Se sentir vivant


Une chose de certain, ce n’est pas en restant enfermer entre 4 murs, et restant les bras croisés que les bons moments  se manifesteront
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Se sentir vivant

 

Le bonheur ne se définit pas par un grand calme, mais plutôt par la sensation d’être terriblement vivant.

Tara Depré

La seiche flamboyante a des airs de pachyderme


Après avoir vue le lapin de mer voici une sèche qui a une belle allure. Ressemblant à des animaux terrestres Mignonne oui, mais aussi toxique
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La seiche flamboyante a des airs de pachyderme

 

CURIOSITÉ. De par sa couleur violacée, ses grands yeux noirs sous des arcades saillantes, ainsi que sa façon de se déplacer lentement sur le sol, la seiche flamboyante (Metasepia pfefferi) ressemble à un petit hippopotame…

En plus mignon. Il faut dire que le céphalopode est aussi doté de petits « bras », dont deux qu’elle tient en l’air et recourbés, comme un éléphanteau qui joue avec sa trompe. Mais attention, sous ses airs adorables se cache un animal toxique. Ses couleurs vives et mobiles, ainsi que sa façon originale de se déplacer sur le fond de l’eau, en « marchant » sur la pointe de deux bras tout en agitant rapidement le bord de son manteau (la sorte de petit voile transparent qui dépasse de son corps), seraient en réalité un moyen de prévenir ses éventuels prédateurs du danger.

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Le Saviez-Vous ► L’eau en poudre


    Je ne sais pas si les larmes en poudre existent, mais l’eau en poudre est une réalité. Cette eau poudreuse peut se changer en eau au besoin. Cela pourrait être utile pour bien des choses ne fut qu’en cas de sécheresse pour l’agriculture
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    L’eau en poudre

    Et si demain on pouvait acheter de la poudre d’eau dans les supermarchés ?

    © Nadia Berra / Canopy

    Une poussière blanchâtre qui se transforme en eau dans la main : ni magie, ni canular, mais de la véritable eau en poudre.

    Cela pourrait être de la poudre de perlimpinpin tout droit sortie de la besace de Gandalf, le magicien du Seigneur des anneaux. Pourtant, la poudre d’eau inventée par des chercheurs de l’université de technologie de Compiègne (UTC) est tout ce qu’il y a de plus réel.

    De la poudre d’eau, oui, vous avez bien lu ! Autrement dit, de l’eau qui se présente sous la forme d’une poudre blanchâtre, légère et fine comme du sucre glace. Encore au stade de prototype, elle pourrait servir demain, notamment en agriculture.

    Mais par quel miracle de l’eau liquide peut-elle prendre l’aspect d’une poudre ? En fait, comme dans n’importe quel tour de magie, il y a un truc. L’eau de la poudre n’est pas strictement pure : ce n’est pas de l’eau… « déshydratée ». Chaque grain est en fait une gouttelette d’eau emprisonnée dans une coquille artificielle qui évite que le liquide s’en échappe. La coquille est très fine, elle n’occupe que 3 % du poids d’un grain. D’ailleurs, il suffit d’écraser la poudre dans sa main pour que l’eau s’en écoule !

    Et un milk-shake, un !

    Le plus étonnant dans l’histoire est que la poudre magique n’est pas plus compliquée à fabriquer qu’un milk-shake : ajoutez une pincée d’additif spécial à de l’eau, mélangez trente secondes, et le tour est joué. La comparaison avec le milk-shake est d’autant plus juste que les chercheurs fabriquaient au départ leur poudre avec un vulgaire mixer de cuisine !

    Et l’additif ? Là non plus, rien de bien compliqué. Un simple antiagglomérant de cuisine suffit, comme ceux qui préservent le sel de l’humidité. Une fois dans l’eau, les molécules d’antiagglomérants restent regroupées, coudes serrés. Résultat, l’antiagglomérant ne se mélange pas à l’eau, même lorsqu’on agite le tout et que l’eau se transforme en gouttelettes. L’antiagglomérant se dépose à la surface des gouttelettes, formant les fameuses coquilles protectrices.

    Attention tout de même d’y aller piano lors du mélange, faute de quoi les coquilles, trop ballotées, se rompent et la mixture redevient liquide.

    Quel parfum s’il vous plait ?

    Les antiagglomérants ne sont pas les seuls additifs possibles. Après de nombreux essais, l’équipe de chercheurs en génie des procédés industriels, dirigée par Khashayar Saleh, a conclu que d’autres composés, parfois très étranges, permettaient de réaliser de l’eau en poudre.

    Jugez plutôt : la cire végétale, le noir de carbone (les restes de la combustion incomplète de produits pétroliers), et même le marbre peuvent servir d’additif. Le sol de la pyramide du Louvre pourrait être transformé en poudre d’eau !

    Seule condition pour réussir la recette de la poudre d’eau : que ces matériaux soient réduits avant mélange à l’état de poussière. Cet aspect assure que leurs molécules s’enroberont ensuite convenablement autour des gouttelettes.

    Des biberons pour les graines

    Premier domaine d’application : l’agriculture. L’idée est d’utiliser cette poudre pour mieux gérer l’apport en eau aux cultures lors de la phase de germination des plantes (blé, maïs…)

     Observation au microscope de la poudre d’eau : la silice forme une coquille protectrice autour des microgouttelettes d’eau.

    La solution : mettre de la poudre d’eau dans la terre lorsqu’on plante les graines. En cas de sécheresse, la terre se rétractera et comprimera les grains de poudre. Les coquilles cassées libèreront alors leur eau. Ainsi, les graines seraient nourries au biberon jusqu’à l’arrivée des pluies ! Une société d’agronomie réalise déjà des tests sous serre. Ces essais diront si l’idée est réalisable.

    D’autres applications de la poudre d’eau sont à l’étude. Par exemple, elle pourrait remplacer le liquide bleu qui sert à réfrigérer les vaccins lors d’un transport, et équipe aussi les glacières de pique-nique. L’intérêt ? Eviter la dilation du liquide bleu lorsqu’il se refroidit car il déforme le contenant. La poudre pourrait aussi servir de matière ignifuge si on la versait dans l’un des compartiments d’une porte coupe-feu.

    À la porte de Khashayar Saleh, les demandes d’exploitation industrielle se multiplient. La poudre d’eau n’est définitivement plus de la poudre aux yeux.

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    L’une des «plus vieilles» versions du Coran découverte au Royaume-Uni


    Il y a des trésors qui se cachent dans les grandes bibliothèques qu’on ne se douterait même pas. Quand enfin, on met la main dessus, il s’avère que ce sont des manuscrits qui ont fait l’Histoire
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    L’une des «plus vieilles» versions du Coran découverte au Royaume-Uni

     

    Des versets des chapitres ou sourates 18 à 20,... (PHOTO FRANK AUGSTEIN, AP)

    Des versets des chapitres ou sourates 18 à 20, écrits à l’encre en hijazi, un style calligraphique arabe ancien, sont reproduits dans ce manuscrit.

    PHOTO FRANK AUGSTEIN, AP

    Une des plus anciennes versions manuscrites du Coran, possiblement la plus vieille, qui remonterait à la fin du VIe siècle ou au début du VIIe, a été découverte dans la bibliothèque de l’Université de Birmingham, a annoncé celle-ci mercredi.

    Les feuillets manuscrits étaient conservés depuis près d'un... (PHOTO FRANK AUGSTEIN, AP) - image 1.0 

    Les feuillets manuscrits étaient conservés depuis près d’un siècle au sein d’une collection de livres et de documents du Moyen-Orient, sans que personne ne soupçonne leur ancienneté.

    PHOTO FRANK AUGSTEIN, AP

    Les feuillets manuscrits étaient conservés depuis près d’un siècle au sein d’une collection de livres et de documents du Moyen-Orient, sans que personne ne soupçonne leur ancienneté.

    C’est lorsqu’une chercheuse, l’Italienne Alba Fedeli, s’est penchée sur le texte pour sa thèse de doctorat que l’université a décidé de réaliser une datation au carbone 14.

    «Le résultat est surprenant», explique David Thomas, spécialiste dans cette université de l’islam et de la chrétienté.

    L’analyse a permis d’aboutir à la conclusion que le manuscrit avait été écrit entre 568 et 645 de notre ère, avec un degré de certitude de 95,4 %.

    Or, d’après la tradition islamique, le prophète Mahomet (Mohammed ndlr) a vécu entre 570 et 632.

    «L’analyse du parchemin montre qu’il y a une forte probabilité que l’animal dont provient la peau vivait du temps du prophète Mahomet (Mohammed ndlr) ou peu de temps après», ajoute David Thomas.

    Des versets des chapitres ou sourates 18 à 20, écrits à l’encre en hijazi, un style calligraphique arabe ancien, sont reproduits dans ce manuscrit qui, selon Alba Fedeli, provient du même codex que des feuillets conservés à la Bibliothèque Nationale de France à Paris.

    Le président de la mosquée centrale de Birmingham, Muhammad Afzal, a déclaré que «tous les musulmans du monde aimeraient avoir la chance de voir ce manuscrit».

    Il sera exposé à l’Université de Birmingham du 2 au 25 octobre.

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    Le mystère du village kazakh endormi enfin résolu


    Au moins une mystérieuse épidémie qui enfin est élucidée. Certains en ont entendu parler de l’épidémie de l’endormissement que plusieurs villageois souffraient quelque part en Russie
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    Le mystère du village kazakh endormi enfin résolu

    160 villageois se sont brutalement endormis, parfois pour plusieurs jours, depuis 2012
    Crédits photo : Mark Makela/AFP

    Depuis plusieurs années, les habitants de ce petit village s’endorment soudainement, et peuvent rester inconscients plusieurs jours. Les experts viennent enfin de mettre le doigt sur l’origine de cet étrange phénomène.

    C’est une histoire qui commence presque comme un conte russe, celui d’un village au bois dormant, perdu au cœur des steppes kazakhes. Ces dernières années un mal étrange frappe les quelque 800 habitants de Kalachi dans la région d’Akmola, au nord du Kazakhstan. Depuis 2012, au moins 160 villageois ont été affectés par une mystérieuse épidémie d’endormissement. Les victimes tombent inconscientes, généralement de manière brutale, et se réveillent quelques heures, voire quelques jours plus tard avec ce qui ressemble à une véritable gueule de bois: trous de mémoire, vertiges, maux de tête et même des hallucinations.

    Chez certains hommes, le réveil peut s’accompagner d’une montée violente du désir sexuel.

    «Les docteurs ont ri et les infirmières rougi en les voyant dans cet état», raconte une femme du village au Siberian Times.

    Les chercheurs ont exploré de nombreuses pistes, en vain. Vodka frelatée? Impossible, les enfants et les animaux sont également touchés. Contamination des nappes phréatiques? Les examens n’ont rien donné expliquait un médecin en 2014, toujours au Siberian Times.

    Les soupçons ont fini par se tourner vers les mines désaffectées d’uranium de Krasnogorsk, une ville voisine, vestige de l’ère soviétique et entièrement désertée après la chute de l’URSS. Les radiations de radon, un gaz radioactif notamment connu pour provoquer des cancers du poumon, semblaient une piste crédible. Leonid Rikhvanov, un professeur de l’université de Tomsk, expliquait en janvier sur la chaîne 1tv que les infiltrations d’eau dans les galeries abandonnées avaient pu chasser le gaz jusqu’à la surface. Le ministère de la Santé a effectué plus de 7000 prélèvements, mais les taux relevés n’étaient jamais assez hauts pour pouvoir être reliés au phénomène, raconte le Guardian.

    Le monoxyde de carbone, principal responsable

    Kalachi, dans la province d'Akmola au nord du Kazakhstan

    Début juillet, le mystère a finalement pu être levé par des experts. Et la solution se trouvait bien dans les mines. Le responsable: le monoxyde de carbone.

    «Après de nombreux tests médicaux, nos chercheurs et leurs collègues de Prague et Moscou ont confirmé la responsabilité du monoxyde de carbone dans l’épidémie d’endormissement qui frappe le village de Kalachi», a annoncé lors d’un point presse à Astana le vice premier ministre Berdibek Saparbayev.

     L’élévation de la concentration de monoxyde de carbone, combinée à d’autres émanations d’hydrocarbure, s’accompagnerait d’une baisse des niveaux d’oxygène expliquant les brusques pertes de conscience et leurs effets secondaires. Pris séparement, ces trois composants affichent des taux normaux, ce qui explique pourquoi les chercheurs ont mis tant de temps à trouver la clef de l’énigme, détaille Sergei Lukashenko, directeur adjoint du Centre national de sécurité nucléaire dans l’Astana Times.

    Les autorités ont immédiatement commencé l’évacuation du village. Selon le Siberian Times, 68 des 223 familles ont déjà été relogées, et les habitants restant devraient être pris en charge d’ici l’année prochaine. Depuis plusieurs mois les habitants étaient de plus en plus nombreux à envisager un départ.

    «Nous commencions à penser que quelqu’un cherchait à nous empoisonner pour nous faire partir. Certains disent que de l’or a été trouvé derrière la colline voisine et que la route est déjà construite», raconte au quotidien sibérien Lyubov Rabchevskaya, une habitante de 28 ans dont la famille a aussi été touchée par le phénomène.

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    Le Portugal sollicité pour accueillir l’«ambassade» extraterrestre des Raëliens


    De temps à autre, Raël refait surface ! Peut-être avec Mars, Pluton, et les aventures de Tchouri l’incite à chercher un terrain d’accueil pour construire une ambassade pour extraterrestre, étant donné que plusieurs pays dont la France et le Canada ne sont pas très chaud à l’idée
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    Le Portugal sollicité pour accueillir l’«ambassade» extraterrestre des Raëliens

     

    Claude Vorilhon, dit Raël... (Photo Robert Skinner, archives La Presse)

    Claude Vorilhon, dit Raël

    PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE

    Agence France-Presse
    Paris

     

    Groupe controversé cherche consulat pour ses amis d’ailleurs: le mouvement raëlien a demandé au Portugal l’autorisation d’y implanter son «ambassade des Elohims», les extraterrestres au coeur de sa doctrine, a-t-on appris mercredi auprès de la mission anti-dérives sectaires française Miviludes.

    Selon une note que l’AFP a consultée, l’organisation fondée en 1974 par le Français Claude Vorilhon, dit Raël, a écrit au gouvernement portugais pour solliciter, «à titre payant ou gratuit», la mise à disposition d’un terrain de 4 km2.

    C’est là que le mouvement raëlien, considéré comme une secte en France depuis un rapport parlementaire de 1995, espère construire une «ambassade» pour accueillir ses Elohims, les «scientifiques» censés avoir créé l’espèce humaine. Le projet, d’un montant estimé à 40 millions d’euros (57 millions de dollars CAN), doit comporter une plateforme d’atterrissage de 14 mètres de diamètre.

    Selon la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), le mouvement raëlien pose comme condition à son implantation «la concession obligatoire d’un statut d’extraterritorialité» et «l’instauration d’une zone de restriction aérienne pour cet édifice qui devra être éloigné de tout secteur urbain». En contrepartie, les Raëliens promettent de «favoriser le développement économique de la région où sera implantée l’ambassade».

    Pourquoi le Portugal? Ce n’est pas a priori un territoire stratégique pour le mouvement, qui y compte 15 membres actifs et une cinquantaine de sympathisants, selon la note consultée par l’AFP, alors que l’organisation revendique sur son site internet «plus de 85 000» adeptes dans une centaine de pays. Mais des démarches similaires ont déjà été menées aux États-Unis, au Canada, au Brésil, en France, au Pérou et en Israël sans résultats, selon la Miviludes.

    Le mouvement a donc jeté son dévolu sur le Portugal, où un de ses responsables a récemment vanté les vertus d’un peuple «accueillant et pacifique».

    Sollicité par l’AFP pour commenter son projet et la réponse des autorités portugaises, le mouvement raëlien n’a pas donné suite.

    Raël, qui se présente comme le «messager» d’une «religion athée», est adepte du clonage, de la «méditation sensuelle» et du «polyamour». Son mouvement est dans le collimateur des organisations anti-sectes pour ses exigences financières et sa logique de rupture sociale. En juin, le gourou a ajouté le polémiste controversé Dieudonné à une liste de «guides honoraires» sur laquelle figurent quelque 80 noms, souvent à leur corps défendant.

    http://www.lapresse.ca/

    Orages : mettez-vous à l’abri !


    Le temps chauds des derniers ont amener plusieurs alertes météorologiques. Tant mieux, si le temps n’a pas viré au drame, mais ce n’est pas toujours le cas. Quelques conseils en cas d’orage
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    Orages : mettez-vous à l’abri !

     

    Mettez-vous à l’abri dès les premiers signes de l’arrivée d’un orage. ©Phovoir

    Mettez-vous à l’abri dès les premiers signes de l’arrivée d’un orage. ©Phovoir

    Dominique Salomon – Edité par : Emmanuel Ducreuzet

    Fréquents en période de grandes chaleurs, les orages d’été peuvent être fascinants. Mais n’oubliez jamais qu’ils constituent un danger mortel. Sans pour autant paniquer, prenez juste les bonnes mesures lorsque la tempête s’annonce.

    « Un million de fois plus puissants que le courant électrique ménager, les coups de foudre peuvent être mortels », rappelle ainsi le Conseil canadien de la sécurité. « Un coup de foudre peut causer un arrêt cardiaque lorsque le courant pénètre le corps ; il peut aussi endommager des organes, causer des brûlures et, parfois, entraîner des effets à long terme. »

    Comme l’explique l’Association Protection Foudre, « toutes les recommandations pour protéger les personnes contre la foudre sont fondées sur deux principes : ne pas constituer une cible pour la foudre et ne pas se placer dans des situations qui risquent d’appliquer une différence de potentiel (électrique) entre deux parties du corps ».

    Imprévisibles orages

    Évitez les terrains élevés et les espaces ouverts et de vous abriter sous un arbre ou dans une construction ouverte, telles les cabanes en bois ;

    Abritez-vous dans une maison, un grand bâtiment ou un véhicule. Fermez les portes et les fenêtres. Une fois à l’intérieur, ne prenez pas de douche ni de bain. Si la foudre frappe l’installation de plomberie, les tuyaux peuvent agir comme conducteurs ;

    Si vous êtes à vélo, à motocyclette ou sur un VTT, descendez. Les pneus en caoutchouc ne vous protègeront pas ;

    Si vous êtes dans une embarcation, dirigez-vous vers la rive. Si l’orage éclate alors que vous êtes sur l’eau, accroupissez-vous dans le fond de l’embarcation ;

    Si vous êtes dans un champ plat et à découvert, penchez-vous vers l’avant et placez vos mains sur vos genoux. Ayez un minimum de contact avec le sol ;

    Évitez tout contact avec du métal. Pensez que les appareils électroniques personnels, tels que les smartphones conduisent l’électricité et causent des brûlures de contact. N’utilisez pas non plus le téléphone, ni les appareils électriques pour la même raison ;

    Restez loin de l’eau, y compris les lacs, les mares et les flaques d’eau.

    Enfin, sachez que la foudre peut frapper à plusieurs kilomètres de sa source. Il est donc crucial de prendre des précautions tôt. Abritez-vous dans une maison, un grand bâtiment ou une voiture dès que vous voyez des nuages noirs s’accumuler dans le ciel ou que vous entendez le grondement du tonnerre à distance. Puis, restez à l’intérieur pendant au moins 30 minutes après le dernier grondement de tonnerre.

    Ne voyagez pas pendant un orage violent. Si un orage éclate pendant que vous êtes en voiture, baissez un peu les vitres et stationnez sur le bord de la route, loin des lignes électriques.

    • Source : Conseil canadien de la sécurité, consulté le 2 juillet 2015 – Association Protection Foudre,

    https://destinationsante.com

    Les moustiques utilisent trois sens pour traquer les humains


    Les moustiques peuvent sentir de plusieurs mètres une proie potentielle pour assouvir leur instinct sanguinaire. Enfin, leur stratégie n’est pas à l’aveuglette, mais bien calculée
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    Les moustiques utilisent trois sens pour traquer les humains

     

    <a href="https://www.flickr.com/photos/31031835@N08/15936542517/" target="_blank">Un moustique sur le point de piquer, en Australie</a> | John Tann via Flickr CC <a href="https://creativecommons.org/licenses/by/2.0/" target="_blank">License by</a>

    Un moustique sur le point de piquer, en Australie | John Tann via Flickr CC License by

    Repéré par Leïla Marchand

    Odeur, repères visuels, chaleur: vous êtes une proie facile pour ces insectes qui se nourrissent de votre sang.

    À les voir papillonner en tout sens vers la lumière et à les entendre tournoyer autour de nos oreilles comme s’ils semblaient hésiter sur la cible à viser, les moustiques semblent de bien piètres prédateurs.

    Et pourtant, pour repérer la peau humaine et nous traquer sous nos draps, ils utilisent une stratégie multi-sensorielle qui implique l’odeur, les repères visuels et la chaleur du corps. Ce sont des scientifiques de l’Institut de Technologie de Californie et de l’Université de Washington qui sont arrivés à ce résultat en examinant le mouvement des moustiques dans un tunnel de vent par le biais de caméras et d’un logiciel de suivi 3D.

    Distinguer sa proie

    Trois différents stimulis étaient reconstitués dans ce tunnel: un panache de CO2, une tache noire sur le sol et des contenants de verre chauffés, afin de simuler l’odeur, l’apparence visuelle et la chaleur de l’être humain.

    Les résultats ont montré que les insectes sont capables de repérer une odeur de CO2 à dix voire cinquante mètres de distance, et ce, même dans un endroit venteux comme ce tunnel. Cette capacité était déjà connue des spécialistes: il n’y a pas de «peau à moustique» mais des personnes qui dégagent plus ou moins de CO2, par exemple si elles sont enceintes, malades, ou si elles ont bu de la bière.

    Une fois qu’ils se sont approchés de leur cible (entre cinq et quinze mètres), les insectes sanguinaires commencent à distinguer leur proie. Enfin, arrivés à quelques battements d’ailes, à moins d’un mètre, les moustiques sentent la chaleur dégagée par la peau, ultime indice qui leur confirme qu’ils n’ont plus qu’à trouver un coin de peau douillet où enfoncer leur trompe.

    http://www.slate.fr/