Les enfants sont les meilleurs pour une communication simple et sans détour ! Ce petit homme est en grande conversation avec son chien qui docilement l’écoute
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En grande conversation
Les enfants sont les meilleurs pour une communication simple et sans détour ! Ce petit homme est en grande conversation avec son chien qui docilement l’écoute
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Qui ne connaît pas Tintin et son fidèle compagnon Milou ? L’auteur a dessiné Tintin dans une bande-dessiné que l’histoire se passait à Moscou
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Le Petit Vingtième – 15 mai 1930
Par Marie-Lyse Paquin
C’est le 10 janvier 1929 qu’est né le célèbre reporter Tintin dans un supplément hebdomadaire d’un journal belge catholique et conservateur, le Petit Vingtième.
Son créateur, Georges Rémi (qui signera plus tard Hergé) alors âgé de 21 ans avait reçu une commande de créer un héros en reportage en URSS. Puisqu’il avait peu de temps de faire des recherches sur la Russie, Hergé s’est largement inspiré du pamphlet Moscou sans voiles d’un ancien consul belge en URSS, Joseph Douillet, qui critiquait ouvertement le régime communiste.
Faits intéressants : Hergé qui avait été chez les Scouts pendant sa jeunesse a dessiné le premier Tintin en cinq minutes en s’inspirant notamment de Totor, un chef scout qu’il avait dessiné en 1926 pour la revue Le Boy-Scout belge. Il l’a habillé de pantalons de golf puisqu’il aimait lui même en porter. Quant à son fidèle compagnon Milou, il tire son nom d’une ancienne petite amie : Marie-Louise Van Cutsem, surnommée Milou. Le capitaine Haddock n’apparaît que dans la 9ème aventure de Tintin, Le Crabe aux Pinces d’Or.
Hergé qui avait l’habitude de se documenter beaucoup plus en profondeur pour ses prochaines aventures, considérait ce premier Tintin au pays des Soviets comme une erreur de jeunesse et n’a jamais voulu le redessiner en couleur. L’album a été réédité par les éditions Casterman en 1973. Plus de 80 ans après sa naissance, Tintin a vendu plus de 230 millions d’exemplaires et fut traduit en 80 langues.
Une maladie de peau qu’on voit de temps à autre chez les humains, mais très rarement chez un animal. Un chat noir à sa naissance est devenu marbré à cause de cette maladie
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Le vieux Scrappy est atteint d’une maladie de l’épiderme qui dépigmente ses poils. ©Scrappy / Facebook
Par Morgane Kergoat
La couleur noire mouchetée de blanc de Scrappy est exceptionnelle : ce vieux chat est atteint d’une maladie de la peau bien connue chez les humains, mais très rare chez les chats.
COULEUR. Avec sa robe noire et blanche, le vieux Scrappy est un chat exceptionnel. Car, au lieu d’être bien réparties en zones distinctes, les deux couleurs sont parfois mêlées, comme le roux et le noir chez les femelles « écaille de tortue » ou « torty ». Mieux, d’après ses propriétaires, Scrappy – aujourd’hui âgé de 18 ans – était tout noir à la naissance. Les taches blanches sont apparues il y a quelques années et se sont progressivement répandues sur sa fourrure, jusqu’au (joli) résultat actuel.
Scrappy est couvert de taches blanches jusqu’au bout de pattes ©Scrappy / Facebook
Une maladie de peau
La couleur exceptionnelle de Scrappy est en réalité le symptôme visible d’une maladie de l’épiderme : le vitiligo. Relativement fréquente chez les humains, elle se manifeste par une dépigmentation partielle de la peau (d’où l’apparition de « plaques blanches »). Dans ces zones de l’épiderme, les cellules qui fabriquent le pigment brun de la peau (et des poils qui la recouvrent), la mélanine, ont disparu. Les causes de la disparition de ces cellules, appelées mélanocytes, sont méconnues, bien que des facteurs génétiques et environnementaux aient été identifiés. Reste que cette maladie semble très rare chez les animaux.
Avez-vous faim ? Vraiment faim ? Quelques informations culinaires sur la cuisson de viande humaine que de très loin que nos ancêtres ont pratiqués.
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Grâce à des archéologues, on sait comment les cannibales cuisinaient la chair humaine il y a 2.500 ans
Molcajete and tejolote, traditional mortar and pestle of Mexico | Kostasplus via FlickrCC License by
La viande humaine était grillée ou bouillie et, surtout, elle était assaisonnée.
À Tlatelcomila, un site archéologique mésoaméricain situé près de Mexico, des archéologues ont retrouvé des ossements un peu particuliers de 18 hommes, femmes et enfants ayant vécu il y a plus de 2.500 ans. Ces restes semblent indiquer que la chair a été coupée et que les os ont été cassés peu de temps après la mort de ces personnes, signes d’une activité cannibale.
Les responsables de cette découvertes en ont profité pour mener l’enquête sur la façon dont était cuisinée la chair humaine à cette époque. Ils ont publié le fruit de leurs recherches dans la revue Archaeometry.
Le site Forbes, qui rapporte les conclusions de l’étude, explique qu’ils ont dû se servir de différents microscopes et de rayons X pour comprendre ce qu’il était réellement arrivé à ces os, notamment pour expliquer leurs teintes jaune et rouge.
«La grillade et l’ébullition ont été utilisées dans le rituel anthophage mésoaméricain (ou cannibalisme)», ont conclu les chercheurs dans leur article.
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Mais ce n’est pas tout. Les os ont également été frottés avec du cinabre, un pigment de teinte rouge, ce qui explique en partie leur coloration.
Car les taches rouges peuvent aussi être dues aux grillades, lorsque «le jus de viande se concentre autour de l’os et se diffuse légèrement à l’intérieur».
Les teintes jaunes de certains ossements seraient dues quant à elles à une cuisson à basse température et à l’ajout d’ingrédients comme le rocou (un aromate utilisé aujourd’hui comme colorant alimentaire), une sauce piquante ou encore des chilis.
Bien sûr, le cannibalisme n’était pas limité à cette région ou à cette époque en particulier. Mais, comme l’explique Gizmodo, ce coup d’œil dans «le livre de cuisine du cannibale» indique que l’homme était cuisiné comme n’importe quelle autre viande.
Ils disent que c’est un choix, un style de vie, mais comment une femme peut choisir d’être traitée comme un chien dans le sens propre du mot ? Difficile de ne pas faire un jugement devant une telle pratique, je qualifierais d’un trouble du comportement ou de la personnalité, enfin, un truc comme cela
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(Crédit photo: Instagram)
Des photos et une vidéo d’un couple de Staten Island dont l’homme promène sa fiancée en laisse en plein centre d’achats, ont été partagées des milliers de fois sur les réseaux sociaux et ont provoqué de nombreuses réactions.
Rien ne laisse toutefois croire que Nathan Riely, 30 ans, abuse de sa future épouse, bien au contraire! La jeune femme de 21 ans, qui souhaite porter le nom de «Xena, l’animal de compagnie de Nathan», porte le collier de chien de son plein gré, a-t-elle assuré à une journaliste du New York Daily News.
«La laisse et le collier sont les symboles de notre union profonde, a expliqué M. Riely. Le collier, c’est comme une bague pour les autres couples. Ils ont leurs alliances, on a notre collier de chien.»
Une femme s’est fait photographiée avec le couple lorsqu’elle les a croisés dans un centre d’achats. (Crédit photo: gracieuseté Ariel Chambers/New York Daily News)
Lorsque des photos montrant «Xena» marchant à quatre pattes et s’abreuvant à une fontaine extérieure ont vivement fait réagir plusieurs internautes la semaine dernière.
La jeune femme affirme qu’elle et sa tendre moitié n’ont jamais voulu attirer l’attention et qu’il s’agit simplement leur façon d’être.
«C’est un style de vie que j’ai choisi», insiste-t-elle.
Un passant a filmé un moment où «Xena», tenue en laisse par son futur époux. (Crédit photo: capture d’écran vidéo YouTube)
De plus, Nathan Riely a fait savoir qu’il n’abuse pas de sa «Xena» et que les laisses de font pas partie de leur vie sexuelle qu’il qualifie de normale. Adepte de sadomasochisme, il souligne qu’il discute avec sa copine avant d’ajouter une nouvelle pratique sexuelle et que jamais il ne la force à faire quoi que ce soit qu’elle refuse.
Et pour les curieux qui jugent le fait qu’il promène sa future épouse en laisse, l’homme souhaiterait plutôt qu’ils tentent de comprendre.
«Tout le monde peut avoir sa propre façon de penser, ses opinions. Mais si les gens s’arrêtent et nous posent des questions, nous leur répondrons», dit-il.
Xena et Nathan se fréquentent depuis plus de deux mois. Ce dernier a récemment déménagé à Staten Island pour pouvoir vivre avec sa douce et le couple se mariera le 31 octobre 2016.
(Crédit photo: gracieuseté New York Daily News)
La bonté, la gentillesse, l’entraide dont nous sommes témoins font activer des zones de notre cerveau qui pourrait nous inciter à faire une bonne action. Alors entraidons-nous, peut-être qu’on pourra enfin faire un monde meilleur
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Blend Images – Dave and Les Jacobs via Getty Images
Regarder une personne en aider une autre ne laisse jamais indifférent. Cela fait du bien, donne le sourire, fait chaud au cœur. Selon plusieurs études, cela donnerait même envie de se comporter de façon plus altruiste à son tour.
Certains chercheurs ont voulu comprendre cette sensation chaleureuse et cette envie de reproduire l’acte de bonté. Leur étude est parue récemment dans la revueBiological Psychiatry.
Pour ce faire, ils ont mesuré l’activité du cerveau et le rythme cardiaque de 104 étudiants à l’université pendant que ceux-ci regardaient des vidéos. Deux catégories de films leur étaient proposées : des vidéos d’actes de bonté d’une part (par exemple, une personne qui en aide une autre parce qu’elle est blessée ou souffre), des situations humoristiques de l’autre.
L’empathie activée dans le cerveau
Devant les vidéos d’actes de gentillesse, les chercheurs ont pu noter un pic d’activité dans les systèmes nerveux sympathique et parasympathique. Cette combinaison est très peu courante, car l’un des systèmes est lié à une réaction instinctive de vouloir fuir, quand l’autre a à voir avec une réaction auto-apaisante, calmante.
Pour s’assurer que ces deux régions du cerveau n’étaient activées que devant une situation bien particulière, les chercheurs ont montré des vidéos humoristiques aux participants. Les deux systèmes n’ont pas présenté de pic d’activité.
Pourquoi l’activation de ces deux systèmes nerveux est-elle surprenante? Devant un tel acte de compassion on est à la fois témoin d’une souffrance et d’un acte de bienveillance. Ce qui entraîne d’une part une réponse de stress et active le système nerveux sympathique et d’autre part une sensation de soulagement car le système parasympathique s’active.
En quoi cela peut-il expliquer que la bonté est contagieuse? Les chercheurs ont constaté que dans ces cas bien précis où les deux systèmes nerveux sont activés, une autre région du cerveau se met elle aussi en marche : le cortex préfrontal, zone de l’empathie et de la capacité à prévoir les pensées et le comportement des autres.
En d’autres termes, lorsqu’on observe quelqu’un en souffrance se faire aider par une personne, notre cerveau est activé de telle manière qu’on pourrait avoir envie, besoin, de reproduire une bonne action. Reste à savoir quel est exactement le rôle du cortex préfrontal et pour cela il faudra de plus amples recherches.
Depuis le temps qu’ils polluent l’orbite de la Terre, il serait temps d’avoir une idée efficace. Il faut mettre l’engin en essais, espérons que ce ne soit pas un problème qu’on déplace
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La Station spatiale internationale pourrait bientôt avoir des faux airs d’Étoile Noire. Capture d’écran Gentside
La Station spatiale internationale (SSI) aura bientôt des faux airs d’Étoile Noire. Des scientifiques japonais du Riken, à Tokyo, ont en effet proposé d’installer un canon laser sur la Station spatiale à l’horizon 2017. Non pas pour vaporiser les planètes rebelles, mais plutôt les débris spatiaux.
«Nous pouvons enfin avoir un moyen de régler le problème de la croissance rapide des débris spatiaux qui met en danger les activités spatiales», a commenté dans un communiqué Toshikazu Ebisuzaki qui a dirigé l’équipe de recherche.
Selon la NASA, près de 3000 tonnes d’objets métallique se trouveraient déjà en orbite basse autour de la Terre. Or, leur collision avec un engin spatial peut avoir des conséquences désastreuses, comme vous l’avez peut-être vu dans le film Gravity.
UNE SOLUTION DE SCIENCE-FICTION
Plutôt que de réaliser des manoeuvres d’évitement pour échapper aux débris, comme elle le fait actuellement, la SSI pourrait les détruire avant qu’ils ne représentent une menace.
Les chercheurs du Riken espèrent mettre à contribution l’EUSO, un télescope qui devrait être installé sur la station en 2017. En plus de servir à étudier les rayons cosmiques, sa mission initiale, il pourrait s’avérer très utile pour repérer et cibler précisément les débris dangereux.
Leur plan serait de l’associer à un canon laser appelé CAN capable de se débarrasser des déchets spatiaux. Pour cela, il chauffe leur surface et la matière vaporisée agit comme le moteur d’une fusée: les débris sont propulsés vers le bas, pour se désintégrer finalement dans l’atmosphère terrestre.
La version finale de ce laser devrait pouvoir tirer jusqu’à 100 kilomètres de distance sur des cibles d’une taille de l’ordre du centimètre avec une puissance de 100 000 watts. Les chercheurs installeront d’abord un prototype «miniature» sur la SSI, en 2017. Aucune version du canon CAN n’a cependant encore été mise au point, il s’agit d’un projet théorique.
D’après Toshikazu Ebisuzaki, ne manquent que les financements nécessaires pour réaliser cet appareil et le mettre à l’épreuve.
UN FUTUR SYSTÈME DE NETTOYAGE SPATIAL
Bien entendu, à terme, les scientifiques japonais voient les choses en grand:
«En regardant plus loin dans l’avenir, nous pourrions créer une mission en vol libre et la mettre sur une orbite polaire à une altitude proche de 800 km, où se trouve la plus grande concentration de débris», a expliqué Toshikazu Ebisuzaki.
Ainsi, un satellite équipé du canon CAN final aurait pour unique tâche de détruire les débris les plus dangereux actuellement en orbite autour de la Terre. Car si les équipements spatiaux sont résistants, ils ne peuvent pas encaisser un impact avec un objet plus grand qu’un centimètre. Et pour cause ces débris voyagent autour de la Terre à près de 36 000 km/h! À cette vitesse, la collision, même avec les plus petits, ne fait pas de cadeau.