Même si les jours sont gris, tant que la vie est présente, tout est possible
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Espérance
Ne désespérez jamais. Faites infuser davantage.
Henri Michaux
C’est impressionnant de voir ce qui se passe après quelques secondes dans cet arbre.
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Aimez-vous les pâtes à toutes les sauces ? Mais si vous voulez bien réussir à tous coups, mieux vaut éviter certaines erreurs
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Par Joy D’Souza
► Vous n’utilisez pas assez d’eau
Suivez la règle du 1 pour 6. Pour chaque livre de pâtes sèches, ajoutez 6 litres d’eau. Il n’y a aucun problème à mettre plus d’eau que nécessaire, l’important c’est qu’il n’en manque pas.
► Vous utilisez la mauvaise casserole
Utilisez une casserole plus grande que trop petite pour que vos pâtes puissent cuire de façon uniforme et qu’elles ne collent pas ensemble.
► Utilisez de l’eau chaude pour remplir votre casserole
Tout le monde a déjà essayé ce truc pour réduire le temps de cuisson. Mauvaise idée! Il faut vraiment commencer la cuisson de vos pâtes à partir d’une eau froide.
► Vous ajoutez les pâtes trop tôt dans l’eau
Le résultat? Vos pâtes seront farineuses et collantes et probablement trop cuites.
► Vous oubliez le sel dans votre eau de cuisson
Vous tentez de réduire votre consommation de sel et donc, vous évitez de saler votre eau de cuisson? Utilisez une sauce moins salée dans ce cas, car le sel dans l’eau est essentiel pour donner bon goût à vos pâtes. Ajoutez environ 1 à 2 cuillères à thé de sel pour chaque 6 litres d’eau.
► Vous mettez trop de pâtes dans la casserole
N’oubliez pas le ratio 1 pour 6 pour mesurer la quantité de pâtes maximale que vous pouvez mettre dans votre chaudron. Si votre chaudron ne vous permet pas de mettre plus que 6 litres d’eau, alors vous ne devriez pas cuire plus qu’une livre de pâtes.
Si vous ne respectez pas cette règle, vos pâtes vont collées ensemble.
► Vous oubliez de remuer
Plusieurs personnes ajoutent de l’huile à l’eau de cuisson pour éviter que les pâtes ne collent. Laissez tomber l’huile et remuer plutôt régulièrement vos pâtes.
De plus, l’huile empêche la sauce de bien coller sur les pâtes.
► Vous cuisinez toutes vos pâtes de la même façon
Que vous fassiez bouillir des spaghettis ou des rotinis, prenez la peine de lire le temps de cuisson sur chaque emballage. Chaque type de pâtes, qu’elles soient longues ou courtes, sèches ou fraîches, demandent un temps de cuisson différent.
Si vous préparez des pâtes pour un plat qui poursuivra sa cuisson au four, comme une lasagne par exemple, assurez-vous de réduire le temps de cuisson d’environ 1-2 minutes.
► Vous oubliez de vérifier vos pâtes
Avant d’attendre le temps de cuisson complet suggéré sur l’emballage, goûtez! Vous devriez vérifier vos pâtes environ 3-4 minutes avant la fin de la cuisson. Cela vous permettra d’avoir des pâtes à votre goût, que vous les aimiez al dente ou bien cuites.
► Vous rincez vos pâtes
Ne rincez jamais vos pâtes à l’eau à moins que vous les utilisiez pour une salade de pâtes froides par exemple.
Conservez également environ 1 quart de tasse de l’eau de cuisson pour ajouter à votre sauce. L’amidon contenu dans l’eau de cuisson rendra la texture de votre sauce impeccable.
► Vous laissez vos pâtes reposer trop longtemps
Si vous laissez vos pâtes dans l’égouttoir trop longtemps, celles-ci vont rapidement coller ensemble. Ajoutez-les dès que possible à votre sauce ou arrosez-les d’un filet d’huile d’olive.
Pourquoi avoir une adresse émail Facebook qu’on n’utilise pas et qui en plus pourrait servir à envoyer des spams et transférés à notre émail principal
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Trop facile à devinée, l’adresse mail Facebook peut-être utilisé par n’importe quel inconnu pour vous écrire. Bloquez-la !
Facebook/montage metronews
RÉSEAU SOCIAL – même sans le savoir, vous avez sans doute une adresse mail Facebook active si vous possédez un compte. Voici comment vous en débarrasser pour ne pas être importuné.
Si vous avez un compte Facebook, vous avez très certainement une adresse mail du réseau social à votre nom. Elle devrait avoir ce format-là : fhollande@facebook.com. La première lettre du prénom attachée au nom puis @facebook.com (ou la même chose mais avec le pseudo choisi pour le réseau social puisque l’adresse est basée sur le nom d’utilisateur public).
D’une part, elle est rarement utilisée mais surtout n’importe qui peut facilement la deviner (il suffit de regarder le nom que vous affichez sur votre profil public) et donc vous envoyer des messages non sollicités. Voici comment y mettre fin. En effet, les courriers électroniques envoyés sur cette adresse sont transférés sur votre adresse électronique principale.
► Connectez-vous à votre compte Facebook
► Rendez-vous dans les paramètres du compte. Cliquez sur la petite flèche orientée vers le bas en haut à droite de la page d’accueil de Facebook. Dans le menu déroulant qui s’affiche, sélectionnez Paramètres.
► Dans les « Paramètres généraux du compte », identifiez la ligne « E-mail » et cliquez sur le lien « Modifier ». Là, votre adresse mail de référence utilisée pour votre compte (Gmail, Yahoo, Live, Orange, Free, etc.) apparaît mais, en dessous, une option va nous intéresser.
► Par défaut cochée, désactivez l’option « Utiliser votre adresse électronique Facebook : XXX@facebook.com ».
► Cliquez sur le bouton bleu « Enregistrer les modifications ». Il vous sera alors demandé de confirmer l’action en entrant votre mot de passe.
► Vous voilà libéré, délivré, d’inconnus qui vous envoient des mails non sollicités !
Cette grand-maman fera bien peur au tout-petit, tueuse et probablement cannibale, semble contente d’être incarcérée pour être punie pour ses actes
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Tamara Samsonova aurait commis 11 meurtres en 20 ans.
PHOTO TIRÉE DE TWITTER
JEAN-CHRISTOPHE LAURENCE
La Presse
Dostoïevski n’aurait pas pu inventer ça. Dans ce qui ressemble à une version inversée – et poussée à l’extrême – du roman Crime et châtiment, la «mamie tueuse» Tamara Samsonova est maintenant soupçonnée d’avoir mangé ses victimes.
Arrêtée fin juillet à Saint-Pétersbourg, après avoir été filmée par des caméras de surveillance avec un sac contenant peut-être des restes humains, la retraitée de 68 ans aurait accompli pas moins de 11 assassinats en 20 ans, notamment celui d’une vieille amie, de ses «chambreurs» et même de son mari, porté disparu depuis 2005.
Comparaissant hier devant le juge, l’ancienne employée d’hôtel a confessé quelques-uns de ses crimes.
«Je suis coupable, je mérite d’être punie», a-t-elle déclaré, avant de souffler un baiser en direction des journalistes présents.
Apprenant qu’elle resterait détenue jusqu’à son procès, la dame aurait ensuite souri et applaudi…
Sa culpabilité ne sera pas difficile à établir. En fouillant son appartement, les enquêteurs ont trouvé, parmi des livres d’astrologie et de magie noire, un journal intime dans lequel la sexagénaire consignait ses crimes.
Selon le quotidien The Daily Mail, qui dit avoir eu accès à des extraits du journal, on peut notamment y lire la description glaçante du meurtre de son ancien chambreur Volodia, que la dame aurait découpé en morceaux «dans la toilette avec un couteau», avant de «les disperser dans différents coins du district de Frounzé».
Le journal britannique suggère par ailleurs que la «mamie tueuse» aurait mangé les organes internes de ses victimes, avec une préférence marquée pour les poumons.
Interrogée sur ces possibles penchants cannibales, une source policière aurait confié au Daily Mail que cela n’était «pas exclu».
Au-delà de son aspect sensationnaliste, l’affaire Samsonova a tout ce qu’il faut pour «jouer sur les cordes sensibles de la psyché collective russe», souligne enfin Yann Breault, spécialiste de la Russie rattaché à l’Université du Québec à Montréal.
Dans un pays où la babouchka (grand-mère russe) «incarne habituellement l’autorité morale et spirituelle», ce personnage de mamie tueuse en série apparaît comme une exception spectaculaire. Il n’en fallait pas plus d’ailleurs pour que les médias russes la surnomment Baba Yaga, en référence à cette affreuse sorcière du folklore slave qui avait l’habitude de manger les enfants.
«Il est certain que cette histoire fait résonner de profonds clichés culturels», résume Yann Breault.
Sorcière ou grand-mère, Baba Yaga n’en menait pas large, hier, lors de sa comparution. S’adressant aux journalistes, elle lancera même d’un air penaud:
«Je savais que vous viendriez. J’ai tellement honte. Toute la ville va savoir.»
La ville, et aussi le monde…
Il y a tellement d’images, de photos douteuses qui circulent sur Facebook, mais quand, c’est la vraie vie, la routine que des personnes vivent qui n’est pas esthétiquement « beau » alors on lève facilement le nez
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Chanel White et Lisa Goodman-Helfand.
Photo : DR
ETATS-UNIS – Une Américaine de 40 ans atteinte de sclérodermie a posté sur le réseau social une photo de son visage déformé par cette maladie rare auto-immune qui provoque un durcissement de la peau. Immédiatement Facebook lui a demandé de la retirer.
On connaissait la censure des poitrines des femmes sur Facebook, moins celle des visages déformés. Lisa Goodman-Helfand en a fait les frais. En juillet, cette mère de famille de 40 ans vivant dans l’Illinois aux Etats-Unis a posté un montage photo. Sur celui-ci, le visage rayonnant d’une jeune fille de 23 ans fait face à celui de Lisa, rougi et complètement tâché. Pourtant, les deux femmes ont un point commun : elles souffrent de sclérodermie, une maladie rare, auto-immune, qui provoque un durcissement de la peau.
Avec ce post, Lisa Goodman-Helfand souhaitait alerter le grand public sur les dangers et les différentes progressions de cette affection, comme elle l’explique sur son blog. Car si, elle, porte les marques de la maladie sur son corps, l’autre jeune femme, Chanel White, une blogueuse américaine, souffre d’une forme moins visible mais qui détruit les vaisseaux sanguins et, à terme, les organes internes et le tube digestif. Un message auquel Facebook n’a pas été sensible.
« Avant-après »
Rapidement après la mise en ligne de sa publication, Lisa Goodman-Helfand reçoit un message de service de la part du réseau social :
« Votre annonce n’a pas été approuvée car elle contient un ‘avant-après’ ou d’autres images montrant des résultats inattendus ou peu probables. »
La mère de famille fait immédiatement appel de cette décision, plaidant qu’il ne s’agissait pas d’un avant-après et ne visait pas à prouver l’effet d’un produit ou autre technique.
Malgré cette clarification, Facebook rejette à nouveau son montage, mais se défend de vouloir « promouvoir un corps ou un physique idéal ».
« Il est difficile de prouver combien de courage il m’a fallu pour appuyer sur le bouton ‘Publier’ et dévoiler au grand public mon visage sans maquillage », se désole alors Lisa Goodman-Helfand dans un nouvel article sur son blog intitulé « Facebook n’aime pas mon visage« .
Largement partagée sur Internet, cette histoire intrigue un journaliste de Yahoo Canada qui va contacter Facebook. Après plusieurs échanges, Lisa Goodman-Helfand reçoit enfin un mail libérateur. L’entreprise américaine s’excuse pour avoir « désapprouvé par erreur » les posts de la mère de famille et assure les avoir désormais validés.
Non mais, qu’est-ce que les gens peuvent bien penser ?? Déjà que les concours de toilettages et de colorations des animaux sont grotesques voilà que des vétérinaires acceptent avec coeur (faut dire que c’est payant) que des chiens subissent des chirurgies esthétiques selon la fantaisie de leur maitre
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Ce chien avant et après on opération de chirurgie esthétique.
Par Sylvie Riou-Milliot
Le propriétaire de Quasi Modo, le chien honoré récemment du titre de « plus laid du monde », succombera-t-il à son tour à la dernière mode ? Fera-t-il remodeler le physique pour le moins ingrat de son fidèle compagnon ?
Selon le quotidien sud-coréen Chosun Ilbo, la chirurgie esthétique pour animaux est en effet en plein essor… du moins à Séoul (Corée du Sud). Ce qui n’est pas si surprenant quand on sait que les Coréens détiennent déjà le record du monde des actes de chirurgie esthétique pour humains avec 16 opérations pour 1000 habitants ! C’est donc au tour de leurs compagnons à 4 pattes de faire connaissance avec le bistouri et le botox. Parmi les interventions les plus demandées, on compte le raccourcissement de queue, l’effacement des rides, l’aspiration de la graisse, le remodelage des oreilles ou encore chirurgie des paupières.
Par exemple, ce chiot a subi une intervention… pour élargir ses yeux !
Ces opérations se pratiquent à des prix souvent prohibitifs, plusieurs milliers de dollars, à la plus grande satisfaction des vétérinaires locaux, qui assument totalement l’intérêt de ces pratiques !
Comme le Dr Yoon Sin Geun, cité par le quotidien, qui assure que « cette chirurgie est médicalement sans risque, les propriétaires ayant tout à fait le droit d’améliorer l’apparence de leur animal de compagnie ».
Pour l’instant, seuls les chiens semblent concernés. Mais déjà un groupe de défense des droits des animaux a demandé à ce que ces pratiques soient reclassées en « actes de cruauté envers animaux » et sanctionnées
Est-ce vraiment civilisé d’acheter sa nourriture en ligne, de boire ses repas pour éviter de perdre son temps à aller à l’épicerie, cuisiner, manger ? Remplacé, un repas par une boisson équilibré est une chose, mais tous les repas ?? Ne plus prendre le temps d’être en famille, amie, collègue devant un repas n’est-ce pas un autre moyen pour s’isoler de plus en plus ?
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Capture d’écran du site de Soylent.
Soylent, la boisson nutritive censée remplacer nos repas, va désormais être vendue sous une nouvelle forme: des petites bouteilles de liquide beige, visant à économiser encore plus de temps et d’énergie. Mais pas vraiment à plus se régaler.
Soylent est une boisson nutritive visant à remplacer les repas et à économiser temps, argent et énergie, en éliminant un certain nombre de plaisirs de la table jugés bien trop encombrants et chronophages. Ce liquide, selon les points de vue absolument terrifiant ou génial, nourrit beaucoup de travailleurs de la Silicon Valley n’ayant pas le temps de s’arrêter pour un vrai déjeuner…
L’entreprise, qui mise sur un petit côté «Do-It-Yourself», va rendre l’acte de s’alimenter encore plus «facile», avec une nouvelle version de Soylent. Rob Rhinehart, le créateur du produit, a publié ce lundi un long post sur son blog, vantant son mode de vie bien particulier. Au moment d’aborder sa façon de s’alimenter, il glisse tranquillement une allusion à son nouveau liquide:
«Je n’ai pas mis les pieds dans un supermarché depuis des années. Plus jamais je n’avancerai dans ces allées déroutantes et sans fin, comme un âne bâté cherchant à se nourrir, pendant que l’odeur de chair en décomposition remplit mes narines, que des lumières fluorescentes brûlent mes yeux et que des chansons d’amour niaises torturent mes oreilles. Faire les courses, c’est un cauchemar éveillé multisensoriel. […] J’achète ma nourriture de base en ligne, comme une personne civilisée. Cela me prend quelques secondes pour commander du Soylent pour un mois. Et la version 2.0 ne nécessite pas de préparation, je suis donc débarrassé de mon blender bruyant.»
Rob Rhinehart –qui a une vision que l’on peut juger réductrice de l’acte d’acheter des aliments, de les cuisiner et de les manger– n’a donc pas de temps à perdre. La première version est une poudre, à dissoudre soi-même dans de l’eau, en utilisant un blender pour un meilleur résultat. Le «Soylent 2.0» est une mixture toute prête à être bue, embouteillée, avec une durée de vie d’un an et n’ayant pas besoin d’être réfrigérée. Parfait pour entre autres survivre sur une île déserte, comme le suggère la pub.
Selon l’entreprise, une bouteille de «Soylent 2.0» (actuellement en pré-commande) contiendra 20% de vos apports journaliers en vitamines et minéraux, avec un indice glycémique bas et des ingrédients uniquement végétaliens.
Le nouveau Soylent sera toujours fabriqué à base de protéines de soja, mais la farine d’avoine et l’huile de tournesol seront remplacées par de l’huile d’algue et de l’isomaltulose, un sucre présent dans le miel, pour «réduire l’impact écologique de la production alimentaire» et aller vers «un monde où la nutrition optimale est la nouvelle norme».
«Bientôt, vous n’aurez même pas à quitter votre bureau pour mélanger la poudre avec de l’eau. Vous n’aurez qu’à siroter cette boue beige et continuer à travailler.»
Mais comme le précise Forbes, il y a quand même un petit changement de philosophie. En 2013, le premier Soylent était présenté comme une solution complète de remplacement des repas. Aujourd’hui, ce n’est plus forcément le cas:
«Soylent a constaté que beaucoup de ses fans le consommaient seulement une ou deux fois par jour –comme un supplément de repas ou un en-cas– plutôt que comme remplacement d’un repas complet. La bouteille de Soylent va dans cette direction.»
Soylent espère ainsi, note Quartz, attirer plus de nouveaux clients, même si la boisson reste chère par rapport à ses concurrents.
Ceci dit, comme le souligne encore Quartz,«cela reste bien moins cher que les prix de la restauration rapide pseudo-bonne pour la santé. […] Mais cela ne remédiera pas, cependant, à un problème insurmontable pour Soylent: son goût fade».
Aussi, au-delà de l’absence du plaisir de manger et du dérèglement certain des sensations alimentaires, on ne connaît pas encore les effets à long terme sur la santé d’un régime composé majoritairement de Soylent.