Chercher le bonheur


Quand on cherche à être heureux en regardant trop loin, on risque d’être bien déçu ! Où encore, imaginer être heureux si nous avions ceci ou cela, être dans la peau d’un autre … Nous serions bien loin de ressentir ces petits moments qui peuvent nous faire sourire
Nuage

 

Chercher le bonheur

 

« Chercher le bonheur en dehors de nous c’est comme attendre le soleil dans une grotte orientée au Nord. »

Adage Tibétain

Un seul bras, mais une grande détermination


Dire que nous sommes incapables, est souvent une barrière que l’on se met pour ne pas avancer. Quand on voit une personne qui aurait toutes les raisons du monde pour ne pas être en mesure d’arriver à ses buts et qui pourtant par sa détermination arrive à atteindre son rêve, nos excuses semblent bien ridicules
Nuage

Un seul bras, mais une grande détermination

 

Voici Luke Ericson, un homme né avec un seul bras qui a une sacré détermination!

Beaucoup de gens ont dit à Luke qu’il n’aurait jamais un corps de rêve car il n’a qu’un seul bras, qu’il était impossible pour lui de s’entraîner afin de sculpter des abdos en acier.

Toutefois, Luke a prouvé à tous ces gens qu’ils avaient tort et que lorsqu’on avait une motivation en béton, il est possible d’avoir des abdos en acier!

http://www.tropcute.com/

Le Saviez-Vous ► Quand mélasse rime avec désastre


Une rivière de mélasse s’est déversée à Boston, dans les débuts du XXe siècle. Le nettoyage à du être long et pénible des rues et matériels , qui ont été engloutis dans cette mixture sucrée. Et cet incident a fait quelques malheureuses victimes
Nuage

 
Quand mélasse rime avec désastre

 

En janvier 1919, la loi sur la prohibition est sur le point d’être adoptée. Cette loi prévoyait, à partir du jour de son adoption, un an de grâce pour les marchands d’alcool. Comme bien d’autres distilleries, la compagnie Purity Distilling de Boston anticipe une hausse des ventes et remplit à ras bord son réservoir de mélasse. Le 15 janvier, à l’heure du dîner, son énorme citerne se brise et déverse 12 000 tonnes du liquide.

La masse brune et visqueuse, haute comme trois personnes, se propage à 55 km/h. Tramway, chevaux, écoliers, la vague dévastatrice engloutit tout sur son passage. En plus d’avoir causé 21 morts et 150 blessés, l’onde brune a coûté des millions de dollars en dommages matériels. Après avoir interrogé 921 témoins durant un procès qui a duré quatre ans, le juge Hugh Ogden en vient à la conclusion que la citerne métallique était loin d’être assez robuste pour contenir autant de mélasse.

http://ici.radio-canada.ca/

Possibles risques d’Alzheimer pour les mordus de jeux vidéo


Une hypothèse qui est intéressante, sûrement qu’il aura d’autres tests pour voir si vraiment la stratégie utilisé pourrait où du moins accentué les risque des troubles neurologiques
Nuage

 

Possibles risques d’Alzheimer pour les mordus de jeux vidéo

 

Reste à savoir si l'usage des jeux vidéo... (PHOTO CHRIS RATCLIFFE, BLOOMBERG)

Reste à savoir si l’usage des jeux vidéo explique ou non le surdéveloppement du striatum au détriment de l’hippocampe.

 

MARIE-CLAUDE MALBOEUF
La Presse

Même dans la vingtaine, les mordus de jeux vidéo d’action emploient des stratégies typiques du troisième âge pour s’orienter dans l’espace. Une façon de procéder souvent associée à une réduction de matière grise dans l’hippocampe. Et à des risques accrus de troubles neurologiques ou psychiatriques dévastateurs, comme l’Alzheimer, la schizophrénie, la dépression ou le stress post-traumatique.

«Depuis 10 ans, les recherches montrent que les gens qui jouent régulièrement aux jeux vidéo ont une meilleure attention visuelle, mais cela pourrait être nocif à un autre niveau», précise en entrevue l’auteur de cette découverte, Gregory West, professeur au département de psychologie de l’UdeM.

Son étude, publiée hier dans le Royal Society Journal, a été menée à l’Institut universitaire en santé mentale Douglas, avec sa consoeur Véronique Bohbot.

Les deux chercheurs ont soumis 59 jeunes – dont 26 joueurs assidus – à des tests virtuels, dont l’un consistait à repérer des objets dans un labyrinthe à plusieurs branches. Pour y parvenir, deux stratégies étaient possibles: ou bien mémoriser des repères visuels, ce qui met en oeuvre l’hippocampe, ou bien remarquer des schémas ou ses mouvements, en utilisant le striatum, situé sous le cortex.

Les 26 mordus de Call of Duty, Grand Theft Auto et autres jeux du genre étaient deux fois plus susceptibles (81% contre 43%) que les non-joueurs d’employer spontanément cette deuxième stratégie, dite d’«apprentissage stimulus-réponse» (que les chercheurs comparent à l’utilisation d’un pilote automatique). Ils étaient par conséquent presque quatre fois moins susceptibles (19% contre 57%) d’utiliser la première stratégie, dite spatiale, plus complexe.

En général, chaque individu emploie prioritairement une stratégie plutôt que l’autre, et produit plus de matière grise dans la zone cérébrale correspondante. Mais l’autre zone s’atrophie, un peu comme un muscle sous-entraîné.

Plus efficace en laboratoire, parce qu’elle est plus simple, la stratégie stimulus-réponse pourrait donc se révéler nuisible à long terme, croit le professeur West. Car le déclin de l’hippocampe est associé à diverses maladies.

Avec l’âge, de plus en plus de gens se rabattent néanmoins sur cette stratégie, dit-il.

«Mais c’est sans doute parce qu’ils ont de plus en plus de mal à utiliser la stratégie spatiale.»

 L’idée de freiner le déclin cognitif des personnes âgées grâce aux jeux vidéo pourrait donc accentuer le problème au lieu de les aider, prévient-il. Pour réduire les risques de démence et de déficit cognitif, sa collègue Véronique Bohbot a plutôt mis au point un autre type de programme, visant plutôt à stimuler l’hippocampe.

Quant aux enfants, l’exposition soutenue aux jeux vidéo pourrait les encourager à prioriser, par habitude, la «mauvaise» stratégie. À 21 ans, un jeune moyen aura consacré des milliers d’heures de sa vie à des jeux vidéo d’action. Les sujets de l’étude de Douglas jouaient eux-mêmes 18 heures par semaine, en moyenne.

Reste à savoir si l’usage des jeux vidéo explique ou non le surdéveloppement du striatum au détriment de l’hippocampe.

«On ne sait pas si les adeptes de ces jeux sont comme ça au départ. Si c’est le cas, ils pourraient être meilleurs aux jeux vidéo au départ, et les trouver plus agréables, donc jouer plus.»

http://www.lapresse.ca/

La vie sur Mars serait plus dure que vous ne le pensez


Je suis d’avis qu’humainement parlant et ce même si la technologie était plus performante que l’homme n’est pas fait pour habiter Mars. Il y a trop de danger et l’isolement des gens qu’il a quitté sur la terre serait psychologiquement trop difficile à supporter
Nuage

 

La vie sur Mars serait plus dure que vous ne le pensez

La

Une promenade sur Mars ressemblerait à ceci. Tentant, n’est-ce pas? Capture d’écran Gentside

Qui n’a jamais rêvé d’aller visiter Mars? La planète rouge est d’ailleurs dans la ligne de mire de toutes les agences spatiales, qui espèrent y poser une mission habitée avant la fin du siècle. La société privée Mars One pense même pouvoir installer une colonie sur Mars avant 2030. Mais à quoi ressemblerait la vie là-bas? Attention, ce ne sera pas de tout repos.

UN ENVIRONNEMENT HOSTILE

La planète rouge ne dispose en effet ni d’air, ni d’eau, ni de ressources nutritives. L’absence de magnétosphère et d’atmosphère la rend constamment exposée aux rayons ultraviolets du Soleil. Il s’agit donc d’un environnement extrêmement hostile dans lequel des équipements de pointe sont de mise pour espérer survivre. Une simple balade sur la surface martienne sans radioprotection pourrait être mortelle.

Le mieux serait donc d’envisager des habitations souterraines. Ajoutez à cela les désagréments du voyage. Estimé à 5 voire 10 mois, l’aller vers la planète rouge représente des risques pour les astronautes. Actuellement, les implications d’une telle expédition sur l’organisme humain n’ont pas encore été clairement mesurées même si des problèmes ont déjà été soulignés: l’affaiblissement de la vision par exemple.

Enfin, pensez aux difficultés psychologiques liées à l’isolement. Sur Mars, les astronautes se retrouveront certainement livrés à eux même. Les communications radio vers la Terre seront assez compliquées en raison d’un décalage de 4 à 20 minutes, dépendant de la distance entre les deux planètes. Il sera donc difficile d’envisager d’appeler vos proches pour discuter avec eux et avoir le soutien moral dont vous pourriez avoir besoin.

QUELQUES ASPECTS PLUS AMUSANTS

Malgré toutes ces difficultés, la vie martienne devrait également comporter quelques aspects un peu plus amusants comme l’absence de gravité. Cette caractéristique est en effet capable de transformer n’importe quel explorateur spatial en un véritable super-héros capable de sauter aussi haut qu’un kangourou ou de soulever des objets très lourds qu’il ne pourrait pas porter sur Terre.

Autre particularité intéressante: la présence de deux petites lunes dans le ciel martien. Les satellites naturels se nomment Phobos et Deimos et sont très différents de notre Lune. Phobos orbite autour la planète rouge près de trois fois par jour tandis que Deimos met près de 30 heures pour terminer un tour complet. Les nuits martiennes devraient offrir un spectacle prodigieux.

http://fr.canoe.ca/

Une tortue sauvée grâce à un bec imprimé en 3 D


Décidément, l’imprimante 3D n’a pas fini de nous surprendre. Une technologie extraordinaire qui change la vie de bien des êtres humains et aussi aux animaux
Nuage

 

Une tortue sauvée grâce à un bec imprimé en 3 D

 

tortue-bec-blessure-reconstruction-imprimante-3d-

Après avoir été heurtée par l’hélice d’un bateau au large des côtes turques, cette tortue de mer de 45 kilos a eu le bec brisé et a été retrouvée mourante dans l’eau, au large de la Turquie.

La tortue a été trouvée puis prise en charge par une équipe de volontaires du centre universitaire de Dalyan Iztuzu Pamukkale dans un état critique. Sa blessure à la mâchoire ne pouvait être soignée par une chirurgie classique, la tortue était condamnée à être nourri par la main de l’homme pour le restant de ses jours.

L’équipe turque a donc fait appel à la société BTech Innovation, une firme spécialisée dans l’impression en 3D, les prothèses et implants médicaux pour les humains. La société a accepté de créer gratuitement un bec, entièrement réalisé à partir d’une imprimante 3D afin de sauver la tortue.

 

tortue-bec-imprime-3d

http://www.insoliteqc.com/

La baignade après le repas, dangereux?


Ma mère le disait, moi, je l’ai dit de ne pas aller se baigner après les repas, mais c’est quelque chose que nous n’avons jamais vraiment obéi. Alors c’est dangereux ou non ?
Nuage

 

La baignade après le repas, dangereux?

 

La baignade après le repas, dangereux?

L’été arrive, synonyme de baignades et de repas en terrasse. Mais selon une croyance répandue, ces deux activités phares de vos vacances ne feraient pas bon ménage.

Nos parents nous ont déjà tous interdit d’aller nous baigner juste après le repas. Il est en effet conseillé d’attendre une à trois heures avant d’aller nager. Cette mesure préventive viserait à  laisser au corps le temps de digérer la quantité de nourriture ingurgitée. Mais que risquez-vous vraiment?

DIGÉRER ET NAGER, IMPOSSIBLE?

Le conseil «ne nagez pas après avoir mangé» proviendrait d’une croyance selon laquelle l’estomac et les membres entreraient en compétition pour utiliser le sang oxygéné. Il serait ainsi préférable de «ménager» son corps en ne lui imposant pas une double dépense d’énergie. D’autant plus lorsqu’on a ingéré une importante quantité de nourriture.

Toutefois, ceux qui prennent le risque s’exposent plus à une question d’inconfort que de danger réel. Pas de noyade en vue, mais gare aux crampes d’estomac! Aucun risque cependant, s’il s’agit d’un petit repas ou d’un goûter normal.

Une autre croyance postule que la température du corps augmenterait pendant la digestion. Ce phénomène favoriserait à terme le risque de malaise par choc thermique au moment de la baignade dans une eau plus froide. Mais la digestion ne provoque pas un réchauffement du corps suffisamment important pour réellement aggraver le risque d’hydrocution. Car, c’est bel et bien ce risque qu’il faut prendre en compte.

L’HYDROCUTION, LE VÉRITABLE TUEUR DE L’ÉTÉ

Le véritable danger de l’été n’est donc pas la baignade pendant la digestion, mais bien l’hydrocution. Elle se produit suite à un refroidissement brutal du corps, lorsque ce dernier entre dans une eau froide alors qu’il est lui-même chaud.

S’il se traduit par un simple malaise sans conséquence sur terre, dans l’eau, ce choc thermique peut conduire à  la noyade. L’hydrocution intervient lorsque l’on entre de manière brutale dans l’eau. Il faut donc y aller progressivement afin d’éviter tout choc thermique.

Autre impératif que nos parents nous ont toujours conseillé: se mouiller la nuque, le thorax et le visage avant d’entamer la baignade. Une habitude qui permet au corps de «goûter» la température de l’eau et de s’y habituer progressivement.

http://fr.canoe.ca/

Elle vit avec un trou dans le cerveau de la taille d’un citron


Imaginer avoir eu des problèmes toute votre vie, d’évaluer la distance, de reconnaitre un endroit qui devrait être familier, et ne pas être ne mesure de lire l’heure et qu’enfin, vous avez la réponse. Une réponse stupéfiante d’un trou dans le cerveau
Nuage

 

Elle vit avec un trou dans le cerveau de la taille d’un citron

 

Les cas de personnes vivant avec une partie du cerveau manquante sont extrêmement rares. ©APA / Science Photo Library / AFP

Les cas de personnes vivant avec une partie du cerveau manquante sont extrêmement rares. ©APA / Science Photo Library / AFP

Par Hugo Jalinière

Lors d’une IRM, une jeune américaine a découvert à l’âge de 26 ans qu’il lui manquait une partie conséquente du cerveau, expliquant des difficultés dont elle souffre depuis sa naissance.

« Mon histoire est atypique. » Pour ne pas dire saisissante. Cole Cohen, une américaine originaire de l’Oregon a vécu jusqu’à ses 26 ans sans se douter que son cerveau présentait une incroyable singularité : un trou de la taille d’un citron et empli de liquide céphalo-rachidien. Elle publie ce mardi 19 mai 2015 son histoire « atypique » dans un livre, Head Case : My Brain and Other Wonders,dont le New York Post relaie certains passages.

Elle raconte ainsi avoir toujours rencontré des problèmes pour nombre de gestes quotidiens. Si elle n’a absolument aucun problème de compréhension du langage que ce soit à l’oral ou à l’écrit, lire une horloge à aiguilles, évaluer les distances ou prendre une direction clairement indiquée lui sont des gestes quasiment impossibles. Et les cours de mathématiques sont pour elle un calvaire. Des problèmes qui vont conduire à lui diagnostiquer un trouble du déficit de l’attention pour lequel elle sera traitée pendant des années. Sauf que…

En 2007, face aux difficultés qu’elle rencontre dans sa vie quotidienne, elle se rend chez un ergothérapeute qui lui recommande de passer une IRM. Le 17 juin, elle consulte avec ses parents un neurologue, le Dr Volt. Dans son livre, Cole Cohen raconte cette scène incroyable :

« Le Dr Volt est derrière son bureau. Son écran d’ordinateur tourné vers nous. Je ne comprends pas l’image qu’il me montre. C’est une coupe de cerveau en noir et blanc que je présume être le mien, avec une tache d’encre noire de la forme d’un cœur distordu. Je me dis que c’est une tache sur le film, beaucoup trop grande pour être réelle. » Jusqu’à ce que le Dr Volt prenne la parole : « Donc, ceci est votre cerveau… et ça – il pointe de son stylo la tache noire – c’est un trou. » Incrédule, la jeune femme lui pose la question qui s’impose : de quelle taille est ce trou ? « À peu près la taille d’un citron. Ou disons celle d’un petit poing ? Comme celui d’un enfant de dix ans ? »

Quand l’appréhension de l’espace fait défaut

« Abasourdie » par cette annonce, la jeune femme comprend enfin pourquoi elle n’est jamais parvenue à évaluer la distance à laquelle se trouvaient les voitures au moment de traverser une route ; pourquoi à chaque passage à son épicerie de quartier, elle se sentait perdue comme si tout était à chaque fois réorganisé. Pourquoi les aiguilles d’une montre n’ont jamais eu aucun sens pour elle. Pourquoi elle n’a jamais pu apprendre à conduire. Car le lobe pariétal de son cerveau qui devrait se trouver à la place du fameux trou est notamment impliqué dans l’information sensorielle, l’appréhension de l’espace, la compréhension des nombres ou encore le sens de l’orientation. 

Cole Cohen raconte d’ailleurs que même avec l’aide d’un GPS, il est impossible pour elle de se diriger.

« Si l’application me dit ‘allez à gauche’ ou ‘allez à droite’, je sais que j’ai 50% de chance de me diriger du bon côté », et 50% du mauvais.

D’autres cas de parties manquantes dans le cerveau ont déjà été rapportés mais ils sont extrêmement rare. Surtout, la plupart du temps, ces conditions anatomiques ne sont découvertes qu’au décès des patients, lors de l’autopsie. Ainsi de cette Chinoise qui a découvert à 24 ans qu’il lui manquait tout le cervelet. Une histoire tout à fait stupéfiante récemment relayée par Sciences et Avenir.

http://www.sciencesetavenir.fr/