La connaissance


On donne les outils, on peut guider, mais en bout de ligne chacun fait ses propres choix. Certains préfèrent rester dans leur ignorance et apporter des jugements erronés, alors que d’autres préfère la connaissance avant tout
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La connaissance

 

« On ne peut rien apprendre aux gens. On peut seulement les aider à découvrir qu’ils possèdent déjà en eux tout ce qui est à apprendre. « 

Galilée

Un skateboardeur pro se rend dans un skatepark déguisé en vieux


Superbe ! Un déguisement et l’allure générale qui tromperait n’importe qui !
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Un skateboardeur  pro se rend dans un skatepark déguisé en vieux

 

 

Danny León, skateboardeur pro espagnol de 21 ans, s’est rendu dans un skateboard déguisé en vieux de 80 ans.

Les jeunes skateurs présents ne vont pas en revenir de voir un vieux faire mieux qu’eux !

Une expérience réalisée pour l’émission El Hormiguero diffusée sur la chaine espagnole Antena 3.

http://www.insoliteqc.com/

Le Saviez-Vous ► L’origine de cette tradition de croiser les doigts ?


Croisés les doigts fut d’abord un symbole, un signe distinctif et plus tard la superstition pour souhaiter la chance
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L’origine de cette tradition de croiser les doigts ?

    On distinguera l’origine religieuse de l’origine païenne :

  • Le croisement des doigts trouve son origine au temps des premiers chrétiens qui, étant persécutés, se cachaient. En signe de reconnaissance, ils se croisaient les doigts. Ce n’est que plus tard, dans l’Angleterre du Moyen Âge que la connotation anti-malheur des doigts croisés fait son apparition. La croix du Christ contre le mauvais œil en quelque sorte…

  • Quand une personne souhaitait que son ami réussisse, il mettait son index sous celui de son copain, formant alors une croix de leurs doigts. En effet, dans l’imaginaire des païens la croix représente l’union parfaite et le bien. Le symbole portait chance.

http://omnilogie.fr/

Zoo Miller en Beauce Un grand-duc reprend sa liberté


Voilà  enfin, un zoo qui mérite d’être félicité. Les propriétaires aimes mieux laisser des animaux en liberté s’ils sont en santé et aptes à survivre
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Zoo Miller en Beauce

Un grand-duc reprend sa liberté

 

Il y a des animaux qui ne peuvent tout simplement pas vivre en cage. C’est le cas d’un grand-duc du Miller Zoo, en Beauce.

L’oiseau de proie, prénommé Ombre, qui avait été acheté il y a un mois dans un zoo ontarien qui fermait ses portes, a été remis en liberté sous l’oeil émotif des propriétaires du zoo, Émile Ferland et Clifford Miller.

(Crédit photo: Capture d’écran TVA Nouvelles)

«Lui, quand il est arrivé, après l’avoir vu aller quelques fois, on s’est dit: il est parfaite santé pour retourner dans la nature, cet animal-là, (…) bien, on va lui redonner sa liberté, il est capable de la prendre», a dit Émilie Ferland.

Émilie Ferland (Crédit photo: Capture d’écran TVA Nouvelles)

Les propriétaires expliquent qu’ils auraient pu construire une très grande volière, mais que malgré tout, l’oiseau n’aurait pas pu être parfaitement heureux.

«Quand on le libère en pleine nature, il est à son plein potentiel», a lancé Clifford Miller.

Clifford Miller (Crédit photo: Capture d’écran TVA Nouvelles)

De ses grands yeux, Ombre a longuement observé les alentours avant de s’envoler pour se percher dans le haut d’un arbre, comme pour saluer une dernière fois ses maîtres.

(Crédit photo: Capture d’écran TVA Nouvelles)

Centre de réhabilitation

On trouve au Miller zoo, une centaine d’animaux dans leur milieu naturel. L’endroit se veut aussi un centre de réhabilitation pour les animaux sauvages.

L’an dernier, 35 ratons laveurs ont été remis en liberté.

«Moi, je trouve ça très, très bien. On vient de Québec, il fallait que je vienne ici pour voir ce que ça disait. Agréablement, on a pris une heure à faire le tour», a lancé une touriste.

http://tvanouvelles.ca/

La lumière naturelle pour éviter la myopie


Pendant l’enfance, la lumière naturelle est importante pour l’oeil, il pourrait éviter peut-être la myopie pendant son adolescence
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La lumière naturelle pour éviter la myopie

 

 

La croissance de l’œil, qui se poursuit jusqu’à l’adolescence, est régulée par la quantité de lumière naturelle que la rétine perçoit chaque jour. © ISOPIX/SIPA

La croissance de l’œil, qui se poursuit jusqu’à l’adolescence, est régulée par la quantité de lumière naturelle que la rétine perçoit chaque jour. © ISOPIX/SIPA

La hausse des cas de myopie chez les adolescents asiatiques s’expliquerait par une exposition insuffisante à la lumière du jour qui finit par déformer l’œil.

Comment expliquer la brutale augmentation du nombre d’adolescents myopes en Asie ? Le mode de vie urbain et la pression des études, qui forcent l’œil à toujours accommoder une vision de près, ne suffisent pas à expliquer le phénomène. Des chercheurs chinois et canadiens révèlent en effet qu’une exposition insuffisante à la lumière naturelle pourrait en être responsable.

Ils ont placé sous lumière naturelle, durant les premiers mois de leur vie, des macaques portant des verres déformants (pour mimer les contraintes subies par l’œil chez l’enfant), et ont constaté qu’ils ne devenaient pas myopes à l’adolescence contrairement à ceux qui étaient exposés à la lumière artificielle. Cela confirme que la croissance de l’œil, qui se poursuit jusqu’à l’adolescence, est régulée par la quantité de lumière naturelle que la rétine perçoit chaque jour. Quand cette lumière fait défaut, l’œil finit par se déformer, ce qui conduit à la myopie.

© B. Lafon – source : I. Morgan, Australian National University

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Des cargos tractés par cerf-volant


Peut-être d’ici 4 ans, nous verrons sur la mer d’immense cerfs-volants hisser du haut des paquebots, cargos. Pourquoi ? Pour économiser du carburant et diminuer l’impact du CO2
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Des cargos tractés par cerf-volant

 

En ajoutant un cerf-volant de 320 m2 à un... (ILLUSTRATION AFP/BEYOND THE SEA)

En ajoutant un cerf-volant de 320 m2 à un navire de 200 m de long, l’économie en carburant est d’environ 25 % sur une traversée de l’Atlantique avec des vents favorables, soit 134 tonnes de CO2, explique à l’AFP Yves Parlier.

ILLUSTRATION AFP/BEYOND THE SEA

SANDRA FERRER

Un porte-conteneurs géant tracté par… un cerf-volant : c’est le pari un peu fou du navigateur français Yves Parlier qui espère d’ici quatre ans équiper les navires de grande plaisance et de pêche, mais aussi les cargos, d’ailes inspirées du kitesurf pour une planète plus verte.

Ce navigateur détient l’un des plus beaux palmarès de la voile française. Son idée baptisée Beyond The Sea s’inscrit dans le cadre de projets innovants développés depuis dix ans en France au service de l’économie bleue.

En ajoutant un cerf-volant de 320 m2 à un navire de 200 m de long, l’économie en carburant est d’environ 25 % sur une traversée de l’Atlantique avec des vents favorables, soit 134 tonnes de CO2, explique à l’AFP Yves Parlier.

Des experts de l’ONU estiment quant à eux à 20 % la réduction possible de la consommation des navires grâce à une traction complémentaire par cerf-volant. Et quand on sait que 90 % du transport de marchandises mondial se fait par voie maritime, le calcul est vite fait en termes de réduction d’émissions de CO2.

«Le transport maritime, c’est 50 % de la consommation d’hydrocarbures au monde et 13 % des émissions de gaz à effet de serre», note Yves Parlier, selon qui «utiliser un appoint avec le vent aurait un impact assez considérable».

Une aile de 200 m2

Pour son projet, qui s’inscrit dans un programme visant à créer des navires propres, sûrs et plus économes, le navigateur a bénéficié d’une aide de 4,4 millions d’euros (plus de 6 millions de dollars) pour un budget estimé à 15 millions d’euros (près de 21 millions de dollars) sur quatre ans.

Ce projet lancé en septembre 2014 et testé sur un chalutier de 90 tonnes vise à concevoir d’ici quatre ans une aile de 200 m2 pour tracter des navires de 18 à 60 mètres, essentiellement des navires de pêche ou de grande plaisance, avant la conception d’un cerf-volant de 800 m2 destiné aux cargos.

Parmi les partenaires du navigateur français figurent le centre de recherche d’une école d’ingénieurs, ENSTA Bretagne, et l’armateur CMA-CGM, numéro trois mondial du transport maritime par conteneur. Ce groupe compte mettre à disposition un cargo sur une ligne régulière pour tester le dispositif.

«Ce n’est pas un projet gagné d’avance, il y a des difficultés à lever, c’est pour ça qu’on a lancé des programmes de recherche», analyse Kostia Roncin, enseignant-chercheur à l’ENSTA Bretagne.

Mais «en termes de stabilité des navires, il y a un gain considérable par rapport aux autres systèmes de propulsion aérodynamiques», souligne ce spécialiste en hydrodynamique navale.

Parmi les autres systèmes de propulsion éoliens étudiés dans le monde, on compte celui consistant à équiper des cargos d’ailes rigides rétractables, ainsi que la technique dite des «rotors Flettner» (de hauts cylindres animés d’un mouvement de rotation), connue depuis près d’un siècle, mais qui n’a jamais abouti à grande échelle.

Avantages du cerf-volant : son faible encombrement, son adaptabilité à n’importe quel type de bateau et le fait que le lancement, le pilotage et la récupération devraient être entièrement automatisés.

Des avantages mis en avant également par la société allemande SkySails, qui a déjà équipé quatre cargos de ce type d’ailes, les premiers et seuls à l’avoir été jusqu’à présent dans le monde, selon elle.

«Dans de bonnes conditions de vent, le système permet d’économiser jusqu’à 10 tonnes de fioul par jour», explique à l’AFP Stephan Wrage, directeur de cette entreprise. «Soit plus de 5000 $ et plus de 30 tonnes d’émissions de CO2».

http://www.lapresse.ca/

Comment apaiser un chien quand l’orage éclate ?


Les chiens aussi peuvent avoir peur des orages, mais il est possible de diminuer la peur si les maîtres apposent les bons gestes
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Comment apaiser un chien quand l’orage éclate ?

 

Mon chien a peur © Eyrolles

Mon chien a peur © Eyrolles

Par Grégory Ruffin

L’orage peut terroriser même le plus imposant des molosses. Voici quelques conseils pour calmer votre chien et l’aider à surmonter ses angoisses.

 

AFFOLÉ. Les gaulois n’avaient, paraît-il, peur que d’une chose : que le ciel leur tombe sur la tête. Sans doute y avait-il quelques autres phobies répandues à l’époque de nos ancêtres et c’est également le cas pour les chiens d’aujourd’hui. Peur des voitures, des autres chiens ou des étrangers…Vous avez probablement déjà identifié les événements et situations qui plongent votre animal dans la détresse ou l’agressivité. Sa vie peut être fortement perturbée par ses réactions de peur. Reste à comprendre ces situations par une approche globale et à se mettre en quelque sorte à sa place pour comprendre comment il va interpréter vos actions (gestes, paroles ou autres). Le but étant de stabiliser les émotions du chien sur le long terme en déchiffrant le langage canin et au final construire une relation harmonieuse entre l’animal et son maître basée sur une communication efficace. Les vétérinaires comportementalistes Édith Beaumont-Graff et Nicolas Massal apportent leur expérience et leurs conseils sur la manière de gérer l’anxiété de Médor dans Mon chien a peur dans la collection Mon veto de poche aux éditions Eyrolles.

La peur, une menace insidieuse

La peur de l’orage peut se manifester à tout âge et est accentuée par la combinaison de deux facteurs. D’une part, les stimuli sont anormalement forts (bruit, vibrations, lumière). D’autre part, il se trouve dans une situation fermée puisqu’il se retrouve dans l’incapacité à s’y soustraire. C’est une impasse qui amplifie le mal-être du chien, qui va par ailleurs alimenter sa propre peur par la suite en anticipant l’arrivée d’un événement traumatisant, si des signes qu’il avait identifiés en amont ou au cours de l’orage surviennent à nouveau. L’accumulation de ses souvenirs et de ses réactions préventives peut progressivement amener le chien à se surprotéger à la moindre alerte. Un coup de vent, un moteur trop bruyant ou encore une pression atmosphérique élevée et c’est la panique.

Comment réagir ?

Le principe à toujours garder en tête, c’est éviter d’alimenter l’anxiété de l’animal et bien sûr de ne pas lui transmettre ses propres peurs.

L’enfermer ?… Ça peut marcher ! L’idée est d’offrir une cachette (salle de bains, buanderie) à l’abri des sons et de la lumière. D’instinct, le chien cherche d’ailleurs à se réfugier sous un meuble ou un escalier.

Ordonnez et contrôlez. Le chien se sent en sécurité avec un maître sûr de lui. En recevant des ordres simples connus, il revient dans un contexte familier et apaisant.

Autorisez le contact avec vous. Il se rapproche du groupe protecteur que vous incarnez en cas de danger. Mais il ne faut pas le caresser et le câliner.

Limitez vos propres émotions. La peur est communicative, il faut lui montrer que vous maîtrisez la situation. Ne pas s’énerver ou crier non plus. Cela ajouterait à son incompréhension et donc son malaise.

En revanche, il convient de ne pas tenter des gestes et paroles d’apaisement : c’est un chien pas un enfant. Il interprète ces comportements comme un appel à l’aide alors que c’est au maître de soulager son compagnon.

La punition est également à proscrire. Elle est la réponse lorsque l’animal a commis une faute alors que nous sommes en présence d’un événement extérieur.

Enfin, forcer le chien à rentrer dans une pièce ou à l’inverse l’empêcher d’aller se réfugier le bloque face à une situation qui lui fait peur, c’est tout à incompréhensible pour lui et contre-productif. 

Si rien ne marche, que le chien est incapable de surmonter ses émotions et sa peur face à l’orage et que le message ne passe pas car trop difficile à décrypter, une aide extérieure est requise. Il ne faut pas tarder à réagir car plus le mal est ancien et ancré, plus il est long et délicat à effacer. Des actions préventives sont également à mener chez les animaux les plus jeunes notamment.

D’autres situations et les conseils sur l’attitude à adopter sont présentés dans l’ouvrage Mon chien a peur : « la peur en cas d’absence », « la relation aux enfants », « la confiance du chiot », « la rencontre avec les autres chiens », « la peur de sortir ».

http://www.sciencesetavenir.fr/

Les enfants de parents cousins sont désavantagés


Cela fait longtemps que l’on sait que la consanguinité peuvent causer des malformations congénitales, cependant, on sait aujourd’hui, que ces mariages cousin, cousine, a une incidence sur la grandeur et sur l’intelligence
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Les enfants de parents cousins sont désavantagés

 

Les enfants d'un couple cousin-cousine sont plus petits... (Photo Thinkstock)

Les enfants d’un couple cousin-cousine sont plus petits et moins intelligents, selon une nouvelle étude.

PHOTO THINKSTOCK

MATHIEU PERREAULT
La Presse

Les enfants d’un couple cousin-cousine sont plus petits et moins intelligents, selon une nouvelle étude publiée dans la revue Nature. Pour des cousins germains ayant un enfant ensemble, cela équivaut à 1,2 centimètre de moins et l’équivalent cognitif de 10 mois de moins de scolarité.

«Les études sur l’impact de la consanguinité sont généralement généalogiques plutôt que génétiques», explique l’auteur principal de l’étude, Jim Wilson, de l’Université d’Édimbourg, en Écosse, qui a travaillé en collaboration avec 300 autres chercheurs de 200 institutions, dont l’Université Laval. «Nous avons combiné des bases de données totalisant 350 000 personnes pour mesurer l’impact de « l’homozygocité », qui augmente avec la consanguinité. À notre grande surprise, on voit que l’impact est notable même s’il n’y a pas de tradition de mariages consanguins dans une société.»

Un gène humain est composé de deux allèles. Si ces deux allèles sont identiques, le gène est homozygote. Certaines maladies rares, appelées récessives, apparaissent seulement avec des gènes homozygotes.

Cultures

Au Royaume-Uni, la consanguinité intéresse de plus en plus les chercheurs parce que certaines cultures du Sud-Est asiatiques favorisent les mariages entre cousins. Ces unions doublent à 2,5% le risque d’anomalies à la naissance, selon plusieurs études.

L’équipe du généticien Wilson a analysé une quinzaine de «traits», dont la taille, les capacités cognitives, la capacité respiratoire, la pression sanguine, l’obésité et certains métabolites associés à des maladies cardiovasculaires, comme le cholestérol. Seule la taille et l’intelligence variaient – négativement – quand augmentait la consanguinité, contrairement aux attentes des chercheurs.

«Cela fait une dizaine d’années que j’étudie l’homozygocité, dit M. Wilson. C’est un domaine sous-étudié. Beaucoup de chercheurs pensaient que le risque de maladie complexe comme les cardiopathies augmenterait. Nous montrons que ce n’est pas le cas. Nous allons maintenant nous pencher sur d’autres traits, comme la capacité rénale et la reproduction. Nous allons aussi essayer de voir où, dans le génome, agit la consanguinité pour affecter la taille et les capacités cognitives.».

Nous allons maintenant nous pencher sur d’autres traits, comme la capacité rénale et la reproduction. Nous allons aussi essayer de voir où, dans le génome, agit la consanguinité pour affecter la taille et les capacités cognitives.»

Marc Tremblay, démographe de l’Université du Québec à Chicoutimi qui a fait des études sur la consanguinité au Québec, estime que le cas des cousins germains donné en exemple par l’étude est «extrême». «Au Québec, on parle plutôt de consanguinité éloignée, dit M. Tremblay. Les mariages entre cousins étaient moins fréquents qu’en Italie ou en Espagne, par exemple.»

Sept fois plus : coefficient de consanguinité dans la région québécoise la plus consanguine, les Îles-de-la-Madeleine, par rapport à la région la moins consanguine, l’Outaouais.

Source: UQAC, Annales de démographie historique

http://www.lapresse.ca/