Cet adolescent est atteint d’une maladie qui l’empêche de marcher ! Ce que fait son meilleur ami pour faciliter son quotidien


Jusqu’ou peut aller l’amitié ? L’éducation est un droit qui devrait être acquis pour tous, mais dans certains pays, ce droit est bien loin d’être acquis pour des handicapés. En Chine par exemple, les moyens sont quasi inexistants pour aider ces personnes à fréquenter l’école, mais un jeune homme à un ami extraordinaire qui lui sert de transport pour se rendre à l’école.
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Cet adolescent est atteint d’une maladie qui l’empêche de marcher ! Ce que fait son meilleur ami pour faciliter son quotidien

 

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C’est probablement l’une des amitiés les plus touchantes qui existe. Un jeune homme aide son ami à aller en cours tous les jours. Et pas de n’importe quelle façon…

Les deux compères habitent en Chine, ils s’appellent Zhang et Xie et ont 18 et 19 ans. Zhang a une maladie musculaire qui l’empêche de marcher. C’est pourquoi tous les matins depuis trois ans, son meilleur ami Xie le porte sur son dos pour aller en cours.

Il faut savoir qu’en Chine, le handicap ne semble pas vraiment être une priorité puisque les enfants qui sont handicapés ne sont pas scolarisés, et les écoles ne leurs sont pas accessibles. Les dispositifs ne sont pas assez élaborés pour permettre aux handicapés de se déplacer comme bon leur semble.

 

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Zhang est donc un adolescent chanceux qui peut compter sur son meilleur ami. Et ce n’est pas la seule chose que fait Xie ! Il lui fait également à manger trois fois par jour et lave ses affaires. Rien que ça !

Zhang a véritablement trouvé un ami en or et cette aide apportée par Xie est bien récompensée. En effet, Zhang et Xie sont les premiers de leur classe. L’union fait vraisemblablement la force !

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Bien entendu, cette complicité vraiment touchante ne laisse pas indifférent leur entourage. Le directeur de l’école lui-même, Guo Chunxi, voit leur amitié comme quelque chose de « touchant et d’inspirant».

Comme il l’explique : «Ils ne sont pas de la même famille mais Xie a tout de même fait cela pendant trois ans. Il a une bonne influence sur le reste des étudiants et ces derniers aident souvent Zhang à leur tour. Grâce à cette mobilisation, Zhang n’a jamais manqué un seul jour de cours.»

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243 000 enfants handicapés ne sont pas scolarisés en Chine. Zhang est donc un adolescent bien chanceux !

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Ce que Xie fait pour son meilleur ami handicapé tous les jours redonne vraiment foi en l’humanité, vous ne trouvez pas ?

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Pourquoi passer trop de temps sur Facebook peut mener à la dépression


Si Facebook ou autres réseaux sociaux sont une frustration pour certains, peut-être qu’ils passent trop de longtemps sur ces réseaux à se comparer du positif des autres. Une pause serait de mise. L’étude est faite sur des jeunes de vingt ans, mais sommes-nous plus sage en vieillissant sur le temps allouer sur Facebook ? Car, je ne vois pas l’intérêt de passer beaucoup de temps sur les réseaux sociaux
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Pourquoi passer trop de temps sur Facebook peut mener à la dépression

 

source: The Conversation

Comme l’a dit Theodore Roosevelt, “la comparaison est l’ennemi du bonheur”. Bien qu’elles aient été prononcées il y a plus d’un siècle, les paroles de Roosevelt expriment une vérité universelle et fondamentale toujours d’actualité aujourd’hui.

Dans les années 1950, le célèbre psychologue social Leon Festinger a inventé la théorie de la comparaison sociale, afin d’expliquer les phénomènes psychologiques justifiant notre besoin de toujours nous comparer à autrui. Pour Festinger, chaque individu possède un besoin inné de se comparer à ses semblables sur des points qui lui semblent essentiels pour évaluer le succès de son existence.

Cette tendance n’a pas disparu, loin de là, puisqu’avec l’avènement des réseaux sociaux comme Facebook, nous avons de plus en plus recours à la comparaison sociale. De telles comparaisons sociales apportent leur lot d’informations capitales : est-ce que nous arrivons à tenir le rythme en matière de succès et de progrès, ou bien est-ce que nous sommes en retard, et nous devrions mettre les bouchées doubles pour nous remettre à niveau ?

Bien entendu, nous comparer trop souvent à autrui peut avoir des effets néfastes sur notre moral. Lorsque nous consultons les réseaux sociaux, nous sommes inondés d’un flux constant d’informations et de photos au sujet de nos amis, de nos connaissances, et de notre famille. Parfois, ce flux peut s’avérer écrasant, et nous aurions mieux fait de ne pas apprendre tous ces détails que nous découvrons, ou croyons découvrir, sur ces sites.

Par exemple, il y a de cela quelques années, ma petite soeur avait décidé de ne pas se rendre au bal de promotion de son école, car elle n’avait pas de garçon pour l’y emmener. Elle m’avait alors confié qu’à cause de cela, elle était anéantie et bouleversée. Le lendemain, les photos de ses amies s’étant rendues au bal ont commencé à apparaître sur son fil d’actualité Facebook. Résultat : ma soeur s’est sentie encore plus mal. Et bien que je ne voulais pas trop m’appesantir sur le sujet, j’ai commencé à comprendre que ce phénomène se produisait régulièrement. Peut-être qu’à ses yeux, toutes ces photos heureuses et décomplexées de ses amies en train de danser, radieuses, au bras de leurs compagnons respectifs, voulaient dire qu’elle n’était pas assez jolie ou populaire pour trouver quelqu’un.

facebook depression 2

Et c’est cette expérience qui a indirectement inspiré les recherches que j’ai entreprises avec mes collègues des Universités de Houston et de Palo Alto. Nous avons mis en place deux études, regroupant plus de 300 étudiants américains (98 hommes et 236 femmes), ayant tous une petite vingtaine d’années.

Nous avons lancé ces études, la première ne durant qu’une journée, et la seconde deux semaines. Les participants devaient nous faire part de leur usage quotidien de Facebook, du nombre de comparaisons sociales qu’ils y faisaient, et d’éventuels symptômes dépressifs qu’ils auraient pu ressentir. Au final, nous avons découvert que les personnes (des deux sexes) qui passaient le plus de temps sur Facebook ressentaient par ailleurs des symptômes dépressifs plus prononcés, conséquences de comparaisons sociales sur ce réseau.

Bien que d’autres études aient elles-aussi fait ce lien entre l’utilisation de Facebook et l’apparition de symptômes dépressifs, notre étude a mis en évidence le lien entre ces symptômes dépressifs, et le fait que l’on passe beaucoup de temps sur Facebook à se comparer à autrui.

Lorsque l’on se compare à autrui, cependant, nous le faisons instinctivement, et c’est un réflexe que nous ne pouvons malheureusement pas toujours contrôler. À l’identique, à moins de ne pas nous connecter du tout, il nous est impossible de deviner à l’avance si nous allons nous comparer ou pas à nos amis (ou ennemis) Facebook, car nous ignorons totalement sur quel type de contenu nous allons tomber en nous connectant.

Sur Facebook, les gens tentent de se montrer sous le jour le plus positif possible : ils éliminent ainsi les côtés négatifs de leur vie, pour mettre en avant les côtés positifs. Aussi, en nous comparant constamment au “best of” des autres, nous avons tendance à trouver notre propre existence nettement plus terne et générique. Mais si nous gardons à l’esprit que nous nous comparons en fait à une image artificiellement positive et manipulée de la vie d’autrui, peut-être que notre perspective changera enfin.

Les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter ou Instagram ne sont pas intrinsèquement bons ou mauvais. Ils ont été conçus afin de répondre à des besoins précis : nous distraire, et nous permettre de rester en contact avec nos amis – en résumé, des expériences positives. Aussi, si jamais vous vous sentez déprimés après avoir visionné les photos de vacances ensoleillées de vos amis, l’annonce de leurs fiançailles, les photos de leur adorable bébé (il y en a tellement), ou des billets parlant de leur récente promotion… peut-être qu’il est temps de vous éloigner de votre clavier, et de faire une petite pause.

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Un champignon qui ressemble incroyablement à un humain !


Généralement, les champignons sauvages qui poussent au sol ont un pied et un  chapeau Une espèce de champignons qui ne pousse qu’en Grande-Bretagne. Il a un aspect qui rappelle l’humain
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Un champignon qui ressemble incroyablement à un humain !

 

Champignons ©CATERS NEWS AGENCY/SIPA

Champignons ©CATERS NEWS AGENCY/SIPA

Par Hugo Jalinière

Des spécimens rarissimes de champignons à la forme des plus étranges a enfin acquis son statut d’espèce à part entière.

MYCOLOGIE. Nichés dans des brindilles au fond des bois, ils ont un tronc, une tête, deux bras… Des schtroumpfs ? Non, il s’agit d’une drôle d’espèce de champignons de forme humanoïde. Découverts en 2000 par Jonathan Revett, un membre de la Société des naturalistes de Norfolk et Norwich au nord-est de Londres (voir carte ci-dessous), les premiers spécimens de cette étrange espèce ont été nommés Geastrum britannicum, en référence au fait qu’aucun champignon de ce type n’avait encore jamais été trouvé ailleurs qu’en Angleterre. 15 ans après, de nouvelles analyses publiées dans la revue Persoonia – Molecular Phylogeny and Evolution of Fungi confirment qu’il s’agit bien d’une espèce particulière, unique en son genre.

Des analyses ADN confirment l’espèce

 

Ces 15 dernières années, les experts en mycologie – la science des champignons – se sont demandés s’il s’agissait bien là d’une nouvelle espèce, ou s’il valait mieux les considérer comme une variante des très rares Rayed Earthstar dont l’apparence ne semble différer que très légèrement (voir ci-contre, ©Dan Molter).  Mais un ré-examen récent des spécimens et des analyses de séquence ADN ont permis à des mycologues espagnols de déterminer qu’il s’agissait bien d’une espèce à part entière, exclusive à la Grande-Bretagne. En effet, depuis la découverte fortuite de Jonathan Revett en 2000, d’autres spécimens ont également été collectés dans le Hampshire (sud-ouest de Londres) et près de la frontière avec le Pays-de-Galles.

« Pour nous, c’est un peu comme pour un ornithologue découvrant pour la première un oiseau rare. Car ce n’est pas seulement une nouvelle espèce pour Norfolk ou l’Angleterre, c’est nouveau pour la science elle-même », explique Tony Leech, président dela Société des naturalistes de Norfolk.

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Des insectes au menu de la cafétéria de l’Université de Winnipeg


Ce cuisinier d’une cafétéria d’une Université de Winnipeg va-t-il trouver des adeptes des nouvelles options qu’il offre sur son menu ? En tout cas, il est probable qu’un jour prochain, ce choix alimentaire sera une aide considérable pour s’alimenter pour diminuer l’impact des animaux liés à la consommation et l’environnement
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Des insectes au menu de la cafétéria de l’Université de Winnipeg

 

La cafétéria de l’Université de Winnipeg va commencer à offrir des plats à base d’insectes. Le chef cuisinier Ben Kramer, sensible aux enjeux nutritionnels de la planète, a décidé de faire des expériences avec son menu. La journaliste Bouchra Ouatik , de CBC Winnipeg, l’a rencontré et nous parle de son projet.

Bouchra Ouatik croit que les insectes sont l’avenir de l’alimentation. « Élever les insectes a de bien moins grandes répercussions environnementales que l’élevage des animaux pour la viande. »

Il a fabriqué du pain naan à base de farine de grillons qu’il a servi avec du chutney et des grillons entiers rôtis. Il a fait aussi une sauce tzatziki avec des concombres râpés et des larves de ténébrions, qui ont une texture semblable à celle du concombre.

grillons

Le chef explique : « Les grillons ont une texture qui se rapproche de celle des graines de citrouille grillées et goûtent les graines de tournesol. Nous avons commencé par nous demander ce que le goût nous rappelait et avec quoi ils s’accordent, puis nous nous sommes dit, là où nous utilisons des graines de citrouille, pourquoi ne pas utiliser des grillons? »

Il espère sensibiliser les gens aux répercussions liées à la nourriture qu’ils achètent et qu’ils consomment.

« Je ne veux pas éliminer le boeuf ou le poulet, mais je veux en réduire la consommation, tout en continuant d’offrir des protéines. »

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