses n’avaient pas le même statut et pas les mêmes droits. Elles ne devaient pas résider dans la même ville. En revanche, les femmes ne pouvaient avoir qu’un seul mari.”

“Au moment de la retraite, beaucoup d’hommes divorçaient de leur seconde épouse quand ils rentraient à Assour. Ils versaient une pension à leur ancienne conjointe, qui avait le droit de se remarier tout en continuant de percevoir la pension, explique Cécile Michel. C’était une situation très avantageuse pour ces femmes.”

Le commerce entre Kanesh et Assour a duré deux siècles. Au bout d’un moment, les marchands se sont installés avec leur famille en Anatolie. Le nombre de familles mixtes (assyro-anatoliennes) s’est multiplié.

“Les femmes assyriennes aimaient se marier avec des Anatoliens, car le contrat de mariage était encore plus égalitaire”, note la spécialiste.

“ Au cours du IIe millénaire av J.-C. on constate une détérioration du rôle des femmes, perceptible à travers les lois medio-assyriennes qui laissent transparaître un statut de l’homme supérieur à celui de la femme. » 

Le site est déserté par les Assyriens à la fin du XVIIIe siècle.

Par Sidonie Hadoux

http://www.nationalgeographic.fr/

L’Univers meurt à petit feu


Cela serait logique non ? Si l’univers a un début, il y a aussi une fin dans probablement des millions ou milliards d’années
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L’Univers meurt à petit feu

 

Une bonne partie de l'énergie qui circule dans... (Photo AFP)

Une bonne partie de l’énergie qui circule dans l’Univers a été générée après le Big Bang mais de l’énergie nouvelle est constamment libérée lors de la fusion thermonucléaire dans les étoiles.

PHOTO AFP

 

L’Univers est en train de mourir de mort lente, selon une équipe internationale de scientifiques qui a mesuré l’énergie produite par 200 000 galaxies et découvert qu’elle était deux fois moindre que celle générée il y a deux milliards d’années.

Les chercheurs ont procédé aux mesures les plus précises d’énergie jamais réalisées dans une partie assez vaste de l’espace. L’énergie produite a été divisée par deux et diminue sans cesse, ont-ils découvert.

«À partir de maintenant, l’Univers est voué au déclin, comme une vieillesse qui durerait pour toujours», a expliqué Simon Driver, membre du Centre international de recherches radioastronomiques (Icrar) de l’État d’Australie occidentale qui a participé au projet.

«L’Univers s’est écroulé sur son sofa, a ramené la couverture à lui et s’apprête à dormir d’un sommeil éternel», selon lui.

Les chercheurs ont utilisé sept des télescopes les plus puissants de la planète pour observer pendant huit ans des galaxies dans 21 longueurs d’onde différentes, comme l’infrarouge ou l’ultraviolet, dans le cadre de l’étude Gama (Galaxy and mass assembly).

Deux télescopes spatiaux de la Nasa, un télescope spatial de l’Agence spatiale européenne (ESA) et le Télescope anglo-australien de Nouvelle-Galles du Sud ont en particulier été mis à contribution pour cette étude, fruit d’une collaboration entre une centaine de scientifiques issus de plus de 30 universités australiennes, européennes et américaines.

«Nous avons utilisé autant de télescopes terrestres et spatiaux que possible afin de mesurer la production d’énergie générée par plus de 200 000 galaxies dans des longueurs d’onde aussi variées que possible», a déclaré Simon Driver, qui devait présenter lundi à Hawaï les résultats du projet à l’Union internationale astronomique.

Une bonne partie de l’énergie qui circule dans l’Univers a été générée après le Big Bang mais de l’énergie nouvelle est constamment libérée lors de la fusion thermonucléaire dans les étoiles.

Andrew Hopkins, de l’Observatoire astronomique australien, explique que les chercheurs savent depuis un moment que le rythme de création d’étoiles dans l’Univers est en déclin. Mais cette étude montre que le taux de production d’énergie diminue de manière semblable dans les différentes longueurs d’onde, souligne-t-il.

«Peu importe les longueurs d’onde utilisées, la production d’énergie ralentit de la même manière», a expliqué M. Hopkins à l’AFP.

Les chercheurs espèrent aussi que les données recueillies permettront de mieux comprendre le processus de formation des galaxies. Ils veulent également élargir leurs études pour documenter la production d’énergie tout au long de l’histoire de l’Univers.

http://www.lapresse.ca/

Insolite L’enfant aux mains gigantesques opéré


Il a déjà été question de cet enfant, l’an dernier, presque jour pour jour ( Le mystère médical du garçon aux mains géantes) et il semble qu’Internet a encore été utile pour que ce cas puisse intéresser de ce cas. J’espère que ces opérations seront un succès et qu’il pourra vivre une vie normale et qu’enfin se taisent les ignorants qui le qualifie l’enfant du diable
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Insolite : L’enfant aux mains gigantesques opéré

 

(Photo Barcroft TV/The Daily Mail)

Un jeune Indien qui vit avec une terrible difformité,des mains gigantesques, a commencé à passer sous le bistouri de chirurgiens pour les réduire.

Kaleem, huit ans, vit dans un petit village de l’est de l’Inde. Il a toujours été victime de mauvais traitements par les autres enfants. On lui a aussi refusé l’accès à l’école parce qu’il faisait peur. Sa déformation est extrêmement rare, c’est une forme de gigantisme localisé.

Des villageois superstitieux l’ont surnommé «l’enfant du diable», nous dit le Daily Mail.

En plus de ces atteintes psychologiques, ses mains de géant rendaient la vie de Kaleem très difficile, au quotidien. Se laver, manger, s’habiller, tout ça relevait de l’exploit.

(Photo Barcroft TV/The Daily Mail)

Des médecins indiens ont décidé de s’occuper de son cas, après que son histoire ait fait le tour du monde, grâce à internet.

Un microchirurgien spécialiste des mains, le Dr Raja Sabapathy, s’est donné pour défi d’améliorer le sort du garçon.

(Photo Barcroft TV/The Daily Mail)

(Photo Barcroft TV/The Daily Mail)

Il s’agit d’un cas extrêmement complexe; il faut réduire la taille des mains, tout en évitant d’endommager les nerfs, pour lui permettre de les utiliser à nouveau.

L’équipe chirurgicale a commencé ses travaux sur une seule main, pour voir l’évolution des différentes opérations.

Le cas médical de Kaleem fait l’objet d’un documentaire, qui sera présenté mardi à la télévision britannique.

Son père espère qu’après une deuxième série d’opérations à l’autre main, il pourra prétendre à une vie normale, et aller à l’école.

http://tvanouvelles.ca/

Il pèse moins de trois kilogrammes, et il se range dans le sac.


Intéressant comme engin. Il est facile à transporter partout et l’utilisation ne semble vraiment pas compliqué
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Il pèse moins de trois kilogrammes, et il se range dans le sac.

 

Si vous déambulez dans les rue de Paris, vous avez sûrement déjà remarqué des personnes se baladant sur une roue gyroscopique, avec plus ou moins d’aisance. Il s’agit d’un monoroue, un segway sans guidon qui se pilote avec le corps.

Mais si l’on en croit l’Agence Reuters, le futur du déplacement urbain pourrait bientôt résider dans le «WalkCar», une planche munie de roues inventé par l’entreprise japonaise Coca Motors. Semblable à un skateboard auquel on aurait coupé les deux extrémités,

Reuters le décrit comme un «transporteur portable assez petit pour être rangé dans un sac à dos», ce qui est difficilement envisageable pour le monoroue.

Alimenté par une batterie en lithium, le WalkCar est fait en aluminium, peut supporter des charges allant jusqu’à 120 kilogrammes, (165 lbs) et pèse en deux et trois kilos, selon les versions. Moins rapide que le monoroue, il peut aller jusqu’à 10 km/h et parcourir 12 kilomètres après trois heures de chargement. Selon ses créateurs, et comme le montre la vidéo, l’engin est extrêmement facile à manier, et jouant avec le poids de son corps, il démarre quand on monte dessus et s’arrête immédiatement dès qu’on en descend.

La vidéo de présentation est assez impressionnante, et comme l’a expliqué son créateur à Reuters, les clients pourront réserver leur WalkCar sur Kickstarter dès l’automne 2015 pour un peu plus de 700 euros (1006 $ cad) et les livraisons commenceront au printemps prochain. 

http://www.slate.fr/