Règle d’or


La tolérance, un rêve où une utopie ? Pourtant quand nous sommes petits, nous sommes tolérants envers les différences, qu’est-ce qui a changé ? Pourquoi nous jugeons si facilement les autres alors qu’ils n’ont pas le même vécu que nous ? Il est normal par notre éducation, notre culture, notre propre route d’avoir des opinions, des espérances, des idéaux différents. Si tout le monde était du même avis, quel serait l’intérêt aurions-nous a se rencontrer, à partager, et même à donner ?
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Règle d’or

 

« La règle d’or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu’une partie de la vérité et sous des angles différents. »

Gandhi

Le calamar transparent à houppette


Un autre animal marin bizarroïde. Cette fois-ci, c’est un calamar transparent avec une houppette qui lui donne d’un petit air d’oiseau
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Le calamar transparent à houppette

 

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Le Taonius borealis est un calamar transparent qui peut atteindre une taille de 50cm avec des yeux globuleux et dont les tentacules lui font une houppette lorsqu’il nage.

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Le Saviez-Vous ► Une préposition de mariage en code morse,


Avec YouTube, on voit souvent des demandes en mariage, c’est à savoir qui fera la demande la plus impressionnante. Mais dans son temps Thomas Edison a usé de créativité, peut-être pas très spectaculaire mais originale
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Une préposition de mariage en code morse,

 

Evelyne Ferron  Spécialisée en histoire ancienne

L’homme d’affaires et inventeur américain, à qui nous devons l’ampoule électrique ainsi que de nombreuses inventions qui ont révolutionné le monde des communications (pensons au phonographe et au kinétoscope), avait perdu sa première épouse en 1884, possiblement à la suite d’une tumeur au cerveau.

Après ce décès, ses amis l’invitaient à des soirées en même temps que des jeunes femmes susceptibles de l’intéresser. C’est donc deux ans après le décès de sa première épouse, alors qu’il était âgé de 39 ans, qu’il a rencontré celle qui allait lui ravir son cœur, Mina Miller, fille d’un inventeur du nom de Lewis Miller.

D’après les témoignages de Thomas Edison lui-même, il lui aurait enseigné le code Morse afin qu’ils puissent communiquer avec leurs mains sans que personne ne sache ce qu’ils se disaient. Il faut dire que la jeune femme n’avait que 20 ans lorsqu’elle a rencontré le célèbre inventeur. Un soir, il aurait simplement tapé dans sa main : « Voulez-vous m’épouser ? » Ce à quoi elle aurait répondu en tapant en Morse à son tour : « Oui ».

Le couple s’est marié le 24 février 1886 et trois enfants sont nés de cette union, venus s’ajouter aux trois premiers qu’Edison avaient eu avec sa première épouse.

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Échoué au Canada depuis 1930, le Maudrentrera en Norvège


Une épave appartenant a un héros explorateur norvégien, puis vendu à la Compagnie de la Baie d’Hudson, va être restitué (si tout va bien) à la Norvège après avoir enfin réglé le côté politique qui souvent met des obstacles un peu partout
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Échoué au Canada depuis 1930, le Maud rentrera en Norvège

 

Après quatre ans de négociations et de préparation, une équipe d'experts... (Photo La Presse Canadienne)

PHOTO LA PRESSE CANADIENNE

La Presse Canadienne
CAMBRIDGE BAY, Nunavut

 

Après quatre ans de négociations et de préparation, une équipe d’experts s’apprête à sortir de l’eau le célèbre navire Maud qu’a conduit l’explorateur norvégien Roald Amundsen dans son second voyage en Arctique.

Quelque 85 ans après que le bateau se fut échoué dans des eaux peu profondes du Nunavut, Jan Wanggaard, le chef de l’équipage qui espère ramener aux Norvégiens le dernier navire du héros national, est plutôt confiant de la réussite des opérations.

Le Maud a été construit en 1917, à Vollen, pour l’explorateur Amundsen, le premier homme à atteindre le pôle Sud. Il a aussi mené des expéditions historiques dans l’Arctique canadien, dont la première traversée réussie du passage du Nord-Ouest.

M. Amundsen prévoyait figer le Maud spécialement renforcé dans la glace de la banquise pour dériver à travers le pôle Nord. Après deux tentatives ratées, le navire a été vendu à la Compagnie de la Baie d’Hudson, en 1925.

Trois ans plus tard, le bateau s’est retrouvé coincé au large de Cambridge Bay, avant de sombrer en 1930. Des parties de la coque émergent encore des vagues.

Depuis juin, Jan Wanggaard et son équipe ont fait passer des cordes et des courroies sous la coque de 40 mètres. Cette semaine, des ballons flottants seront attachés aux cordes dans le but de lever le bateau du fond océanique.

Le Maud tiendra bon, croit M. Wanggaard.

«Ce bateau était l’un des navires de bois les plus robustes jamais construits, a-t-il assuré. Il a été conçu pour résister à la pression de la glace.»

Une fois cette opération complétée, une barge ramenée de Norvège sera immergée puis placée sous la coque. Des réservoirs de flottation seront regonflés, et la barge soulèvera la coque hors de l’eau.

Le Maud passera probablement un hiver de plus à Cambridge Bay, le temps de sécher et d’être solidifié pour le long voyage qui l’attend.

D’un point de vue technique, c’est très simple. Mais la politique derrière les opérations a été tout autrement.

La Norvège s’est d’abord heurtée à l’opposition des gens de Cambridge Bay, qui voulaient que l’épave reste où elle est. Ensuite, le gouvernement canadien a refusé de donner au groupe le permis d’exportation, bien que le bateau lui appartienne. Ce permis lui a finalement été accordé par défaut, car aucune équipe canadienne n’a présenté de plan de sauvetage.

Mais malgré son départ, le Maud laisse au Canada un souvenir éternel: il a été le modèle sur lequel a été construite la célèbre goélette de la GRC St.Roch, qui a été la seconde embarcation à traverser le passage du Nord-Ouest et la première à faire le tour complet de l’Amérique du Nord.

http://www.lapresse.ca/

Pour une somme importante Un chasseur accusé d’avoir tué le plus célèbre lion du Zimbabwe


Une autre triste histoire du côté animal Les gens sont vraiment égoïstes pour de l’argent, ils sont prêt à tuer un animal protégé ou en voie d’extinction et pire quand ils chassent dans un parc national ou une réserve pour satisfaire des riches cons (pour rester polie)
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Pour une somme importante

Un chasseur accusé d’avoir tué le plus célèbre lion du Zimbabwe

 

(capture d’écran, YouTube – Bryan Orford)

Un riche touriste étranger est accusé de s’être offert la tête du plus célèbre lion du Zimbabwe, vedette du parc national de Hwange en raison de sa crinière noire, tué après une chasse à l’arc, a-t-on appris lundi auprès d’une ONG de protection de la nature.

L’animal, un mâle baptisé Cecil, très populaire auprès des touristes, a été retrouvé il y a deux semaines gisant hors de la réserve.

(Thomas Joyce – site de la BBC)

«L’intermédiaire spécialisé dans les permis de chasse et un chasseur ont été inculpés», a indiqué Johnny Rodrigues, président de l’ONG Zimbabwe Conservation Taskforce. «Nous cherchons encore à établir l’identité et la nationalité du chasseur. 50.000 dollars auraient changé de mains selon certaines allégations qui restent à vérifier».

Le contrevenant – un Espagnol selon des sources proches des autorités du parc, un Américain selon d’autres indications – devrait comparaître pour braconnage avec un intermédiaire soupçonné d’avoir empoché beaucoup d’argent, selon M. Rodrigues.

Ni les autorités du parc, ni la police n’étaient joignables dans l’immédiat.

«Qu’un lion aussi emblématique soit tué, c’est une vraie perte pour le tourisme local et une grande source d’anxiété», a commenté Emmanuel Fundira, président de l’association des opérateurs de safaris.

«Cecil portait un collier. Cela signifie qu’il avait été choisi à des fins de recherches et d’études. Il était aussi populaire auprès des visiteurs de Hwange qui étaient fascinés par sa crinière noire et voulaient toujours savoir où il était», a-t-il ajouté.

Les riches amateurs de chasse, majoritairement américains, sont prêts à payer des fortunes pour pister et tuer des buffles, grands félins, ou autres gros gibiers sur les terres africaines, où la chasse au trophée est légale.

Ils font appel à des intermédiaires qui leur vendent le permis de tuer tel ou tel animal, les bénéfices servant à entretenir les réserves.

La chasse n’est autorisée que dans les réserves privées, pas dans les parcs nationaux comme Hwange, ou le Kruger en Afrique du Sud.

http://tvanouvelles.ca/

 

Gatineau Horrible cas de cruauté animale


Cela n’a pas de bons sens. Une personne aussi violente avec les animaux, devrait l’être aussi avec son entourage. Ce chat en plus a une médaille donc est le maître ou une personne qui n’aime pas les chats ?
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Gatineau

Horrible cas de cruauté animale

 

(

Gracieuseté, SPCA de l’Outaouais)

La Société protectrice canadienne des animaux (SPCA) de l’Outaouais a tenu un point de presse lundi matin pour dénoncer ce qu’elle qualifie d’«horrible cas de cruauté animale».

Une chatte domestique de six ans a en effet été retrouvée littéralement défigurée il y a un peu plus d’une semaine sur un terrain située non loin de la rue Main, dans le secteur Gatineau.

Les yeux de l’animal avaient été éjectés de leurs orbites.

Tout porte à croire que l’animal a été violemment battu selon l’organisme.

Les patrouilleurs qui l’ont découvert dans ce triste état affirment que c’est le pire cas constaté en 20 ans de carrière.

Le félin a dû être euthanasié en raison de la gravité de ses blessures.

http://tvanouvelles.ca/

New Jersey Un acte de générosité en attire un autre


Voilà un bel exemple de générosité envers des gens qui mérite une attention particulière pour leur dur travail. Mais ce qui est, de plus, beau, c’est la reconnaissance de ses derniers envers cette jeune personne
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New Jersey

Un acte de générosité en attire un autre

 

(Gracieuseté Facebook)

Une serveuse d’un petit restaurant de l’État du New Jersey a décidé de payer la facture de deux pompiers, qui venaient de combattre un feu dans la région. Elle a par la suite reçu toute une surprise de ses clients, rapporte ABC News.

Lors de son quart de travail, Liz Woodward a entendu les deux sapeurs discuter de leurs efforts sur le brasier.

À la fin du repas, Woodward a remis la facture à Tim Young et Paul Hullings. Les deux pompiers ont eu la surprise de leur vie en lisant le long message de la serveuse.

«Votre repas est sur mon bras aujourd’hui. Merci pour les services rendus aux autres et de courir dans les endroits où tous tentent de s’échapper. Vous êtes courageux, braves et forts. Vous êtes un exemple pour nous tous», peut-on lire sur la facture qui a été partagée sur la page Facebook de Tim Young.

Le pompier a demandé à ses confrères de se rendre à ce restaurant et de donner un «gros pourboire» s’ils étaient servis par Liz Woodward.

(Capture d’écran, TVA Nouvelles)

M. Young a pris connaissance d’une page créée sur le site de sociofinancement GoFundMe sur laquelle Woodward précisait vouloir amasser 17 000$ pour pouvoir acheter une camionnette adaptée pouvant permettre à son père handicapé de se déplacer avec son fauteuil roulant.

Il a partagé la page à ses contacts et plusieurs donateurs ont permis à la famille de se procurer la camionnette.

http://tvanouvelles.ca/

Les oiseaux toxiques sont bien la preuve que la nature veut votre mort


Il existe des oiseaux qui sont toxiques par leur alimentation, et ce à certaines périodes de l’année. Consommer ces volailles peut entraîner la mort de certaines personnes, mais pas à tous. Les scientifiques semblent avoir trouvés une bonne partie de la réponse
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Les oiseaux toxiques sont bien la preuve que la nature veut votre mort

 

<a href="https://en.wikipedia.org/wiki/Common_quail#/media/File:Coturnix_coturnix_(Warsaw_zoo)-1.JPG">Un vilaine caille des blés du zoo de Varsovie.</a> / Guérin Nicolas via WikimediaCC <a href="http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/">License by</a>

Un vilaine caille des blés du zoo de Varsovie. / Guérin Nicolas via WikimediaCC License by

Megan Cartwright

Traduit par Peggy Sastre

Depuis des millénaires, ils nous empoisonnent

Voici une énigme médico-légale: en Turquie, dix personnes mangent des cailles rôties un soir d’automne. Quelques heures plus tard, quatre convives se mettent à vomir. Ils se sentent de plus en plus faibles, leurs muscles se font de plus en plus douloureux. Aux urgences, on leur diagnostique une rhabdomyolyse – un syndrome pouvant être mortel et observé, durant la Seconde Guerre Mondiale, chez les survivants du blitz londonien écrasés sous les décombres.

Sauf que nous sommes en 2007 et qu’au lieu de subir les bombardements de la Luftwaffe, ces quatre hommes ont été victimes d’un volatile empoisonné.

La caille des blés tue quelques-uns de ses prédateurs humains – mais pas tous – depuis des millénaires. Mais cela fait seulement trois décennies que des chercheurs sont partis à la chasse d’oiseaux toxiques vivant en Amérique, en Australie ou en Nouvelle Guinée. Ces oiseaux secrètent des toxines rares et, selon des biologistes, demandent à être mieux étudiés à des fins médicales.

Sauf que si ces oiseaux peuvent nous en apprendre beaucoup sur notre génétique, préviennent des scientifiques, ils« disparaissent avec chaque hectare de forêt tropicale abattu, emmenant avec eux les joyaux de la toxinologie».

Dans la Bible, on parlait déjà des intoxications à la caille

Les quatre Turcs que les cailles auront rendu malades ne considèrent sans doute pas ces bestioles comme un joyau toxinologique, à l’instar des Israélites agonisant dans l’Ancien Testament après en avoir mangé. Dans le Livre des Nombres, on peut en effet lire:

«Comme la chair était encore entre leurs dents sans être mâchée, la colère de l’Éternel s’enflamma contre le peuple, et l’Éternel frappa le peuple d’une très grande plaie.»

Selon des historiens des sciences, le passage décrit une épidémie de coturnisme – une intoxication à la caille. Comme l’écrasement sous des décombres, cette intoxication provoque une rhabdomyolyse, soit la destruction rapide des muscles et une obstruction des vaisseaux sanguins par les cellules musculaires endommagées. Des débris cellulaires qui peuvent ensuite provoquer une insuffisance rénale, voire un choc septique mortel.

Si la Bible estime que l’empoisonnement des Israélites est un châtiment divin, des médecins antiques à l’instar de Galien allaient observer que ces intoxications à la caille survenaient le plus souvent en automne. En effet, comme le remarqua le précurseur de la médecine moderne, les oiseaux ne devenaient toxiques que lorsqu’ils mangeaient des graines de ciguë au cours de leur migration vers le sud de la Méditerranée – un périple pouvant les mener en Turquie.

Les observations de Galien furent remises au goût du jour en 1992, lorsque des biologistes américains essayèrent de comprendre pourquoi le pitohui bicolore était si puant et amer que les habitants de Nouvelle Guinée le surnommaient «l’oiseau poubelle». Lorsque les scientifiques examinèrent des spécimens de l’animal, ils trouvèrent que ses plumes et sa peau renfermaient des batrachotoxines, de dangereuses neurotoxines que l’on trouve aussi chez certaines grenouilles vénéneuses d’Amérique du Sud. 

Mais la concentration en batrachotoxines n’était pas identique chez tous les oiseaux, ce qui laissait entendre que l’oiseau poubelle ne secrétait pas tout seul ses ordures, mais les récupérait autre part. En 2004, des biologistes retrouvent la trace de ces batrachotoxines dans des coléoptères dont raffolent les oiseaux. Ces insectes, de la famille des Melyridae, sont connus chez les habitants de Nouvelle-Guinée pour causer des brûlures lorsqu’ils se posent sur la peau. En mangeant les insectes, le pitohui saturait sa chair de batrachotoxines – et, au cours du temps, l’espèce avait développé une résistance contre ces toxines, résistance dont ses prédateurs sont dépourvus.  

Privilégiez le poulet, la salade verte et un grand verre d’eau

 

Comme d’autres animaux, le pitohui a découvert qu’en étant vénéneux, il éloignait les prédateurs et les parasites, et que l’alimentation pouvait être une source abondante de poison. Des sources qui varient: l’oie armée de Gambie mange des coléoptères riches en cantharidine, tandis que la gélinotte huppée d’Amérique du Nord et la colombine lumachelle d’Australie récupèrent leurs toxines dans des plantes. Quant à la caille des blés, elle trouve sa neurotoxine, la conicine, dans des graines de ciguë – toxine contre laquelle elle a développé une résistance, contrairement aux humains.

Ce qui nous ramène à notre première énigme: sur les dix mangeurs de caille, seuls quatre ont été atteints de rhabdomyolyse. Pourquoi la maladie n’a-t-elle pas touché tout le monde?

Parce que, pour certains poisons, des gens ont plus de risque de tomber malade s’ils sont porteurs de mutations génétiques spécifiques. A peu près 400 millions de personnes dans le monde sont porteuses d’une mutation qui fait que, lorsqu’elles mangent des fèves (sans forcément de foie ni d’excellent chianti), leurs globules rouges éclatent. D’autres mutations codant pour des enzymes hépatiques responsables de la métabolisation de l’éthanol font que des Asiatiques ont la peau qui rougit lorsqu’ils boivent de l’alcool, ou que d’autres ont immédiatement la nausée dès le premier verre. D’où l’hypothèse d’une susceptibilité génétique à la conicine pouvant expliquer que certaines personnes, et pas d’autres, tombent malades en mangeant de la caille, à l’image des quatre pauvres Turcs de notre histoire.

En attendant que la génétique de l’intoxication à la caille soit parfaitement décryptée, peut-être vaut-il mieux en rester au bon vieux poulet, préférer la salade verte plutôt que les fèves, et arroser le tout d’un grand verre d’eau.

Megan Cartwright

http://www.slate.fr/