L’Imagination


Sans imagination, bien des découvertes n’auraient pas existé. La vie serait bien triste
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L’Imagination

 

 L’imagination représente tout. C’est un aperçu du futur de votre vie. L’imagination est bien plus importante que la connaissance.

Albert Einstein

Un distributeur de nourriture oblige le chat à chassé


Pas bête comme idée, le chat doit d’abord trouver ou sont caché les balles pour ensuite l’inséré dans le distributeur de croquette
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Un distributeur de nourriture oblige le chat à chassé

Plutôt que de lui donner bêtement de la nourriture, un homme a fabriqué un distributeur qui oblige son chat à « chasser ».

Le félin doit trouver des balles cachées dans la maison pour avoir sa ration.

Les balles contiennent une puce RFID. Quand le lecteur RFID du distributeur détecte une balle, le chat a le droit à sa nourriture.

http://www.insoliteqc.com/

Le Saviez-Vous ► 5 choses à savoir pour bien observer les Perséides


Ceux qui sont intéressés de voir les étoiles filantes devront aller ou il n’y a pas trop de lumière comme dans les villes. Pour le meilleur temps de ce spectacle, faut presque passer une nuit blanche sous un ciel noir
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5 choses à savoir pour bien observer les Perséides

 

Que le festival des étoiles filantes commence! Les nouvelles sont excellentes pour les amateurs : les Perséides se déroulent dans d’excellentes conditions cette année. Voici 5 choses à savoir pour bien réussir votre observation.

Un texte d’Alain Labelle

1. À quelle date l’observation est-elle la meilleure?

Le maximum d’activité des Perséides est attendu dans la nuit du 12 au 13 août, entre 2 h 30 et 5 h du matin, heure de l’Est.

Les Perséides sont aussi visibles au cours des quelques nuits qui précèdent et qui suivent; le nombre de météores observables est moindre. Les premières Perséides sont détectables dès la mi-juillet, et la pluie demeure active jusqu’à la troisième semaine d’août.

perseids

2. À quel moment de la nuit?

Les Perséides commenceront à se manifester dès la tombée de la nuit, mais c’est après minuit que le spectacle est à son meilleur. Vous allez voir plus d’étoiles filantes tôt le matin que tard le soir. Ainsi, la pluie atteint son maximum d’intensité juste avant l’aube.

3. Combien d’étoiles filantes est-il possible de voir?

Dans un ciel modérément noir, il est possible de compter une trentaine de météores à l’heure, mais ce chiffre peut grimper et dépasser 70 dans un endroit dépourvu de pollution lumineuse.

4. Où aller pour réaliser la meilleure observation?

La pollution lumineuse nuit à l’observation des étoiles filantes. Plus le ciel est noir, plus vos observations seront nombreuses. Éloignez-vous des grandes villes!

5. Dans quelle position doit-on regarder le ciel?

La NASA recommande de se coucher au sol les pieds pointant vers le nord-est, avec une vue sur le plus de ciel possible. Sans télescope ni jumelles. Une trentaine de minutes sont habituellement nécessaires pour habituer vos yeux à la noirceur.

Qu’est-ce que les Perséides?

La Terre repasse annuellement, vers la mi-août, tout près de l’orbite de la comète 109P/Swift-Tuttle, dont le sillage est parsemé de milliards de particules de poussière. Ce sont ces poussières qui nous donnent la fameuse pluie de météores des Perséides. La qualité du spectacle varie en fonction de la distance à laquelle passe la Terre de la partie la plus dense de l’essaim de particules, mais aussi de la présence de la Lune.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

La musique vient en aide aux personnes atteintes d’épilepsie


Un nouveau traitement pour les épileptiques ? Du Mozart serait surement mieux que d’augmenter les traitements médicamenteux pour prévenir les crises
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La musique vient en aide aux personnes atteintes d’épilepsie

 

Auteur: Elena Bizzotto

Des chercheurs américains ont observé une synchronisation des ondes cérébrales des épileptiques avec la musique.

Le cerveau des personnes souffrant d’épilepsie semble réagir à la musique d’une façon différente que celui des personnes en bonne santé. Cette découverte, présentée à la dernière convention de l’Association américaine de psychologie, pourrait aboutir à des nouvelles thérapies capables de prévenir les crises.

Près de 80% des cas d’épilepsie sont liés au lobe temporal du cerveau. Les crises récurrentes et spontanées résultent d’une décharge anormale et simultanée de milliers de neurones. Puisque la musique est traitée par la même région du cortex cérébral, une équipe de l’université d’état de l’Ohio, aux Etats-Unis, a voulu analyser le processus de traitement musical du cerveau des personnes avec ou sans épilepsie à l’aide d’une électroencéphalogramme. Après avoir fixé des électrodes sur le sur le cuir chevelu de 21 patients en septembre 2012 et mai 2014, ils ont pu étudier leurs ondes cérébrales.

Un traitement supplémentaire

Les volontaires, répartis en deux groupes, ont alterné des sessions de 10 minutes de silence, une sonate de Mozart et une chanson de John Coltrane dans des ordres différents. Les chercheurs ont observé un niveau d’activité cérébrale plus élevé chez les participants épileptiques en train d’écouter de la musique. Les ondes émises par leur cerveau avaient même tendance à se synchroniser à la musique, en particulier dans la zone du lobe temporal.

Surprise par ces résultats, l’auteure principale de l’étude, Christine Charyton, estime que la musique pourrait être utilisée en tant que traitement supplémentaire pour prévenir les crises.

http://www.santemagazine.fr/

Des astronautes goûtent de la salade cultivée dans l’espace


Est-ce utile d’avoir un jardin pour des missions spatiales, peut-être, mais pour ceux qui restent des mois dans la station spatiale internationale, cela doit faire un grand bien de goûter un aliment très naturel
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Des astronautes goûtent de la salade cultivée dans l’espace

 

Les astronautes Kimiya Yui, Kjell Lindgren et Scott... (Photo AFP)

Les astronautes Kimiya Yui, Kjell Lindgren et Scott Kelly ont chacun consommé une feuille de laitue romaine rouge «spatiale».

PHOTO AFP

Agence France-Presse
Washington

Des astronautes à bord de la Station spatiale internationale (ISS) ont goûté lundi pour la première fois des feuilles d’une salade qui a poussé dans l’espace marquant une avancée du jardinage en microgravité dans la perspective des futures missions habitées vers Mars.

La NASA espère que cela permettra de fournir une source durable d’alimentation pour les astronautes qui effectueront de longues missions spatiale.

L’astronaute américain Scott Kelly et deux autres des six membres d’équipage de l’avant-poste orbital, ont chacun consommé une feuille de laitue romaine rouge «spatiale» vers 16h37 GMT (12h37 heure du Québec) ajoutant de l’huile et du vinaigre, selon des images en direct de la télévision de la NASA.

«C’est génial», a lancé l’astronaute américain Kjell Lindgren, après avoir goûté un morceau de laitue.

«C’est bon», a acquiescé Scott Kelly qui passe un an dans l’avant-poste orbital avec son collègue russe Mikhail Kornienko.

Légérement compliquée par l’apesanteur, puisque l’eau flotte dans l’espace, la culture de la laitue romaine rouge a duré 33 jours et a été rendue possible par un système d’irrigation dans une boîte, qui a permis de garder le terreau humide, sans avoir à arroser.

Scott Kelly et Mikhail Kornienko ont souligné l’importance d’avoir la capacité de produire de la nourriture en microgravité pour assurer une source alimentaire durable qui est indispensable pour de longs voyages dans l’espace comme aller sur Mars.

«Il y a des indications que des fruits et légumes frais comme les tomates, les myrtilles et des laitues romaines sont de bonnes sources d’antioxydants», a par ailleurs souligné dans un communiqué Ray Wheeler, le responsable du programme de la NASA pour le développement de techniques permettant d’assurer le maintien des conditions de la vie dans l’espace.

«Le fait de disposer d’aliments frais dans l’espace peut aussi avoir un impact psychologique favorable sur les astronautes et pourrait aussi fournir une certaine protection contre les radiations cosmiques», a-t-il ajouté.

«Je pense que les systèmes de culture de plantes en microgravité deviendront des éléments importants de tous les futurs voyages de longue durée dans l’espace», a estimé Gioia Massa, une scientifique de l’agence spatiale américaine qui travaille sur ces recherches au Centre Spatial Kennedy en Floride.

«Plus loin et plus longtemps les humains s’éloigneront de la Terre, plus grand sera le besoin de pouvoir faire pousser des plantes pour se nourrir et pour le recyclage de l’atmosphère ainsi que pour le confort psychologique», a-t-elle dit.

Ces salades produites dans l’espace ont été approuvées pour la consommation humaine après que la première récolte «Veg-01» eut été ramenée sur la Terre l’an dernier pour des analyses afin de s’assurer qu’elles pouvaient être consommées, a précisé la NASA.

http://www.lapresse.ca/

L’effrayante disparition de la calotte glaciaire sur les cartes du National Geographic


Il faudrait un revirement complet pour lutter contre les changements climatiques, du moins pour ralentir un peu les effets. En attendant la calotte glaciaire continue à fondre ce qui aura de grandes répercussions
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L’effrayante disparition de la calotte glaciaire sur les cartes du National Geographic

 

Image issue du National Geographic Atlas of The World 2014.

Image issue du National Geographic Atlas of The World 2014.

Repéré par Vincent Manilève

Le magazine américain a voulu lancer un message à Barack Obama.

Lors de sa conférence sur les mesures qu’il compte prendre pour lutter contre le réchauffement climatique, le président américain Barack Obama a eu une petite phrase qui n’est pas passée inaperçue:

«La fonte de la calotte glaciaire a forcé le National Geographic à réaliser le plus gros changement dans son atlas depuis la chute de l’Union soviétique.»

La phrase pourrait ressembler à un enième élément de langage dont les politiques sont friands, et pourtant, c’est la triste vérité. Le magazine explique sur son site que la dixième édition du National Geographic Atlas of The World, paru en septembre 2014, montre un changement drastique de la surface occupée par la calotte glaciaire,

«l’un des changements les plus frappants dans l’histoire de la publication».

Le constat est encore plus terrifiant quand on se penche sur la petite animation réalisée par National Geographic, qui montre l’évolution de la zone au fil de ses atlas.

«La fin de l’été arctique est dans quelques semaines, et il est trop tôt pour dire si un nouveau record sera battu, explique Juan José Valdés, de National Geographic. Mais il suffit de regarder les cartes issues d’images satellites pour voir l’impact du réchauffement climatique.»

La visualisation des cartes a été contestée par certains, qui estiment que des détails sont oubliés, comme les glaces formées récemment, mais les chiffres sont bien là. Selon la Nasa, la glace s’est réduite de 12% par an depuis les années 1970, et cela n’a fait qu’empirer après 2007. Un résultat qui s’explique assez facilement: la glace fine reflète moins le soleil, ce qui va permettre à l’océan de se réchauffer et donc d’affaiblir encore un peu plus la glace.

Pour lutter contre ce cercle vicieux, et plus globalement contre le réchauffement climatique, le président américain a donc lancé son plan Clean Power, en misant notamment sur un recul de l’industrie du charbon dans la production d’électricité et un soutien aux énergies renouvelables. Mais comme nous l’expliquait Vox.com il y a quelques jours, l’audace que l’on prête à Obama pourrait n’être qu’un coup d’épée dans l’eau de la part de la première industrie la plus pollueuse du monde: si l’on en croit les calculs du site, la loi voulue par Obama ne permettrait qu’une baisse des émissions de 6% d’ici quinze ans, très loin des 80% de réduction exigés par les spécialistes du climat.
Il y a donc fort à parier que la prochaine édition du National Geographic Atlas of The World sera encore plus inquiétante que la dernière.

 

http://www.slate.fr/

Des astronomes ont fait un morceau de musique à partir des vibrations d’une étoile


Intéressant, mais personnellement, pour une musique faite grâce aux étoiles, j’aurais n’aurais pas choisi le piano pour accompagner les vibrations sonores. Peut-être que je n’aurais pris aucun instrument qui existe sur terre pour que ce soit encore plus étrange
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Des astronomes ont fait un morceau de musique à partir des vibrations d’une étoile

 

<a href="https://www.flickr.com/photos/badastronomy/16020906522/">Pendant les Géminides, le 13 décembre 2014</a> / Phil Plait via Flickr <a href="https://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/">CC License By SA</a>

Pendant les Géminides, le 13 décembre 2014 / Phil Plait via Flickr CC License By SA

Repéré par Vincent Manilève

Les étoiles vibrent comme des cloches, pourquoi ne pas en profiter?

On sait depuis une quinzaine d’années déjà que les étoiles, à commencer par le Soleil, émettent des vibrations sonores. C’était la naissance de l’astérosismologie, comme l’expliquait le site Futura-sciences.com l’année dernière:

«Le spectre audio de ce type d’étoiles a toujours la même forme: celle d’une courbe en cloche avec une fréquence centrale correspondant à l’énergie sonore maximale, entourée par un grand nombre d’harmoniques.»

En 2008, la BBC expliquait que des astronomes avaient justement réussi à enregistrer de la «musique» de trois étoiles différentes à l’aide du télescope français Corot. Mais si le son était fascinant, il s’agissait avant tout de boucles sonores assez répétitives.

Aujourd’hui, certains astronomes ont décidé d’aller un peu plus loin et de transcrire certaines de ces vibrations pour en faire des morceaux de musique, comme le rapporte la MIT Technology Review. Burak Ulas, de l’Izmir Turk College Planetarium en Turquie,  a composé un morceau à partir des pulsations envoyés par une étoile nommée Y Cam A. En plus d’une mélodie au piano, on peut entendre sur ce morceau les accords récupérés à partir de l’activité de la fameuse étoile.

L’ensemble, que vous pouvez écouter juste en dessous, donne une impression d’étrangeté évidente, mais aussi de mystère. Une musique parfaite donc, pour qui veut plonger sa tête dans les étoiles.

Pour écouter cliquer ici

http://www.slate.fr/

L’océan devient corrosif


En 200 ans seulement, nous avons changé l’environnement pour avoir un bouleversement majeur qui a des répercussions autant sur terre que dans la mer. Beaucoup d’espèces risquent de ne pas survivre à l’acidification des océans, cela aura des conséquences économiques et sur notre santé
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L’océan devient corrosif

 

Cliquez sur l'image pour visualiser notre diaporama sur les espèces menacées par l'acidification des océans © David Liittschwager

Cliquez sur l’image pour visualiser notre diaporama sur les espèces menacées par l’acidification des océans © David Liittschwager

Les océans absorbent plus du quart du CO2 produit par l’homme. Résultat : notre océan s’acidifie.  Quelles sont les conséquences pour l’environnement ?

Explications de Jean-Pierre Gattuso, directeur de recherche au CNRS.

“Les activités humaines rejettent du dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère : 30 % sont absorbés par la végétation terrestre et 28 % par l’océan, précise Jean-Pierre Gattuso. Le CO2 est un polluant acide. Quand il se dissout dans l’océan, il se transforme en acide carbonique, qui diminue le pH de l’eau. C’est ce que l’on appelle l’acidification. » 

L’eau ronge les coquilles

L’acidification de l’eau de mer touche en premier lieu les mollusques à coquille (huîtres, moules, etc.) et les coraux. Leurs structures en calcaire (coquilles, squelettes) ont besoin d’ions bicarbonate et d’ions carbonate pour se former. Or, ces particules disparaissent avec l’acidité.

“Les conséquences sont déjà visibles pour les industries ostréicoles de la côte Nord-Pacifique, où la reproduction des huîtres est de plus en plus difficile, observe le scientifique. Á certaines périodes de l’année, la diminution des ions bicarbonate est telle que l’océan devient corrosif et dissout le calcaire. L’Arctique est le principal touché par ce phénomène. En 2050, il sera devenu entièrement corrosif, ce qui entraînera la dissolution des organismes à structures calcaire. Cela se produira beaucoup plus tard dans les régions tempérées et tropicales.”

© Plateforme Océan et Climat

© Plateforme Océan et Climat

Des poissons désorientés

“Nous avons également découvert que l’acidification avait un impact direct sur les capacités sensorielles des poissons. Le poisson-clown, par exemple, peine à retrouver son anémone, car l’augmentation de l’acidité perturbe la neurotransmission dans son cerveau. »

Néanmoins, l’acidification n’a pas que des conséquences négatives.

“La photosynthèse de beaucoup d’espèces de phytoplancton est stimulée de 10 à 20 %. Cela constitue un garde-manger supplémentaire pour les poissons, mais ces organismes deviennent aussi plus compétitifs et se développent au détriment des coraux”. Des coraux dont le squelette est déjà fragilisé par la diminution des ions carbonate.

Les pêcheurs devront s’adapter

Pour les êtres humains, les effets sont uniquement indirects.

“Il n’y aucun danger sur la santé humaine : nous pouvons nous baigner sans risque. En revanche, la pêche et l’aquaculture devront s’adapter. Mais il est difficile de savoir quelles seront les conséquences exactes de ce changement.”

L’acidité des eaux océaniques s’est accrue de 26 % depuis le début de la révolution industrielle.

“L’océan s’est déjà acidifié avec la même ampleur il y a  55 millions d’années durant la transition entre le Paléocène et l’Éocène. Mais le processus est dix fois plus rapide aujourd’hui », explique le scientifique.

La période de la fin du Paléocène est marquée par un climat chaud sur l’ensemble de la planète. L’activité volcanique intense de cette époque avait libéré du CO2 en masse, entrainant une augmentation significative des températures.

“Il nous a fallu à peine deux cents ans pour changer la composition chimique de l’océan. Si nous arrêtions aujourd’hui d’émettre du CO2 dans l’atmosphère, il nous faudrait des centaines d’années, voire mille ou deux milles ans, pour revenir à la normale.”

Gattuso (2) (1)

Jean-Pierre Gattuso est directeur de recherche au CNRS et travaille dans le Laboratoire d’Océanographie de Villefranche, un laboratoire de l’Université Pierre et Marie Curie.

Par Sidonie Hadoux

Pour tout comprendre sur l’acidification des océans, regardez Bleu océan, une animation produite par l’Initiative Océan 2015 :

http://www.nationalgeographic.fr/