Ce que pensent les autres


Nous sommes toujours inquiets sur les quand dira-t-on, alors qu’il suffit simplement d’être soi-même
Nuage

 

 

Ce que pensent les autres

 

 

Ce n’est pas grave ce que les autres pensent de vous. La seule chose qui importe, c’est que vous êtes heureux avec qui vous êtes.

Zayn Malik

À quoi ressemble une girafe assoupie.


Nous aimons probablement toutes les girafes. Elles sont des bêtes magnifiques, mais avez-vous déjà vu, une girafe faire dormir comme tout autre animal ? C’est rare vu les dangers qui la guettent. Elles sont vraiment belles, mais le cou, comment ne pas avoir mal au cou au réveil ?
Nuage

 À quoi ressemble une girafe assoupie.

reddit/Isai76

reddit/Isai76

Ces animaux gigantesques et paisibles sont vraiment adorables lorsqu’ils dorment. Mais ils ne le font pas souvent.

Comme une sieste profonde les exposerait à des prédateurs éventuels, les girafes ne dorment que par tranches de cinq minutes environ, pour un total de 30 minutes par jour.

Shutterstock

ShutterstockFlickr/Marc

Flickr/Marc

Comme leur taille rend le moindre geste difficile, les girafes dorment généralement debout.

YouTube/Devon Byerley

YouTube/Devon Byerley

Mais pour se nourrir, il est plus simple de baisser la tête.

Shutterstock

Shutterstock

Et lorsque les girafes dorment enfin, elles ont l’air encore plus douces et paisibles que d’habitude.

reddit/Isai76

reddit/Isai76reddit/Isai76

reddit/Isai76

http://bridoz.com/

Une nouvelle espèce de cicadelle découverte dans le New Jersey


Une nouvelle espèce d’insectes découverte aux États-Unis, malheureusement, elle se nourrit d’une plante qui elle est en voie de disparition
Nuage

 

Une nouvelle espèce de cicadelle découverte dans le New Jersey

 

Une cicadelle F.whitcombi mâle © Dr. Andrew Hicks

Par Sarah Sermondadaz

Tandis que les spécialistes annoncent l’imminence d’une sixième extinction massive, on découvre encore de nouvelles espèces. Ici, une variété de cicadelle, identifiée sur la côte est des Etats-Unis.

SURPRISE. On dénonce souvent l’urbanisation galopante de la planète pour son effet délétère sur la biodiversité. Or c’est dans les landes du New Jersey, en bordure côtière de la mégalopole américaine s’étendant de New York à Washington, qu’a été découverte une nouvelle espèce de cicadelle. Elle a été rattachée au groupe Flexamia. Baptisée Flexamia whitcombi, elle se distingue de ses proches voisines Flexamia serrata et Flexamia huroni de par ses couleurs (brun à l’arrière, ocre à l’avant) et sa morphologie particulières. L’étude, publiée par le Dr Andrew Hicks sur le journal ZooKeys, peut être consultée en-ligne.

Tout juste baptisée, déjà menacée ?

Endémique des Pine Barrens, ces landes de pins maritimes de la côte est, F. whitcombi est cependant très dépendante de son habitat. Son alimentation provient en effet exclusivement d’une herbe de la famille des graminées,Muhlenbergia torreyana, laquelle est sur la liste des espèces menacées aux Etats-Unis. 

Ce trait n’est pas isolé : la plupart des autres espèces du groupeFlexamia s’alimentent à partir d’une seule espèce végétale, ce qui les rend particulièrement sensibles aux variations de l’écosystème. Or, les Pine Barrens commencent déjà à souffrir du réchauffement climatique ainsi que des activités humaines. A ce titre, la nouvelle espèce court le risque de rapidement passer de la liste des espèces tout juste découvertes… à celle des espèces en danger.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Il met deux ans à réaliser que ses chiots sont… des ours


Ouf ! Pas très futé le gars pour ne pas faire la différence entre un chien et un ours. Après 2 ans, il était temps qu’il apprenne la vérité sur ses animaux de compagnie
Nuage

 

Il met deux ans à réaliser que ses chiots sont… des ours

Le fait divers du jour

Un ours, ça trompe énormément.

Photo : AFP

Metronews a fait le tour de la presse internationale et vous livre le fait divers du jour…

CHINE — Durant plus de deux ans, un homme a élevé deux ours noirs d’Asie. Il pensait avoir affaire à des chiots…

Quelle est la différence entre un chien et un ours ? Pour Wang Kaiyu, apparemment aucune. Durant plus de deux ans, ce Chinois a élevé avec amour deux bébés ours noirs d’Asie en pensant qu’il s’agissait de petits chiens.

Comportements violents

Wang Kaiyu a acheté ses « chiots » noirs en 2013 à un Vietnamien qu’il avait rencontré dans sa plantation de bananes. Fou d’amour pour ses nouveaux animaux de compagnie, il en prend particulièrement soin : chaque jour, il les lave, brosse leur pelage… Et ses chiens sont on ne peut plus « adorables » avec les êtres humains, expliquera-t-il à l’agence China.org.

Sauf qu’au fil du temps certains signes commencent à inquiéter l’heureux propriétaire. Les chiots, qui pèsent quand même près de 50 kg, se montrent violents à l’égard des autres animaux. N’hésitant pas à s’attaquer aux poulets qu’il élève. L’homme finira par se rendre compte de sa méprise en tombant sur une affiche de la protection des animaux. Les autorités, dépêchées sur place, confirment alors ses craintes : les « chiots » de Wang Kaiyu sont en fait des ours noirs d’Asie. Une femelle et un mâle, en bonne santé, qui se trouvent désormais entre les mains des Services de la faune et de la flore.

http://www.metronews.fr/

Japon Une grappe de raisin vendue 10 500$!


À ce prix-là, on se demande si ce n’est pas mieux de traiter les raisins pour qu’elles se conservent indéfiniment. Si c’est vraiment pour attirer l’attention, ils ont réussi. Moi, non, je vais continuer d’acheter mes raisins au supermarché
Nuage

 

Japon

Une grappe de raisin vendue 10 500$!

 

(

Crédit photo: capture d’écran CNN)

Une grappe de raisin japonais s’est vendue jeudi pour la somme record de 10 500 dollars (un million de yens), soit plus de 400 dollars le grain, une coquette somme même au Japon, où les fruits sont un luxe.

La grappe de 26 grains de raisin de variété rouge, proposée aux premières enchères de cette année à Kanazawa, à 300 km au nord-ouest de Tokyo, a pulvérisé le record de 550 000 yens atteint l’an dernier.

Chaque grain était, il est vrai, de la taille d’une balle de ping-pong et pesait au moins 20 grammes, selon le bureau local de l’agriculture.

Le vainqueur des enchères, Masayuki Hirai, chef cuisinier de l’hôtel Nikko de Kanazawa, a expliqué à la presse qu’il avait reçu l’ordre de responsables du tourisme de remporter le lot «à tout prix» afin d’attirer l’attention sur la région à l’occasion de l’arrivée d’une nouvelle ligne de shinkansen, le train à grande vitesse japonais.

Cette année déjà, une paire de melons Yubari de Hokkaido, dans le nord du Japon, considérés comme un signe de statut social, avaient été emportés pour la somme de 1,5 million de yens.

Un grand magasin n’a pas hésité non plus à débourser 300 000 yens pour deux mangues impeccables.

Les Japonais offrent souvent des fruits délicats en cadeau et les boutiques spécialisées prospèrent malgré le manque de vigueur de l’économie japonaise. Les pastèques carrées ou même en forme de coeur font fureur et une pêche blanche de la taille de la tête d’un nouveau-né peut se vendre 2000 yens (21 dollars).

http://tvanouvelles.ca/

Cliquer sur le premier résultat des recherches Google n’est pas toujours une bonne idée


Google est un des moteurs de recherche le plus utilisé. Lors d’une requête, il serait judicieux de parcourir plus loin que les premiers choix
Nuage

 

Cliquer sur le premier résultat des recherches Google n’est pas toujours une bonne idée

 

Repéré par Grégor Brandy

Selon une étude, le moteur de recherche met en avant ses produits et fait passer son intérêt avant celui de ses utilisateurs.

Une étude publiée par des chercheurs d’Harvard et Columbia –dont Tim Wu, «connu pour avoir nommé et popularisé le concept de neutralité du réseau»– et d’analystes de données de Yelp (un concurrent de Google) tend à montrer que l’on ne fait pas forcément le bon choix quand on clique sur les résultats de recherche de Google.

Fin juin, le Washington Post rapportait que cette étude indiquait que, contrairement à ce que Google avance,

«Google manipule les résultats de recherche pour mettre en avant ses produits: ce qui signifie que, quand vous cherchez un restaurant, un médecin ou un magasin à côté de chez vous, Google vous montrera des résultats de sa constellation de sites plus haut… même s’il y a clairement de meilleures options ailleurs».

Le quotidien américain reprend également un communiqué de Yelp qui montre que lorsque l’on tape «pédiatre nyc» dans Google, on voit «les noms de sept pédiatres qui ont Google+ ou des pages Google+. Les parents ne verront pas les noms de Melissa Varma, Rebecca Farver ou Julissa Baez– trois pédiatres new-yorkais très bien évalués par Google autrement et qui ont d’excellents commentaires… mais sur les sites de compétiteurs de Google».

Voici par exemple ce que cela donne quand on tape «médecin paris»:

Et ce n’est pas un cas isolé, comme le résume ZDNet:

«Pour l’étude, ils ont donc soumis un panel de 2.690 utilisateurs à deux versions de résultats du moteur Google: une première classique telle que proposée par Google, et une seconde modifiée affichant notamment des liens vers des services concurrents.

D’après leurs mesures, les internautes seraient plus enclins à cliquer lorsque les résultats de la recherche universelle sont déterminés de manière organique. En clair: Google n’aurait pas si à cœur l’intérêt des internautes.»

Trust

Bien évidemment, Google n’a pas vraiment apprécié, souligne le New York Times en citant un comuniqué de la firme:

«Ce n’est pas nouveau. Cela fait cinq ans que Yelp fait de telles remarques aux régulateurs et exige un meilleur placement dans les résultats de recherche. Cette dernière étude est basée sur une méthodologie flouée qui se concentre sur une poignée de recherches soigneusement sélectionnées. Chez Google, nous cherchons à fournir les meilleurs résultats pour nos utilisateurs.»

Pour Danny Sullivan, analyste des moteurs de recherche et fondateur de Search Engine Land, interrogé par le NYT, «cela ressemble plus à un exercice de communication qu’à une science exacte».

«Cependant, je pense que Google pourrait inclure plus facilement des liens vers d’autres sites de recommandation, ce qui bénéficierait à la fois aux utilisateurs et aux compétiteurs.»

Ce n’est pas la première fois que Google subit de telles accusations. En avril dernier, Margrethe Vestager, commissaire européenne à la concurrence, avait décidé d’attaquer le géant américain pour infraction à la loi anti-trust. Selon la Commission, Google défavorisait les utilisateurs en mettant en avant ses produits, issus de Google Shopping, plutôt que ceux des autres.

«Je crains que l’entreprise n’ait injustement avantagé son propre service de comparaison de prix, en violation des règles de l’Union européenne en matière d’ententes et d’abus de position dominante.»

Le New York Times rappelle que, dans cette affaire, Google a jusqu’à mi-août pour paufiner sa défense:

«Perdre serait synonyme de milliards de dollars d’amendes de Google.»

 

http://www.slate.fr/

Une étrange maladie gagne du terrain Le déclin des chauves-souris pourrait nuire aux agriculteurs


Que l’on aime ou pas les chauves-souris, elles sont importantes pour l’écosystème. Le problème du syndrome du museau blanc continu à faire des ravages ce qui a un impact important sur l’augmentation des insectes
Nuage

 

Une étrange maladie gagne du terrain

Le déclin des chauves-souris pourrait nuire aux agriculteurs

 

Le déclin de la population de chauves-souris s’amplifie partout au Québec, ce qui peut entraîner une augmentation de la population d’insectes peu souhaitable pour les agriculteurs.

Une visite à la grotte Spéos de la fée, à La Rédemption, dans le Bas-Saint-Laurent, a par exemple permis de découvrir qu’elle n’est plus habitée que par deux chauves-souris.

Les chauves-souris qui y hibernent ont récemment été touchées par le syndrome du museau blanc, une étrange maladie qui gagne rapidement du terrain au Québec.

Cette maladie crée un champignon blanc sur le nez et les ailes des chauves-souris. Les désagréments qu’il cause réveillent l’animal lors de son hibernation.

La maladie a été découverte pour la première fois aux États-Unis, en 2006.

C’est une situation que les biologistes Charles Maisonneuve et Nathalie Desrosiers qualifient d’inquiétante, puisque les chauves-souris se nourrissent d’insectes. Avec le déclin du mammifère, la population d’insectes augmentera et les agriculteurs devront ainsi utiliser davantage d’insecticides.

Les citoyens sont invités à contacter le Ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs s’ils observent des spécimens autour de leur habitation. Les spécialistes espèrent ainsi sauver certaines colonies.

http://tvanouvelles.ca/