Parole d’enfant ► Ah les mots


Les enfants ont cette particularité de trouver les mots en les combinant avec ce qu’ils connaissent pour désigner ce qu’ils voient même s’ils ignorent le nom exact
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Ah les mots

 

 

Ne connaissant pas le terme exact pour désigner un ours polaire, elle parle d’un Ours déguisé en neige !

Victorine, 3 ans

Le Saviez-Vous ► 10 Des plus grandes inventions des 20 dernières années


Depuis quelques années, notre mode de vie pour le bien et pour le pire a changé du tout au tout. Je pense qu’internet et les téléphones intelligents ont changer vraiment les choses dans l’ouverture du monde virtuel, mais il y a eu aussi d’autres découvertes qui a permis de grandes choses
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10 Des plus grandes inventions des 20 dernières années

Imprimante 3d

par Vanessa Hauguel

L’humanité ne cesse jamais d’accroître ses connaissances, d’inventer et d’innover. Au courant du siècle dernier seulement, l’homme a posé les pieds sur la Lune et maîtrisé l’atome en plus de créer les antibiotiques. Aujourd’hui, nos avancées technologiques et scientifiques se multiplient à un rythme parfois effarant. Depuis 1995, nous avons pu voir d’innombrables découvertes changer notre quotidien à jamais. Voici dix des plus grandes inventions et découvertes des 20 dernières années.

Les téléphones intelligents

Si les téléphones portables nous ont permis d’être facilement joignables, les téléphones intelligents, eux, nous permettent d’être connectés en permanence, au monde tout entier. Plus ordinateurs que téléphones, les smartphones nous donnent accès à un monde d’applications, de logiciels et données ainsi qu’à presque l’entièreté de nos modes de télécommunications; et tout ça dans le creux d’une main.

L’utilisation des cellules souches

Bien que nous connaissions leur existence depuis longtemps, ce n’est qu’à partir de la fin des années 90 que le plein potentiel de ces cellules a réellement été contemplé. Aujourd’hui, de nombreuses recherches et traitements les mettent à profit pour tenter d’aider des patients souffrant du diabète, de cancers, d’Alzheimer, de paralysie, de la maladie de Crohn et bien d’autres.

Le tournant électrique de l’automobile

Si la voiture électrique existe depuis maintenant plus de 100 ans, ce n’est malheureusement que depuis les années 2000 qu’elle prend réellement place sur le marché mondial de l’automobile. Aujourd’hui, de plus en plus de nouveaux modèles hybrides et électriques font leur apparition chaque année tandis que Google lance sa voiture “sans conducteur” et que les routes électrifiées voient le jour.

Le Wi-Fi

Même si l’invention de l’Internet existe depuis plus de vingt ans, son accessibilité sans fil est plutôt récente. En fait, ce n’est qu’en 2003 que le Wi-Fi est apparu tel qu’on le connait aujourd’hui. Maintenant universellement distribué sur les mêmes fréquences et compatible à tous nos appareils électroniques, il est difficile de penser qu’il n’est accessible que depuis 12 ans.

Les imprimantes 3D personnelles

De plus en plus abordables, ces machines ont un potentiel inouï. D’ici peu, les imprimantes 3D changeront notre façon de créer, mais aussi d’acheter. Plus besoin de faire le tour des boutiques quand on peut simplement l’imprimer chez soi…

Le GPS

La technologie derrière le GPS ou Global Positioning System existe puis les années 70, mais sa capacité opérationnelle telle qu’on la connait ne date que de 1995. Ce n’est d’ailleurs qu’à partir de 2000 qu’elle devient accessible au grand public. Ce mode de repérage par satellites est une commodité que l’on prend parfois pour acquis, mais son utilité est incomparable.

L’accélérateur de particules

Mis en fonction en 2008, le grand collisionneur d’hadrons du CERN est le plus grand et puissant des accélérateurs de particules. Grâce à ce gigantesque outil, chercheurs et physiciens en physique subatomique et cosmologie tentent de trouver réponses aux mystères de la création. Récemment, des expériences ont récemment mené à l’identification du Boson de Higgs, une particule qui nous éclaire un peu plus sur la composition de l’univers.

You tube

Parmi les sites Web les plus visités au monde, You tube arrive au premier rang. Créé en 2005, par trois anciens employés de PayPal, ce géant de l’Internet n’est peut-être pas la plus grande avancée technologique des dernières années, mais elle a définitivement changé la façon dont on partage et accédons à l’information.

Les inhibiteurs de protéases

Servant à combattre le VIH, cette classe d’agents antirétroviraux est arrivée sur le marché pharmaceutique en 1995. Bien que la guerre contre le virus du SIDA ne soit pas encore gagnée, l’apparition de ces inhibiteurs a permis d’aider d’innombrables victimes de cette maladie.

Le projet génome humain

Rien n’en dit plus sur les bases de l’homme que le génome humain; celui-ci est en fait l’ensemble de l’information génétique que l’on retrouve dans l’ADN. C’est en 2004 qu’on complète finalement la séquence complète;  un travail de longue haleine qui aura duré près de 15 ans. Grâce à cette précieuse feuille de route de notre génétique, des scientifiques ont déjà découverts des gènes responsables de certains cancers.

Évidemment, l’homme continue entre-temps à progresser dans le monde de l’infiniment petit et de l’infiniment grand, les yeux rivés sur l’espace, mais aussi sur les robots humanoïdes et l’intelligence artificielle, qui soulève pour l’instant bien des questions…

http://www.canald.com/

Quand les plantes font la guerre aux moustiques


On cherche des trucs pour éloigner les moustiques, qui semblent aimer notre odeur surtout quand le corps est en sueur. Il y a les produits chimiques dangereux qu’on ne doit utiliser que par dernier recours, alors il reste les plantes qui ont une bonne odeur, mais que les moustiques piqueurs n’aiment pas du tout
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Quand les plantes font la guerre aux moustiques

citronnelle

Hôtes importuns des soirées de plein air, les moustiques sont sensibles aux effluves de certaines plantes dites répulsives. Citronnelle, basilic, géranium, lavande et bien d’autres sont vos principales alliées. Voici comment les reconnaître et les utiliser.

Les moustiques ont vraiment très mauvais goût. Autant ils sont attirés par certaines substances peu ragoûtantes émises par notre peau (sueur, acide lactique, CO2…), autant ils rechignent à s’approcher d’un délicieux halo frais et citronné. C’est ainsi que, depuis toujours, les hommes se frottent le corps ou brûlent des feuilles de plantes aux vertus insectifuges.

Cette protection, tout ce qu’il y a de plus naturel, n’est cependant pas totale. Utilisé depuis les années 1950, le DEET (de son vrai nom: N, N-diéthyl-3-méthylbenzamidene) reste le répulsif de référence, en particulier si vous êtes amené à voyager dans des zones où ces suceurs de sang sont porteurs de maladies graves, voire mortelles comme le paludisme (ou malaria), la dengue ou le chikungunya. Mais, sous nos latitudes, il serait dommage de se priver du coup de pouce offert par les plantes anti-moustiques.

Le citronellol et le géraniol sont deux substances au pouvoir répulsif prouvé. On les trouve notamment dans le feuillage de la citronnelle (Cymbopogon citratus) et de certains géraniums, comme le géranium rosat (Pelargonium graveolens), qu’il est facile de faire pousser sur son balcon ou autour de son salon de jardin.

Abominables piqueurs

Même chose avec la cataire (Nepeta cataria), une plante aromatique de la famille de la menthe et par ailleurs très appréciée des chats (on la surnomme l’herbe aux chats). Des tests in vitro réalisés par des chercheurs américains ont prouvé que le nepetalactone, substance excitante pour les félins, est encore plus efficace que le DEET pour repousser les moustiques.

Le lantana (Lantana camara), arbuste proche de la verveine, aux adorables inflorescences panachées rose, jaune et orange, est utilisé lui aussi comme plante insectifuge. Sans oublier le tagète des décombres (Tagetes minuta), cousin sauvage de l’œillet d’Inde. Ses puissantes effluvespomme et de citronnelle éloignent les abominables piqueurs si on en met des branches entières à sécher chez soi.

Rien de plus simple également que de placer un pot de basilic sur le rebord de la fenêtre ou un bouquet delavande (Lavandula angustifolia) qui, en plus, embaumera la maison. Leurs huiles essentielle permettent, en outre, de soulager les piqûres. Les fleurs de millepertuis ou de souci (Calendula officinalis) préalablement macérées dans de l’huile d’olive, de noisette ou de sésame ont également un pouvoir apaisant. Et, si vous êtes en promenade, sachez que le plantain (Plantago lanceolata, major, ou coronopus) que l’on trouve fréquemment sur les bords des chemins, sécrète un jus très efficace pour soulager les irritations de la peau.

Puissant insecticide

Un peu plus loin sur la mappemonde, d’autres végétaux utilisés comme épouvantails à moustiques ont de quoi nous surprendre. Alors que les Américains achètent volontiers sur Internet des ballotins de feuilles de sauges échées pour les jeter dans leurs barbecues (alors que leur efficacité n’est pas prouvée…), les Indiens brûlent depuis toujours, et avec plus de succès, les feuilles du margousier ou neem (Azadirachta indica). L’huile extraite des graines de cet arbuste est en effet un puissant insecticide, employé en agriculture en Europe, au Canada et aux États-Unis (mais non encore homologué en France).

L’arbre à thé (Melaleuca alternifolia), d’origine australienne, est à l’origine du tea-tree oil, une huile essentielle qui déplaît fortement aux moustiques. Quant à l’eucalyptus citronné (Corymbia citriodora), on s’est aperçu que le résidu de la distillation, un composé appelé PMD (p-menthane-3,8-diol), est un répulsif à insectes encore plus efficace que son huile essentielle. Aussi puissant que le DEET mais d’origine naturelle, il est enregistré sous la marque Citriodiol et rentre dans la composition de plusieurs produits anti-moustiques.

Enfin, si vous tombez sur des moustiques particulièrement teigneux ou à l’odorat défaillant, il ne vous restera plus qu’à suivre le conseil ultime du Ministère australien de la santé:

«If all else fails, keep running!». Autrement dit: courez!

http://www.lefigaro.fr/

Une fillette tuée par un esturgeon sauteur


C’est surprenant, et vraiment affreux pour cette famille de perdre un enfant de cette manière. Il semble que des cas de blessures ont été plusieurs fois rapportés depuis quelque temps causé par un esturgeon sauteur
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Une fillette tuée par un esturgeon sauteur

 

Une fillette tuée par un esturgeon sauteur

Tanya Faye et Jayln Rippy, la petite de 5 ans. Photo Gofundme

Une fillette âgée de 5 ans, Jaylon Rippy, a été tuée par un esturgeon sauteur jeudi, sur le fleuve Suwannee, a fait savoir la Commission de la conservation de la faune et des pêcheries de la Floride.

Son frère âgé de 9 ans ainsi que sa mère, âgée de 31 ans, ont été blessés et devront subir une chirurgie au visage, a rapporté 10News.

C’est la première fois qu’un décès est constaté sur le fleuve Suwannee à cause d’un esturgeon.

Le lendemain, deux autres personnes ont été blessées par un esturgeon sauteur sur la rivière Santa Fe.

Le mois dernier, un adolescent âgé de 14 ans a été assommé par un esturgeon alors qu’il se trouvait dans un bateau de plaisance sur cette rivière avec sa famille, selon CBS News.

La Commission de la conservation de la faune a invité les plaisanciers à enfiler leur veste de sauvetage et à ne pas se tenir à l’avant de l’embarcation.

«Avec la baisse du niveau de l’eau, l’esturgeon saute beaucoup plus souvent qu’au cours des dernières années, a-t-on indiqué. Nous voulons que tous ceux qui naviguent sur le fleuve Suwannee et la rivière Santa Fe soient conscients que l’esturgeon saute et que des gens ont été blessés».

L’esturgeon est un poisson qui est muni de grandes plaques dures tout le long de son dos. Il peut mesurer 8 pieds (2,4 mètres) et peser jusqu’à 200 livres (90 kg).

http://fr.canoe.ca/

Des photos de famille intactes repêchées du fond d’un lac après six ans


Qui aurait cru qu’une carte mémoire peut être aussi résistante pour avoir survécu sans dommage à 6 ans dans l’eau
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Des photos de famille intactes repêchées du fond d’un lac après six ans

 

Sharon Bajer, son mari et son fils de six mois dans une photo de 2009. Jusqu'à la semaine dernière, cette photo était perdue au fond du lac Harmon, en Ontario, pendant six ans

Sharon Bajer, son mari et son fils de six mois dans une photo de 2009. Jusqu’à la semaine dernière, cette photo était perdue au fond du lac Harmon, en Ontario, pendant six ans Photo :  La famille Bajer

Une famille winnipégoise retrouvera bientôt des centaines de photos de famille qu’elle a longtemps cru perdues au fond d’un lac dans le nord de l’Ontario.

À l’été 2009, la fille de Sharon Bajer a perdu l’appareil photo de sa mère lorsqu’elle était en excursion en canot. L’appareil photo contenait des photos de son nouveau fils, ainsi que des photos de beaux moments passés en famille et entre amis.

La semaine dernière, un groupe de pêcheurs sur le lac Harmon, situé à 185 kilomètres au nord de Thunder Bay, ont retrouvé un appareil photo détruit dont la carte mémoire était toujours intacte.

Les hommes ont partagé sur Facebook trois des 317 photos trouvées sur la carte mémoire, espérant qu’en partageant les photos le plus possible, quelqu’un reconnaîtrait enfin les sujets des images.

La publication Facebook a été partagée 864 fois avant qu’une amie de Sharon Bajer ne reconnaisse la famille figurant sur une des photos.

« Ma première réaction était que c’était impossible, que je n’avais jamais perdu d’appareil photo », raconte-t-elle.

Pourtant lorsqu’elle a vu une photo d’elle avec son mari et son nouveau-né, ainsi qu’une photo que son mari a prise de l’acteur Ben Elton et du compositeur de comédie musicale Andrew Lloyd Webber au printemps 2009, elle en était convaincue.

« Je me suis dit qu’il n’existe aucune autre explication. Ce sont nos photos, et elles ont survécu six ans au fond d’un lac. » Sharon Bajer

Jusqu’à présent, Sharon Bajer n’a reçu que les trois photos partagées sur Facebook. Elle communique avec les pêcheurs afin de trouver la méthode la plus sûre de recevoir les photos et la carte mémoire.

http://ici.radio-canada.ca/

Virus du Nil et maladie de Lyme: attention aux moustiques et aux tiques


Je pense que l’été commence a montrer qu’il peut devenir très, très chaud, c’est une saison pour profiter de toutes activités extérieures, malheureusement, des malvenus peuvent venir tout gâcher. Les moustiques et les tiques ! Déjà, qu’ils sont dérangeants et qu’en plus qu’ils peuvent nous infecter
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Virus du Nil et maladie de Lyme: attention aux moustiques et aux tiques

 

La maladie de Lyme est transmise par la... (Photo archives La Voix de l'est)

La maladie de Lyme est transmise par la piqûre d’une tique.

PHOTO ARCHIVES LA VOIX DE L’EST

La Presse Canadienne

Maintenant que la «belle saison» semble s’être installée au Québec, le ministère de la Santé incite fortement la population à bien se protéger des piqûres de moustiques ou de tiques, porteurs potentiels du virus du Nil occidental ou de la bactérie responsable de la maladie de Lyme.

Alors que le virus du Nil a fait moins de victimes ces dernières années, les cas de maladie de Lyme sont en hausse.

Les symptômes du virus du Nil peuvent aller de simples maux de tête ou d’éruptions cutanées jusqu’à des problèmes graves affectant le système nerveux central pour les personnes dont le système immunitaire est déjà affaibli.

Quant aux personnes souffrant de la maladie de Lyme, elles ont des douleurs musculaires, éprouvent de la fatigue, développent souvent une rougeur en forme de cible autour du site de la piqûre et peuvent développer à terme des problèmes arthritiques, neurologiques et même mourir.

Les moustiques pouvant être infectés par le virus du Nil se trouvent surtout en zones urbaines, notamment dans le sud-ouest du Québec. Quant aux tiques responsables de la maladie de Lyme, elles sont surtout présentes dans les forêts, les boisés et les hautes herbes, dans le sud de la province.

Pour se protéger, il faut notamment utiliser des chasse-moustiques, porter des vêtements longs et se couvrir le mieux possible.

http://www.lapresse.ca/

Chats fous de faune


J’aime les chats, mais il faut avouer qu’ils sont des prédateurs redoutables. Certains maîtres gardent leur chat à la maison alors que je n’aime pas l’idée qu’un animal ne puisse sortir. Heureusement, Fripouille n’attrape quelques insectes et pas autre chose. En tout cas, comme c’est dans leur nature de chasser et qui peut être même un atout précieux contre les maladies transmis par les souris ou les rats, je crois que la meilleure option serait de ne pas abandonner son animal et qu’il soit stérilisé
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Chats fous de faune

 

Brite Pauchet,

(Agence Science-Presse) Les chats sont de fabuleux prédateurs. Pas juste les gros félins comme les tigres et les lionnes. Non non non ! votre chat aussi. Aux États-Unis, nos chers minous extermineraient chaque année pas moins de 2,4 milliards d’oiseaux et 12,3 milliards de petits mammifères. Si on se rapporte à la population féline du pays : 95,6 millions de chats domestiques et 80 millions de chats retournés à l’état sauvage, cela fait quand même une moyenne de 13 petits mammifères et 70 oiseaux par Gros Minet. Titi n’a qu’à bien se tenir.

Bref, le chat domestique représente un danger certain pour la vie sauvage et la biodiversité dans les lieux qu’il fréquente. D’où la question de chercheurs anglais : comment les propriétaires perçoivent-ils la dangerosité de leurs adorables compagnons et quelles mesures seraient-ils prêts à prendre afin de réduire la pression de prédation de nos tigres de salon.

Je vous le dis tout de suite : la perception a ses raisons que la raison ignore.

Tout d’abord, les faits : 3/4 des chats rapportaient des proies à leur propriétaire. Les plus actifs étaient les jeunes adultes, ceux qui vivaient le plus proches des terres agricoles et, bien évidemment, ceux qui passaient le plus de temps dehors.

Ensuite, l’avis des propriétaires. Les chercheurs leur ont demandé d’évaluer les prises de leur chat chéri puis, pendant 4 mois, de comptabiliser le nombre et le type de proies ramenées à la maison. À la suite de quoi, ils leur ont posé cinq questions sur le risque que posent les chats sur la vie sauvage et les mesures à prendre pour limiter ce risque.

Quarante pour cent des répondants jugent que les chats domestiques posent un danger pour la faune sauvage mais seulement 27 % considèrent qu’il s’agit d’un « sérieux problème ». Et, alors que 39 % d’entre eux accepteraient de garder leur monstre à l’intérieur du coucher au lever du soleil, personne, mais alors là personne (2 %), ne tolérait de restriction complète à la liberté de la pauvre bête. Comprenez, quoi ! C’est un chat, après tout.

Hum !

En Nouvelle-Zélande, une initiative privée réclamait récemment la séquestration de tous les chats de l’île à l’intérieur des maisons afin de sauver les espèces animales locales. Pour rappel, jusqu’à l’arrivée de l’homme dans cet archipel, il n’y avait aucun mammifère en dehors de 2 espèces de chauves-souris. Chats (et chiens) représentent donc une grande menace pour les kiwis, tuataras et autres kakapos (je recommande les vidéos du lien).

Bon… le point positif : 62 % des répondants approuvaient la stérilisation des animaux. Encore bien, parce que les chats, ça se reproduit comme des lapins. Vous mettez un monsieur et une madame ensemble et 4 ans plus tard, vous avez… 20 736 petits chatons. Vous êtes contents, hein ?

* * *

Source : Jennifer L. McDonald, Mairead Maclean, Matthew R. Evans et Dave J. Hodgson. Reconciling actual and perceived rates of predation by domestic cats. 2015. Ecology and Evolution. doi : 10.1002/ece3.1553

http://www.sciencepresse.qc.ca/

Vos crèmes solaires nuisent à la santé des poissons


On ne s’en sort pas, si on met de la crème solaire à la baignade à la plage, on nuit aux phytoplanctons qui nourrissent les poissons et sans crème solaire, c’est un risque de coup de soleil. En attendant que les crèmes solaires trouvent une solution, il faudrait trouver des compromis pour protéger la faune marine
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Vos crèmes solaires nuisent à la santé des poissons

 

Crédit : Caitlin tea price

La protection solaire que vous étalez sur votre peau n’y reste pas. Jusqu’à 6 000 t de crème partent chaque année dans les eaux côtières. C’est une mauvaise nouvelle pour les nageurs, qui ne sont plus protégés des UV, mais aussi pour les poissons, selon un rapport du Conseil supérieur de la recherche scientifique espagnol.

Quand les nanoparticules de dioxyde de titane, l’un des principaux ingrédients des écrans solaires, sont en contact avec l’eau et le soleil, elles produisent de l’eau oxygénée. C’est fatal au phytoplancton qui nourrit les poissons et, par conséquent, au reste de la chaîne alimentaire.

Les scientifiques n’encouragent pas les baigneurs à utiliser moins de crème solaire. La solution serait que les fabricants créent des substituts respectueux de l’environnement, avance Cinzia Corinaldesi, spécialiste en écologie marine. Depuis plus d’une décennie, les marques de cosmétiques sont à la recherche d’une nouvelle formule chimique qui ne serait pas nocive pour la faune aquatique.

Par Daniel Stone

http://www.nationalgeographic.fr/