Le racisme est stupide


Nous ne choisissions pas la famille, ni le pays, ni la couleur de la peau quand nous naissons, nous sommes, ce que nous sommes par nos racines et nous avons tous un très vieil ancêtre commun, nous ne devrions pas l’oublier
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Le racisme est stupide

 

Le racisme est scientifiquement stupide. Le fait de naître dans une famille ou un pays est uniquement lié au hasard et déconnecté de tout mérite personnel.

Bernard Werber…

La vie est ce qu’on en fait


Je crois avoir déjà mis cette vidéo  semblable de celle-ci, mais il est important de la revoir quand on pense que nous ne valons pas la peine, que nous sommes limités par notre condition, quand la colère contre la vie ou contre les autres mène notre vie. Il y a peut-être une porte qui se ferme, pourtant, une autre s’ouvre, il suffit d’avance et d’être patient
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La vie est ce qu’on en fait

 

Le Saviez-Vous ► Que devient notre corps après la mort ?


Nous sommes poussières et nous retournerons poussière. Si on exclut l’embaumement, notre corps après avoir laissé échapper les gaz chimiques, les bactéries et insectes vont se nourrir gloutonnement pour laisser que les os. Et ce qui est justice après avoir tant pris de la terre, nous l’alimentons pour faire pousser des plantes, des arbres….
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Que devient notre corps après la mort ?

par Vanessa Hauguel

Un corps rigide

Un processus en plusieurs étapes débute, celui de notre décomposition. Commençant avec l’autodestruction des cellules, ou l’autolyse cellulaire, le corps devient ensuite – quelques heures après le décès – particulièrement rigide, à cause des cellules musculaires qui ne parviennent plus à évacuer le calcium. Le corps perd également sa chaleur à un rythme moyen de 0.83°C à l’heure, jusqu’à atteindre la température ambiante. Évidemment, le sang est déjà descendu et agglutiné dans les parties plus basses du corps, d’où ce fameux teint livide.

Putréfaction

L’heure de la putréfaction arrive alors. Les bactéries résidant à l’intérieur de nous et les micro-organismes décomposent les tissus en se nourrissant de leurs fluides. Le nombre de bactéries augmente, produisant de plus en plus de gaz, dont le fréon, le benzène, le soufre et le tétrachlorure de carbone, expliquant les odeurs plutôt nauséabondes survenant à cette étape.

La présence d’insectes

Les insectes aussi se mettent de la partie, comme les larves de mouches bleues qui se nourrissent à leur tour de nos nutriments. Plusieurs semaines et même des mois plus tard, les insectes nécrophages poursuivent le travail pour ne laisser derrière qu’un squelette. Les protéines des os peuvent également se décomposer au fil du temps pour se transformer en poussière, alimentant le sol et les végétaux.

Pour comprendre un peu mieux, voici une vidéo d’animation (en anglais) de Scientific American expliquant ce qu’il advient de notre corps après la mort.

http://www.canald.com/

Doit-on contacter les extraterrestres?


Il y a sûrement une vie ailleurs, peut-être même une civilisation avancée ? Mais nous n’avons jamais eu de preuves formelles, Savent-ils que nous existons ? Sommes-nous en mesure un jour, de communiquer avec eux ? Pourrions-nous avoir des échanges pacifiques sachant que sur terre, nous ne savons pas ce qu’est un monde sans guerre ? Sans avidité au pouvoir, à la richesse ?
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Doit-on contacter les extraterrestres?

 

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La Terre aux extraterrestres de «Toy Story»: «Nous recevez-vous?» | JD Hancock via Flickr CC License by

Dan Falk

Traduit par Catherine Rüttimann

Les Terriens font-ils bien d’attendre (dans le silence) qu’une intelligence extraterrestre les contacte ou devraient-ils entamer activement la conversation? Le débat scientifique sur la question est épineux.

Cela fait maintenant plus de cinquante ans que les astronomes ont lancé la première tentative pour faire la chasse aux signaux radio de civilisations extérieures à notre système solaire de façon systématique –une quête connue sous le nom de recherche d’une intelligence extraterrestre, ou SETI, pour Search for Extra-Terrestrial Intelligence. Au cours de cette période, nos télescopes n’ont eu droit qu’à un silence assourdissant –ce qui a conduit certains scientifiques à se demander s’il ne serait pas temps que les Terriens prennent l’initiative d’entamer la conversation.

Les partisans d’un «SETI actif» sont de l’avis que, plutôt que de chercher à entendre les signaux d’une intelligence extraterrestre de façon passive, nous devrions être en train d’essayer d’atteindre nos voisins de galaxie de façon active –que nous devrions utiliser nos émetteurs radio les plus puissants (tels que le radiotélescope géant d’Arecibo, sur l’île de Porto Rico) pour envoyer des messages en direction des étoiles les plus proches.

«Par le passé nous sommes toujours partis du principe qu’une civilisation extraterrestre capable de nous détecter prendrait automatiquement l’initiative d’entrer en contact avec nous, en nous envoyant un signal puissant pour nous faire savoir qu’elle existait, dit Douglas Vakoch, de l’Institut SETI, à Moutain View, en Californie, et l’un des principaux partisans d’un SETI Actif. Mais peut-être qu’il y a des civilisations qui n’accepteront de révéler leur existence que si nous disons clairement que nous cherchons le contact.»

Le SETI actif a toujours été une question épineuse. En 2006, l’Académie internationale d’astronautique a réuni un comité autour du SETI –mais quand le groupe a refusé de faire pression pour bannir les transmissions proactives, deux de ses membres et pas des moindres, John Billingham, alors directeur du SETI, etMichael Michaud, ont démissionné. Même le comité éditorial du prestigieux journal Nature a émis une mise en garde disant que«le risque posé par un SETI actif [était] réel»:

«Il ne va pas de soi que toutes les civilisations extraterrestres sont bienveillantes –ou que, même avec une civilisation bienveillante, le contact n’aurait pas de sérieuses répercussions pour les gens ici sur Terre».

Le débat a repris en février, lors du rendez-vous annuel de l’Association américaine pour l’avancement de la science, qui se tenait à San José. Douglas Vakoch, directeur de l’Interstellar Message Composition au SETI, a organisé un symposium et une conférence de presse pour parler du SETI actif dans le cadre de l’événement; plus tard dans la semaine, il a tenu à l’Institut une journée d’atelier –et la discussion était là encore animée.

Technologie plus avancée, risque plus grand

Ce sur quoi tout le monde est d’accord –et c’est à peu près la seule chose sur laquelle il y a consensus–, c’est qu’il est probable que toute civilisation extraterrestre que nous trouverons sera plus avancée que la nôtre. (C’est une simple question de statistiques: nous n’avons que quelques centaines d’années en tant qu’espèce industrielle avancée, alors que la galaxie est là depuis treize milliards d’années; les extraterrestres que nous rencontrerons seront sans doute beaucoup plus vieux que nous, et en principe par conséquent largement en avance sur nous.) Technologie plus avancée, risque plus grand.

Toute civilisation extraterrestre sera plus avancée que la nôtre

L’auteur de science-fiction David Brin est un franc détracteur du SETI actif. Il se base sur l’histoire de notre propre planète, où les rencontres entre cultures de sophistications technologiques diverses se passent rarement bien.

«Nous avons de nombreux exemples de civilisations avancées du point de vue technologique qui sont entrées en contact avec des civilisations moins avancées de ce point de vue-là», dit-il. (On pense aux efforts de colonisation européens en Afrique et aux Amériques.) «Et à chaque fois, cela a été douloureux. Même quand les deux côtés avaient les meilleures intentions du monde.»

Ce schéma s’applique même quand les humains n’entrent pas en jeu, d’après David Brin. Quand ce qu’on appelle aujourd’hui l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud ont été réunies par la tectonique des plaques il y a environ trois millions d’années, les mammifères placentaires du nord et les mammifères marsupiaux du sud ont pu entrer en contact.

«En l’espace d’un million d’années, presque tous les mammifères marsupiaux avaient disparu, dit David Brin. Le contact entre biomes a eu des conséquences majeures en termes d’extinction à chaque fois qu’il a eu lieu sur Terre. Je ne prétends pas que c’est la façon dont les choses vont se dérouler quand nous rencontrerons des extraterrestres –mais cela laisse penser que nous devrions au moins commencer par en discuter.»

Jill Tarter, pionnière du SETI et astronome ayant servi de modèle au personnage principal du Contact de Carl Sagan, est d’accord sur le fait qu’il est prudent d’écouter avant de crier:

«Nous devrions reconnaître l’asymétrie [en termes de sophistication technologique], et permettre aux technologies plus anciennes d’assumer la charge la plus importante, celle de la transmission, dit-elle. En tant que cadets, nous devrions avant tout écouter.»

Que diriez-vous à un extraterrestre?

Beaucoup à gagner en tendant la main

À moins que Douglas Vakoch n’ait raison, et qu’ils attendent de nous entendre. Le cas échéant, et si nous choisissons de rester silencieux, nous passons à côté d’une incroyable occasion.

«Peut-être la communication interstellaire est-elle une forme d’échange économique par le biais duquel les civilisations partagent des informations précieuses les unes avec les autres, dans une forme d’altruisme réciproque entre différentes générations», dit-il, ajoutant que des exemples de ce type d’altruisme existent chez différentes espèces animales ici sur Terre.

Seth Shostak, le facétieux astronome à la coupe au bol qui dirige l’Institut, est d’accord pour dire que nous n’avons pas grand-chose à perdre et probablement beaucoup à gagner en tendant la main. D’ailleurs ils savent probablement déjà que nous sommes là: nos programmes de radio et de télévision et nos radars militaires en particulier répandent des informations dans l’espace depuis environ soixante-dix ans, fait remarquer Seth Shostak. On ne peut pas faire machine arrière du point de vue électromagnétique.

«Toute société qui a au moins cent ou deux-cents ans d’avance sur nous sera capable de détecter la fuite, dit Seth Shostak. À moins qu’ils n’aient arrêté de se développer technologiquement –ce qui est bien sûr possible, mais alors ils ne sont pas une menace pour nous.» (Accessoirement, la plaque minéralogique de Seth Shostak affiche SETI GUY [soit le mec du SETI, ndt]; celle de Douglas Vakoch, plus cryptique, dit ASETI, pour Active SETI.)

Le plus probable, c’est qu’ils n’ont aucune idée que nous sommes là

David Brin, auteur de science fiction et titulaire d’un doctorat en sciences planétaires

Mais peut-être n’avons-nous pas encore vendu la mèche: David Brin n’accepte pas la thèse de Shostak selon laquelle «ils» savent déjà que nous sommes là (ce qu’on appelle quelquefois l’excuse de la «porte de l’écurie»[1]. Seth Shostak est trop généreux dans son calcul de notre visibilité depuis des centaines (si ce n’est des milliers) d’années-lumière, dit David Brin, qui est titulaire d’un doctorat en sciences planétaires et a été consultant pour la Nasa. Les signaux terrestres radio et télé, de la série I Love Lucy à ce qui s’échappe de Vandenberg ou de Guantanamo, sont relativement faibles. De plus, les signaux électromagnétiques chutent proportionnellement au carré de la distance (et les extraterrestres, s’ils existent, sont sacrément loin).

Le plus probable, dit Brin, c’est qu’ils n’ont aucune idée que nous sommes là –et cela ne changera pas, à moins qu’on ne se mette à émettre des signaux puissants et dirigés de la façon suggérée par Vakoch. (Les quelques messages en dur que nous avons envoyés –à bord des sondes Pioneer et Voyager, par exemple– sont des coups de poker absolus. Ils contiennent des informations basiques à propos des humains et de notre planète; sur Voyager, il y avait aussi un disque en or avec un échantillon musical allant de Mozart à Chuck Berry, et d’autres messages de Terriens. Ils ne se dirigent vers aucune étoile en particulier et par conséquent risquent de n’être jamais interceptés –mais Voyager 1 se trouvera à deux années lumières d’une étoile nommée Gliese 445 dans à peu près 40.000 ans.)

Comme Christophe Colomb arrivant aux Amériques?

David Brin n’est pas le seul à préconiser la prudence. Plus d’une vingtaine de scientifiques ont signé une prise de position appelant à un moratoire sur le SETI actif en attendant qu’une «discussion scientifique, politique et humanitaire au niveau mondial» ait lieu. Elon Musk, le milliardaire à l’origine de SpaceX, l’a signée; tout comme le chasseur de planètes Geoff Marcy et l’auteur de science fiction à succès Paul Davies. La pétition ne parle pas d’extraterrestres vengeurs et qui bavent –elle note simplement qu’«il est impossible de prédire si [ l’intelligence extraterrestre ] sera bienveillante ou hostile».

Certains, comme le célèbre cosmologue Stephen Hawking, ont été plus directs.

Hawking a récemment mis en garde contre la possibilité d’une civilisation extraterrestre avancée, qui ayant épuisé les ressources de sa planète, pourrait«chercher à conquérir et à coloniser toute planète à sa portée».

Il cite également l’analogie de Christophe Colomb arrivant aux Amériques, «qui ne s’est pas très bien passée pour les Indiens d’Amérique».

Serons-nous leurs élèves, ou leur déjeuner?

Même si elle paraît clichée, cette bonne vieille histoire de Colomb semble quelquefois avoir le pouvoir de couler le SETI actif. Il s’agit toutefois d’une simplification grossière de l’histoire humaine. Kathryn Denning, anthropologue auprès de l’université de York à Toronto, souligne que tous les contacts interculturels n’ont pas été néfastes. 

Même l’arrivée des Européens aux Amériques n’a pas été si catastrophique que cela. «De nombreux peuples autochtones du nouveau monde sont toujours bien en vie et connaissent même une certaine croissance, [particulièrement] dans l’hémisphère sud», m’a-t-elle dit récemment.

Certes, il y a eu une période agitée; mais plus tard il y a eu «syncrétisme, amitiés, mariages mixtes… un rapprochement progressif de deux sociétés».

Les extraterrestres seront-ils des enseignants bienveillants ou des dirigeants despotiques? Serons-nous leurs élèves ou leur déjeuner? Même si le projet du SETI prétend être ancré dans la science, une grande partie de ce que disent ses fans semble dépendre de si ceux-ci ont grandi avec les envahisseurs armés du Rayon Ardent de La Guerre des mondes ou avec les intellos bien intentionnés de Contact.

1 — Selon le proverbe qui dit qu’«il est trop tard pour fermer l’écurie quand le cheval s’est sauvé» [note du traducteur]. Retourner à l’article

Dan Falk

http://www.slate.fr/

Une fille rousse exclue de son école parce que ses cheveux sont «trop roux»


Heu.. c’est complétement stupide ! Cela n’a aucun sens ! Qu’on interdise dans une école certaines colorations de cheveux, cela peut aller, mais interdire une couleur naturelle qui n’est pas colorée par une produit pour les cheveux est carrément incompréhensible, de la pure discrimination. J’espère que cette jeune fille gardera sa belle couleur et aura gain de cause
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Une fille rousse exclue de son école parce que ses cheveux sont «trop roux»

 

Par Alev Yildiz

    Emily Reay, une Anglaise de 17 ans, vient d’être exclue de son école secondaire pour la simple raison que ses cheveux sont considérés comme… trop roux! La jeune fille a été priée de changer d’apparence, sans quoi elle n’aura pas le droit de reprendre le chemin des études.

    D’une couleur auburn très vive, les cheveux d’Emily sont pourtant bel et bien naturels.

    « J’ai eu la même couleur pendant mes trois années de lycée et personne à l’école ne m’a jamais fait un seul commentaire », confie-t-elle au Telegraph. Lorsque les cours ont repris après les vacances de Pâques, plusieurs professeurs de la Trinity School, à Carlisle au Royaume-Uni, ont soudainement jugé que sa couleur était « inappropriée ».

    Une décision qui tombe mal, puisqu’Emily se retrouve privée de cours peu avant ses examens de dernière année.

    « Au début, j’étais très en colère, et puis j’ai fini par fondre en larmes ».

    Cette passionnée de musique, qui poste régulièrement des vidéos de ses performances sur sa page Facebook, estime que ses cheveux sont sa « marque de fabrique ». Pour rien au monde elle ne voudrait les teindre.

    emily reay

    La chanteuse en herbe a proposé à son établissement de cacher sa crinière avec un bandeau ou un chapeau lorsqu’elle se rend en cours, mais sans succès.

    « Ce qui est drôle, c’est que mes cheveux étaient encore plus brillants lors de la soirée du bal de promo, et que j’ai quand même remporté le prix de la meilleure coiffure », ironise-t-elle.

    emily reay

    Furieuse, la mère d’Emily Reay s’indigne :

    « Selon la politique de l’école, ce sont les couleurs qui ne sont pas naturelles telles que le bleu ou le vert qui sont supposées être interdites. Depuis quand le roux n’est-il pas une couleur naturelle ? »

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Une petite fille sauve un chaton handicapé


Ce chat n’aurait pu survivre seul. Son histoire ne dit pas comment il a été abandonné, mais il aurait pu être abandonné même par sa mère vue son gros handicap. Une petite fille l’a quand même prise sur son aile, peut-être le fait que son papa est médecin, l’a incité à vouloir le sauver. Avec les soins appropriés même son apparence s’est améliorée
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Une petite fille sauve un chaton handicapé

 

chatte maltraitee 1

Dans les rues tortueuses d’Istanbul se déroule une tragédie invisible. Pourtant, tous les passants continuent leur chemin sans un mot, ni même un regard. Tous, sauf cette fillette au grand coeur.

Ce symbole de désespoir et de pauvreté gisait dans une poubelle, à Istanbul. Jour et nuit, il gémissait faiblement.

Chaque jour, les habitants du quartier passaient près du chaton sans même le remarquer. 14 millions de personnes vivent à Istanbul. Aucune d’entre elles ne s’est arrêtée, ne serait-ce qu’un instant. C’est honteux…

chatte maltraitee 2

mais c’est malheureusement la vérité. Seule une fillette de 7 ans a remarqué ces gémissements, et s’est alors empressée de sauver l’animal de sa prison de déchets.

chatte maltraitee 3

Heureusement, comme le père de cette fillette (toujours anonyme) était médecin, elle lui a apporté l’animal au plus vite.

chatte maltraitee 4

Sur place, une infirmière s’est occupée avec tendresse de ce nouveau patient. Ce qui n’était pas une mince affaire, car la tête du chaton était infestée de mites et de vers.

chatte maltraitee  5

Sa bouche et ses oreilles étaient par ailleurs déformées. Probablement abimées par d’autres chats de gouttière.

chatte maltraitee 6

Néanmoins, grâce à leur amour et à leur dévotion, ils ont réussi à sauver ce pauvre animal, et à le remettre sur pieds. La fillette l’a baptisé Gülümser, ce qui veut dire “celle qui sourit constamment”. Un nom approprié !

chatte maltraitee 7

Et désormais, ils sont totalement inséparables. Voici la seule photo connue de cette bonne Samaritaine anonyme. Instantanément, le félin et elle n’ont plus formé qu’un même coeur, et une même âme.

chatte maltraitee 8

En quelques semaines à peine, Gülümser a commencé à se remettre. Ses blessures se sont guéries, et son pelage a commencé à repousser.

chatte maltraitee 9

Mille mercis à cette fillette anonyme. Si elle n’avait pas agi aussi vite et aussi charitablement, Gülümser ne serait probablement plus parmi nous. C’est un miracle !

chatte maltraitee 10

Cette fillette a fait quelque chose de merveilleux. Si jeune, et pourtant déjà si généreuse. Elle est un vrai exemple à suivre.

http://bridoz.com/

Les chiens transmettent-ils des gastro-entérites à l’Homme ?


Une gastro-entérite à la maison ? Peut-on le transmettre au chien ? Si oui, le chien peut-il est immunisé ? Et le contraire est-il possible ? En cas d’épidémie, les chiens ont-ils un rôle ?
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Les chiens transmettent-ils des gastro-entérites à l’Homme ?

 

L'Homme et le chien s'échangent-ils des maladies ? © School of Veterinary Medicine and Science University of Nottingham, UK, Flickr, CC by-nc-sa 2.0

L’Homme et le chien s’échangent-ils des maladies ? © School of Veterinary Medicine and Science University of Nottingham, UK, Flickr, CC by-nc-sa 2.0

 

Par Marie-Céline Jacquier, Futura-Sciences

 

Les propriétaires de chiens rapportent parfois des cas où l’animal et l’Homme ont, en même temps, des symptômes de gastro-entérite. Des chercheurs franco-britanniques ont montré que le norovirus humain qui cause des diarrhées peut aussi se lier aux cellules de l’intestin du chien. Inversement, la transmission du virus du chien à l’Homme serait possible mais elle reste encore à prouver.

Les norovirus font partie de la famille des Caliciviridae, qui possèdent un génome ARN simple brin. Très contagieux chez l’Homme, ces virus provoquent des vomissements, diarrhées, crampes abdominales, pendant 28 à 60 heures. En 2012, les norovirus humains ont été isolés chez des chiens européens. De plus, d’autres travaux ont trouvé une séropositivité au virus humain plus importante lorsqu’un chien est présent à la maison.

En tant que vétérinaire, Sarah Caddy rencontre souvent des propriétaires de chiens qui lui demandent s’ils peuvent transmettre des infections à leur animal et vice versa :

« Il existe de nombreuses anecdotes de chiens et d’humains [vivant] dans la même maison qui ont, en même temps, une gastro-entérite ».

C’est pourquoi, avec d’autres chercheurs britanniques et français, elle a voulu savoir si les norovirus humains pouvaient infecter les chiens. Pour cela, les scientifiques ont utilisé des particules de norovirus humain non-infectieuses, contenant seulement les protéines de la capside. Cesmolécules, externes au virus, permettent à ce dernier de se lier aux cellules hôtes. Chez l’individu infecté, le virus s’associe aux antigènes HBGA (antigènes, A, B, H…), exprimés par les globules rouges mais aussi par les cellules épithéliales intestinales. Les chiens expriment les HBGA dans leur salive et à la surface des cellules intestinales épithéliales, ce qui pourrait permettre l’attachement du virus aux cellules.

Dans le doute, mieux vaut prendre des précautions d’hygiène s’il y a une gastro-entérite humaine ou canine à la maison
Dans le doute, mieux vaut prendre des précautions d’hygiène en cas de gastro-entérite humaine ou canine à la maison. © Brian Brooks, Flickr, CC by-nc-nd 2.0

Le norovirus humain peut infecter les chiens

Dans cette recherche parue dans Journal of Clinical Microbiology, les chercheurs ont montré que des protéines virales de norovirus humains peuvent bien se lier au tissu gastro-intestinal canin, ce qui suggère que l’infection est possible. L’analyse sérologique d’échantillons a montré des preuves d’une exposition au norovirus dans 43 échantillons sur 325 chiens : il existerait donc bien une réponse immunitaire des chiens contre le norovirus humain.

Sur 67 chiens qui avaient une gastro-entérite, les virus CPV et CECoV ont été détectés respectivement chez dix et deux chiens. Mais le norovirus n’était pas une cause majeure d’infection chez ces chiens. Les chercheurs proposent que les chiens soient sensibles au norovirus, mais moins que les humains. En résumé, si l’infection est possible, en théorie, le risque de causer une maladie chez le chien semble faible.

La question d’une transmission du virus du chien à l’Homme reste en suspens. Reste à savoir également si des chiens peuvent jouer un rôle dans des épidémies humaines. Les scientifiques notent toutefois que les crises les plus importantes ont souvent lieu dans des endroits où les chiens sont absents, comme des hôpitaux ou des bateaux de croisière. En attendant que plus de données scientifiques soient disponibles, mieux vaut prendre des précautions d’hygiène en cas de gastro-entérite dans la maison, qu’elle soit humaine ou canine.

http://www.futura-sciences.com/

Et si la marijuana rendait méchant?


Personnellement, je ne sais pas la sensation de prendre des drogues, car j’en ai jamais pris et j’en suis bien contente. Cependant, j’ai pu voir certains effets sur d’autres et cela ne m’a pas plus attiré. Je crois que les drogues ne devraient jamais être légales sauf peut-être quand il est médical.
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Et si la marijuana rendait méchant?

 

 

En réalité, explique Françoise Narring, médecin aux HUG, le cannabis exacerbe l’humeur du fumeur.

Photo: Jacques Nadeau Le DevoirEn réalité, explique Françoise Narring, médecin aux HUG, le cannabis exacerbe l’humeur du fumeur.

«Peace and love», le cannabis? Pas sûr. Fumer des joints peut aussi rendre très nerveux.

«Bien mal nommé “drogue douce”, le cannabis entraîne son consommateur vers la violence et parfois la folie. L’augmentation des violences parmi les jeunes en France à partir de la fin des années 1990 s’est opérée parallèlement à une augmentation de la consommation des drogues illicites et notamment du cannabis.»

Non, ces propos ne sont pas tirés d’un dépliant de scientologie ou d’un prospectus des Témoins de Jéhovah. Mais d’un article de la Française Marie-Hélène Léon, docteur en sociologie, qui, en 2009, relaie en partie les conclusions d’une conférence tenue par la Fédération française de psychiatrie. Intitulé Cannabis: de la violence à la psychose, l’article observe notamment que la consommation régulière de cannabis chez les personnes hospitalisées pour un épisode psychiatrique varie entre 23 et 50 %.

Alors, méchant, le cannabis?

«Oui, il est tout sauf cool», confirme Anne-Michelle Demierre, présidente de l’association Parents-Jeunes-Cannabis, basée à Fribourg. «On parle trop peu de ses effets angoissants, de l’anxiété qu’il peut générer. On ne dit pas assez les très lourdes conséquences qu’il a sur les jeunes qui en fument régulièrement: inhibition, démotivation, déscolarisation. Depuis quinze ans que j’ai créé l’association, j’ai recueilli des dizaines de témoignages de familles totalement déstabilisées, minées par la consommation de cannabis de l’un de leurs ados», observe cette mère de famille, infirmière en psychiatrie.

Françoise Narring, médecin responsable de l’unité Santé Jeune des Hôpitaux universitaires de Genève, différencie deux types d’anxiété.

«D’un côté, il y a le mauvais voyage ou bad trip qui intervient durant les premières consommations. Il s’agit d’une intolérance claire au THC (le tétrahydrocannabinol) qui entraîne des sueurs, des palpitations, des sensations de paranoïa et opère comme antidote à la prise de cannabis. L’adolescent qui vit ça n’a pas envie de recommencer! L’autre manifestation d’inconfort est plus pernicieuse, car elle concerne les fumeurs réguliers. Sur le plan neurologique, on ne sait pas exactement pourquoi, mais à un moment, certains habitués qui consomment souvent seuls développent une humeur anxieuse pouvant atteindre la phobie sociale.»

Qu’en est-il de l’agressivité?

À Genève, il a été établi que les auteurs d’un rodéo urbain meurtrier avaient consommé du cannabis avant leur triste exploit, une substance dont on attend qu’elle apaise, plutôt qu’elle n’excite…

 «Ils devaient être sous l’influence de plusieurs produits,suppose Françoise Narring. Sans doute un mélange avec de l’alcool, car, à ma connaissance, le consommateur de cannabis n’est agressif qu’avec lui-même, puisque la substance est inhibitrice», précise cette spécialiste.

Et pourtant. Quadragénaire souriante, Élise se souvient très bien de ses changements d’humeur quand elle était fumeuse régulière:

 «Moi qui déteste la violence, j’étais limite violente à des moments inexpliqués, pour des broutilles sans importance. En fait, je ne supportais pas grand-chose, je manquais de patience et je m’emportais avec cruauté.»

Et que dire de ce témoignage de Fergousa, repéré sur un forum de discussion?

«Au début, mon copain fumait de temps en temps, puis est allé jusqu’aux 25 joints par jour, puis il est redescendu à 4, 6 pétards. De quelqu’un de joyeux, il est passé à une personne soupe au lait, agressive et mal lunée. Pour m’être fait jeter à la porte un dimanche après-midi pour une histoire de kebab qui n’est pas arrivé à temps, je peux vous assurer que la canna peut rendre agressif.»

En fait, explique Françoise Narring, médecin aux HUG, le cannabis exacerbe l’humeur du fumeur.

«Si une personne est nerveuse, stressée au moment du joint, son sentiment d’insécurité va augmenter. De ce point de vue, c’est vrai que l’image de détente associée au cannabis est trompeuse», admet la responsable de l’unité Santé Jeune des HUG.

Et du côté de la police? Un lien a-t-il été repéré entre violence et cannabis?

«Non, pas particulièrement, répond Christophe Fortis, attaché de presse de la Police genevoise.Mais lorsqu’il y a une bagarre, on ne fait pas de prise de sang systématique.»

 Il rejoint l’idée que ce sont plutôt les mélanges qui font flamber l’agressivité. Quant au milieu scolaire, si le cannabis est l’ennemi des enseignants, c’est plus pour son effet planant que son effet flippant.

«Il y a trois, quatre ans, j’ai eu une volée spécialement consommatrice que j’avais de la peine à mobiliser», se souvient un maître d’un centre de formation professionnelle genevois. «Cinq d’entre eux fumaient à la pause et ça les rendait stone.»

Mais cet enseignant a aussi eu l’expérience de fumeurs de longue date chez qui il a pu observer«une sur-stimulation de l’ascenseur émotionnel».

«L’humeur de ces fumeurs peut varier d’un instant à l’autre, ce n’est pas très confortable pour travailler. Pour certains cours, comme le cours de réalisation d’objets, je les préviens qu’en cas d’accident, une prise de sang peut être faite à la permanence et que les assurances rechignent parfois à couvrir un consommateur de cannabis. Ça leur parle!»

«C’est tellement bon d’être chirdé, frère!», dit la chanson. Et, pour beaucoup, l’inénarrable marijuana est synonyme de douces dérives. Occasionnelles et festives. Mais consommé seul et souvent, le cannabis peut rendre vraiment méchant.

http://www.ledevoir.com/