Le meilleur


Vouloir être le meilleur du monde est inutile, ce qui compte, c’est de faire de son mieux pour les gens qui nous entoure, c’est profitable pour nous et pour les autres
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Le meilleur

 

« Le but n’est pas de devenir le meilleur du monde mais de devenir le meilleur pour le monde. »

Guibert Del Marmol

Une surprise pour une maman aveugle


Toutes les mamans veulent voir leur bébé avant la naissance, et grâce à l’échographie, cela est possible. Mais, les non-voyants ce n’est pas possible, sauf si, on utilise l’imprimante 3D. L’émotion est palpable pour cette maman non-voyante
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Une surprise pour une maman aveugle

Tatiana a un rendez-vous important aujourd’hui, elle va passer une échographie.

Malheureusement, elle est aveugle et n’aura pas la chance de voir son bébé Murilo. Mais le Docteur lui a réservé une surprise…

Une imprimante 3D se trouve dans la pièce à côté. Elle va pouvoir imprimer en 3D en 15 minutes l’échographie. Tatiana va pouvoir toucher son petit nez, sa petite bouche et « voir » à quoi va ressembler son futur bébé.

http://www.insoliteqc.com/

Le Saviez-Vous ► Les premiers timbres-poste


Depuis Internet, ma boite à malle reçoit surtout des publicités et une ou deux lettres par mois. Nos méthodes de communications ont vraiment changé et pourtant, la lettre timbrée a plusieurs siècles d’expérience
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Les premiers timbres-poste

 

Le timbre-poste naît à Londres le 6 mai 1840.

 

Les premiers timbres

Le premier timbre-poste a été émis en Grande-Bretagne le 6 mai 1840 sur l’initiative de l’Écossais Rowland Hill.

Il s’agit d’un one penny noir à l’effigie de la reine Victoria à 15 ans, que l’on a surnommé depuis le « Black penny ».

Jusqu’à cette date, c’était, dans la très grande majorité des cas, le destinataire qui payait le prix du transport d’une lettre. Celui-ci étant fonction du poids et de la distance parcourue. Avec le timbre, c’est l’expéditeur qui s’acquitte de ce coût. Cette « révolution », outre le fait qu’elle uniformise les taxes postales, va surtout fortement contribuer à l’essor de la correspondance, et donc au développement des relations commerciales.

 

Les cantons suisses emboîtent rapidement le pas à la Grande-Bretagne : Zurich et Genève ont leurs timbres dès 1843, Bâle en 1845.

Oeil de Boeuf (1843)Parmi les premiers pays émetteurs : le Brésil dont les « œil de bœuf » de 1843 font partie des classiques de la philatélie.

Il faudra attendre neuf ans, pour voir apparaître le premier timbre-poste français, le 1er janvier 1849. Noir et non dentelé, comme en Grande-Bretagne, ce premier timbre est à l’effigie de Cérès, déesse des moissons qui symbolise la République. Sa valeur est de 20c correspondant au port d’une lettre jusqu’à 7,5 grammes, quelle que soit sa destination en France. Peu après paraissait un 40c orange pour les lettres double poids, puis un 1F rouge vermillonné, mais la couleur de ce timbre étant trop proche de celle du 40c avec lequel il était confondu, il fut remplacé par un 1F carmin foncé.

    Aujourd’hui, le 1F « Vermillon » est le timbre type le plus rare de France. Depuis, en guère plus de 150 ans, ce sont plus de 4 000 timbres qui ont été émis en France si l’on ajoute aux timbres-poste, les poste aérienne, les taxes, les préoblitérés…

    L’idée de collectionner a suivi de peu la naissance du timbre-poste. Le premier album date de 1862, la première vente aux enchères de timbres a eu lieu le 29 décembre 1865 à l’hôtel Drouot.

Les débuts de la poste

C’est à l’empereur Auguste que la France, alors province romaine, doit son premier réseau de communications postales.

Au Moyen-âge, outre le roi, les grands seigneurs et les universités ont leurs propres messagers. La Poste d’état sera créé par Louis XI qui ouvre la poste royale au public afin de la financer. A cette époque, sur les grands chemins de France, sont installés des relais de chevaux tous les quatre lieux. La Poste aux lettres sera l’œuvre de Fouquet de la Varane, collaborateur de Sully. Puis en 1653, avec la « petite poste de Paris » naît le premier service postal urbain. C’est sous Louis XIV, grâce au marquis de Louvois, que la Poste prend la dimension d’une véritable administration. La ferme générale acquiert le privilège du transport des correspondances dans tout le royaume et rapidement la « poste aux chevaux » élimine les messageries privées. Enfin, en 1848, Etienne Arago fait adopter le timbre-poste qui, en uniformisant les taxes postales, contribuera à l’essor de la correspondance.

Pour le Canada

Conception du premier timbre entièrement canadien

Le tout premier timbre-poste canadien.

Le tout premier timbre-poste canadien. © Poste Canada

Conçu par Sandford FLEMING, le premier timbre-poste canadien est émis le 23 avril 1851.

Il vaut trois pence et représente un castor. Il s’agit en fait du tout premier timbre-poste imagé au monde.

Auparavant, les timbres représentaient surtout des chefs de gouvernement ou différents emblèmes officiels où se mélangeaient croix, drapeaux et épées.

Un timbre presque centenaire qui soulignait en 1917 le 40e anniversaire du Canada.

Un timbre presque centenaire qui soulignait en 1917 le 40e anniversaire du Canada. © Wikipédia

Que faisait-on avant la conquête anglaise et la création du Canada pour envoyer une lettre?

À l’époque de la Nouvelle-France, avant la création des services postaux et l’arrivée des timbres, il fallait disposer de bonnes petites sommes d’argent pour envoyer du courrier.

Le premier service postal a vu le jour en 1734 à l’occasion de la création de la toute première route entre les villes de Québec et Montréal. Des relais postaux avaient été créés tous les 14 kilomètres. Le tarif était de 10 sols pour une lettre entre les deux villes.

À l’époque des colonies, c’était principalement la Compagnie de la Baie d’Hudson, et des entreprises privées de messageries qui offraient des services postaux dans le reste de ce qui allait devenir très bientôt le Canada.

Un peu d’histoire plus récente…

En juin 1858, un service postal exprès fiable, le Pioneer Fraser River Express est établi en Colombie-Britannique.

En juillet 1858, la célèbre Wells Fargo & Co. met sur pied un service exprès entre San Francisco et la ville canadienne de Victoria.

Au moment de la naissance du Canada en 1867 on adopte la « Loi sur la réglementation du service postal » qui entre en vigueur en 1868 et qui prévoit la création d’un système postal uniforme pour l’ensemble du nouveau pays.

Les tarifs postaux sont établis à 3 ¢ par ◊ once pour les lettres, 2 ¢ pour enregistrer une lettre, 6 ¢ pour poster une lettre aux États-Unis 12◊¢ pour la Grande-Bretagne ou Terre-Neuve.

Le 9 juillet 1918, Katherine Stinson devient la première femme à transporter officiellement le courrier par avion lors d’un vol effectué entre Calgary et Edmonton, en Alberta.

Le 3 mars 1919, le premier vol postal international en Amérique du Nord est effectué entre Vancouver en Colombie-Britannique et Seattle dans l’État de Washington.

Le 14 juin, John Alcock et Arthur Whitten-Brown effectuent le premier vol postal transatlantique sans escale à partir de St-Jean Terre-Neuve jusqu’à Clifden en Irlande. Le vol dure 16 heures et 12 minutes.

Aujourd’hui, les lettres ordinaires sont livrées dans les deux jours ouvrables au sein d’une ville, dans les trois jours ouvrables au sein de la province et dans les quatre jours ouvrables à l’échelle nationale

Référence :

http://www.lemuseedutimbre.com/

http://www.rcinet.ca/

Une pompe à médicaments dans le cerveau


Des progrès dans la recherche pour aider les épileptiques qui doivent vivre avec des risques de faire des crises à tous moments. L’étape en laboratoire donne, semble-t-il de très bon résultat, maintenant, il reste les essais sur l’être humain
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Une pompe à médicaments dans le cerveau

 

vue d'artiste de la nanopompe cérébrale

La micropompe est un ruban 20 fois plus fin qu’un cheveux (en violet), sur lequel sont fixées des molécules de médicaments. On relâche ces dernières en appliquant un courant électrique.

© Adam Williamson, Christophe Bernard, ID Labs, Arab4D

Propos recueillis par Guillaume Jacquemont

Une équipe internationale a développé une micropompe implantable dans le cerveau, qui pourrait délivrer des médicaments de façon ciblée. Grâce à ce dispositif, les chercheurs ont déjà réussi à stopper des crises d’épilepsie in vitro. Entretien avec Christophe Bernard, qui a dirigé son développement.

Contre quelles maladies cette micropompe pourrait-elle être utilisée ?

Christophe Bernard : Nous avons travaillé sur l’épilepsie, où une petite zone du cerveau, nommée foyer épileptique, déclenche des crises. Mais on pourrait l’utiliser contre n’importe quelle pathologie touchant le cerveau : Alzheimer, Parkinson… Dans cette dernière maladie, par exemple, un neurotransmetteur nommé dopamine, essentiel au contrôle des mouvements, manque dans certaines zones cérébrales. En ajouter de façon ciblée atténuerait les symptômes.

Quels avantages présente ce dispositif ?

C. B. : Il résoudrait deux grands types de problèmes posés par les méthodes actuelles, qui consistent pour la plupart à avaler des médicaments. Premièrement, il permettrait de contourner la barrière hémato-encéphalique, couche de cellules et de protéines qui isole la circulation sanguine du reste du cerveau et bloque de nombreuses substances actives. Deuxièmement, la micropompe limiterait les effets secondaires, en évitant que les médicaments se propagent ailleurs dans l’organisme.

En quoi consiste cette micropompe ?

C. B. : Il s’agit d’un petit ruban poreux incrusté de charges négatives, qui attirent des molécules positives. La plupart des molécules, en particulier les médicaments, ont une charge électrique. On peut donc les « stocker » sur ce ruban. Quand on veut les libérer, on fait passer un courant grâce à une pile (qu’on peut greffer ailleurs, par exemple sous la clavicule) : ce courant engendre des champs électriques qui éjectent les molécules. Notons que le ruban, 20 fois plus fin qu’un cheveu, est en carbone, un matériau bien accepté par l’organisme.

Le médicament ne s’épuise-t-il pas rapidement, ce qui exigerait des interventions chirurgicales fréquentes ?

C. B. : Non, pour deux raisons. D’abord, la quantité à relâcher est très faible. Quand on avale un médicament, la molécule active y est peu concentrée et elle se dilue encore dans l’organisme. Ce n’est pas le cas de notre dispositif, qui largue des molécules actives pures directement sur la cible. Ensuite, on envisage de ne livrer le médicament qu’aux moments précis où on en a besoin, par exemple lors des crises pour l’épilepsie. Des dispositifs sont à l’essai chez l’homme pour anticiper le déclenchement de ces crises. Il s’agit d’électrodes implantées dans le cerveau, que l’on pourrait coupler à notre micropompe. Celle-ci durerait toute la vie du patient.

Où en êtes-vous du développement ?

C. B. : Nous avons obtenu un premier succès in vitro sur des tranches de cerveaux de souris. Nous rendons certaines zones hyperactives pour imiter une crise d’épilepsie, puis nous les calmons en injectant un neurotransmetteur inhibiteur (du GABA) avec notre micropompe. Nous avons commencé des tests in vivo chez la souris, mais il est difficile de prévoir quand nous passerons à l’homme, car les autorisations sont longues à obtenir. Il serait intéressant d’aller vite : quelque 30 % des épileptiques (soit environ 150 000 patients en France) résistent aux traitements actuels et ce dispositif pourrait leur apporter une solution. On peut parfois retirer le foyer épileptique par une opération chirurgicale, mais seulement pour une infime partie de ces patients.

http://www.pourlascience.fr/

Que se passe-t-il dans le cerveau des grands prématurés ?


La technologie d’imagerie permet de mieux observé les cerveaux à différentes étapes du développement. Grâce à l’imagerie, les scientifiques peuvent voir la différence entre un cerveau prématuré et un bébé né a terme. Les premières constatations semblent relier l’autisme et les troubles d’apprentissage chez les prématurés.
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Que se passe-t-il dans le cerveau des grands prématurés ?

 

 

Grâce aux techniques d'imagerie médicales moderne, les chercheurs peuvent désormais recueillir de précieux indices sur la façon dont apparaissent les troubles du spectre autistique. ©EVAN VUCCI/AP/SIPA

Grâce aux techniques d’imagerie médicales moderne, les chercheurs peuvent désormais recueillir de précieux indices sur la façon dont apparaissent les troubles du spectre autistique. ©EVAN VUCCI/AP/SIPA

Des chercheurs ont pu distinguer à l’IRM les différences de connexions cérébrales chez les prématurés qui pourraient favoriser l’apparition de troubles du spectre autistique.

Plusieurs études ont déjà montré que l’autisme et les troubles de la concentration frappaient plus fréquemment les enfants prématurés. Le Pr Yehezkel Ben-Ari, directeur de recherche émérite à l’Inserm confiait même à Sciences et Avenir il y a peu :

« On sait qu’une naissance prématurée favorise l’apparition de troubles du spectre autistique ».

Une affirmation qui repose essentiellement sur des observations statistiques, sans qu’on comprenne précisément pourquoi ou comment cela se passe. Mais une étude publiée dans les Comptes-rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS) par des chercheurs du King’s College à Londres jette un nouvel éclairage sur ce lien. Selon les scientifiques, des naissances prématurées peuvent altérer la connectivité entre certaines parties du cerveau, ce qui augmenterait le risque d’autisme et de trouble de l’attention.

Des connexions cérébrales différentes

C’est en utilisant l’IRMf (imagerie par résonance magnétique fonctionnelle) que les chercheurs ont pu examiner des connexions spécifiques dans le cerveau de 66 enfants, dont 47 sont nés avant la 33e semaine de gestation tandis que les 19 autres sont venus au monde à terme. Les auteurs se sont concentrés sur les connexions dans le cerveau entre le thalamus, centre des réflexes émotionnels, et le cortex, la substance grise entourant les hémisphères cérébraux qui jouent un rôle clé dans de nombreuses fonctions cognitives.

Prématurité : les trois stades On considère généralement qu’un bébé est prématuré s’il vient au monde avant la 37e semaine de gestation. Selon l’organisation mondiale de la santé, on distingue parmi eux trois catégories : la prématurité extrême (naissance avant la 28e semaine) ; la grande prématurité (naissance entre la 28e et la 32e semaine) ; et la prématurité moyenne comprise entre la 32e et la 37e semaine de gestation.

Ces scientifiques ont constaté que les enfants nés entre la 37e et la 42e semaine – période normale de gestation – avaient des structures cérébrales remarquablement similaires à celles des adultes dans ces parties du cerveau, confirmant que les branchements cérébraux sont bien développés dès la naissance. En revanche, chez les prématurés, ils ont observé moins de connexions cérébrales entre le thalamus et le cortex, mais davantage avec une partie du cortex latéral jouant un rôle dans le traitement des signaux du visage, des lèvres, de la mâchoire, de la langue et de la gorge. Cela pourrait s’expliquer par le fait que les bébés prématurés sont nourris au sein ou au biberon beaucoup plus tôt que les enfants nés à terme.

Une moindre connectivité dans la partie du cortex jouant un rôle majeur dans les capacités cognitives, les différences observées à l’IRMf pourraient être liées chez ces enfants à une plus grande fréquence de difficultés de concentration et de relations avec les autres plus tard dans leur vie, selon les chercheurs. Reste que le faible nombre de participants à l’étude ne permet pas de tirer des enseignements solides sur les troubles du développement à l’origine d’une apparition de l’autisme. Mais ce type d’observations contribuent à affiner l’appréhension de ces troubles par la médecine moderne.

« La prochaine étape dans nos travaux sera de comprendre le lien entre ces observations et les difficultés d’apprentissage, pour se concentrer et socialiser, auxquelles un grand nombre de ces enfants sont confrontés en grandissant », commente la Dr Hilary Toulmin, du Centre du développement du cerveau au King’s College, principal auteur de l’étude.

« Grâce aux technologies d’imagerie inexistantes il y a encore quelques années, il est désormais possible de voir les connexions cérébrales des enfants au fur et à mesure du développement de leur cerveau, ce qui va probablement aboutir à des avancées remarquables en médecine », juge le professeur David Edwards, du King’s College qui a dirigé cette recherche.

Avec AFP

http://www.sciencesetavenir.fr/

Les tiques qui s’attachent aux chiens peuvent aussi vous rendre malade


Avec la belle saison, les insectes sont très présents dans notre environnement, certains sont très utiles alors que d’autres sont nuisibles et peuvent causer des maladies quand l’insecte rencontre un animal ou un être humain
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Les tiques qui s’attachent aux chiens peuvent aussi vous rendre malade

 

Très gros plan d'une tique

Très gros plan d’une tique (Archives) Photo :  Radio-Canada

Des chercheurs de l’Université Dalhousie, à Halifax, ont découvert que la tique du chevreuil n’est pas la seule qui peut rendre l’être humain très malade. Celles dont sont porteurs les chiens également.

Les tiques de chevreuils transmettent la maladie de Lyme, une affection qui provoque des symptômes comme une grande fatigue ou des maux de tête, mais qui peut aussi causer des troubles neurologiques ou de l’arythmie cardiaque.

Les tiques des chiens, pour leur part, peuvent provoquer une variété de maladies comme la fièvre pourprée des montagnes Rocheuses, une maladie également très sérieuse caractérisée par une forte fièvre, des malaises, maux de tête, nausées, et d’autres symptômes plus graves encore.

Selon la chercheuse Amal El Nabbout, qui prépare une maîtrise en biologie à l’Université Dalhousie, environ 60 % des tiques de chiens qu’elle a testés étaient porteurs de la bactérie rickettsie, qui donne la fièvre pourprée des montagnes Rocheuses.

« C’est le contraire des tiques de chevreuils qui causent la maladie de Lyme, explique Mme El Nabbout. En ce qui concerne les tiques de chiens, si les bactéries dans leur bouche pénètrent dans votre peau, vous devenez vous-mêmes porteurs de ces bactéries. »

Les chiens peuvent donc transmettre la maladie et non pas seulement la morsure des tiques dont ils sont porteurs.

Des tiques

Des tiques

La biologiste Tatiana Rossolimo, qui enseigne l’entomologie à l’Université Dalhousie, note que le nombre de tiques de toutes espèces augmente en Nouvelle-Écosse. Mais les gens ne doivent pas s’interdire pour autant les activités en nature, comme la randonnée ou le camping, dit-elle.

« Les gens doivent savoir qu’il y a des tiques [dans leur environnement], qu’elles sont porteuses de différentes bactéries et de différents virus, et que lorsque vous revenez d’une sortie en nature, vous devez vérifier votre corps, vous déshabiller et vérifier partout [pour déceler des tiques]. »

http://ici.radio-canada.ca/

Ikea, briseur de couples?


À mon avis, si un couple se brise à cause des meubles d’Ikea, il se briserait un moment ou un autre sans Ikea. C’est probablement l’excuse qui se présente
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Ikea, briseur de couples?

 

Par Laurent Deschamp

Corvée pour certains, plaisir pour d’autres, aller acheter des meubles chez Ikea fait partie des nombreuses options de sortie du week-end pour des milliers de couples. Hélas, ceux-ci n’en sortent pas toujours indemnes…

C’est en tout cas ce qu’affirme une étude, très sérieuse, publiée mardi dans le Wall Street Journal, qui affirme en substance qu’aller acheter des meubles chez Ikea est régulièrement source de conflit pour les couples… Et peut même les pousser au « clash » ultime.

Dans le détail, l’étude, réalisée par la thérapeute américaine Ramani Durvasula, explique que, confronté au choix offert dans le magasin, un couple risque de s’enfoncer dans une lutte sans fin pour savoir qui va l’emporter. Attitude qui finit par faire remonter rapidement à la surface certaines rancoeurs jusqu’alors cachées, explique encore l’experte.

La thérapie du montage de meuble

Et ce n’est pas fini. Car, il y a bien un deuxième effet Ikea… à la maison.

Lorsque le couple déjà échaudé par sa visite dans la grande surface, se voit confronté au problème de l’assemblage de ses achats. Ce qui peut facilement dégénérer et même mener à l’explosion.

L’épreuve du « montage de meubles » est tellement délicate que Ramani Durvasula s’en sert comme d’un exercice pour les couples qui la consultent. A charge pour eux de ne pas s’écharper sur une notice incompréhensible…

L’enseigne suédoise semblerait d’ailleurs assez consciente du problème puisque certains de ses produits sont surnommés, non sans un certain humour noir, des « tueurs de maris », explique le journal américain. D’ailleurs, pour limiter la « casse » Ikea propose désormais l’assemblage de ses meubles à domicile. Moyennant une substantielle commission. Et la marque jaune et bleue ne s’arrête pas là: interrogée par le Huffington Post américain, une responsable d’Ikea affirme qu’une nouvelle gamme de meubles « faciles à monter » est à disposition de sa clientèle…

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Les enfants en difficulté se confient plus facilement à leur animal de compagnie qu’à leur frère ou soeur


La relation entre un animal domestique et un enfant peut être très bénéfique. On peut se douter que l’enfant puisse trouver un confident qui ne le jugera pas, (tout comme chez les adultes) Ce genre d’étude pourrait peut-être mettre plus de projets pour mettre en liaison chiens, chats et enfants justement pour que les enfants se sentent accepter avec leurs difficultés et mieux évoluer
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Les enfants en difficulté se confient plus facilement à leur animal de compagnie qu’à leur frère ou soeur

 

Budapest le 3 octobre 2008. REUTERS/Laszlo Balogh

Un chercheur en psychologie de l’université de Cambridge a analysé des données recueillies sur plus de 100 familles pendant dix ans en Angleterre, et il en a déduit que les enfants qui traversent des périodes difficiles ont plus tendance à se confier à leurs animaux de compagnie qu’à leur frère ou soeur. 

La BBC rapporte que cette préférence pour les animaux était particulièrement marquée chez les filles et lorsque l’animal était un chien.

«Et c’est le cas, même si les enfants savent que les animaux ne comprennent pas ce qu’ils disent» précise le doctorant Matt Cassels.

Il y a peu d’études sur le rapport entre enfants et animaux domestiques, et pour cet article non encore publié, Matt Cassels a conçu un barème d’attachement aux animaux inspiré d’un outil de mesure d’attachement entre individus.

Pendant dix ans, les parents interviewés pour l’étude source avaient donné des informations sur le comportement social, le bien-être émotionnel et la réussite scolaire de leurs enfants, ainsi que sur la relation de leurs enfants avec l’animal de compagnie de la maison. C’est à partir de là que Cassels a tiré ses conclusions. Il a aussi trouvé que les enfants qui avaient des relations plus fortes avec leur animal de compagnie étaient plus sociables et avaient plus tendance à aider les autres, à partager et à coopérer.

Il explique que les enfants aiment probablement se confier aux animaux car un chien ou un chat, contrairement à un être humain, peut faire preuve d’empathie sans pour autant juger…

Cette absence de jugement est un élément crucial. Aux Etats-Unis et en Angleterre,plusieurs écoles et bibliothèques invitent notamment des chiens dressés pour que les enfants puissent leur lire des histoires à haute voix. L’idée est que les enfants qui ont des difficultés avec la lecture se sentiront plus à l’aise s’ils lisent à un chien qui ne jugera pas leurs fautes de prononciation.

Matt Cassels pense qu’il y a encore beaucoup d’études à faire sur ces interactions, vu que les animaux domestiques sont extrêmement présents dans la vie des enfants.

«Dans les foyers avec des jeunes enfants aux Etats-Unis et en Angleterre, il y a plus souvent un animal de compagnie qu’un père qui vit à la maison. Pourtant on ne quantifie pas l’importance de ces animaux.»

http://www.slate.fr/