Solidarité


En étant solidaire, nous pourrions réussir des plus grandes choses durables que ce soit pour les hommes et femmes, pour la faune et la flore tout le monde y gagnerais
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Solidarité

 

Désormais la solidarité la plus nécessaire est celle de l’ensemble des habitants de la Terre.

Albert Jacquard

15 animaux très étranges


 

Il y a des animaux tant d’animaux sur terre, dans les airs et les mers qu’il est difficile de tous les connaître et voici un échantillons dont certains nous en avons eu connaissance par les médias à cause de leur étrangeté
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15 animaux très étranges

 

Le poisson pacu

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Le colibri Hawk-Moth

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Atretochoana

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Le poisson-perroquet

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Le Requin Goblin

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Le poisson-chauve souris Galapagos

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Umbonia Spinosa

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Un curieux animal

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Un mantis

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Une mite vénézuélienne

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Un isopod géant

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Une vipère des buissons

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Une drôle de grenouille

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Un Okapia

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Un cochon des eaux

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http://www.insoliteqc.com/

Le Saviez-Vous ► Les 5 Aliments Que Vous Ne Devriez Plus Jamais Mettre Au Micro-Ondes.


Le four micro-ondes est un outil utile pour dépanner, mais il est conseillé quand même d’éviter certains aliments et bien sûr, le plastique.
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Les 5 Aliments Que Vous Ne Devriez Plus Jamais Mettre Au Micro-Ondes.

Le four à micro-ondes, on en a quasiment tous un dans sa cuisine — et parfois même, au bureau.  Contrairement à un four traditionnel, les micro-ondes réchauffent instantanément les molécules, jusqu’à 2-3 cm sous la surface des aliments.  Il faut reconnaître que c’est bien pratique pour réchauffer ses plats ou décongeler un repas.

C’est cette facilité et rapidité qui a fait le succès du four micro-ondes : il nous permet d’économiser du temps.  Mais, prenez garde : voici les 5 aliments qu’il ne faut jamais mettre au micro-ondes.

1. Le lait maternel

Une des raisons principales de nourrir un nouveau-né avec du lait maternel est qu’il possède une teneur élevée en puissants agents anti-bactériens. Or, une étude conduite sur le lait maternel réchauffé au micro-ondes révèle que l’intensité de la chaleur peut avoir des effets néfastes sur les agents anti-bactériens. 

En effet, le lait maternel passé aux micro-ondes à haute température augmente la croissance de la bactérie E. coli. À haute température, ce développement est 18 fois plus élevé que le lait maternel réchauffé sans micro-ondes.  Dans les échantillons de lait maternel passés à basse température au micro-ondes, les chercheurs ont trouvé une baisse d’activité dramatique des iso-enzymes.  En plus, le lait maternel réchauffé à basse température favorise le développement des bactéries nocives aux nouveau-nés.

2. Le brocoli

Le brocoli est un aliment que l’on réchauffe souvent au micro-ondes. C’est parce qu’on en trouve facilement et qu’il se réchauffe rapidement.  Saviez-vous que les aliments perdent des nutriments en fonction de la méthode que l’on utilise pour les cuire ? Par exemple, la préparation la plus douce des aliments est la cuisson à la vapeur.

Eh bien, même cuit à la vapeur, le brocoli perd 11 % de ses antioxydants.  En comparaison, si vous le passez au micro-ondes avec un peu d’eau, le broccoli perd 97 % de ses antioxydants bénéfiques à l’organisme !

3. Les fruits surgelés

On est d’accord, acheter des fruits surgelés, ça permet d’économiser du temps et de l’argent.  On pourrait même dire que les fruits surgelés sont une alternative saine aux fruits frais, car le procédé de surgélation conserve leurs nutriments. En effet, les fruits commencent à perdre leurs nutriments dès qu’ils sont cueillis. Du coup, les fruits surgelés qui proviennent d’une autre région peuvent avoir une teneur plus élevée en nutriments que les fruits frais cueillis près de chez soi. C’est parce que les fruits frais passent du temps en entrepôts, puis en transport, et enfin en étal. Et à chaque étape, leur teneur en nutriments diminue.

Des scientifiques russes on étudié la décongélation des fruits surgelés dans les années 70. Ils ont découvert que décongeler les fruits avec un four à micro-ondes transforme certains composants (la glucoside et la galactoside). En effet, ces composants, bénéfiques à l’organisme, deviennent cancérigènes quand ils sont décongelés au micro-ondes. Les Russes ont approfondi leurs recherches sur les fours à micro-ondes jusqu’au début des années 90. Leurs recherches ont conclu que les micro-ondes ont un impact important sur le système immunitaire. Conclusion, le meilleur moyen de décongeler les fruits est la décongélation à l’air libre ou dans le réfrigérateur.

4. La viande décongelée

Les fours à micro-ondes qui n’ont pas de plaque tournante peuvent provoquer une distribution inégale de la chaleur lors de la cuisson et de la décongélation.  La viande est un aliment difficile à décongeler avec un four à micro-ondes.

Pourquoi ? C’est parce que le procédé est tellement long que la viande peut commencer à cuire. La partie extérieure de la viande cuit en prenant une couleur marron peu ragoûtante — alors que la partie intérieure n’a pas décongelé.  Quand la température de la viande est entre 5 °C et 60° C, cela favorise le développement de bactéries et de micro-organismes. Si vous ne cuisez pas rapidement la viande après l’avoir décongelée, celle-ci devient un véritable nid à bactéries.   Par ailleurs, des scientifiques Japonais ont découvert que la viande qui cuit pendant plus de 6 min perd la moitié de sa teneur en vitamine B12. Le meilleur moyen de décongeler votre viande est de la mettre au frigo avant de vous coucher. Vous pouvez aussi la décongeler avec de l’eau froide, mais c’est un geste qui n’est pas très écologique.

5. Les aliments enveloppés de film plastique

Si vous achetez des repas à emporter, prenez garde à ceux qui sont en récipients en plastique ou enveloppés de film plastique. La règle générale est qu’il ne faut jamais passer au micro-ondes des aliments en contact avec du plastique.

Pourquoi ? C’est parce que réchauffer des aliments dans du plastique est cancérigène. Le réchauffement de ces emballages et récipients en plastique peut dégager des produits chimiques nocifs et, ce, directement dans vos repas et aliments.

Voici quelques exemples de produits chimiques qui peuvent être dérivés du plastique : le bisphénol A (BPA), le polytéréphtalate d’éthylène (PET), le benzène, le toluène, et le xylène. 

On peut aussi faire un rapprochement avec les problématiques liées au lait maternel, mentionnées ci-dessus. On se rend vite compte que passer du lait pour bébé au micro-ondes et dans un récipient en plastique est une mauvaise idée. 

Pour conclure Malgré les innovations et améliorations des fabricants, réchauffer ses aliments avec un four à micro-ondes est une solution de dernier recours.  L’idéal est de préparer ses repas à la méthode « traditionnelle » et d’éliminer (ou, du moins, réduire) notre utilisation du micro-ondes.

http://www.comment-economiser.fr/

La réaction d’une petite fille envers un enfant autisme


C’est belle histoire vécu. Je pense que cette jeune fille devait avoir quelqu’un de son entourage pour avoir agit de cette façon avec ce garçon autisme. En temps que parents, quand nous sommes en présence d’enfants où même des adultes qui sont différents, il est important d’en discuter avec eux pour éviter les préjugés
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La réaction d’une petite fille envers un enfant autisme

@aprilshaw

Les ambulanciers, les pompiers et les policiers ont tous quelque chose en commun. Quand un danger se produit, tout le monde s’en écarte et court pour y échapper. Ils sont les seuls à courir vers lui. Ils sont les premiers sur place, à aider, à sauver, et servir les gens. Dans mon monde, « secouristes » signifie quelque chose d’un peu différent.

La première année après le diagnostic de l’autisme de mon fils –il y a cinq ans maintenant– était de loin l’une des plus difficiles de mon existence. La nouvelle nous a heurtés comme une voiture de plein fouet. Nous étions perdus, confus, et dans un sens, nous étions dans un état d’incompréhension : « que pouvons-nous faire ? ». Plus qu’autre chose, je me sentais seule. Je n’oublierais jamais la première personne qui s’est intéressée à notre cas, elle se prénommait Dana.

Elle fût la première à nous tendre la main. Elle avait également un fils autiste, et nous a dit que la première année serait sûrement la plus difficile…Mais elle nous a aussi dit de mieux nous renseigner sur la maladie. De trouver un thérapeute, une école, une ville, et notre propre chemin. Nous avons tout fait. Elle était notre première « secouriste ».

Plus tard, j’ai rencontré toutes ces personnes citées ci-dessous, qui ont été nos « secouristes ». La personne qui nous a tendu la main, celle qui est venu nous aider. Ceux qui dévouent leurs vies à leurs enfants et pour leur famille, comme nous. Comme Dana. Elle était la première secouriste. C’est quelque chose que l’on n’oublie jamais et, j’espère pouvoir un jour être la première secouriste de quelqu’un.

Le printemps revient, et la chaleur aussi. Je repense à l’été dernier. A cette petite fille nommée « Jade ». Nous habitions dans un appartement, où nous avions une piscine pour toute la résidence. Nous évitions la chaleur, la foule et pour être honnête, les regards également. Un jour à la piscine, un homme, après avoir regardé mon fils, a fait un signe à sa femme comme pour dire qu’il était fou, en faisant tourner son doigt sur sa tempe. Les gens se sont habitués à indiquer que quelqu’un est fou. Cela arrive.

Je rentrais alors chez moi, en pensant à ce que j’aurais dû lui répondre, ou lui faire pour lui donner une leçon. Mais au lieu de ça, je me suis effondrée en sanglots en arrivant dans l’appartement. J’évitais alors la piscine le plus possible. Là-bas, les enfants ne jouaient jamais avec mon fils, d’autant plus quand, au bout de quelques minutes ils se rendaient compte qu’il était différent. Ils s’en allaient. Ils s’en allaient toujours.

Sauf une seule fois…


@aprilshaw

J’étais assise sur le bord de la piscine, à regarder mon fils sauter et jouer dans l’eau. Arriva Jade, âgée de 7 ou 8 ans, cheveux blonds, tâches de rousseur sur le nez, 20 kilos. C’est tout.  Elle commença à s’approcher de lui. Elle lui parla, lui posa des questions, et comme toujours, il ne répondit pas. Seulement cette fois-ci, au lieu partir comme les autres enfants avant elle, elle resta. Elle me regarda, et me demanda « Est-ce qu’il parle ? ». Je répondis «Non, il ne parle pas ». Elle continua : « Est-il autiste ? ». Je n’allais pas lui mentir, la question me gênait un peu. Je n’étais pas sûre de savoir comment expliquer à une si jeune petite fille ce qu’était l’autisme. 

Ma réponse fût courte : « Oui, il l’est ». Elle se retourna alors et changea d’approche avec lui. Au lieu de lui poser des questions, elle commença à lui dire quoi faire. « Là, monte dans le bateau, je vais te pousser ». « Je vais te lancer la balle et tu l’attrapes d’accord ? »

Wow. Etait-ce bien ce que j’étais en train de voir ? Mon fils était-il en train de jouer ? Mon fils avait-il finalement une amie ? Pendant vingt minutes, jusqu’à ce que la petite fille doive partir, je regardais ces deux enfants jouer ensembles, et pour la première fois,l’un d’entre eux était le mien. Par miracle, j’avais des lunettes de soleil, parce que j’étais une fontaine. Mes larmes ne pouvaient s’empêcher de couler, de joie.

Si j’avais arrêté de m’aventurer à la piscine à cause de cet homme montrant du doigt mon fils, j’aurais raté deux choses formidables. La première étant celle-là : en vingt minutes, Jade avait réalisé une chose que j’attendais de voir depuis six ans. Mon fils, le MIEN, jouer avec un ami ! La deuxième chose dont j’ai été témoin, était tout aussi surprenante : en cette chaude journée de vacances, j’ai vu une « secouriste » naître. Et ça, c’est quelque chose que l’on n’oublie jamais.

http://www.demotivateur.fr/

DECOUVERTE. Une nouvelle espèce de grenouille, sosie de Kermit le Muppet


Kermit la grenouille existe-t-il vraiment ? Une grenouille longtemps passée inaperçu, mais qui est très particulière a été découverte et qui vue de face, on pourrait croire qu’elle aurait été le modèle de la célèbre marionnette des Muppets
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DECOUVERTE. Une nouvelle espèce de grenouille, sosie de Kermit le Muppet

La grenouille découverte ressemble terriblement à Kermit. ©Kubicki et al. / ©Hutchins/NEWSCOM/SIPA

La grenouille découverte ressemble terriblement à Kermit. ©Kubicki et al. / ©Hutchins/NEWSCOM/SIPA

Par Morgane Kergoat

La petite grenouille qui vient d’être découverte au Costa Rica vaut le coup d’œil. Non seulement elle ressemble à un personnage du Muppet Show, mais son ventre est aussi surprenant.

KERMIT. C’est une grenouille peu ordinaire qu’a découvert l’herpétologiste Brian Kubicki dans les forêts humides pré-montagneuses (entre 400 et 800 mètres d’altitude) de Talamanca, au Nord-Est du Costa Rica. D’abord parce que sa ressemblance avec la marionnette Kermit, la grenouille du Muppet Show, est frappante, en particulier au niveau de ses yeux.

« Ses iris sont très blancs avec des taches ou réticulations fines et sombres« , décrivent B.Kubicki et ses collègues dans leur étude.

Sa peau est d’un même vert-pomme, sauf vue de dessous. Hyalinobatrachium dianae, comme elle a été baptisée, appartient à la famille des Centrolenidae, dont les espèces sont appelées « grenouilles de verre ». Et pour cause : son ventre et son cou sont entièrement transparents. De sorte que l’on voit tous ses organes (photo ci-dessous).

Hyalinobatrachium dianae a le ventre transparent comme du verre ©Kubicki et al.

Enfin, cette petite grenouille – le mâle adulte mesure un peu moins de 30 mm de long – a une signature vocale bien particulière. Son cri est un long sifflet métallique qui ressemble, plus que celui de toute autre grenouille, au bruit d’un insecte. Ce qui explique peut-être pourquoi elle est passée inaperçue jusqu’alors.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Piratage : une rançon pour sauver vos vidéos


Des cybercriminels amassent de l’argent en prenant des ordinateurs en otage dans le but de demander des rançons. Ils peuvent toucher des professionnels comme monsieur et madame partout dans le monde. Il faut être prudent quand on clique sur des liens sur des sites ou dans nos courriels
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Piratage : une rançon pour sauver vos vidéos

 

Des cybercriminels ont trouvé une façon de faire beaucoup d’argent en kidnappant carrément le contenu de votre ordinateur. Au moyen d’un logiciel malveillant, ces fraudeurs encodent toutes vos données et affirment que la seule façon de les décoder est de payer une rançon.

Une internaute québécoise s’est fait prendre au piège. Un réel problème pour des internautes, des entreprises, mais aussi pour des municipalités.

Le virus informatique Cryptowall est le cauchemar de nombreux internautes depuis déjà plusieurs années. En ouvrant un fichier infecté ou en cliquant sur un hyperlien malveillant, l’internaute se retrouve dans une spirale où ses données sont encryptées et difficilement récupérables.

Le traquenard

Votre ordinateur est infecté dès le début du téléchargement de ce programme troyen malveillant. Le logiciel Crypto prend alors le contrôle et chiffre vos données, qui deviennent alors inaccessibles par son propriétaire. Peu de temps après, un message flash apparaît sur votre écran. On vous demande alors une rançon pour obtenir une clé de déchiffrement de vos photos, de vos vidéos et d’autres documents importants.

La pression

Le message vous explique que la seule façon de désencrypter vos données est de payer la rançon dans un délai de 72 à 96 heures. Passé ce délai, on pourrait vous demander une rançon supplémentaire.

« Alors à un moment donné, la pression monte et monte. Malheureusement, les gens cèdent à cette pression et ils vont payer. Et il n’y a pas de garantie qu’ils vont récupérer leurs fichiers. » — François Daigle, expert en sécurité de l’information chez Okiok

Les transactions se font souvent en bitcoin, une monnaie virtuelle qui préserve l’anonymat du fraudeur.

L’an dernier, c’est au Québec où il y a eu le plus de plaintes pour vols de données et tentative d’extorsion, 196, devant l’Ontario, selon le Centre antifraude du Canada. En Ontario, les rançons payées sont en moyenne de plus de 10 300 $ et de plus de 9300 $ au Québec.

Une résidente de Saint-Lambert extorquée

Angèle Bisaillon accorde beaucoup de valeur aux photos et aux vidéos prises avant et après la naissance de son premier enfant. Elle avait sur son disque dur près de 40 000 fichiers, d’impérissables souvenirs.

« On a des photos, des vidéos qu’on a prises à l’hôpital quand il avait quelques heures de vie. Pour moi, ça n’a pas de prix », dit-elle.

Mais à la fin du mois de mars, elle apprend que ses données ont un prix : 3 bitcoins.

Après avoir consulté plusieurs spécialistes en informatique, elle décide de payer la rançon demandée. Elle demande à l’entreprise Microfix d’effectuer la transaction en bitcoins. En vain, puisqu’elle apprend que son ordinateur n’a pas été infecté par un seul virus informatique, mais bien par deux. Elle paie une autre rançon, encore une fois par bitcoins.

« On est rendu à près de 3000 $. On a mis ça sur notre carte de crédit. Je ne sais pas comment je vais faire pour payer ça. » Angèle Bisaillon

Au final, Microfix a pu récupérer ses vidéos, mais pas ses photos.

Payer ou ne pas payer?

La Gendarmerie royale du Canada recommande de ne pas payer la rançon, car avec les fraudeurs, rien n’est garanti. Chez les spécialistes en informatique, deux points de vue s’affrontent. En grande partie à cause de la complexité du chiffrement.

Fraudes sur Internet 

Photo :  Radio-Canada

« On n’a pas le choix de payer la rançon si on n’a pas de copies de sauvegarde de ses documents. »— Mathieu Jacques, directeur général de l’entreprise Microfix

Du côté de l’entreprise Okiok, on tient un discours différent.

« Moi, je suggère toujours de ne jamais payer. On vous kidnappe le contenu de votre ordinateur et on vous demande une rançon. Une fois que vous avez payé, il n’est aucunement garanti qu’on va vous envoyer la clé de déchiffrement », dit François Daigle.

Un phénomène mondial

Le phénomène est important. Le Centre antifraude du Canada estime que, partout dans le monde, les cybercriminels ont recueilli des millions de dollars grâce à des cryptorançongiciel. Les particuliers, les entreprises et les gouvernements sont visés.

Au Québec, la Ville de Dorval a été infectée par le Cryptowall et tous les courriels de ses employés ont été codés. Les fraudeurs ont demandé une rançon de 1000 $, et la Ville a payé. Son porte-parole a refusé notre demande d’entrevue.

Prendre ses précautions

La meilleure façon de se protéger d’un virus comme Cryptwall est de faire des copies de sauvegarde de ses données sur un disque dur externe qu’on débranche de son ordinateur une fois que les copies sont effectuées. Il faut aussi éviter d’ouvrir des pièces jointes qui proviennent d’un expéditeur qu’on ne connaît pas.

Certains sites Internet peuvent aussi héberger des hyperliens malveillants dont il faut se méfier. Angèle Bisaillon a bien appris la leçon.

« C’est sûr que je suis contente d’avoir récupéré mes vidéos, mais pour les photos, je suis très déçue. Surtout que ça a coûté cher. »

http://ici.radio-canada.ca/

Faut-il parler d’incontinence urinaire?


L’incontinence urinaire est un sujet trop souvent tabou. Il est vrai que ce problème touche surtout les femmes, pourtant, tout le monde est concerné autant des hommes, des sportifs, des jeunes et vieux. Il y a des moyens pour de diminuer l’incontinence urinaire, et il ne faut surtout pas oublier d’en parler à son médecin
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Faut-il parler d’incontinence urinaire?

 

Denis Fortier

Évidemment, je réponds oui à la question. Mon billet d’aujourd’hui porte sur l’incontinence, la rééducation périnéale et ce que vous pouvez faire pour améliorer la situation, la vôtre ou celle d’un proche. Des hyperliens vous conduiront vers les références scientifiques et les ressources pertinentes.

Nous sommes tous à risque d’être directement concerné par l’incontinence urinaire: enfants, jeunes et moins jeunes adultes, hommes et femmes, personnes sédentaires, sportifs et (encore davantage) athlètes. L’incontinence urinaire est donc beaucoup plus fréquente qu’on pourrait le croire et les personnes qui en sont touchées en parlent très peu. Même leur médecin traitant n’est souvent pas au courant de la situation; un silence parfois dû à la gêne ou à une méconnaissance des modalités thérapeutiques offertes qui sont par ailleurs efficaces.

Des nuances et des catégories

L’incontinence urinaire ne signifie pas une incapacité totale à retenir l’urine, mais elle est plutôt une perte urinaire involontaire, peu importe le volume, la fréquence ou les circonstances. Voici les principales catégories d’incontinence:

À l’effort: il s’agit de la forme la plus fréquente. Elle se définit par une perte involontaire d’urine due à un effort physique, à l’éternuement ou à la toux. La prévalence de l’incontinence à l’effort serait de 34,7% chez les femmes de plus de 50 ans et de 18,3% chez les femmes de 50 ans et moins. Ces données ne comptabilisent pas les autres catégories d’incontinence, d’autant plus que plusieurs solutions existent pour améliorer ou régler ce type d’incontinence, dont un programme d’exercices ciblant notamment les muscles du plancher pelvien.

D’urgence (aussi appelé d’urgenturie ou par impériosité): elle consiste en une perte involontaire d’urine associée à l’urgence d’uriner. Cette forme d’incontinence est celle qui causerait le plus d’inconvénients selon une étude publiée en 2014 faite auprès de 6000 hommes et femmes. L’incontinence d’urgence est souvent associée à une fréquence élevée des mictions, notamment la nuit (nycturie et énurésie), ainsi qu’à une hyperactivité de la vessie et cette association toucherait davantage les femmes que les hommes, soit respectivement 9,3% contre 2,6%. L’hyperactivité de la vessie existe aussi sous une forme «sèche», sans perte d’urine, qui cette fois touche les hommes et les femmes en proportion égale, soit 16% de la population.

Mixte: une combinaison de l’incontinence à l’effort et d’urgence.

Fonctionnelle: il s’agit d’une perte involontaire d’urine due à une diminution de mobilité, à une barrière environnementale ou à un état de santé précaire comme une maladie dégénérative qui complexifie ou rend impossible les déplacements. Les personnes âgées vivant en résidence ou en centre d’hébergement sont particulièrement concernées par ce type d’incontinence qui augmente leur risque d’infection et d’hospitalisation et entraîne souvent une perte immense de la qualité de vie.

« Les douleurs au bas du dos seraient plus fréquentes en présence d’incontinence. »

Les facteurs de risque chez la femme

Les deux facteurs de risque d’incontinence les plus connus chez la femme sont certainement la grossesse et l’accouchement. Même si l’un ne va pas sans l’autre, leur complexité et leurs spécificités méritent une analyse distincte. La prévalence de certains types d’incontinence urinaire chez les femmes qui n’ont jamais accouché serait de 10%, contrairement à 15,9% pour les femmes ayant accouché par césarienne et 21% par voie vaginale. L’obésité est aussi un facteur de risque important. De chercheurs américains ont documenté que la perte de poids peut réduire les signes d’incontinence jusqu’à 65% chez les femmes obèses souffrant d’incontinence urinaire à l’effort. La liste des autres facteurs de risque de l’incontinence urinaire inclut notamment le prolapsus (vaginal, de la vessie et/ou de l’utérus), les infections à répétition, les antécédents familiaux, l’hypermobilité (souplesse ligamentaire très élevée) et l’âge.

Les facteurs de risque chez l’homme

L’incontinence urinaire touche environ un homme sur 10, étant plus fréquente à partir de 65 ans. Elle est souvent associée à d’autres problèmes de santé, notamment à une intervention à la prostate et les symptômes qui s’en suivent s’atténuent généralement dans les semaines et les mois, notamment à l’aide d’exercices de rééducation faits avant et après la chirurgie.

10 choses que vous pouvez faire facilement si vous souffrez d’incontinence

Diminuez votre consommation de certains liquides, particulièrement le café qui serait un irritant pour la vessie (plus de deux tasses par jour);

Urinez de façon régulière, voire préventive. Exemple: chaque heure, puis diminuer la fréquence graduellement, si possible;

Traitez la constipation, celle-ci peut contribuer à l’incontinence;

Envisagez une perte de poids si votre IMC excède 25.

Stimulez les muscles du plancher pelvien, notamment dans un contexte de grossesse, d’immobilisation, d’intervention à la prostate ou toute autre situation qui rend difficile la contraction.

Renforcez les muscles du plancher pelvien. Faites les exercices dans une diversité de positions, de mouvements, d’intensités et de séquences de contractions. Ils doivent aussi être adaptés à votre santé générale ainsi qu’à votre forme physique.

Combinez le yoga aux exercices des muscles du plancher pelvien.

Préservez la santé de votre dos en maintenant la forme, l’endurance et la souplesse des muscles profonds du dos et de l’abdomen. Les douleurs au bas du dos seraient plus fréquentes en présence d’incontinence.

[Chez les personnes plus fragiles] Maximisez votre autonomie en maintenant ou en améliorant globalement votre force afin de faciliter les déplacements, en adaptant adéquatement votre chambre et en utilisant les aides techniques disponibles. Un ergothérapeute pourra être fort utile à cet égard.

[Plus spécifiquement chez la femme enceinte] Assistez à un ou des ateliers pré ou post-partum offerts par certains centres de physiothérapie afin d’être mieux informée des conséquences de la grossesse et de l’accouchement sur les muscles du plancher pelvien ainsi que des solutions possibles, que l’incontinence soit présente avant l’accouchement ou dans les jours et les semaines suivantes. Les exercices des muscles du plancher pelvien ont été démontrés particulièrementefficaces dans ce contexte.

« L’incontinence urinaire touche environ un homme sur 10 et elle est beaucoup plus fréquente à partir de 65 ans. »

L’équipe médicale

Votre médecin de famille est une personne indispensable pour vous aider à améliorer votre condition. Il vous donnera des conseils, vous proposera différentes solutions thérapeutiques, notamment en vous informant sur les traitements pharmacologiques disponibles ou en vous recommandant à d’autres professionnels de la santé comme un urologue, un gynécologue ou un neurologue. Votre médecin pourra aussi vous proposer une évaluation faite par un physiothérapeute spécialisé en rééducation périnéale, dont les bons résultats ont été démontrés dans une étude publiée récemment. Ces physiothérapeutes sont formés pour évaluer et traiter les problèmes d’incontinence urinaire et fécale. Ils peuvent aussi vous proposer un programme d’exercices spécifiques plus global et vous conseiller sur d’autres alternatives thérapeutiques.

« La prévalence de l’incontinence à l’effort serait de 34,7% chez les femmes de plus de 50 ans et de 18,3% chez les femmes de 50 ans et moins. Ces données pour le moins surprenantes ne comptabilisent pas les autres catégories d’incontinence (…) »

4 faits sur l’incontinence urinaire, le sport et l’activité physique

Plusieurs études documentent le risque d’incontinence associé aux sports et aux activités physiques. Ce risque peut être diminué par des exercices adéquats qui peuvent être facilement intégrés à l’entraînement ou durant la période d’échauffement. Cette préoccupation est grandissante chez les personnes qui pratiquent régulièrement une activité physique et c’est pourquoi j’ai tenu à proposer ce type d’exercices dans mon livre. Non seulement il est important de stimuler et renforcer le plancher pelvien, mais aussi de stimuler la respiration diaphragmatique et l’activité des muscles posturaux, dont les abdominaux profonds.

Près du tiers des femmes pratiquant une activité physique aurait des pertes urinaires pendant au moins un type d’activité.

La prévalence de l’incontinence urinaire chez les athlètes féminins serait particulièrement élevée lors de la pratique de sports d’impact comme le trampoline, la gymnastique, le hockey et le ballet.

Les troubles alimentaires seraient associés à l’incontinence chez les athlètes, notamment les femmes pratiquant la course à pied (longue distance). Une étude publiée récemment a révélé que l’incontinence à l’effort touchait 45,5% des femmes faisant partie d’un groupe formé d’athlètes professionnelles qui pratiquaient le ski et la course à pied.

Chez les femmes âgées de 18 à 35 ans, la prévalence de l’incontinence urinaire était de 28% chez les athlètes et de 9,8% chez les non-athlètes. Les femmes non-athlètes étaient réparties en deux sous-groupes (actives et sédentaires) pour lesquels aucune différence n’était observée en terme de la prévalence.

Denis Fortier est physiothérapeute et auteur du livre Conseils d’un physio, publié aux Éditions Trécarré.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Espace: Après Hubble, il y aura le téléscope Webb


Le télescope Hubble nous as ébahi de voir une partie de la splendeur de l’Univers, alors le télescope Webb serait encore plus puissant pour s’approcher de la Genèse de l’Univers, pouvant voir au delà des nuages cosmiques. Imaginez si nous pouvons voir le passé de l’espace, alors nous avons en quelque sorte une machine pour remonter le temps … Mais cet aspect du passé est quand même difficile à concevoir pour la plupart d’entre nous
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Espace: Après Hubble, il y aura le téléscope Webb

 

Le télescope spatial James Webb sera lancé en 2018, affirme la NASA, qui a retardé sa mise en orbite à quelques reprises depuis quelques années. Ce nouvel instrument d’observation sera 100 fois plus puissant que Hubble et permettra de remonter le temps jusqu’à la genèse de l’Univers et des premières galaxies.

Selon l’astronome Mark Clampin, Webb pourra remonter jusqu’à au moins 300 millions d’années après le big bang, qui a donné naissance à l’Univers il y a 13,8 milliards d’années. Il sera ainsi possible d’observer les toutes premières étoiles et galaxies qui sont apparues.

Il permettra ainsi de nous rapprocher bien plus près de la naissance de l’Univers que Hubble, lancé il y a 25 ans et qui restera en activité jusqu’à ce qu’il ait des ennuis techniques.

« Webb représente une très grande percée comparativement à Hubble avec notamment un miroir principal trois fois plus grand (6,5 mètres de diamètre) et la capacité d’observer dans l’infrarouge pour discerner les objets les plus éloignés aujourd’hui invisibles. » — Mark Clampin, NASA

Webb pourra voir 70 % plus de lumière que Hubble.

Il pourra ainsi voir à travers les nuages de gaz et de poussières cosmiques, pour pénétrer dans les endroits les plus lointains et cachés du cosmos.

Et les exoplanètes

Ce télescope devrait aussi faire avancer les recherches sur les exoplanètes, en orbite autour d’étoiles dans notre galaxie, la Voie lactée, grâce à des capteurs et à des équipements capables d’analyser leur atmosphère pour en comprendre la composition.

Actuellement, plus de 5000 de ces planètes ont été détectées. Parmi elles, certaines ont une taille proche de celle de la Terre, sont potentiellement habitables, ni trop chaudes ni trop froides, où l’eau pourrait exister à l’état liquide, et donc abriter de la vie.

Au final, Webb pourrait permettre de faire des progrès importants dans la recherche pour la vie dans l’Univers, car il est suffisamment puissant pour détecter des biosignatures dans l’atmosphère de ces planètes. Il s’agit de molécules d’eau et d’oxygène et peut-être même de pollution de civilisations extraterrestres.

Ce télescope sera placé à 1,5 million de kilomètres de la Terre. Hubble est en orbite à 570 km de la Terre.

webb

Les ingénieurs de la NASA mènent une série de tests avec les miroirs, les quatre caméras et spectromètres et d’autres éléments du télescope pour être certains de leur capacité à bien fonctionner dans le vide de l’espace et à très basse température.

Les agences spatiales européenne et canadienne participent aussi au projet.

Le saviez-vous?

Pesant 6,4 tonnes et d’un coût de 8,8 milliards de dollars, le télescope Webb sera lancé par une fusée Ariane V de l’Agence spatiale européenne depuis le centre de Kourou, en Guyane française.

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